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Titre de l'album : L'or du spectre Scenariste de l'album : Matz Dessinateur de l'album : Philippe Xavier Coloriste : Jérôme Maffre Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Nouveau-Mexique, 1970. Chuck sort de taule, retrouve Kat, sa partenaire, qui l'a gentiment attendu. Ensemble, ils vont récupérer le magot que Chuck a planqué dans une bourgade abandonnée au milieu de nulle part, et à eux la grande vie ! Mais rien ne se passe comme prévu. Beaucoup trop de gens s'intéressent à cet argent, sans parler du spectre d'un vieux cow-boy à la gâchette facile qui hante la ville fantôme... Un polar sans concession par le duo qui vous a donné LE SERPENT ET LE COYOTE. Critique : Alors d'abord rétablissons les choses, ce n'est plus vraiment un duo mais plutôt un trio tant les couleurs de Jérôme Maffre font partie de l'univers de Philippe Xavier et son compère Matz, aussi bien sur Le Serpent et le coyote que sur leur série Tango. Bon si je cite la série Tango, et le one shot Le serpent et le Coyote c'est que L'or du spectre est exactement dans la même veine. Mi polar, mi western, des personnages charismatiques, de l'argent, des femmes et des flingues, le tout mélangé dans de chouettes décors. Voilà les ingrédients que ces trois compères nous offrent sur leurs dernières collaboration et sur cet opus. Il peut se lire indépendamment du Serpent et du coyote, mais entre nous, pour mieux l'apprécier, autant l'avoir lu avant. Surtout que si vous aimez l'un vous aimerez probablement l'autre. L'inverse étant tout aussi vrai. C'est le point fort et la faiblesse de cet opus, qui ne prend finalement pas trop de risques, et qui reproduit une recette qui a trouvé largement son public. Moi j'en suis, et cela me va très bien, mais on est obligé de reconnaitre que la recette semble parfois bien familière cette fois-ci. Pour les habitués, on notera pourtant que Matz nous a concocté un scénario à rebondissements, sans vraiment de héros, et accordant au passage un très bel hommage à La mine de l'Allemand perdu. Vous me connaissez, c'est le genre d'hommage dont je ne peux que me délecter tant cet album a été marquant. Ajoutons en plus un découpage par chapitre, façon Tarantino au cinéma qui rajoute un petit peu de piquant à la lecture. Philippe Xavier et Jérôme Maffre eux, répètent la maestria à laquelle on s'habitue presque désormais, dans la pure tradition franco belge, et dans l'héritage direct du Serpent et du Coyote, voir même de Tango. On sent que l'affaire est rodée, les ambiances réussies au gré du découpage en chapitres, et les personnages parfaitement réalisés. Allez messieurs, merci pour ce nouveau tour de piste, et j'ai un, vœu pieu, peut-être un poil plus d'originalité et/ou de prise de risque sur les prochains tomes (Tango ?) ? Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-or-du-spectre/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Alors d'abord rétablissons les choses, ce n'est plus vraiment un duo mais plutôt un trio tant les couleurs de Jérôme Maffre font partie de l'univers de Philippe Xavier et son compère Matz, aussi bien sur Le Serpent et le coyote que sur leur série Tango. Bon si je cite la série Tango, et le one shot Le serpent et le Coyote c'est que L'or du spectre est exactement dans la même veine. Mi polar, mi western, des personnages charismatiques, de l'argent, des femmes et des flingues, le tout mélangé dans de chouettes décors. Voilà les ingrédients que ces trois compères nous offrent sur leurs dernières collaboration et sur cet opus. Il peut se lire indépendamment du Serpent et du coyote, mais entre nous, pour mieux l'apprécier, autant l'avoir lu avant. Surtout que si vous aimez l'un vous aimerez probablement l'autre. L'inverse étant tout aussi vrai. C'est le point fort et la faiblesse de cet opus, qui ne prend finalement pas trop de risques, et qui reproduit une recette qui a trouvé largement son public. Moi j'en suis, et cela me va très bien, mais on est obligé de reconnaitre que la recette semble parfois bien familière cette fois-ci. Pour les habitués, on notera pourtant que Matz nous a concocté un scénario à rebondissements, sans vraiment de héros, et accordant au passage un très bel hommage à La mine de l'Allemand perdu. Vous me connaissez, c'est le genre d'hommage dont je ne peux que me délecter tant cet album a été marquant. Ajoutons en plus un découpage par chapitre, façon Tarantino au cinéma qui rajoute un petit peu de piquant à la lecture. Philippe Xavier et Jérôme Maffre eux, répètent la maestria à laquelle on s'habitue presque désormais, dans la pure tradition franco belge, et dans l'héritage direct du Serpent et du Coyote, voir même de Tango. On sent que l'affaire est rodée, les ambiances réussies au gré du découpage en chapitres, et les personnages parfaitement réalisés. Allez messieurs, merci pour ce nouveau tour de piste, et j'ai un, vœu pieu, peut-être un poil plus d'originalité et/ou de prise de risque sur les prochains tomes (Tango ?) ?
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Titre de l'album : Le fruit le plus doux tome 1 Scenariste de l'album : Gabriele Di Caro Dessinateur de l'album : Gabriele Di Caro Coloriste : Gabriele Di Caro Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : Dans l'Amérique d'après-guerre, la petite ville de Sweetville se prépare aux célébrations de son évènement annuel : le concours du fruit le plus doux. Ronald et Larry, deux fermiers, sont en course. S'engage alors une guerre sans merci entre les deux hommes les obligeant à se confronter à leur passé. Critique : Je n'ai pas eu le plaisir de découvrir les univers de Gabriele Di Caro dans Les arcanes de la maison Fleury (édition Tabou) mais je commence à le regretter après avoir lu ce génialissime Le fruit le plus doux ! Que de mystères et un scénario d'une richesse telle que la classification "érotique" semble réductrice pour cette oeuvre aux multiples facettes ! Années 50, après seconde guerre donc, l'Amérique rurale et ses petites villes comme Sweetville où tout le monde se connaît, les cancans se multiplient comme la floraison dans les arbres au printemps, les couples s'interrogent, se font et se défont, bref une galerie de personnages truculents se découvre sous nos yeux. Un concours du fruit le plus doux vient comme chaque année mettre la ville en émois, faisant venir à l'occasion un journaliste en mal de scoops qui va gratter la couche de vernis de la bourgade et venir déterrer des secrets bien enfouis. Mais les apparences sont trompeuses et vous suivrez cette grande galerie de personnages, exposant leur vie et leurs secrets dans un déluge de révélations et de mystères. Plus on avance dans la lecture et plus on a l'impression de comprendre, alors que Gabriele Di Caro s'amuse avec nous et distille de nouvelles pistes scénaristiques complexifiant un peu plus l'histoire. Sachez qu'un soupçon de magie s'invite aussi ! Certains passés ont aussi une grande importance, vous le verrez dans des flashbacks disséminés à la manière d'une série tv. Pour tout vous dire, j'ai vraiment hâte de lire la suite tant la fin vous laisse pantois et avide de connaître le fin mot de l'histoire (ou des histoires 😉 ) . Quelques scènes érotiques ponctuent le récit mais sans gratuité ni exposition grandiloquente, elles servent, voire embellissent l'histoire. Il faut dire que le trait de l'artiste italien est somptueux. De la finesse, de l'élégance, une bonne proportion des corps, des couleurs sobres et représentatives du franco-belge dans ce qu'il produit de mieux. Un dessin frisant la perfection pour une histoire complexe aux multiples ramifications saupoudrée d'humour. En attendant la suite, bravo ! Un pdf ci-dessous pour les plus de 18 ans 😉 pdf_387_4.pdf Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-fruit-le-plus-doux-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Je n'ai pas eu le plaisir de découvrir les univers de Gabriele Di Caro dans Les arcanes de la maison Fleury (édition Tabou) mais je commence à le regretter après avoir lu ce génialissime Le fruit le plus doux ! Que de mystères et un scénario d'une richesse telle que la classification "érotique" semble réductrice pour cette oeuvre aux multiples facettes ! Années 50, après seconde guerre donc, l'Amérique rurale et ses petites villes comme Sweetville où tout le monde se connaît, les cancans se multiplient comme la floraison dans les arbres au printemps, les couples s'interrogent, se font et se défont, bref une galerie de personnages truculents se découvre sous nos yeux. Un concours du fruit le plus doux vient comme chaque année mettre la ville en émois, faisant venir à l'occasion un journaliste en mal de scoops qui va gratter la couche de vernis de la bourgade et venir déterrer des secrets bien enfouis. Mais les apparences sont trompeuses et vous suivrez cette grande galerie de personnages, exposant leur vie et leurs secrets dans un déluge de révélations et de mystères. Plus on avance dans la lecture et plus on a l'impression de comprendre, alors que Gabriele Di Caro s'amuse avec nous et distille de nouvelles pistes scénaristiques complexifiant un peu plus l'histoire. Sachez qu'un soupçon de magie s'invite aussi ! Certains passés ont aussi une grande importance, vous le verrez dans des flashbacks disséminés à la manière d'une série tv. Pour tout vous dire, j'ai vraiment hâte de lire la suite tant la fin vous laisse pantois et avide de connaître le fin mot de l'histoire (ou des histoires 😉 ) . Quelques scènes érotiques ponctuent le récit mais sans gratuité ni exposition grandiloquente, elles servent, voire embellissent l'histoire. Il faut dire que le trait de l'artiste italien est somptueux. De la finesse, de l'élégance, une bonne proportion des corps, des couleurs sobres et représentatives du franco-belge dans ce qu'il produit de mieux. Un dessin frisant la perfection pour une histoire complexe aux multiples ramifications saupoudrée d'humour. En attendant la suite, bravo ! Un pdf ci-dessous pour les plus de 18 ans 😉 pdf_387_4.pdf
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Oh qu'elle est marquante cette histoire ! Voici le genre de roman graphique que j'aime lire. Passionnant, enrichissant et en plus on y apprend beaucoup d'une période de l'histoire des états unis qu'on ne connait que trop peu. Je me suis régalé à la lecture de cette histoire, tournant les pages malgré le peu de sympathie que nous inspire à priori l'héroïne au départ. C'est un destin hors du commun, au milieu de problématiques que l'on a du mal à imaginer aujourd'hui, et pourtant. Seul bémol j'ai trouvé le dessin de Nina Jacqmin un brin en dessous de ce que font les ténors du genre sur du roman graphique. Cela manquait un petit peu d'âme pour moi dans le traitement du dessin des personnages. Mais c'est probablement plus une question de sensibilité qu'autre chose, tant l'ensemble est plus que correct.
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- bd
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Titre de l'album : Le secret de Miss Greene Scenariste de l'album : Nicolas Antona Dessinateur de l'album : Nina Jacqmin Coloriste : Nina Jacqmin Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Jusqu'en 1967, aux États-Unis, toute personne ayant une ascendance africaine, même lointaine, était considérée comme noire, avec toutes les conséquences que cela pouvait avoir. C'est pourquoi, à l'orée du 20e siècle, Belle Greener devint Belle Greene da Costa et, cachant ses racines africaines, gravit les échelons de la haute société new-yorkaise. Mais peut-on conserver un tel secret une vie durant, même si cette dernière vous donne l'occasion de fleurir dans la lumière des blancs les plus puissants d'Amérique... ? Critique : Oh qu'elle est marquante cette histoire ! Voici le genre de roman graphique que j'aime lire. Passionnant, enrichissant et en plus on y apprend beaucoup d'une période de l'histoire des états unis qu'on ne connait que trop peu. Je me suis régalé à la lecture de cette histoire, tournant les pages malgré le peu de sympathie que nous inspire à priori l'héroïne au départ. C'est un destin hors du commun, au milieu de problématiques que l'on a du mal à imaginer aujourd'hui, et pourtant. Seul bémol j'ai trouvé le dessin de Nina Jacqmin un brin en dessous de ce que font les ténors du genre sur du roman graphique. Cela manquait un petit peu d'âme pour moi dans le traitement du dessin des personnages. Mais c'est probablement plus une question de sensibilité qu'autre chose, tant l'ensemble est plus que correct. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-secret-de-miss-greene/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Bon j'ai beau aimer le sport et l'histoire, je vous avoue que je ne connaissais rien à l'histoire des débuts des jeux olympiques. Et encore moins l'histoire de ce marathon plus que rocambolesque. Kid Toussaint et Jose Luis Munuera ont eu la bonne idée de s'associer pour nous raconter cette course du siècle. Pour les amateurs de BD il devient inutile de présenter ces deux auteurs, pour les autres sachez que ce sont deux auteurs prolifiques qui nous ont livré de bien belles bd jusqu'ici. Autant vous dire que leur association semble prometteuse. Les auteurs nous préviennent bien qu'il s'agit d'une oeuvre avec une base historique réelle sur laquelle une forme de romanesque a évidemment été ajouté. Sans trop en dire sur l'intrigue, cela semble cohérent et n'est pas vraiment gênant, le point de départ et d'arrivée étant les faits historiques, et laissant la place à un développement plus romancé mais cohérent. Je ne sais pas si c'est vraiment utile de vous dire que le dessin de Jose Luis Munuera est toujours aussi beau, mais l'on peut rajouter que les couleurs choisies et appliquées avec talent par Sedyas rendent le tout encore plus sublime. C'est fin, expressif et l'atmosphère est magnifiquement rendue. Concernant l'histoire, elle m'a laissé une impression un peu bizarre car c'est une course avec des personnages bien différents développés un peu chacun à leurs tours, mais qui n'apporte finalement pas d'énormes rebondissements. C'est donc très enrichissant car pour les non initiés il parait impensable que la course se soit passée ainsi, cependant au delà de ça, l'histoire n'est finalement pas si marquante... Dommage.
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Titre de l'album : La course du siècle Scenariste de l'album : Kid Toussaint Dessinateur de l'album : Jose Luis Munuera Coloriste : Sedyas Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : 1904. Les États-Unis accueillent les Jeux Olympiques pour la première fois et sont bien décidés à prouver leur supériorité. Le marathon aura lieu à Saint-Louis, dans le Missouri, et il va marquer les esprits... en tant que course la plus rocambolesque de l'histoire de ce sport ! Trente-deux coureurs sur la ligne de départ, mais seulement quatorze à l'arrivée. Entre dopage expérimental, triche, sentiers balisés aléatoirement, tout peut ? et va - arriver. Faites vos jeux, rien ne va plus... mais alors vraiment plus du tout ! Critique : Bon j'ai beau aimer le sport et l'histoire, je vous avoue que je ne connaissais rien à l'histoire des débuts des jeux olympiques. Et encore moins l'histoire de ce marathon plus que rocambolesque. Kid Toussaint et Jose Luis Munuera ont eu la bonne idée de s'associer pour nous raconter cette course du siècle. Pour les amateurs de BD il devient inutile de présenter ces deux auteurs, pour les autres sachez que ce sont deux auteurs prolifiques qui nous ont livré de bien belles bd jusqu'ici. Autant vous dire que leur association semble prometteuse. Les auteurs nous préviennent bien qu'il s'agit d'une oeuvre avec une base historique réelle sur laquelle une forme de romanesque a évidemment été ajouté. Sans trop en dire sur l'intrigue, cela semble cohérent et n'est pas vraiment gênant, le point de départ et d'arrivée étant les faits historiques, et laissant la place à un développement plus romancé mais cohérent. Je ne sais pas si c'est vraiment utile de vous dire que le dessin de Jose Luis Munuera est toujours aussi beau, mais l'on peut rajouter que les couleurs choisies et appliquées avec talent par Sedyas rendent le tout encore plus sublime. C'est fin, expressif et l'atmosphère est magnifiquement rendue. Concernant l'histoire, elle m'a laissé une impression un peu bizarre car c'est une course avec des personnages bien différents développés un peu chacun à leurs tours, mais qui n'apporte finalement pas d'énormes rebondissements. C'est donc très enrichissant car pour les non initiés il parait impensable que la course se soit passée ainsi, cependant au delà de ça, l'histoire n'est finalement pas si marquante... Dommage. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-course-du-siecle?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Liberty est réédité cette fois-ci aux éditions du Lombard, et il faut reconnaitre que le boulot est bien fait sur cette édition avec les superbes pages de croquis insérées au milieu des pages de ce roman graphique. Pour ceux qui comme moi étaient passés à côté de la première sortie de cet ouvrage Liberty retrace le destin d'une jeune Zaïroise qui va choisir d'immigrer aux états unis pour affronter son destin et celui de l'Amérique. On la suivra à travers son histoire et celle de sa fille, racontée à travers plusieurs personnages narrateurs différents. Si les dernières parutions sur Purple Heart notamment du duo constitué d'Éric Warnauts et de Guy Raives m'avaient un peu laissé de marbre graphiquement parlant, ici j'ai beaucoup aimé le résultat de leur collaboration. J'ai passé un chouette moment de lecture sur ce roman graphique qui nous permet une fois encore avec ces auteurs de parcourir 30 ans d'histoire de l'Amérique sous le sigle de l'afro américanisme. Intéressant.
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Titre de l'album : Liberty Scenariste de l'album : Warnauts & Raives Dessinateur de l'album : Warnauts & Raives Coloriste : Warnauts & Raives Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : 1974. Le monde entier s'est donné rendez-vous à Kinshasa pour assister au combat entre Ali et Foreman. Mais pour Tshilanda, seize ans, la rencontre brutale a lieu bien loin du ring. Proie rêvée pour un Américain peu scrupuleux, elle tombe enceinte à son corps défendant. Elle décide alors d'écrire la suite de son histoire aux USA. Sa fille s'appellera Liberty, comme un voeu pieux. Car il est encore loin, le chemin qui mènera à l'élection de Barack Obama... Critique : Liberty est réédité cette fois-ci aux éditions du Lombard, et il faut reconnaitre que le boulot est bien fait sur cette édition avec les superbes pages de croquis insérées au milieu des pages de ce roman graphique. Pour ceux qui comme moi étaient passés à côté de la première sortie de cet ouvrage Liberty retrace le destin d'une jeune Zaïroise qui va choisir d'immigrer aux états unis pour affronter son destin et celui de l'Amérique. On la suivra à travers son histoire et celle de sa fille, racontée à travers plusieurs personnages narrateurs différents. Si les dernières parutions sur Purple Heart notamment du duo constitué d'Éric Warnauts et de Guy Raives m'avaient un peu laissé de marbre graphiquement parlant, ici j'ai beaucoup aimé le résultat de leur collaboration. J'ai passé un chouette moment de lecture sur ce roman graphique qui nous permet une fois encore avec ces auteurs de parcourir 30 ans d'histoire de l'Amérique sous le sigle de l'afro américanisme. Intéressant. Autres infos : Réédition Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/liberty-ned?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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