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poseidon2

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Messages posté(e)s par poseidon2

  1. Non mais c'est debile !

     

    Les tranches des T2 et 3 ne seront pas pareils....

    Sauf si Urban fait les choses bien... mais ils font souvent les choses bien donc.... si ils sortent un deux dans ce format il feront un reprint du 1. ca serait debile autrement


  2. Titre de l'album : The one hand & the six fingers tome 1
    Scenariste de l'album : V Ram
    Dessinateur de l'album : Dan Watters
    Coloriste : Laurence Campbell
    Editeur de l'album : Urban Comics
    Note :
    Résumé de l'album :

    2873. À Neo Novena, l'inspecteur Ari Nassar fête à peine son départ en retraite qu'un meurtre le replonge instantanément dans une affaire vieille de vingt-trois ans. Trente-deux victimes, une empreinte palmaire unique à six doigts et deux assassins au même modus operandi déjà placés sous les verrous par Ari lui-même. Alors qui ? Et pourquoi maintenant ? Non loin de là, l'étudiant en archéologie Johannes Vale réalise avec horreur qu'il n'est peut-être pas étranger à ce crime brutal, seulement... il ne se souvient de rien ! Contenu vo : The One Hand # 1 + The Six Fingers #1.

    Critique :

    Mmmhhhh Alors ok ce premier fascicule peut être acheté avec un coffret pour ranger les 6 tomes à venir. Ce qui sera quand même sympa dans la bibliothèque.

    Mais je ne sais pas. J'ai toujours pensé que le format fascicule n'était pas vraiment adapté au lectorat français. Car oui on parle bien ici d'un fascicule de 72 pages en couverture souple. 3 chapitres....

    Bon après il faut rendre à Urban que le prix et ... le même. Un harcover de 12 chapitre est à 31. Ici c'est 7.90 mais il y a 4 fois moins de contenus.

    Après j'espère que la série marchera, car c'est quand même un thriller bien sympa dont on veut diablement connaitre la suite. Un pur thriller avec un vieil enquêteur qui refuse sa retraite car un copieur commet des crimes comme ... deux précédents tueurs en série. C'est sombre (très ? ). C'est dense. Réfléchit et signé Ram V.... Mis à part le gout de trop peu, on a quasiment tous bon.

    Avec un numéro par mois annoncé, seulement 6 numéros et un coffret pour les ranger tous..... il y a de quoi réfléchir à changer ses habitudes.

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    Autres infos :

    Type de l'album : Comic
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-one-hand-the-six-fingers-tome-1?ref=44

    Voir la totalité de enregistrement


  3. Titre de l'album : Le génie de Beyrouth tome 1 - Rue de la fortune de dieu
    Scenariste de l'album : Selim Nassib
    Dessinateur de l'album : Lena Merhej
    Coloriste : Lena Merhej
    Editeur de l'album : Dargaud
    Note :
    Résumé de l'album :

    « On dit qu'il existe à Beyrouth un génie qui est l'esprit même de la ville... On dit aussi qu'on ne peut avoir sa peau qu'en détruisant la ville ? mais ça, ce n'est pas prouvé... » Dans les années 1970 à Beyrouth, la rue Rizkallah est une mosaïque des différentes communautés du Liban, et ses habitants vivaient dans une relative concorde avant que la guerre ne vienne bouleverser ce fragile équilibre... Témoignage fictionné et sensible de cette lente catastrophe, "Le Génie de Beyrouth" déploiera jusqu'à nos jours et sur trois tomes son récit choral porté par la verve grave et légère de l'écrivain et journaliste Sélim Nassib ('Libération'), et le dessin aérien et lumineux de Léna Merhej.

    Critique :

    J'aime la BD quand elle nous permet de nous pencher sur des sujets qui sortent de l'ordinaire pour le petit européen que je suis.

    Car je dois bien vous avouer que je ne connaissais pas grand-chose de Beyrouth avant la lecture de ce premier tome. Ni du Liban d'ailleurs. SI ce n'est la de vagues news aux infos, se concentrant sur les drames et les guerres plus que sur les habitants eux-mêmes.

    J'ai donc énormément appris sur la Beyrouth des années 70. La Beyrouth symbolisant ce que les extrémistes de tout bord vendent comme impossible : Une entente entre des communautés d'origines et de religion diverses. Une entente fragile, mais une véritable vie en commun quand même. Qui montre qu'en prenant le meilleur de tous, on arrive à faire une ville dynamique et ou il fait bon vivre.

    Mais ce reportage nous montre aussi que fermer les yeux sur les signes extérieurs revient à se voiler la face et que cela peut aller très loin.

    Une descente en enfer d'autant plus dure que le dessin léger et enfantin minimise l'impact visuel de cette tragédie. 

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    Autres infos :

    Type de l'album : BD Europeene
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-genie-de-beyrouth-tome-1-rue-de-la-fortune-de-dieu?ref=44

    Voir la totalité de enregistrement


  4. Titre de l'album : Brave bell tome 1
    Scenariste de l'album : Meeb
    Dessinateur de l'album : Okane
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Doki-Doki
    Note :
    Résumé de l'album :

    Entre le coeur et la justice, les desseins d'un fils de yakuza. Sôji Sanada est un lycéen à l'esprit et au corps affutés, toujours prêt à secourir les gens dans le besoin. Pour autant, Sôji est loin d'être populaire : il est le fils d'un yakuza, le chef de l'un des plus grands gangs de la région, ce qui lui vaut d'être craint et détesté.Mais tout change le jour où il découvre, sur le pas de sa porte, que l'ensemble de sa famille a été tuée. Animé par une soif de vengeance, il est prêt à tout pour retrouver le meurtrier. Une enquête qui va le mener à découvrir de nombreux secrets sur sa famille...

    Critique :

    Voilà peut-être la bonne pioche de ce début d'année. Une histoire en 6 tomes particulièrement bien dessinée et au scenario qui s'annonce intéressant.

    Alors oui, les histoires de files de Yakuzas, on connait. Mais des comme celle-là, on n'en a pas vu. Car au-dessus de cette histoire "standard" de fils de yakuzas voulant venger son père est parachuté un côté fantastique plus proche des mangas de superpouvoir que de Yakuza.  Et sur ce premier tome, le mélange prend plutôt très bien au point que l'on se pose même des questions sur notre héros lui-même.

    L'autre point qui fait que la mayonnaise prend, c'est le souci apporté à l'environnement. Les seconds rôles sont énigmatiques et le contexte dense avec une mention spéciale à la banque pour Yakuzas.

    Bref un ensemble savoureux et bien dessiné pour une série que l'on espère courte, non pas à cause d'un manque de vente au Japon, mais bien parce que l'histoire ne se prêtait pas à plus long.

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    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/brave-bell-tome-1?ref=44

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  5. Titre de l'album : Spirite tome 3 - Échos
    Scenariste de l'album : Mara
    Dessinateur de l'album : Mara
    Coloriste : Mara
    Editeur de l'album : Drakoo
    Note :
    Résumé de l'album :

    Les frontières de la réalité se brouillent quand l'amour et la mort s'entremêlent... Maine, 1906: Anya Eisenstern, une jeune étudiante en physique douce, timide mais brillante, est acceptée en tant que première femme étudiante à la faculté d'Outsmouth aux Etats-Unis. Elle y intègre le cours du célèbre professeur Boris Voynich et de son assistant Arthur Arroway, qui y enseignent la spirotologie, l'étude scientifique des fantômes et de l'au-delà. Mais sa rencontre avec Lucas, un étudiant insolent et grande gueule cachant un sombre secret, changera le destin d'Anya, en les propulsant tous deux au coeur du mystère qui mènera inéluctablement à la terrible catastrophe de Tunguska en 1908.

    Critique :

    Alors, je vois déjà venir les râleurs : ça y est deux critiques de Drakoo, deux bonnes notes. C'est forcément exagéré !

    Et bien autant vous dire que... oui un petit peu. Enfin non je dirais plutôt que c'est une prime. Une prime aux promesses tenues et à la qualité respectées. En effet, j'attendais beaucoup Drakoo au tournant. Ils nous avaient promis un label traitement de l'imaginaire sous toutes ces formes. À une époque où le fantastique est bridé à son expression "elfes / nains / trolls", c'était une promesse qui semblait difficile à tenir.

    Et bien la preuve que non. Entre Gueule de Cuir et son récit de cape et d'épée et ce Spirite son récit "GhostPunk", basé au début du XXieme siècle, on a ici deux aventures qui sortent des sentiers battus, se permettant même d'être très bon. Donc bonus.

    Pour en revenir à ce tome 3... il est quand même vraiment excellent car il marque une pose dans notre aventure et revient sur le passé de nos protagonistes et les débuts de la spiritologie. On quitte os héros pour en trouver d'autres et mieux comprendre l'état d'Arroway.

    Cette partie de l'histoire change aussi le style, oscillant entre romance et découvertes scientifiques, laissant un peu de côté l'aventure. Aventure qui devrait revenir à grands pas dans le quatrième tome, surtout au vu de la situation de Ian !

    Qui peut résister à un Ghostbusters maquillé de steampunk au début du XXieme ???

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    Autres infos :

    Type de l'album : BD Europeene
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/spirite-tome-3-echos?ref=44

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  6. Titre de l'album : Les mémoires de la Shoah
    Scenariste de l'album : Annick Cojean | Thea Rojzman
    Dessinateur de l'album : Tamia Baudouin
    Coloriste : Tamia Baudouin
    Editeur de l'album : Dupuis
    Note :
    Résumé de l'album :

    1942, descente des nazis dans le ghetto de Kovno, en Pologne : son nouveau-né dans les bras, une jeune femme regarde autour d'elle, hagarde. Bessie K : « Je tenais le bébé, et j'ai pris mon manteau, et j'ai emballé le bébé, je l'ai mis sur mon côté gauche car je voyais les Allemands dire "gauche" ou "droite", et je suis passée au travers avec le bébé. Mais le bébé manquait d'air et a commencé à s'étouffer et à pleurer. Alors l'Allemand m'a rappelée, il a dit : "Qu'est-ce que vous avez là ?" Je ne savais pas quoi faire parce que cela allait vite et tout était arrivé si soudainement. Je n'y étais pas préparée (...) Il a tendu son bras pour que je lui tende le paquet ; et je lui ai tendu le paquet. Et c'est la dernière fois que j'ai eu le paquet. » C'est l'un des nombreux témoignages de survivants des camps de la mort recueillis par Annick Cojean, grand reporter au Monde depuis plus de quarante ans. Elle reçoit en 1996 le prix Albert Londres pour Les mémoires de la Shoah. Ces textes magnifiques prennent une nouvelle dimension aujourd'hui avec cette adaptation en bande dessinée de Théa Rojzman et Tamia Baudoin. Une adaptation sensible des textes d'Annick Cojean en partenariat exclusif avec le Prix Albert Londres et le Mémorial de la Shoah.

    Critique :

    On le dit souvent mais le devoir de mémoire est important. Se souvenir de l'horreur visuelle des camps de la mort et de la déportation est un sujet fréquemment traité.

    Par contre, l'impact de la Shoah sur les générations futures le sont peu, alors même que ce sont les générations qui permettront d'éviter que cela ne se reproduise.

    Et c'est en cela que le reportage d'Annick Cojean, publié dans Le Monde" dans les années 90, est marquant. Il ne traite pas de la Shoah, mais de l'impact de celle-ci sur les enfants de déportés... mais aussi les enfants de nazis. Et ce à une époque où les gens avaient encore du mal à parler de la Shoah. Une époque où il était important d'oublier pour repartir de plus belle, quitte à ne pas écouter ceux qui ont besoin de parler.

    Et tous ces témoignages sont marquants encore aujourd'hui, 30 ans après, et cela, même si les gens sont plus ouverts à discuter du sujet. Que ce soit les souvenirs des rescapés, de leurs enfants ou même des fils de nazis, qui ont dû vivre(ou pas) avec le poids des péchés de leurs parents, on ne peut qu'être choqué par ce que l'on lit.

    Ces interviews rendent le récit beaucoup plus humain et beaucoup plus proche de nous, ce qui rend quasiment tangible des horreurs pourtant vieilles de 80 ans.

    À lire et faire lire !

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    Autres infos :

    Type de l'album : BD Europeene
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-memoires-de-la-shoah?ref=44

    Voir la totalité de enregistrement


  7. Titre de l'album : Gueule de cuir tome 2 - La veuve
    Scenariste de l'album : Pierre Pevel
    Dessinateur de l'album : Stephane Crety
    Coloriste : Stephane Crety
    Editeur de l'album : Drakoo
    Note :
    Résumé de l'album :

    Gueule-de-cuir, c'est Batman sous Louis XIII. Une histoire de cape et d'épée sombre et violente, teintée d'ésotérisme et traitée selon les codes du comics adulte. Printemps 1633. Dans la France de Louis XIII et de Richelieu, la magie noire et l'alchimie sont puissantes et craintes. Tandis que de mystérieuses factions continuent de s'affronter selon les lois du Zodiaque du Diable, le Roi-des-Tombes étend son règne sur Paris en écrasant la truanderie locale. Contre ce puissant nécromant, se dresse un nouveau Gueule-de-cuir, déterminé mais encore ignorant d'enjeux qui pourraient le briser.

    Critique :

    Fiou graphiquement c'est fou j'ai l'impression que c'est encore plus beau ! C'est sûrement une impression je dois bien l'avouer.

    Mais reste que cela est un vrai plus dans une des BDs parmi le haut du panier de Drakoo. Ce tome deux fait au moins aussi bien que le premier. Il a le charme des one shot avec une histoire pseudo-autonome mais nos donne le plaisir d'être quand même une partie d'une histoire plus importante. Une histoire de cape et d'épée avec un léger gout de fantastique qui sort complètement du lot.

    Mais pas que ! Ce tome ajoute un coté politique qui ajoute au bon gout de trahison à une histoire déjà très sympa. Maintenant on ne sait plus qui croire et qui  notre doit gueule de cuir doit suivre.

    Un deuxième tome plein d'énergie et de dynamisme qui nous en met plein les yeux tout en réussissant à préserver un suspens digne des quatre mousquetaire.

    Vivement le dernier

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    Autres infos :

    Type de l'album : BD Europeene
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gueule-de-cuir-tome-2-la-veuve?ref=44

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  8. Titre de l'album : N°6 tome 8
    Scenariste de l'album : Atsuko Asano
    Dessinateur de l'album : Hinoki Kino
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Vega-Dupuis
    Note :
    Résumé de l'album :

    Au dernier étage du pénitencier, Shion et Nezumi retrouvent Safu, qui leur livre le secret de sa présence en prison. La jeune fille refuse cependant de partir avec son ami d'enfance, préférant la mort à toute échappatoire. Alors que le bâtiment sombre dans le chaos, Shion reproche à Nezumi la pire des trahisons...

    Critique :

    Avant-dernier tome d'une série qui n'en finie plus de se bonifier.

    On est à 200% dans l'action dans ce tome ci avec la fin de "l'attaque' et la prison et la confrontation très émouvante avec Safu. Confrontation qui donne lieu à des choix et des problématiques émotionnelles pour un Shion qui ne sait plus quoi faire. Il doit faire avec ses sentiments mais aussi avec les combats en cours.

    Un tome dense en histoire et en rebondissement qui nous montre un manga bien plus adulte que ce qu'on pouvait en attendre à la lecture des premiers tomes.

    J'ai hâte de lire la fin de la série qui vient de sortir !

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    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/n-6-tome-8?ref=44

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