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  1. Voilà un titre qui nous sort de nos habitudes avec son début potentiellement classique d’un jeune lycéen aux allures de voyou qui ne suit pas en cours et qui ne garde pas de petit boulot plus d’un mois, on découvre un véritable sujet de société : le handicap invisible ! Kobayashi a tout du mauvais élève : son allure avec ses cheveux décolorés, ses mauvaises notes et même son attitude en cours où il passe son temps à dormir sans jamais prendre de note. Mais quand Uno, un nouvel élève avec sa façon de parler très fort et son comportement en marge, Kobayashi va apprendre, un peu malgré lui au départ, que ce garçon un peu étrange a des difficultés. Il s’effraye facilement et note tout ce qu’il doit faire dans un carnet même les choses les banales comme se préparer le matin ou comment prendre le bus. Il découvre qu’Uno a beaucoup de volonté et que même s’il a des difficultés, il a trouvé une solution pour les surmonter et avancer. Il se rend compte également que ce que ressent Uno correspond à ce qu’il éprouve lui-même régulièrement notamment dans son travail. Il décide alors d’utiliser lui-même un cahier pour l’aider à se rappeler des méthodes de travail. Quand on lit se premier tome, on se dit que ce serait plus facile si Uno avait annoncé à la classe son handicap dès le début mais je comprends aussi pourquoi il ne l’a pas fait. Un ami de ma fille souffre de troubles cognitifs, et quand il rencontre quelqu’un pour la première fois, ce n’est pas la première chose qu’il va dire car ce qu’il souhaite c’est être comme tout le monde. Certes annoncer son handicap, c’est expliquer que l’on est différent mais c’est aussi se soumettre aux regards, pas toujours bienveillants, de son entourage et c’est aussi se mettre une étiquette sur le front. Le récit est particulièrement bien fait car on voit tous les efforts que fait Uno pour être comme tout le monde, en essayant d’avancer par ses propres moyens sans forcément chercher de l’aide. On voit aussi que le handicap invisible n’est pas facile à détecter que ce soit par la personne concernée, comme Kobayashi, ou par son entourage. Dans son cas, soit il passe pour un imbécile soit pour quelqu’un qui ne veut pas travailler et qui sabote le travail exprès. Ce qui est très intéressant aussi, c’est la façon dont Uno explique les sensations qu’il a quand il se trouve face à une difficulté, il dit qu’il est « comme perdu dans l’espace » (d’où le titre du livre). Loin de vouloir nous apitoyer sur la vie de nos personnages, on ressent une volonté de vouloir faire comprendre et découvrir ce type de handicap. C’est un titre intéressant qu’il faut aller lire.
  2. Titre de l'album : Promenons-nous dans l'espace tome 1 Scenariste de l'album : Inuhiko Doronoda Dessinateur de l'album : Inuhiko Doronoda Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Ensemble, nous irons plus loin. En difficulté scolaire depuis des années, Yamato Kobayashi se donne des airs de mauvais garçon et enchaîne les petits boulots en dehors des heures de cours, sans jamais tenir sur la durée. Jusqu'au jour où Keisuke Uno est transféré dans sa classe... Pris de panique lorsqu'on lui parle avec trop d'insistance, incapable de faire plusieurs choses à la fois, ce lycéen pas comme les autres peine à gérer les aspects les plus "normaux" de la vie quotidienne, mais il s'accroche grâce à une multitude d'astuces qui lui permettent d'avancer. Kobayashi, qui se reconnaît en Uno, tente alors de changer, lui aussi... Critique : Voilà un titre qui nous sort de nos habitudes avec son début potentiellement classique d’un jeune lycéen aux allures de voyou qui ne suit pas en cours et qui ne garde pas de petit boulot plus d’un mois, on découvre un véritable sujet de société : le handicap invisible ! Kobayashi a tout du mauvais élève : son allure avec ses cheveux décolorés, ses mauvaises notes et même son attitude en cours où il passe son temps à dormir sans jamais prendre de note. Mais quand Uno, un nouvel élève avec sa façon de parler très fort et son comportement en marge, Kobayashi va apprendre, un peu malgré lui au départ, que ce garçon un peu étrange a des difficultés. Il s’effraye facilement et note tout ce qu’il doit faire dans un carnet même les choses les banales comme se préparer le matin ou comment prendre le bus. Il découvre qu’Uno a beaucoup de volonté et que même s’il a des difficultés, il a trouvé une solution pour les surmonter et avancer. Il se rend compte également que ce que ressent Uno correspond à ce qu’il éprouve lui-même régulièrement notamment dans son travail. Il décide alors d’utiliser lui-même un cahier pour l’aider à se rappeler des méthodes de travail. Quand on lit se premier tome, on se dit que ce serait plus facile si Uno avait annoncé à la classe son handicap dès le début mais je comprends aussi pourquoi il ne l’a pas fait. Un ami de ma fille souffre de troubles cognitifs, et quand il rencontre quelqu’un pour la première fois, ce n’est pas la première chose qu’il va dire car ce qu’il souhaite c’est être comme tout le monde. Certes annoncer son handicap, c’est expliquer que l’on est différent mais c’est aussi se soumettre aux regards, pas toujours bienveillants, de son entourage et c’est aussi se mettre une étiquette sur le front. Le récit est particulièrement bien fait car on voit tous les efforts que fait Uno pour être comme tout le monde, en essayant d’avancer par ses propres moyens sans forcément chercher de l’aide. On voit aussi que le handicap invisible n’est pas facile à détecter que ce soit par la personne concernée, comme Kobayashi, ou par son entourage. Dans son cas, soit il passe pour un imbécile soit pour quelqu’un qui ne veut pas travailler et qui sabote le travail exprès. Ce qui est très intéressant aussi, c’est la façon dont Uno explique les sensations qu’il a quand il se trouve face à une difficulté, il dit qu’il est « comme perdu dans l’espace » (d’où le titre du livre). Loin de vouloir nous apitoyer sur la vie de nos personnages, on ressent une volonté de vouloir faire comprendre et découvrir ce type de handicap. C’est un titre intéressant qu’il faut aller lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/promenons-nous-dans-l-espace-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Titre de l'album : Mon meilleur terrain Scenariste de l'album : Stéphane Piatzczek Dessinateur de l'album : Emilie Beaud Coloriste : Emilie Beaud Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Une forêt dense et mystérieuse qui cache un trésor d'ingéniosité. En plein confinement, Simon décide de braver la loi et de pénétrer, avec ses nombreux animaux, dans la forêt interdite au public qui jouxte sa propriété. Après s'être perdu dans la végétation, il découvre un vaste trou qui débouche sur une étrange construction ressemblant aux vestiges d'une ancienne piste de VTT. Avec l'aide de Guillaume, un jeune policier, il décide de défricher la forêt pour restaurer ce terrain oublié. Mais une question l'obsède : quel est l'esprit génial qui a pu concevoir cet étonnant bike park ? Critique : Rarement un scénario m'aura autant déboussolé que celui-ci. Non pas car il serait torturé ou tortueux non mais plutôt pour son côté improbable et étonnant. Il est peu probable que vous ayez l'impression d'avoir déjà lu cette histoire. Ceci étant dit, Stéphane Piatzczek nous livre une galerie de personnages originaux mais crédibles et humains et déroule son chemin tranquillement. On s'interroge, puis on s'étonne puis on profite simplement du dépaysement et du calme que cette lecture nous apporte. C'est un bol d'air bien servi par les dessins chaleureux mais détaillés d'Emilie Beaud dont on avait pu apercevoir un peu du talent avec ses collaborations sur les séries Catamount et Wiloucha. On sent bien les inspirations du cinéma d'animation dans son trait mais il faut bien reconnaitre que ses couleurs hyper lumineuses font merveille sur les décors de forêts et font du bien aux yeux et au moral. Bravo et on a hâte de vous revoir aux crayons ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mon-meilleur-terrain-9791041100989/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. The_PoP

    Mon meilleur terrain

    Rarement un scénario m'aura autant déboussolé que celui-ci. Non pas car il serait torturé ou tortueux non mais plutôt pour son côté improbable et étonnant. Il est peu probable que vous ayez l'impression d'avoir déjà lu cette histoire. Ceci étant dit, Stéphane Piatzczek nous livre une galerie de personnages originaux mais crédibles et humains et déroule son chemin tranquillement. On s'interroge, puis on s'étonne puis on profite simplement du dépaysement et du calme que cette lecture nous apporte. C'est un bol d'air bien servi par les dessins chaleureux mais détaillés d'Emilie Beaud dont on avait pu apercevoir un peu du talent avec ses collaborations sur les séries Catamount et Wiloucha. On sent bien les inspirations du cinéma d'animation dans son trait mais il faut bien reconnaitre que ses couleurs hyper lumineuses font merveille sur les décors de forêts et font du bien aux yeux et au moral. Bravo et on a hâte de vous revoir aux crayons !
  5. Kevin Nivek

    Pas d'lézard

    Lorsque deux spécialistes de la BD enfants s'associent , cela ne peut donner qu'une histoire sympa et innovante ! En effet, POG le scénariste utilise de nombreuses thématiques telles que l'écologie, le harcèlement scolaire, l'immigration et la politique, en ajoutant bien entendu une pointe de mystères. Cela donne une histoire bien menée dans un environnement original et parfaitement adapté au public ciblé 😉 . Il crée une dystopie dans laquelle les dinosaures n'ont pas subi d'extinction de masse et ont même pour certains poursuivit leur évolution jusqu'à parler et vivre comme les humains. Ces derniers vivent retranchés dans une ville protégée par de hauts murs afin de se protéger des dinosaures carnivores restés à l'état "animal". Dans un tel contexte, l'auteur manie habilement les craintes d'une partie de la population hostile à cette cohabitation, des peurs personnifiées par un postulant au fauteuil de maire qui n'est pas sans rappeler une certaine Marine LP. Le paradoxe étant que les humains se servent de ces géants quadrupèdes pour les tâches quotidiennes, comme les transports en commun ou la production d'énergie. L'écologie s'insère subtilement dans le récit et dans la tête des jeunes lecteurs ! Le suspens est au rendez-vous, car de nombreuses questions demeurent à la fin de ce premier tome surprenant. Pour illustrer ce monde nouveau, la dessinatrice Francesca Carita réalise un travail soigné et précis. Des personnages reconnaissables, des cases détaillées et un découpage dynamique donnant de la fluidité à l'histoire. Un bon duo pour un premier bon tome , on veut savoir la suite !
  6. Kevin Nivek

    Pas d'lézard

    Titre de l'album : Pas d'lézard Scenariste de l'album : POG Dessinateur de l'album : Francesca Carita Coloriste : Vera Daviet Editeur de l'album : Oxymore Note : Résumé de l'album : Dans un monde où les dinosaures vivent parmi les Hommes... certains d'entre eux sont intégrés tandis que d'autres sont restés au stade du crétacé. Et quand des dinosaures sauvages et agressifs menacent la tranquillité des habitants de la ville, les passions se déchaînent sur fond de violence. Dans ce climat de terreur, Mattéo, un garçon en fauteuil roulant, se lie d'amitié avec Ziyu¨l, un jeune vélociraptor qui vient d'emménager dans son immeuble. Mattéo et Ziyu¨l sauront-ils préserver la paix et leur amitié ? Critique : Lorsque deux spécialistes de la BD enfants s'associent , cela ne peut donner qu'une histoire sympa et innovante ! En effet, POG le scénariste utilise de nombreuses thématiques telles que l'écologie, le harcèlement scolaire, l'immigration et la politique, en ajoutant bien entendu une pointe de mystères. Cela donne une histoire bien menée dans un environnement original et parfaitement adapté au public ciblé 😉 . Il crée une dystopie dans laquelle les dinosaures n'ont pas subi d'extinction de masse et ont même pour certains poursuivit leur évolution jusqu'à parler et vivre comme les humains. Ces derniers vivent retranchés dans une ville protégée par de hauts murs afin de se protéger des dinosaures carnivores restés à l'état "animal". Dans un tel contexte, l'auteur manie habilement les craintes d'une partie de la population hostile à cette cohabitation, des peurs personnifiées par un postulant au fauteuil de maire qui n'est pas sans rappeler une certaine Marine LP. Le paradoxe étant que les humains se servent de ces géants quadrupèdes pour les tâches quotidiennes, comme les transports en commun ou la production d'énergie. L'écologie s'insère subtilement dans le récit et dans la tête des jeunes lecteurs ! Le suspens est au rendez-vous, car de nombreuses questions demeurent à la fin de ce premier tome surprenant. Pour illustrer ce monde nouveau, la dessinatrice Francesca Carita réalise un travail soigné et précis. Des personnages reconnaissables, des cases détaillées et un découpage dynamique donnant de la fluidité à l'histoire. Un bon duo pour un premier bon tome , on veut savoir la suite ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pas-d-lezard-nueva-lutetia/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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