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  1. Titre de l'album : La fleur au fusil Scenariste de l'album : Cédric Mayen Dessinateur de l'album : Cristiano Crescenzi Coloriste : Cristiano Crescenzi Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : En 1868, dans la province qui s'étend entre Rome et Naples, un groupe de brigands planifie une embuscade contre l'armée piémontaise, qui régit d'une main de fer toute l'Italie depuis que Garibaldi a initié le Risorgimento, l'unification nationale italienne. À sa tête : Francesco Guerra, ancien soldat entré en rébellion contre ce nouvel État qui assomme le peuple de taxes ; et sa compagne, la troublante Michelina di Cesare, qui a réussi l'exploit d'unifier les ciociari, ces fermiers-brigands vivant dans le maquis. D'un sang-froid à toute épreuve, Michelina abat froidement les soldats pris en embuscade. Mais d'où lui vient cette haine farouche?? Serait-elle, comme dans les histoires que raconte son frère Nino, une janara, figure folklorique à mi-chemin entre harpie et sorcière?? La Fleur au fusil est l'histoire vraie de cette pasionaria italienne, autrice de nombreux vols, enlèvements et attaques à mains armées contre l'armée et l'État. Héroïne défenseure du peuple ou criminelle aux stratagèmes élaborés?? C'est au lecteur d'en juger. Dans un style inspiré des westerns en Technicolor de John Ford et Sam Peckinpah, ce one-shot écrit par Cédric Mayen et superbement mis en images par Cristiano Crescenzi nous raconte la vie et le destin tragique d'une femme rebelle, féministe avant l'heure. Critique : La fleur au fusil est la mise en avant d'un personnage italien complètement inconnu en France, tout comme l'histoire qui l'entoure. Car qui peut prétendre connaitre les dessous de l'unification forcée de l'Italie, sous pression des Piémontais ? Personne, je pense et c'est pour cela que l'histoire de notre robin des bois Italien en jupon est vraiment intéressante : pas uniquement pour le côté aventureux de notre héroïne, mais bien pour le côté historique de ce qui en découle. Un très heureux mélange qui nous livre une histoire aussi dynamique qu'intéressante car à peine romancée. La preuve en est une fin.... non consensuelle pour le XXIieme siècle. BIen aidé par un dessin très lumineux, dans la lignée d'un Servais, ce one shot ne décevra pas ceux qui le liront ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-fleur-au-fusil-9782505112662?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. poseidon2

    La fleur au fusil

    La fleur au fusil est la mise en avant d'un personnage italien complètement inconnu en France, tout comme l'histoire qui l'entoure. Car qui peut prétendre connaitre les dessous de l'unification forcée de l'Italie, sous pression des Piémontais ? Personne, je pense et c'est pour cela que l'histoire de notre robin des bois Italien en jupon est vraiment intéressante : pas uniquement pour le côté aventureux de notre héroïne, mais bien pour le côté historique de ce qui en découle. Un très heureux mélange qui nous livre une histoire aussi dynamique qu'intéressante car à peine romancée. La preuve en est une fin.... non consensuelle pour le XXIieme siècle. BIen aidé par un dessin très lumineux, dans la lignée d'un Servais, ce one shot ne décevra pas ceux qui le liront !
  3. Alors je dois bien comprendre que malgré une lecture attentive je ne comprends pas vraiment le titre... en effet cet album nous présente la difficile retour à la réalité d'un soldat italien en pleine déroute et fuyant les alliés. Une partie de l'histoire d'Italie que l'on ne connait pas et n'en pas sans rappeler la débâcle française avec des gens sur les routes fuyant l'envahisseur. SI les rencontres et l'état d'ébahissement de notre soldat, tout comme l'état de cette Italie en pleine défaite, sont intéressants, je n'ai pas trouvé de rapport au titre 😞 Étrange car cela me fait dire que j'ai raté un truc. Sentiment qui s'est confirmé par mon sentiment d'une lecture trop rapide et trop évidente.
  4. Titre de l'album : Il ne devra plus y avoir d'orphelins sur la terre Scenariste de l'album : Aurélien Ducoudray Dessinateur de l'album : Thomas Azuélos Coloriste : Thomas Azuélos Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : En 1943, la guerre est perdue pour l'Italie. Les libérateurs américains débarquent en Sicile et en Calabre, et les voleurs, les «pires ennemis de l'Italie», sillonnent la péninsule. Un soldat italien, Calusia, charge une énorme caisse sur le dos de son âne. Que contient cette caisse ? Mystère. De quoi manger, en ces temps de misère ? Il prétend que non. Ce que l'on sait, c'est qu'il doit livrer la caisse au palais Pignatelli, à Naples, puis rentrer chez lui, à Bergame, plus loin dans le Nord. Un long périple, au cours duquel Calusia fera de nombreuses rencontres, dangereuses ou cocasses, intrigantes ou émouvantes. À commencer par celle de Concetta, une jeune fille délurée, qui s'est échappée de l'orphelinat... Délibérément tourné vers le grotesque et le merveilleux, évitant tout effet de réalisme brut, les deux auteurs retrouvent la liberté de ton des films italiens capables d'aborder dans un même élan l'enfance et la mort, l'innocence et la cruauté, le grotesque et la beauté, la vulgarité et la spiritualité... Critique : Alors je dois bien comprendre que malgré une lecture attentive je ne comprends pas vraiment le titre... en effet cet album nous présente la difficile retour à la réalité d'un soldat italien en pleine déroute et fuyant les alliés. Une partie de l'histoire d'Italie que l'on ne connait pas et n'en pas sans rappeler la débâcle française avec des gens sur les routes fuyant l'envahisseur. SI les rencontres et l'état d'ébahissement de notre soldat, tout comme l'état de cette Italie en pleine défaite, sont intéressants, je n'ai pas trouvé de rapport au titre 😞 Étrange car cela me fait dire que j'ai raté un truc. Sentiment qui s'est confirmé par mon sentiment d'une lecture trop rapide et trop évidente. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/il-ne-devra-plus-y-avoir-d-orphelins-sur-la-terre?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Pour son premier roman graphique , l'autrice italienne SantaMatita ne s'économise pas sur l'originalité ! On y suit en effet toute une galerie de personnages sur la route des grandes vacances d'été vers une destination pour le moins incongrue : le cimetière . On arrive , on déballe , les enfants courent se retrouver , on s'installe , mais la crypte ou le tombeau remplace la tente ! Les protagonistes se présentent au fil des pages , une famille venant du désert du Nevada pour la première fois , une autre habituée depuis des années , puis certains y vivant à l'année , faisant même pousser des tomates au pied du caveau . On découvre tout ce microcosme lié par la proximité du camping et un deuil proche ou lointain , comme dénominateur commun . Les secrets vont tomber , d'autant plus qu'un événement va venir bouleverser ce biotope : pour des raisons de sécurité et de risque d'éboulements , le cimetière doit fermer ses portes ! SantaMatita s'épargne les cases détaillées , elle use d'un graphisme type aquarelle et reste dans une certaine simplicité . Peu d'arrière-plans , elle se concentre sur les personnages et leurs motivations . Des visages sans traits , mais facilement reconnaissables à travers les cheveux ou la tenue vestimentaire . Il en va de même pour les caveaux et autres cryptes , toutes plus originales que les autres , avec chacune leur personnalité propre . Comment un univers silencieux et austère comme un cimetière peut déborder de vie sous le trait amusé de l'illustratrice italienne ! De l'humour , un peu de suspens , de la peine , des surprises , et une petite dose de fantômes (rêvés ou pas 😉 ) , voilà le cocktail estival de SantaMatita !
  6. Titre de l'album : Un dernier été au cimetière Scenariste de l'album : SantaMatita Dessinateur de l'album : SantaMatita Coloriste : SantaMatita Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : La réponse des personnages de cet ouvrage est vraiment particulière, puisqu'ils choisissent de passer leurs congés au cimetière. Une occupation qui pourrait sembler macabre, mais qui est finalement un moyen d'apprécier pleinement la vie. Chaque été, tel un camping improbable, le cimetière se peuple d'une foule variée et hétéroclite. Chacun passe ses vacances dans les cryptes et les tombeaux familiaux, créant ainsi une communauté insolite et partageant joies et chagrins. Mais cette année, une annonce vient bouleverser les vacanciers : le cimetière doit fermer ses portes... Critique : Pour son premier roman graphique , l'autrice italienne SantaMatita ne s'économise pas sur l'originalité ! On y suit en effet toute une galerie de personnages sur la route des grandes vacances d'été vers une destination pour le moins incongrue : le cimetière . On arrive , on déballe , les enfants courent se retrouver , on s'installe , mais la crypte ou le tombeau remplace la tente ! Les protagonistes se présentent au fil des pages , une famille venant du désert du Nevada pour la première fois , une autre habituée depuis des années , puis certains y vivant à l'année , faisant même pousser des tomates au pied du caveau . On découvre tout ce microcosme lié par la proximité du camping et un deuil proche ou lointain , comme dénominateur commun . Les secrets vont tomber , d'autant plus qu'un événement va venir bouleverser ce biotope : pour des raisons de sécurité et de risque d'éboulements , le cimetière doit fermer ses portes ! SantaMatita s'épargne les cases détaillées , elle use d'un graphisme type aquarelle et reste dans une certaine simplicité . Peu d'arrière-plans , elle se concentre sur les personnages et leurs motivations . Des visages sans traits , mais facilement reconnaissables à travers les cheveux ou la tenue vestimentaire . Il en va de même pour les caveaux et autres cryptes , toutes plus originales que les autres , avec chacune leur personnalité propre . Comment un univers silencieux et austère comme un cimetière peut déborder de vie sous le trait amusé de l'illustratrice italienne ! De l'humour , un peu de suspens , de la peine , des surprises , et une petite dose de fantômes (rêvés ou pas 😉 ) , voilà le cocktail estival de SantaMatita ! Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/un-dernier-ete-au-cimetiere/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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