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Titre de l'album : Sphères - Tome 01 Ouverture Scenariste de l'album : Alain Brion Dessinateur de l'album : Alain Brion Coloriste : Alain Brion Editeur de l'album : Oxymore Note : Résumé de l'album : 2203 : trois sphères mystérieuses disparaissent dans la tache rouge de Jupiter. Trois siècles plus tard, Nell’o, navigatrice spatiale en pleine dépression, sombre dans la drogue. Un culte hérétique l’oblige à partir vers les lunes de Jupiter à la recherche d’une substance étrange au cœur de leurs croyances. Le colonel Prax’x, fraîchement sorti de cryogénie et dernier témoin de l’arrivée des sphères, est déterminé à percer le mystère. Il décide de retourner vers Europe, l’une des lunes de Jupiter, pour y préparer une expédition risquée afin de trouver la preuve de vie extraterrestre. Alors que leurs destins se croisent, Nell’o et Prax’x s’embarquent dans une aventure qui pourrait bouleverser l’histoire de l’humanité. Que découvriront-ils dans les profondeurs glacées d’Europe ? Critique : Transfuge de l'éditeur Soleil, Alain Brion se lance en solo dans un space-opéra de grande ampleur avec cette "ouverture" de la saga Sphères ! Je précise bien "saga" car j'espère sincèrement qu'elle va s'inscrire dans une longévité tant l'histoire est porteuse et complexe. Nous sommes dans les années 2500, l'homme a découvert de nouvelles façons d'explorer l'espace avec des moteurs plus rapides et la colonisation du système a pu s'enclencher. L'auteur précise le contexte à l'aide d'une frise chronologique en début d'album, détaillant les avancées technologiques mais aussi les conflits engendrés, ainsi que l'avènement de nouvelles religions. Trois sphères ont été aperçues aussi en 2203, subrepticement car disparues aussi rapidement que leur arrivée. Que sont-elles et pourquoi aucune autre apparition depuis trois cents ans ?? Vous l'aurez compris, c'est avec ce postulat riche que débutent les aventures de Nell'o et Prax'x, deux protagonistes qui devraient s'inscrire dans la durée tant leur intrication semble importante dans le récit. L'une qui subit l'histoire mais va y prendre part forcément, et l'autre réveillé mystérieusement et contraint de s'adapter pour poursuivre son but ultime : percer le secret de ces sphères. Alain Brion incorpore une nouvelle religion ayant remplacé toutes celles connues de l'humanité et ayant la fâcheuse tendance à s'imposer par tous les moyens; mais aussi une drogue dont les secrets de fabrication semblent nimbés de mystères, voire extra-terrestres ! Un contexte politico-religieux riche, des personnages charismatiques, un univers sans frontières laissant tellement de portes ouvertes, on pense à Bajram et son UWW1, mais aussi Vatine, bref des influences de premier choix pour Alain Brion, s'installant dans la cour des grands avec ce récital de SF ! Le dessin réaliste est au diapason de l'histoire, avec des décors splendides, l'univers spatial est enivrant de beautés telles ces planètes en arrière plan dans l'immensité de l'espace. Des cases fourmillant de détails et une palette de couleurs allant du froid au chaud selon le contexte, c'est du grand Art qu'il nous livre assurément ! Une aventure spatiale faisant honneur au franco-belge et au 9ème art en général, on en redemande ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/spheres-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Transfuge de l'éditeur Soleil, Alain Brion se lance en solo dans un space-opéra de grande ampleur avec cette "ouverture" de la saga Sphères ! Je précise bien "saga" car j'espère sincèrement qu'elle va s'inscrire dans une longévité tant l'histoire est porteuse et complexe. Nous sommes dans les années 2500, l'homme a découvert de nouvelles façons d'explorer l'espace avec des moteurs plus rapides et la colonisation du système a pu s'enclencher. L'auteur précise le contexte à l'aide d'une frise chronologique en début d'album, détaillant les avancées technologiques mais aussi les conflits engendrés, ainsi que l'avènement de nouvelles religions. Trois sphères ont été aperçues aussi en 2203, subrepticement car disparues aussi rapidement que leur arrivée. Que sont-elles et pourquoi aucune autre apparition depuis trois cents ans ?? Vous l'aurez compris, c'est avec ce postulat riche que débutent les aventures de Nell'o et Prax'x, deux protagonistes qui devraient s'inscrire dans la durée tant leur intrication semble importante dans le récit. L'une qui subit l'histoire mais va y prendre part forcément, et l'autre réveillé mystérieusement et contraint de s'adapter pour poursuivre son but ultime : percer le secret de ces sphères. Alain Brion incorpore une nouvelle religion ayant remplacé toutes celles connues de l'humanité et ayant la fâcheuse tendance à s'imposer par tous les moyens; mais aussi une drogue dont les secrets de fabrication semblent nimbés de mystères, voire extra-terrestres ! Un contexte politico-religieux riche, des personnages charismatiques, un univers sans frontières laissant tellement de portes ouvertes, on pense à Bajram et son UWW1, mais aussi Vatine, bref des influences de premier choix pour Alain Brion, s'installant dans la cour des grands avec ce récital de SF ! Le dessin réaliste est au diapason de l'histoire, avec des décors splendides, l'univers spatial est enivrant de beautés telles ces planètes en arrière plan dans l'immensité de l'espace. Des cases fourmillant de détails et une palette de couleurs allant du froid au chaud selon le contexte, c'est du grand Art qu'il nous livre assurément ! Une aventure spatiale faisant honneur au franco-belge et au 9ème art en général, on en redemande !
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Cette chronique a été rédigée à partir du pdf de lecture, aussi il peut y avoir des différences d'appréciation par rapport à la version finale papier. Bon, je vous avoue que c'est rare que je prenne mon pied en SF. C'est rare aussi que les grandes productions Soleil me fassent vibrer, et c'est encore plus rare que je raccroche à une série en cours au bout de 6 tomes. Surtout sur un départ de second cycle après une presque "fin" acceptable dans le tome 6. Mais c'est bien là la magie de Bec, que d'arriver encore à nous intéresser, malgré cet air de déjà vu dans ses intrigues, malgré ses personnages pas trop développés, et malgré sa tendance à rallonger un poil ce qui pourrait être plus court. Oui ces défauts sont bien présents dans Olympus Mons sur certains tomes, mais force est de constater que ce tome 7 est comme souvent avec Bec, un vrai bon tome de démarrage. Sauf qu'on a derrière nous les 6 tomes précédents, terminés en nous laissant des questions, et questions auquel M. Bec semble bien décidé à donner des réponses. Alors si vous êtes amateurs de SF et que vous avez lâché cette série il y a quelques temps déjà, lassés, à vous de voir si vous souhaitez lui laisser une seconde chance, car il y a peu de doutes sur le fait que cela va encore durer un peu. Mais en BD d'exploration spatiale, d'aventure humaine teintée de SF technologique, je trouve que c'est très bon. A noter que sur ma version pdf, les très belles planches succédaient parfois à des planches plus petites et qui m'ont semblées moins soignées. Le genre SF est pour moi un peu coutumier du fait alors ce n'est pas très dérangeant, d'autant que les planches plus larges et les grands plans spatiaux sont bien réussis, mais cela participe malgré tout à nous empêcher trop d'empathie pour nos personnages. Avis aux amateurs donc. La suite nous dire si cette série va rebondir durablement ou replonger dans ses travers.
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- science fiction
- e.t.
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Titre de l'album : Olympus Mons - Tome 7 - Mission Farout Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Stefano Raffaele Coloriste : Natalya Marques Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : « Farout », mot anglais à connotation argotique signifiant « lointain ». Farout, planète naine 100 fois plus éloignée du Soleil que la Terre. Il s'agit du second corps le plus lointain jamais observé dans notre système solaire. Durant leur retour sur Terre, l'androïde alien Einstein a révélé à la cosmonaute russe Elena Chevtchenko l'existence d'une lointaine planète naine, aux confins du système solaire, une planète de glace. La civilisation qui l'a créée y a installé ce qui pourrait bien être le remède à tous les maux de l'Humanité. Elena va se porter volontaire pour cette nouvelle expédition. Critique : Cette chronique a été rédigée à partir du pdf de lecture, aussi il peut y avoir des différences d'appréciation par rapport à la version finale papier. Bon, je vous avoue que c'est rare que je prenne mon pied en SF. C'est rare aussi que les grandes productions Soleil me fassent vibrer, et c'est encore plus rare que je raccroche à une série en cours au bout de 6 tomes. Surtout sur un départ de second cycle après une presque "fin" acceptable dans le tome 6. Mais c'est bien là la magie de Bec, que d'arriver encore à nous intéresser, malgré cet air de déjà vu dans ses intrigues, malgré ses personnages pas trop développés, et malgré sa tendance à rallonger un poil ce qui pourrait être plus court. Oui ces défauts sont bien présents dans Olympus Mons sur certains tomes, mais force est de constater que ce tome 7 est comme souvent avec Bec, un vrai bon tome de démarrage. Sauf qu'on a derrière nous les 6 tomes précédents, terminés en nous laissant des questions, et questions auquel M. Bec semble bien décidé à donner des réponses. Alors si vous êtes amateurs de SF et que vous avez lâché cette série il y a quelques temps déjà, lassés, à vous de voir si vous souhaitez lui laisser une seconde chance, car il y a peu de doutes sur le fait que cela va encore durer un peu. Mais en BD d'exploration spatiale, d'aventure humaine teintée de SF technologique, je trouve que c'est très bon. A noter que sur ma version pdf, les très belles planches succédaient parfois à des planches plus petites et qui m'ont semblées moins soignées. Le genre SF est pour moi un peu coutumier du fait alors ce n'est pas très dérangeant, d'autant que les planches plus larges et les grands plans spatiaux sont bien réussis, mais cela participe malgré tout à nous empêcher trop d'empathie pour nos personnages. Avis aux amateurs donc. La suite nous dire si cette série va rebondir durablement ou replonger dans ses travers. Autres infos : Et pourquoi pas y replonger ? Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/olympus-mons-tome-7-mission-farout?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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- science fiction
- e.t.
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