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Chic, l'inspecteur Ansor aux faux airs d'Hercule Poirot, revient pour un second tome se situant dans la ville thermale de Spa ! Au programme, maître-chanteur, suicides, famille royale et bien-sûr, toute la bonhomie de ce personnage truculent ! Notre commissaire bon vivant quitte les rives d'Ostende car il se trouve missionné par la princesse Clémentine pour retrouver un bijou lui appartenant. Le hic étant qu'elle l'avait offert à un homme au cours d'une relation éphémère dissimulée. Afin d'éviter tout scandale touchant la famille royale, Ansor marche sur des oeufs, mais très vite il va comprendre que derrière cette banale recherche de bijoux royaux se cachent de plus sombres agissements perpétrés par une personne signant ses méfaits : Pierre le grand. Une enquête rondement menée par le scénariste Patrick Weber qui continue de surfer sur sa recette mêlant grande histoire et fiction. Il réalise d'ailleurs en annexes de fin d'album un dossier enrichi d'anecdotes et photos d'archives afin de mieux situer l'époque et le contexte. Le scénariste aux multiples casquettes (historien, journaliste, scénariste) s'entoure à cette occasion de Olivier Wozniak un adepte de la ligne claire. Son trait est un peu moins précis que Baudouin Deville, mais il le compense par une belle expressivité des personnages. Les décors de la Belle époque sont minutieux, il en va de même pour les costumes et les belles moustaches de ces messieurs 🙂 En tant que fan de ce style graphique je suis bien évidemment conquis, EP Jacobs et Hergé peuvent dormir tranquilles, leur héritage se poursuit et je lui souhaite encore de nombreuses années de succès. Prochaine aventure d'Hendrikus Ansor en 1907, une possible enquête au sein du salon de Bruxelles ?
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Titre de l'album : SPA 1906 Scenariste de l'album : Patrick Weber Dessinateur de l'album : Olivier Wozniak Coloriste : Drac Editeur de l'album : Anspach editions Note : Résumé de l'album : Spa, 1906. La très cossue et très huppée station thermale belge est en effervescence : un mystérieux maître chanteur menace la haute société locale de révéler d'embarrassants secrets. Plusieurs notables ont ainsi reçu des courriers menaçants signés par un certain Pierre Le Grand. Même la famille royale belge pourrait être éclaboussée ! Face au déshonneur, plusieurs notables se sont déjà suicidés. La réputation de la cité thermale est en jeu. Pour ne pas effrayer les riches curistes, l'affaire est minimisée par la police locale avant tout désireuse de ne pas déclencher la panique. Un scrupule dont n'a cure le célèbre commissaire Hendrikus Ansor. Envoyé discrètement par la Princesse Clémentine, le limier ostendais est bien décidé à démasquer le corbeau de Spa, et ainsi protéger la Couronne, avec ses propres méthodes : réflexion, déduction, gueuletons et pas de ronds de jambe superflus. Critique : Chic, l'inspecteur Ansor aux faux airs d'Hercule Poirot, revient pour un second tome se situant dans la ville thermale de Spa ! Au programme, maître-chanteur, suicides, famille royale et bien-sûr, toute la bonhomie de ce personnage truculent ! Notre commissaire bon vivant quitte les rives d'Ostende car il se trouve missionné par la princesse Clémentine pour retrouver un bijou lui appartenant. Le hic étant qu'elle l'avait offert à un homme au cours d'une relation éphémère dissimulée. Afin d'éviter tout scandale touchant la famille royale, Ansor marche sur des oeufs, mais très vite il va comprendre que derrière cette banale recherche de bijoux royaux se cachent de plus sombres agissements perpétrés par une personne signant ses méfaits : Pierre le grand. Une enquête rondement menée par le scénariste Patrick Weber qui continue de surfer sur sa recette mêlant grande histoire et fiction. Il réalise d'ailleurs en annexes de fin d'album un dossier enrichi d'anecdotes et photos d'archives afin de mieux situer l'époque et le contexte. Le scénariste aux multiples casquettes (historien, journaliste, scénariste) s'entoure à cette occasion de Olivier Wozniak un adepte de la ligne claire. Son trait est un peu moins précis que Baudouin Deville, mais il le compense par une belle expressivité des personnages. Les décors de la Belle époque sont minutieux, il en va de même pour les costumes et les belles moustaches de ces messieurs 🙂 En tant que fan de ce style graphique je suis bien évidemment conquis, EP Jacobs et Hergé peuvent dormir tranquilles, leur héritage se poursuit et je lui souhaite encore de nombreuses années de succès. Prochaine aventure d'Hendrikus Ansor en 1907, une possible enquête au sein du salon de Bruxelles ? Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/spa-1906/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Déjà le sixième tome de la saga Kathleen avec ce nouvel opus palpitant et truffé d'anecdotes ! Dans la Maison du peuple 65, vous allez une nouvelle fois visiter Bruxelles et son architecture avec l'empreinte qu'a eu le génial Victor Horta sur la ville. Tel Gaudi à Barcelone lui aussi esthète de l'Art nouveau, Horta a façonné de nombreux bâtiments dans la capitale belge, avec notamment cette Maison du peuple à l'architecture innovante. En 1965, l'appel de la modernité avec des immeubles plus hauts dans l'esprit nord-américain, se fait ressentir par des promoteurs qui n'hésitent pas à utiliser tous les moyens légaux ou pas, pour "remplacer" ces constructions stylisées, jugées obsolètes. Fort heureusement on peut compter sur l'opiniâtreté de Kathleen la journaliste pour dénoncer ces agissements et tenter de sauver cet héritage architectural. L'ancienne hôtesse de l'air va s'allier avec une professeur d'histoire spécialisée en Art nouveau et tenter de déjouer ce complot. Jeu de pistes, énigmes, visites de lieux symboliques, l'architecte Horta semble avoir laissé derrière lui un curieux testament ! C'est donc une nouvelle aventure pour la jeune reporter et un véritable régal pour les yeux ! Lorsqu'on aime la ligne claire, on ne peut qu'être émerveillé par les planches de Baudoin Deville ! Les façades des bâtiments, les détails d'architecture, les automobiles, vous serez transposés dans la capitale belge de l'époque avec en prime les couleurs éclatantes de Bérangère Marquebreucq. Mêler la grande histoire avec la fiction n'est pas une tâche aisée, mais Patrick Weber s'en sort admirablement. Un dossier didactique de 8 pages enrichit l'ouvrage en fin d'album avec des photographies d'époque et l'histoire de cet Art nouveau, grand courant architectural. La prochaine aventure de Kathleen nous mènera en 1971 pour rendre à nouveau hommage à la riche histoire belge 😉
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Titre de l'album : Maison du peuple 65 Scenariste de l'album : Patrick Weber Dessinateur de l'album : Baudouin Deville Coloriste : Bérengère Marquebreucq Editeur de l'album : Anspach editions Note : Résumé de l'album : Venise, 1964. Désormais journaliste à la RTB, Kathleen couvre le Congrès International des Architectes et des Techniciens des Monuments Historiques. Elle doit y rencontrer un certain Serge Durand, farouche opposant à la démolition de la Maison du Peuple, chef d'oeuvre du génial architecte Victor Horta. Son emplacement suscite, en effet, bien des convoitises auprès des promoteurs immobiliers qui saccagent alors la capitale belge. Durand lui a promis des révélations fracassantes, mais sa mort aussi soudaine que suspecte le fait taire Maison du Peuple 65 à tout jamais. De retour à Bruxelles, Kathleen est contactée par sa veuve qui lui explique alors que son mari avait mis la main sur le testament de... Victor Horta. Cependant, le facétieux génie y a adjoint un rébus basé sur quelques-unes de ses réalisations les plus admirables. Aidée par Antoinette Legein, une professeure d'université, spécialiste de l'Art nouveau, Kathleen se lance dans un jeu de pistes haletant à travers Bruxelles. Arriveront-elles à sauver la Maison du Peuple et à faire cesser le massacre architectural de Bruxelles ? Critique : Déjà le sixième tome de la saga Kathleen avec ce nouvel opus palpitant et truffé d'anecdotes ! Dans la Maison du peuple 65, vous allez une nouvelle fois visiter Bruxelles et son architecture avec l'empreinte qu'a eu le génial Victor Horta sur la ville. Tel Gaudi à Barcelone lui aussi esthète de l'Art nouveau, Horta a façonné de nombreux bâtiments dans la capitale belge, avec notamment cette Maison du peuple à l'architecture innovante. En 1965, l'appel de la modernité avec des immeubles plus hauts dans l'esprit nord-américain, se fait ressentir par des promoteurs qui n'hésitent pas à utiliser tous les moyens légaux ou pas, pour "remplacer" ces constructions stylisées, jugées obsolètes. Fort heureusement on peut compter sur l'opiniâtreté de Kathleen la journaliste pour dénoncer ces agissements et tenter de sauver cet héritage architectural. L'ancienne hôtesse de l'air va s'allier avec une professeur d'histoire spécialisée en Art nouveau et tenter de déjouer ce complot. Jeu de pistes, énigmes, visites de lieux symboliques, l'architecte Horta semble avoir laissé derrière lui un curieux testament ! C'est donc une nouvelle aventure pour la jeune reporter et un véritable régal pour les yeux ! Lorsqu'on aime la ligne claire, on ne peut qu'être émerveillé par les planches de Baudoin Deville ! Les façades des bâtiments, les détails d'architecture, les automobiles, vous serez transposés dans la capitale belge de l'époque avec en prime les couleurs éclatantes de Bérangère Marquebreucq. Mêler la grande histoire avec la fiction n'est pas une tâche aisée, mais Patrick Weber s'en sort admirablement. Un dossier didactique de 8 pages enrichit l'ouvrage en fin d'album avec des photographies d'époque et l'histoire de cet Art nouveau, grand courant architectural. La prochaine aventure de Kathleen nous mènera en 1971 pour rendre à nouveau hommage à la riche histoire belge 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/maison-du-peuple-65/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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