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  • Les terres d'ogon - Tome 2 - Blancs visages


    The_PoP
    • Scenariste: Nicolas Jarry Dessinateur: Alex Sierra Coloriste: J. Nanjan Editeur: Soleil Note :
      Résumé:

      Pour sauver son frère, Itomë pactise avec un ancien esprit malfaisant. Bannie par les siens pour avoir bravé les lois sacrées de son clan, luttant contre l'esprit du sorcier qui cherche à s'emparer de son âme, elle entreprend une quête sans retour à travers les terres d'Ogon. Mais Itomë l'a juré : quelles que soient les épreuves qui l'attendent elle ne laissera plus la peur guider ses choix.

      Type: BD Europeene L'acheter sur bdfugue Genre: Fantasy Prix: -- Nb de pages: --
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    Et hop, après le très très attendu Guerres d'arran dont je vous parlais hier, les terres d'ogon, la nouvelle série se déroulant sur le nouveau continent dans le même univers nous présente son second tome. Exit au passage la com sur la Fantasy à l'africaine, place à la Fantasy tout court, qui puise clairement par contre ses inspirations sur les mythes et légendes du continent africain (en tous cas vu par les occidentaux).

    Le tome 1 était plutôt très réussi et sympa et ce second tome est dans la même veine, on a vraiment envie d'en savoir plus, de découvrir ce monde et ces enjeux, et comme pour les terres d'arran, peut être de voir s'y dessiner un arc d'envergure avec des enjeux importants. Au vu des personnages présentés et des indices disséminés dans ce tome 1 et ce tome 2, je ne doute pas que ce sera le cas.

    Le dessin d'Alex Sierra, que l'on avait déjà vu officier sur quelques tomes d'Orcs et Gobelins est toujours aussi efficace et réussi, nous entrainant dans une action dynamique et lisible sans pour autant négliger ses personnages. Quand à la colorisation de J. Nanjan, on ne la présente plus, on lui doit une si grande partie des couleurs des terres d'Arran que ce serait vous faire injure que de vous présenter plus son travail. C'est très bon, et le nouvel univers plus chatoyant lui réussit une nouvelle fois très bien.

    L'histoire elle est bien soignée, centrée sur des personnages forts et attachants, l'aventure reste rythmée et les enjeux en sont plutôt clairs, bref c'est très bien sur un one shot de quasi démarrage de l'univers. 

     

    Très franchement si vous avez aimé les terres d'Arran, je ne vois pas bien de raison pouvant vous pousser à ne pas poursuivre sur les terres d'ogon, à part la place prise dans votre bibliothèque ou sur votre compte en banque. Surtout que je ne vois pas ces continents ne pas se mêler d'ici quelques années sur des cross over ou des arcs narratifs encore plus démentiels.

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    Commentaires recommandés

    Me semblait avoir lu quelque part qu'Istin gardait la main sur l'univers elfes nains & co...

    Et puis Arleston a plus marqué la fantasy pour moi qu'Istin 🙂 Ouhhhh gros gros débat à venir 😄

    Modifié par The_PoP
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    Clairement. J’ai pas vraiment de doutes sur le destin des terres d’arran dans les mains de soleil.

     

    surtout que c’est quand même pas l’originalité des scénarios qui rend le truc aussi intéressant… 

     

    on verra

    • Like 1
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    Lu hier et mouais , pas l'éclate ... Personnages caricaturaux , histoire banale , le dessin et les couleurs sauvent le tout , en étant superbes par contre ! Pour moi c'est un 3 , un tome "fileur" ou "origin story" , mais on est même pas sûr qu'ils continuent avec ces persos là ... On verra , mais pour l'instant , ces terres d'Ogon ne me passionnent pas vraiment . Ces centaures en girafe ! Le tome 3 aujourd'hui , il part déjà mieux 🙂

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  • Dernières Critiques

    • Dans l'indifférence générale
      Note :
      Voilà un sacré coup de coeur pour cet "essai" graphique au dessin somptueux et innovant dans son découpage, ainsi que le propos si fort et lourd de conséquences. Je lui souhaite la même réussite dans les bacs des libraires que Le monde sans fin de Jancovici et Blain (Dargaud). Dans un genre moins scientifique mais avec des phrases "coup de poing" et surtout une symbiose des cases dessinées ingénieuse et parlante, Roberto Grossi frise le génie pour imprimer notre rétine de messages. On se rend bien compte que nos petits gestes écologiques ne suffisent plus, il devient impératif d'imprimer une direction responsable aux élites gouvernantes. Nous faisons partie des pays les plus riches et nous polluons sans vergogne avec des chiffres de production de CO2 inimaginables. Sur la même ligne que Jancovici, Roberto Grossi "accuse" le capitalisme et sa surproduction, on pense ainsi à la "décroissance" souhaitée par l'ingénieur français. Il démontre chiffres à l'appui l'accentuation majeure de nos rejets de gaz à effet de serre depuis la révolution industrielle anglaise avec la machine à vapeur de Watt notamment. Un peu plus de 200 ans durant lesquels les progrès scientifiques ont été les plus importants mais aussi les plus néfastes pour la planète bleue. L'auteur utilise subtilement en fil directif de l'histoire un homme dans l'océan, seul, avec en face un requin fonçant gueule béante vers lui ! La catastrophe est imminente, que peut-il faire ? Nous en sommes là avec Taylor Swift prenant son jet privé comme l'on prendrait son scooter pour aller chercher du pain. Il raconte aussi ses souvenirs d'enfance en voyage à Chamonix et sa Mer de glace, glacier en constant retrait depuis des années. J'ai vu aussi le glacier lors de ma jeunesse et j'y retourne régulièrement avec le Montenvers, on ajoute toujours plus de marches pour descendre arpenter la glace... Jusqu'où allons nous descendre ? A lire et à faire lire à tous vos proches. 
      • 0 réponse
    • Kabuki
      Note :
      Le duo de bienfaiteurs qui nous avaient enchantés avec Shamisen (Ankama) remet ça avec une quête identitaire sur fond de folklore japonais. On connait cette forme théâtrale du Kabuki, qui allie danse, musique, dramaturgie et de nombreux costumes. Les auteurs attribuent au personnage principal le nom de Kabuki, en digne représentant de cet art né au début du XVII ème siècle sous l'ère Edo. D'emblée on est frappé par la virtuosité graphique et le sens de la mise en scène, chaque case se contemple car la suivante lui ressemble mais avec une lueur un peu plus prononcée et cela va en s'accentuant jusqu'à la découverte de Kabuki en scène, c'est un enfant déguisé en femme. Dans une société patriarcale comme l'est le Japon, cela passe plutôt mal et Yokai ainsi qu'humains ne cessent de l'humilier et le décourager dans cette voie ! Kabuki persévère et multiplie les expériences pour trouver son véritable "moi" et vivre en paix avec lui/elle. De nombreux passages oniriques sont dessinés avec grand talent, on saisit parfaitement la métaphore de la chrysalide et du papillon. J'insiste vraiment sur les nombreuses qualités graphiques qui m'avaient enthousiasmées lors de la lecture de Shamisen. le traitement des jeux de lumières, la finesse du trait, Guilherme Petreca est un grand talent. Le scénariste Tiago Minamisawa a voulu rendre hommage aux personnes transgenres tuées au Brésil, le pays détient d'ailleurs le plus haut taux de meurtre envers cette communauté dans le monde. Cela donne une lecture spirituelle et contemplative, peut-être un peu moins accessible que Shamisen. A découvrir !
      • 0 réponse
    • Partitions irlandaises tome 3 (fin) - Le refrain
      Note :
      Voici le dernier tome de cette trilogie de Kris et Bailly sur l'histoire conflictuel de l'Irlande du Nord et le conflit entre catholique et Protestant.

      Ce tome trois, que l'on a attendu longtemps, conclu de bien belle façon cette histoire de famille et qui nous montre qu'il est tous sauf aisé de se défaire de l'historique familial.

      Entre suspens, échange de coup de feux et révélations sur le passé de chacun, on a un troisième tome sans temps mort pour une trilogie engagée qui nous raconte l'histoire d'un petit bout de terre qui cherche à se défaire des histoires du passé pour se focaliser sur l'avenir.

      Note : dû au temps espacé ( tous les deux ans) de parutions des albums, je conseille une relecture de l'intégrale pour bien apprécier ce troisième tome.
      • 0 réponse
    • Coups de coeur
      Note :
      Dans cette autobiographie, l'autrice Tcheque Jislová nous livre une véritable psychanalyse sur sa relation à... l'amour. Rien de moins que ca. Une grande question qui travaille tout le monde mais qui est encore plus prégnant chez Štěpánka vu... ce que l'on apprend sur son passé.

      Je ne vous révèlerais pas cette surprise mais vous encourage à découvrir cette BD qui réussit, sur un très gros volume de pages, à nous accrocher de bout en bout. Le graphisme dynamique et un choix de nuance de rouge très intelligent. Štěpánka joue avec les pages et les limites de la BD pour nous livrer un ensemble réussi qui réussi, malgré le sujet déjà vu et revu, à ne pas nous ennuyer et à nous faire réfléchir sur notre définition à l'amour et au sexe opposé.

      Petite cerise sur un gâteau déjà beau, Štěpánka nous livre quelques pages de psychologie infantile intéressante et documentée.
      • 0 réponse

    • Beast king and medicinal herb tome 2
      Note :
      Le tome 1 de The beast king and medicinal herb était une des bonnes surprises de ce début d'année avec un point de vue rafraîchissant sur les monstres des donjons.

      C'est donc un peu tristement que j'ai découvert que ce tome deux rentrait deja "dans le rang". Non pas qu'il ne soit mauvais. On découvre des nouveaux monstres dans un nouveau donjon et notre héroïne avance dans sa compréhension de Galion.

      Mais on est déjà dans l'aventure qui part pour être super linéaire avec à chaque épisode son donjon et chaque donjon son monstre à soigner. C'est dommage car le premier avait bien utilisé le copain "différence de point de vue" entre monstres et humains tout comme la fait que c'est le gagnant qui écrit l'histoire.

      J'aurais préféré retrouver cela plutôt que de découvrir un super gros monstres qui vole avec ses poils....

      J'espère que le tome trois me surprendra en tout cas !

       
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