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  • Sefardim


    poseidon2
    • Scenariste: Anne Benoliel-Defreville Dessinateur: Anne Benoliel-Defreville Coloriste: Anne Benoliel-Defreville Editeur: Futuropolis Note :
      Résumé:

       En 1492, Isabelle Ire de Castille et Ferdinand II d'Aragon, premiers rois catholiques d'Espagne, ordonnent à tous les Juifs de quitter leur royaume. En 2015, le roi Felipe VI d'Espagne présente des excuses et propose une forme de retour aux familles juives expulsées 500 ans plus tôt. L'occasion de retracer 3000 ans d'histoire d'une famille.D'origine juive par son père, Anne Defréville s'interroge sur le sens de son histoire. Son récit parle aussi de sa volonté de retrouver une nationalité espagnole, et des lieux de mémoires et documents qui évoquent ses origines. Anne Defréville questionne l'identité juive, restée pour elle en grande partie silencieuse pendant longtemps. Ce récit l'a réveillée, l'a questionnée. Elle le porte en elle, comme une multitude d'autres histoires cachées dans les gènes.

      Type: BD Europeene L'acheter sur bdfugue Genre: Action Prix: 22 Nb de pages: 160
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    Difficile exercice que de livrer un récit sur l'histoire d'une famille et de sa religion sans tomber dans le prosélytisme. 

    C'est pourtant chose faite et réussit par Anne Benoliel-Defreville dans Sefardim. Se basant plus sur une recherche d'identité et d'historique culturelle plus que sur du fondamentalisme religieux, Anne Benoliel-Defreville nous livre un récit historique assez passionnant, même si un peu long à lire. 

    Mais cette longueur n'est pas étonnante vu que l'on passe par 3000 années d'histoire. Elle est surtout bien gérée, entrecoupant réflexion sur ce besoin d'identité et récit historique, et forme un rappel super intéressant de l'histoire globale du judaïsme au travers les ages.

    Peut-être pas pour tout le monde, mais pour tous les fans d'histoire, de famille ou de la grande histoire.

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  • Dernières Critiques

    • Before we Sail : Online comics
      Note :
      Petit coup de projecteur sur un comics indépendant nous venant d'Amérique du sud et étant disponible en anglais uniquement mais sur une plateforme de lecture en ligne nommée access weekly : https://www.acesweekly.co.uk/vol75-issue1

      Le principe d'accès weekly c'est un abonnement à 1$ par semaine et un accès a du nouveau contenu toutes les semaines.

      Et la semaine 75 voit apparaitre Before We sail, un comics post apocalyptique. Une apocalypse Zombie comme dans Walking Dead pour un comics qui ressemble fortement ce dernier. On retrouve ici comics ou le véritable sujet sont les survivants plus que les zombies et où les interactions entre humains font quasiment plus de dégâts que les zombies eux-mêmes.

      On retrouve ici la logique des BD survivaliste avec des gangs qui font tout pour survivre même les pires horreurs et les électrons libres qui foutent le bazar.

      Si ce comics est graphiquement très réussi avec un trait assez proche de celui de Pia Guerra dans Y le dernier Homme, le scenario aurait peut-être mérité un peu plus de page ou un peu moins d'ambition. En effet on a toujours beaucoup de question et on sent que, à l'instar de Walking dead, on aurait la possibilité de mieux comprendre nos deux personnages sur plus de pages.

      Espérons que ce Weekly Access serve de tremplin à nos auteurs pour lancer une série de plus grande envergure.
      • 0 réponse
    • Marceline
      Note :
      Qui a mis une caméra chez moi ? Sans rigoler, on dirait vraiment ma petite dernière.

      Bon alors elle rentre en sixième et non en quatrième mais la transposition évidente montre bien que Claude Combacau a bien étudié son sujet.

      On retrouve ici une véritable pré ado. Une fille qui ne comprend pas vraiment les changements qui se passent, chez elle ou chez ses copines. Une petite fille qui voit ses habitudes passées devenir ringarde alors qu'elle adore encore ça. Une grande fille qui aimerait être comme les autres mais aussi comme avant.

      Un âge ingrat ou les autres sont méchants si on n'est pas dans la norme.

      Si la description est un peu exagérée sur l'aspect "fan de chats", elle reste vraie pour la plupart des points et en fait une lecture intéressante pour les parents comme les petites filles qui pourront voir que tout le monde se pose les mêmes questions.
      • 0 réponse
    • Superman the world
      Note :
      Je dois bien avouer que je ne suis pas super fan de ce genre de recueil. Des histoires très courtes donc au scenario pas réellement intéressant la plupart du temps.

      La j'étais intrigué par l'aspect "mondial" du traitement avec les meilleurs dessinateurs et scénaristes de chaque pays qui ont "toute latitude" pour faire un épisode de Superman.

      Intrigué mais aussi enthousiaste au vu des noms affichés : Runberg, Jimenez, Subic.....

      Et je dois dire que la lecture fut agréable : Les scénaristes ont complètement pris à leur compte le personnage et ont délocalisé les histoires dans leur pays d'origine. On passe de Paris à la Serbie en passant par l'Andalousie et les 7 eleven Japonais ou encore le Cameroun et l'Argentine.

      On se retrouve, certes, avec des histoires courtes, mais avec des histoires étonnantes, oscillant entre pub pour le pays (Monsieur Jimenez a envie qu'on vienne découvrir chez lui) et la découverte d'un style graphique ou un style narratif différent de celui que l'on a l'habitude de lire.

      Un exemple réussi qui lance bien la nouvelle collection Urban de collaboration avec des auteurs étrangers dont on attend avec impatience le one shot de Runberg sur Wonder Woman et Harley Quinn.
      • 0 réponse
    • Phantasmagoria
      Note :
      Le prolifique scénariste espagnol El Torres nous emmène dans les bas fonds du Londres victorien avec une enquête tutoyant le surnaturel. Tout commence par le massacre d'une famille perpétré par une jeune femme semblant possédée. Le professeur Hawke s'avance vers elle et la délivre de ce "mal" , mais l'entité a t'elle vraiment déjà disparue ?? Dès lors, une course poursuite macabre se lance entre ce mystérieux personnage et cette malédiction aux motivations secrètes, mais un autre homme s'évadant de prison intervient, Edwin Drodd cachant lui aussi ses ambitions. Au fil de flashbacks savamment distillés, on découvre le passé des deux hommes s'avérant être des sorciers et le fil narratif prend une tournure inattendue une fois les masques tombés 😉 On pense inévitablement à la série tv Penny Dreadful et ses ambiances à la lecture de cette aventure horrifique, mais l'auteur ajoute un semblant de Lovecraft et d'exorciste. Il est en effet plus question de malédictions que de vampires et autres créatures mythiques ! La ville est particulièrement bien retranscrite sous les pinceaux de Joe Bocardo, un artiste à suivre faisant ici ses premiers pas. Rues lugubres, brouillard envoûtant, jeux d'ombres et lumières, découpage cinématographique, l'ensemble est réussi. On peine parfois à saisir tous les éléments dans des cases chargées de cadavres, mais cela reste un très léger défaut au regard de l'impression générale. Il s'agit d'un noir et blanc aux notes crépusculaires et à la finesse du trait indéniable. A lire sous la lueur d'une bougie pour s'immerger dans l'ambiance et se faire peur 😉 .
      • 0 réponse

    • Une fille si féline tome 3
      Note :
      Rhaaa qu'est qu'il est mou !!

      Franchement c'est frustrant à la longue ! il est mou comme ce n'est pas permis et cela retarde une histoire que l'on verrait aller plus vite.

      Surtout que Nekozane nous montre ici un côté bien plus intéressé que dans les tomes précédents, prenant même mes devants... malgré un Seno qui freine des quatre fers.

      Le souci, c'est que jouer uniquement sur le charme de Nekozane et les peurs de Seno, c'est déjà ce que l'on fait depuis deux tomes. Donc si sur celui-ci on apprécie encore, on a vraiment envie que l'histoire se développe plus. Tellement que le rebondissement final, sans lien avec nos deux lents de la relation, s'en trouve rafraichissant là ou il devrait être anecdotique.

      Bref un manga mignon tout plein mais qui commence à trop se reposer sur ses lauriers.

       
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