Qu'est-ce que c'est bon quand même un Pagnol. Avec le temps on oubli. Ces histoires passent à la postérité et on dit juste : ah oui Pagnol j'ai vu le truc dans la garrigue là.
Et c'est bien dommage et, encore une fois, heureusement que la collection grand angle nous permet (et aux jeunes nouveaux lecteurs aussi) de redécouvrir ces chef d'œuvres. Toujours porté par le toujours superbe dessin de Sébastien Morice, ce deuxième tome de Marius nous plonge un peu plus dans le Marseille des années 60.
La Marseille pastis + coinche + "bonne-mère". Le Marseille d'où on entend les accents sortir des cases. Et Pagnol magnifie cette histoire d'amour marseillaise en la rendant très humaine. La fin, que j'avais oubliée, encore plus que le reste.
Cette collection Pagnol est toujours une superbe réussite et j'attends la suite de la trilogie marseillaise avec impatience !
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