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  1. Titre de l'album : La bibliotheque de Daniel Clowes - Comme un gant de velours pris dans la fonte Scenariste de l'album : Daniel Clowes Dessinateur de l'album : Daniel Clowes Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Suite au visionnage d'un snuff movie où il croit reconnaître son amour disparu, Clay part à la recherche des producteurs du film qui pourraient le renseigner sur le sort de la jeune femme. Seulement, ce dernier n'avait pas anticipé les rencontres hallucinatoires, les embûches sordides ni même la fascination qu'exerce un certain Mister Jones. Critique : Comme un gant de velours pris dans la fonte est le second album à être réédité dans la nouvelle série La bibliothèque de Daniel Clowes. Après la chronique sociale avec Ghost World, on plonge dans un autre registre, avec une histoire fantastique et surtout très étrange. A la lecture de cet album, j'ai retrouvé l'ambiance des films de David Lynch pour vous donner un exemple de ce qui vous attend. Dès le démarrage, on comprend que le héros va nous emmener dans une aventure surprenante après avoir cru reconnaitre la femme de sa vie dans un film bizarre lors d'une projection dans un cinéma porno. Le héros va aller de rencontre déconcertante en rencontre surnaturelle. Les personnages sont tous particuliers et apportent au héros des indices ou des ennuis surprenants ou déstabilisants pour lui. Daniel Clowes nous emporte dans un récit surréaliste, angoissant et dérangeant tout en restant attirant en même temps. La partie graphique est maitrisé tout en noir et blanc. J'ai beaucoup apprécié la lecture Comme un gant de velours pris dans la fonte qui ne laisse pas indifférent. Daniel Clowes signe une œuvre décalée et intriguant avec une parfaite maitrise qui demandera plusieurs lectures afin de vraiment profiter du potentiel de ce titre. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-bibliotheque-de-daniel-clowes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Comme un gant de velours pris dans la fonte est le second album à être réédité dans la nouvelle série La bibliothèque de Daniel Clowes. Après la chronique sociale avec Ghost World, on plonge dans un autre registre, avec une histoire fantastique et surtout très étrange. A la lecture de cet album, j'ai retrouvé l'ambiance des films de David Lynch pour vous donner un exemple de ce qui vous attend. Dès le démarrage, on comprend que le héros va nous emmener dans une aventure surprenante après avoir cru reconnaitre la femme de sa vie dans un film bizarre lors d'une projection dans un cinéma porno. Le héros va aller de rencontre déconcertante en rencontre surnaturelle. Les personnages sont tous particuliers et apportent au héros des indices ou des ennuis surprenants ou déstabilisants pour lui. Daniel Clowes nous emporte dans un récit surréaliste, angoissant et dérangeant tout en restant attirant en même temps. La partie graphique est maitrisé tout en noir et blanc. J'ai beaucoup apprécié la lecture Comme un gant de velours pris dans la fonte qui ne laisse pas indifférent. Daniel Clowes signe une œuvre décalée et intriguant avec une parfaite maitrise qui demandera plusieurs lectures afin de vraiment profiter du potentiel de ce titre.
  3. alx23

    Deep me

    Titre de l'album : Deep me Scenariste de l'album : Marc-Antoine Mathieu Dessinateur de l'album : Marc-Antoine Mathieu Coloriste : Marc-Antoine Mathieu Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Dans la poursuite de son étude du Grand Rien, Marc-Antoine Mathieu lui confronte cette fois pas moins que l'Esprit. Une conscience isolée, seulement stimulée par l'angoisse de son ignorance. Adam ! La première information qui lui soit donnée lorsqu'il reprend conscience est un prénom. Son prénom ? Il tente de s'exprimer mais personne ne l'entend. Et qui sont ces gens ? Des médecins, des policiers, son épouse ? Dans ce noir intense, son esprit s'endort et se réveille à intervalle... régulier ? Une image floue se forme à l'évocation d'un mot : l'Eclipse. Il faut qu'elle se précise encore... Critique : Marc-Antoine Mathieu nous surprend toujours d’album en album, l’auteur se joue des codes de la bande dessinée mais aussi de sa forme. L'édition de Deep me est très soignée comme vous pouvez déjà le constater avec la couverture tout en noir avec le titre de la même couleur qui apparait à peine, même la tranche des planches est en noir. Avant la lecture, on s'attend déjà à une histoire spéciale et étrange comme souvent avec Marc-Antoine Mathieu. L'album s'ouvre sur des cases en noir avec plusieurs dialogues de méddecins dont on ne comprend pas le sens au début. Par-dessus, nous avons les réflexions et surtout les questionnements du narrateur en tant que patient qui est l'objet de toutes les conversations. Les personnes autour de lui ne semblent pas l'entendre. En partant de ce constat, l'auteur va nous livrer une sorte de thriller avec cette conscience seule. Bien évidement les rebondissements sont importants jusqu'à la fin de l'album. On pourra un peu décrocher lors de la lecture avec tous ces dialogues dont les formes varient de tailles ou de transparence. Les dessins sont quand même présents à un moment donné de l'histoire en noir et blanc. Ce nouvel album de Marc-Antoine Mathieu est un objet d'art dans le monde de la bande dessinée, dans une édition luxueuse et très conceptuel et l'histoire passe en second temps. Les lecteurs appréciant le travail de Marc-Antoine Mathieu peuvent foncer sur ce nouvel ovni. Deep me est la nouvelle expérience de Marc-Antoine Mathieu. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/deep-me?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. alx23

    Deep me

    Marc-Antoine Mathieu nous surprend toujours d’album en album, l’auteur se joue des codes de la bande dessinée mais aussi de sa forme. L'édition de Deep me est très soignée comme vous pouvez déjà le constater avec la couverture tout en noir avec le titre de la même couleur qui apparait à peine, même la tranche des planches est en noir. Avant la lecture, on s'attend déjà à une histoire spéciale et étrange comme souvent avec Marc-Antoine Mathieu. L'album s'ouvre sur des cases en noir avec plusieurs dialogues de méddecins dont on ne comprend pas le sens au début. Par-dessus, nous avons les réflexions et surtout les questionnements du narrateur en tant que patient qui est l'objet de toutes les conversations. Les personnes autour de lui ne semblent pas l'entendre. En partant de ce constat, l'auteur va nous livrer une sorte de thriller avec cette conscience seule. Bien évidement les rebondissements sont importants jusqu'à la fin de l'album. On pourra un peu décrocher lors de la lecture avec tous ces dialogues dont les formes varient de tailles ou de transparence. Les dessins sont quand même présents à un moment donné de l'histoire en noir et blanc. Ce nouvel album de Marc-Antoine Mathieu est un objet d'art dans le monde de la bande dessinée, dans une édition luxueuse et très conceptuel et l'histoire passe en second temps. Les lecteurs appréciant le travail de Marc-Antoine Mathieu peuvent foncer sur ce nouvel ovni. Deep me est la nouvelle expérience de Marc-Antoine Mathieu.
  5. poseidon2

    Semences

    Prenez un bon épisode d'X-Files, mettez y Marazano aux manettes et vous aurez Semences : Une fable d'anticipation sur fond de fin du monde et d'extra terrestre dont le but véritable échappera au commun des mortels. C'est marrant car jusqu'a la dernière page, et l'apparition de "GB" je pensais avoir saisi l'essentiel. Mais une fois cette page apparue j'ai fait plein de retour en arrière pour essayer, comme dans un certain nombre de Marazano, de vraiment comprendre le fin mot de l'histoire. Et je ne suis pas sur d'avoir réussi. Ce qui est réussi dans cet album, c'est l'apsect graphique et l'ambiance qui decoule de cette fin du monde programmée. L'ambiance est lourde et les personnnages ne se font plus d'illusion. Le monde et les habitants ont passé le stade de la déprime. Et cela on le ressent bien tout comme le besoin de sensation et le besoin de quelque chose de nouveau et de dynamisant comme croire en l'existence des extraterrestres. C'est donc vraiment dommage que le scénario soit si "ouvert". On laisse tellement de possibilités différentes au lecteur qu'il finit par ne plus savoir laquelle suivre. Et ca gache un peu le plaisir car nous laisse frustré. Dommage.
  6. poseidon2

    Semences

    Titre de l'album : Semences Scenariste de l'album : Ann Nocenti Dessinateur de l'album : David Aja Coloriste : David Aja Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : La Zone est un refuge, à l'abri des drones et de toute technologie, où les gens ont adopté un autre mode de vie, plus sauvage et plus libre. Astra est une journaliste qui se bat pour sa passion et son intégrité professionnelle dans un univers où les fake news deviennent la norme. Lorsqu'elle se rend dans la Zone, elle découvre la liaison interdite entre la téméraire et empathique Lola qui s'est éprise de Race, un extraterrestre doué de sensibilité. Alors que les extraterrestres s'apprêtent à partir, le compte à rebours est lancé pour Astra et pour la planète. Car les extraterrestres sont dangereux... mais le sont-ils plus que les humains ? Alors que la Zone s'érode, alors que croît la panique de Race et Lola, Astra doit prendre une décision susceptible de changer la perspective du monde. Un récit ciselé à la fin surprenante dans un monde de science-fiction en décomposition, mais étrangement proche du nôtre. Au croisement du thriller technologique d'éco-fiction et de l'histoire d'amour : un groupe de rebelles qui fuit une société obsédée par la technologie, quelques extraterrestres venus récolter les dernières graines de l'humanité, le tout bouleversé par une liaison interdite... Critique : Prenez un bon épisode d'X-Files, mettez y Marazano aux manettes et vous aurez Semences : Une fable d'anticipation sur fond de fin du monde et d'extra terrestre dont le but véritable échappera au commun des mortels. C'est marrant car jusqu'a la dernière page, et l'apparition de "GB" je pensais avoir saisi l'essentiel. Mais une fois cette page apparue j'ai fait plein de retour en arrière pour essayer, comme dans un certain nombre de Marazano, de vraiment comprendre le fin mot de l'histoire. Et je ne suis pas sur d'avoir réussi. Ce qui est réussi dans cet album, c'est l'apsect graphique et l'ambiance qui decoule de cette fin du monde programmée. L'ambiance est lourde et les personnnages ne se font plus d'illusion. Le monde et les habitants ont passé le stade de la déprime. Et cela on le ressent bien tout comme le besoin de sensation et le besoin de quelque chose de nouveau et de dynamisant comme croire en l'existence des extraterrestres. C'est donc vraiment dommage que le scénario soit si "ouvert". On laisse tellement de possibilités différentes au lecteur qu'il finit par ne plus savoir laquelle suivre. Et ca gache un peu le plaisir car nous laisse frustré. Dommage. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/semences?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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