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  1. Nickad

    Fends le vent tome 2

    Après sa course improvisée en centre-ville, Shôta Kikuzato décide de rejoindre le club d’athlétisme de son lycée. Il découvre un petit club, pas très assidu, mais avec quelques vrais passionnés qui lui prodiguent de bons conseils pour s’améliorer. A présent, il va falloir qu’il s’habitue aux prothèses sportives le temps que Chidori lui en fabrique une sur mesure. Le sport et le handicap sont deux sujets que je ne maitrise pas et je ne suis pas adepte non plus des compétitions d’athlétisme. Pourtant, Fends le vent me passionne, j’ai lu le manga d’une traite sans en perdre une miette ! Non seulement, on apprend beaucoup sur le handisport mais aussi sur la course toute simple et comment notre corps régit aux contraintes qu’on lui impose. En plus de cela, le personnage de Chidori apporte beaucoup de légèreté, voir une pointe d’humour. Non seulement ce manga nage en pleine actualité, à 4 mois des jeux paralympiques mais en plus il a une narration qui ne le catalogue pas dans un genre ou un autre et qui le rend à la fois intéressant et distrayant.
  2. Titre de l'album : Fends le vent tome 2 Scenariste de l'album : MIDORI Wataru Dessinateur de l'album : MIDORI Wataru Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Après sa rencontre avec Chidori, un orthoprothésiste spécialisé dans l'accompagnement des sportifs, Shôta est bien décidé à devenir athlète paralympique ! Mais alors qu'il tente de s'intégrer dans le club d'athlétisme de son lycée, il se heurte à plusieurs obstacles : la réaction des autres membres qui doutent de ses capacités, les inquiétudes de sa mère, mais surtout, ses retrouvailles avec Take, son ancien ami du club de foot... Critique : Après sa course improvisée en centre-ville, Shôta Kikuzato décide de rejoindre le club d’athlétisme de son lycée. Il découvre un petit club, pas très assidu, mais avec quelques vrais passionnés qui lui prodiguent de bons conseils pour s’améliorer. A présent, il va falloir qu’il s’habitue aux prothèses sportives le temps que Chidori lui en fabrique une sur mesure. Le sport et le handicap sont deux sujets que je ne maitrise pas et je ne suis pas adepte non plus des compétitions d’athlétisme. Pourtant, Fends le vent me passionne, j’ai lu le manga d’une traite sans en perdre une miette ! Non seulement, on apprend beaucoup sur le handisport mais aussi sur la course toute simple et comment notre corps régit aux contraintes qu’on lui impose. En plus de cela, le personnage de Chidori apporte beaucoup de légèreté, voir une pointe d’humour. Non seulement ce manga nage en pleine actualité, à 4 mois des jeux paralympiques mais en plus il a une narration qui ne le catalogue pas dans un genre ou un autre et qui le rend à la fois intéressant et distrayant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/fends-le-vent-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. poseidon2

    Talentless tome 11

    Encore plus de 8 mois pour avoir un nouveau tome de Talentless. Alors oui les tomes sont a chaque fois très gros avec ici plus de 292 pages et tarif raisonnable au vu du nombre de pages... mais ca fait beaucoup. Et ca rentre en compte dans ma note car mine de rien cela oblige à se souvenir de ce qu'il se passait avant et ce rapidement. Encore plus ici car on commence avec le passé de Kyoya et l'impact de son pouvoir sur la vie de sa famille..... On ne commence donc pas du tout par une "remise en place" de l'histoire globale. On perd donc un petit peu de temps à se remettre dans l'histoire et à se souvenir que nos "héros" sont dans un ghetto sécurisé et que 3 années ont passé depuis la fin de l'ile.... M'enfin une fois dedans, ce tome est encore un très bon tome qui sort nos héros de leurs aspects "victimes" et commence à lancer la contre-attaque. Les quelques personnages ajoutés sont bien introduits et renforcent le fait que ce ghetto ne contient pas que les prodiges de l'ile. Reste à voir l'intérêt de la soeur de Kyoya dans l'histoire... Un tome encore très agréable à lire dont on aimerait juste une parution un poil plus fréquente....
  4. Titre de l'album : Talentless tome 11 Scenariste de l'album : Looseboy Dessinateur de l'album : Iori Furuya Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Que mon existence soit effacée ! Le triste passé de la famille Onodera est dévoilé ! Comment Rin, la soeur cadette à la santé fragile, a-t-elle élaboré un plan pour alléger le fardeau de son frère Kyôya ? De retour dans le présent, les amis de Nana font bloc autour de la jeune femme pour planifier leur évasion du camp de gestion... Ne manquez pas le onzième volume de cette histoire au suspense haletant, où le véritable sens de la justice est remis en question sur fond de révélations bouleversantes ! Critique : Encore plus de 8 mois pour avoir un nouveau tome de Talentless. Alors oui les tomes sont a chaque fois très gros avec ici plus de 292 pages et tarif raisonnable au vu du nombre de pages... mais ca fait beaucoup. Et ca rentre en compte dans ma note car mine de rien cela oblige à se souvenir de ce qu'il se passait avant et ce rapidement. Encore plus ici car on commence avec le passé de Kyoya et l'impact de son pouvoir sur la vie de sa famille..... On ne commence donc pas du tout par une "remise en place" de l'histoire globale. On perd donc un petit peu de temps à se remettre dans l'histoire et à se souvenir que nos "héros" sont dans un ghetto sécurisé et que 3 années ont passé depuis la fin de l'ile.... M'enfin une fois dedans, ce tome est encore un très bon tome qui sort nos héros de leurs aspects "victimes" et commence à lancer la contre-attaque. Les quelques personnages ajoutés sont bien introduits et renforcent le fait que ce ghetto ne contient pas que les prodiges de l'ile. Reste à voir l'intérêt de la soeur de Kyoya dans l'histoire... Un tome encore très agréable à lire dont on aimerait juste une parution un poil plus fréquente.... Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/talentless-tome-11/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Voici un pan d’histoire que je ne connais pas, le duché de Bretagne et la maison de Dreux. Bien sûr ce sont des noms que j’ai déjà entendus mais pas au point de savoir que ces deux domaines étaient liés ni de connaitre leur histoire. Nous voici donc au XIIIe siècle, la Bretagne est loin d’être unie et beaucoup de seigneurs ne voient pas forcément d’un bon œil la présence du Duc issu de la maison de Dreux. C’est dans ce contexte, qu’un jeune héraut doit aller chercher une épouse pour le fils du duc qui n’est encore qu’un enfant. Il doit trouver la fille d’un ami de son maître. Il découvre que l’ami a été assassiné et que sa fille Andrée se travestit en homme pour venger son père. Tous les deux vont partir en voyage pour découvrir la vérité tout en essayant de survivre. Bien que ce soit sur fond historique, les personnages principaux sont bien des personnages de fiction. Il faut souligner le travail de l’auteur, fan de l’époque médiévale européenne, qui nous offre un manga documenté autant sur les faits historiques, les dirigeants de l’époque et surtout sur le mode de vie que ce soient les costumes, les armes ou les décors. On a un graphisme soigné et détaillé qui permet une bonne immersion dans le récit. Avec un rythme dynamique et une trame « plausible » ancrée dans des faits historiques réels, le manga nous offre une aventure bien réalisée et prometteuse. A suivre.
  6. Titre de l'album : Chroniques de la mariée de Bretagne tome 1 Scenariste de l'album : TAKEHARA Junji Dessinateur de l'album : TAKEHARA Junji Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Un récit médiéval où les apparences sont parfois trompeuses... Une quête de vengeance au cœur de la Bretagne du XIIIe siècle. XIIIe siècle, Bretagne... Thomas, un héraut, arpente un champ de bataille au péril de sa vie. À la fin de la bataille, il se voit confier une nouvelle mission : trouver une épouse pour l'héritier du duc de Bretagne ! Afin de s'acquitter de sa tâche, Thomas se rend à un tournoi en quête d' André le Bleau, un ami de son seigneur... Mais il va tomber nez à nez avec Andrée, une ravissante jeune fille habillée en chevalier, qui semble vouloir attenter à la vie du duc ! Critique : Voici un pan d’histoire que je ne connais pas, le duché de Bretagne et la maison de Dreux. Bien sûr ce sont des noms que j’ai déjà entendus mais pas au point de savoir que ces deux domaines étaient liés ni de connaitre leur histoire. Nous voici donc au XIIIe siècle, la Bretagne est loin d’être unie et beaucoup de seigneurs ne voient pas forcément d’un bon œil la présence du Duc issu de la maison de Dreux. C’est dans ce contexte, qu’un jeune héraut doit aller chercher une épouse pour le fils du duc qui n’est encore qu’un enfant. Il doit trouver la fille d’un ami de son maître. Il découvre que l’ami a été assassiné et que sa fille Andrée se travestit en homme pour venger son père. Tous les deux vont partir en voyage pour découvrir la vérité tout en essayant de survivre. Bien que ce soit sur fond historique, les personnages principaux sont bien des personnages de fiction. Il faut souligner le travail de l’auteur, fan de l’époque médiévale européenne, qui nous offre un manga documenté autant sur les faits historiques, les dirigeants de l’époque et surtout sur le mode de vie que ce soient les costumes, les armes ou les décors. On a un graphisme soigné et détaillé qui permet une bonne immersion dans le récit. Avec un rythme dynamique et une trame « plausible » ancrée dans des faits historiques réels, le manga nous offre une aventure bien réalisée et prometteuse. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chroniques-de-la-mariee-de-bretagne-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    L'auberge de la vie tome 1

    Dans un petit coin reculé du Japon, en bord de mer, le cap de Shide attire de nombreux visiteurs mais pas forcément pour des raisons touristiques. Le lieu est en effet réputé pour être un des endroits parfaits pour se suicider ! Juste à côté se tient une auberge où l’on mange bien et où on peut passer une dernière nuit avant de faire le grand saut. Cette auberge est tenue par des employés qui offrent une oreille attentive aux problèmes de ses clients et qui, à leur façon, proposent une alternative à la solution définitive. Chaque personnage de l’auberge a sa propre histoire et ses propres raisons de se trouver en ce lieu. En même temps qu’ils vont aider les clients à aller de l’avant, eux-mêmes vont apprendre de la vie et faire face à leurs problèmes. Il y a donc un récit principal où l’on voit l’évolution des employés de l’auberge et en même temps, plein de récits annexes et divers. Je ne sais pas s’il faut y voir un ouvrage psychologique pour faire comprendre au lecteur qu’il n’y a pas que du blanc ou de noir dans la vie et faire de ce manga une sorte d’outil anti-suicide. Ce qui est sûr c’est que le récit est résolument positif (aucune perte à déplorer dans ce 1er tome). La narration est posée, intimiste parfois, juste sans être extraordinaire. Une lecture plaisante où certains pourront trouver des réponses. Série finie en 2 tomes.
  8. Titre de l'album : L'auberge de la vie tome 1 Scenariste de l'album : ITOI Nozo Dessinateur de l'album : ITOI Nozo Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : À travers le quotidien d'une adolescente qui réapprend à vivre, Nozo Itoi regarde tendrement notre humanité. Le cap de Shide est aussi connu sous le nom du " cap de la mort ". C'est là que se rendent celles et ceux qui, n'ayant plus la volonté d'exister, décident de se jeter de la falaise pour mettre fin à leur existence. L'auberge Gilda se trouve à quelques minutes à pieds de là... Sumomo fait partie des personnes qui souhaitent se suicider. Mais avant de commettre l'irréparable, il lui reste une dernière chose à accomplir sur sa to do list : revoir une dernière fois la mystérieuse Yoko, qui est justement devenue la gérante de l'auberge Gilda. Mais les retrouvailles ne se dérouleront pas comme prévues... Critique : Dans un petit coin reculé du Japon, en bord de mer, le cap de Shide attire de nombreux visiteurs mais pas forcément pour des raisons touristiques. Le lieu est en effet réputé pour être un des endroits parfaits pour se suicider ! Juste à côté se tient une auberge où l’on mange bien et où on peut passer une dernière nuit avant de faire le grand saut. Cette auberge est tenue par des employés qui offrent une oreille attentive aux problèmes de ses clients et qui, à leur façon, proposent une alternative à la solution définitive. Chaque personnage de l’auberge a sa propre histoire et ses propres raisons de se trouver en ce lieu. En même temps qu’ils vont aider les clients à aller de l’avant, eux-mêmes vont apprendre de la vie et faire face à leurs problèmes. Il y a donc un récit principal où l’on voit l’évolution des employés de l’auberge et en même temps, plein de récits annexes et divers. Je ne sais pas s’il faut y voir un ouvrage psychologique pour faire comprendre au lecteur qu’il n’y a pas que du blanc ou de noir dans la vie et faire de ce manga une sorte d’outil anti-suicide. Ce qui est sûr c’est que le récit est résolument positif (aucune perte à déplorer dans ce 1er tome). La narration est posée, intimiste parfois, juste sans être extraordinaire. Une lecture plaisante où certains pourront trouver des réponses. Série finie en 2 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-auberge-de-la-vie-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Kotaro en solo tome 1

    Si au premier abord, je n’étais pas très attirée par la couverture du manga, finalement, j’ai plutôt été agréablement surprise par cette lecture à un détail près : le graphisme ! Au bout du 1er tome, je ne me suis toujours pas habituée à la disproportion des personnages et à ces têtes énormes. Les pupilles de Kotaro passent encore mais les têtes !! Kotaro est un garçon de 4 ans qui aménage seul dans un appartement, il dit qu’il n’a plus de parents et va saluer poliment ces nouveaux voisins : un mangaka qui se laisse aller, une hôtesse de bar et un yakuza. Kotaro est particulièrement en avance sur son âge, il parle bien, a un vocabulaire avancé, fait ses courses, cuisine… A tel point que je me suis demandée si ce n’était pas une histoire fantastique où un adulte se serait retrouvé dans un corps d’enfant ! Mais Kotaro a aussi des côtés enfantins, il aime un dessin animé qui n’a pas trop de succès et il aime faire comme son héros. Tout le long du livre, on se pose des questions et on ne sait pas sur quel pied danser. Est-ce un livre humoristique décalé ? Est-ce un drame ? Kotaro est-il surdoué ? Pourquoi est-il tout seul ?... Peu à peu la présence de Kotaro va réunir ses trois voisins qui n’ont rien en commun car aucun des trois n’est capable de le laisser tout seul et ils finissent par s’attacher et à être présent dans sa vie. Kotaro en solo est un manga surprenant qui nous prend au dépourvu et qui nous laisse dans une certaine attente ; on aimerait bien comprendre comment Kotaro en est arrivé là et qui il est vraiment. A suivre. NB : le manga a été adapté en anime, une saison est disponible pour le moment sur Netflix.
  10. Titre de l'album : Kotaro en solo tome 1 Scenariste de l'album : TSUMURA Mami Dessinateur de l'album : TSUMURA Mami Coloriste : Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : À 4 ans, Kotaro vit seul en ville, dans un modeste appartement. Où sont ses parents ? Comment s'en sort-il au quotidien ? D'où vient l'argent qui lui permet de vivre ? En tout cas, il peut compter sur ses voisins pour ne pas s'ennuyer ! Il y a Shin Karino, un mangaka un peu fainéant qui peine à rencontrer le succès. Pas très loin, une femme travaille la nuit dans un club privé. Quant à l'homme qui habite à l'étage du dessous et qui est toujours en costume, il est le parfait cliché d'un yakuza. En dépit de sa situation saugrenue, et même s'il parle comme un seigneur féodal, Kotaro semble parfois moins bizarre que ses voisins ! Critique : Si au premier abord, je n’étais pas très attirée par la couverture du manga, finalement, j’ai plutôt été agréablement surprise par cette lecture à un détail près : le graphisme ! Au bout du 1er tome, je ne me suis toujours pas habituée à la disproportion des personnages et à ces têtes énormes. Les pupilles de Kotaro passent encore mais les têtes !! Kotaro est un garçon de 4 ans qui aménage seul dans un appartement, il dit qu’il n’a plus de parents et va saluer poliment ces nouveaux voisins : un mangaka qui se laisse aller, une hôtesse de bar et un yakuza. Kotaro est particulièrement en avance sur son âge, il parle bien, a un vocabulaire avancé, fait ses courses, cuisine… A tel point que je me suis demandée si ce n’était pas une histoire fantastique où un adulte se serait retrouvé dans un corps d’enfant ! Mais Kotaro a aussi des côtés enfantins, il aime un dessin animé qui n’a pas trop de succès et il aime faire comme son héros. Tout le long du livre, on se pose des questions et on ne sait pas sur quel pied danser. Est-ce un livre humoristique décalé ? Est-ce un drame ? Kotaro est-il surdoué ? Pourquoi est-il tout seul ?... Peu à peu la présence de Kotaro va réunir ses trois voisins qui n’ont rien en commun car aucun des trois n’est capable de le laisser tout seul et ils finissent par s’attacher et à être présent dans sa vie. Kotaro en solo est un manga surprenant qui nous prend au dépourvu et qui nous laisse dans une certaine attente ; on aimerait bien comprendre comment Kotaro en est arrivé là et qui il est vraiment. A suivre. NB : le manga a été adapté en anime, une saison est disponible pour le moment sur Netflix. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kotaro-en-solo-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    Pumpkin night tome 4

    A la fin du tome 3, il y avait un événement qui m’avait fait espérer un peu plus de profondeur au manga : le fait que la jeune policière prenne le masque de pumpkin night pour sauver Kazuya. Hélas, le développement de l’histoire n’est pas à la hauteur de mes espérances ! En réalité, il n’y a pas vraiment de changement dans le concept du livre, après la mort de Naoko, Kazuya souffre d’un dédoublement de la personnalité et devient à son tour pumpkin night pour poursuivre la vengeance, il est aidé par la policière. Ensuite, ce n’est qu’une accumulation de nouvelles violences, tout aussi gores. Quant à la fin… [soupir]… On nous annonce la fin de l’acte 1 avec un retour de pumpkin night pour une nouvelle vengeance et la traque de nouveaux harceleurs. Certes le personnage pourrait servir à faire peur aux petits enfants afin qu’ils se tiennent à carreaux et surtout les terroriser assez pour qu’ils ne tombent jamais dans le harcèlement mais quel parent sensé feraient lire ce livre à son enfant ? Je crois que pour apprécier Pumpkin night à sa juste valeur, il faut juste le prendre comme un film d’horreur où les méchants finissent par être punis et où le personnage principal revient encore et encore pour hanter nos nuits. De ce côté-là, le manga est réussi. Pour le reste, l’intérêt est plus que limité. Un livre à ne pas lire avant d’aller se coucher ni avant de manger, les images sont écœurantes et surtout à ne pas mettre entre toutes les mains.
  12. Titre de l'album : Pumpkin night tome 4 Scenariste de l'album : HOKAZONO Masaya Dessinateur de l'album : TANIGUCHI Seima Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Après de longues années de silence, Kazuya ose enfin avouer ses sentiments à Naoko, alias Pumpkin Night. Malheureusement pour lui, Naoko ne survit pas au piège tendu par Tatsuo Kuroki, père de Naruto et maire de la ville, qui a voulu se débarrasser des deux adolescents. Fou de désespoir, Kazuya décide de prendre la relève de Naoko en portant à son tour le masque en forme de citrouille, créant alors son propre personnage. À présent, sa haine est entièrement dirigée contre les responsables de la mort de sa bien-aimée. Pumpkin Night, l'incarnation des ténèbres les plus profondes, reviendra sans cesse... jusqu'à ce que sa vengeance soit totale ! Critique : A la fin du tome 3, il y avait un événement qui m’avait fait espérer un peu plus de profondeur au manga : le fait que la jeune policière prenne le masque de pumpkin night pour sauver Kazuya. Hélas, le développement de l’histoire n’est pas à la hauteur de mes espérances ! En réalité, il n’y a pas vraiment de changement dans le concept du livre, après la mort de Naoko, Kazuya souffre d’un dédoublement de la personnalité et devient à son tour pumpkin night pour poursuivre la vengeance, il est aidé par la policière. Ensuite, ce n’est qu’une accumulation de nouvelles violences, tout aussi gores. Quant à la fin… [soupir]… On nous annonce la fin de l’acte 1 avec un retour de pumpkin night pour une nouvelle vengeance et la traque de nouveaux harceleurs. Certes le personnage pourrait servir à faire peur aux petits enfants afin qu’ils se tiennent à carreaux et surtout les terroriser assez pour qu’ils ne tombent jamais dans le harcèlement mais quel parent sensé feraient lire ce livre à son enfant ? Je crois que pour apprécier Pumpkin night à sa juste valeur, il faut juste le prendre comme un film d’horreur où les méchants finissent par être punis et où le personnage principal revient encore et encore pour hanter nos nuits. De ce côté-là, le manga est réussi. Pour le reste, l’intérêt est plus que limité. Un livre à ne pas lire avant d’aller se coucher ni avant de manger, les images sont écœurantes et surtout à ne pas mettre entre toutes les mains. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pumpkin-night-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nous voici déjà au tome 13 de cette saga incroyable ! Petit rappel de l'histoire de ce "Breaking bad" version manga : Nous sommes à la fin des années 30 , juste avant que le second conflit mondial ne débute . Un jeune homme , Isamu Higata voit sa mère emportée par la peste . Se retrouvant à charge de sa famille il va se lancer dans la culture et le commerce du pavot , autrement dit , l'opium à fumer . De rencontres bonnes ou néfastes , il va jalonner la Mandchourie , véritable terre multiculturelle , partagée entre plusieurs pays et ethnies ! Un terreau fertile pour des aventures les plus rocambolesques avec une multitude de personnages mafieux du même acabit . La violence est crue et omniprésente , elle va croitre de tomes en tomes dans un déluge d'action et de suspens . A l'instar d'une saga comme Gannibal , nous avons ici un page turner qui ne vous ménagera pas ! Chaque fin de tome est propice à un ou des rebondissements , rendant l'attente de la suite , compliquée , voire insupportable 😉 Dans ce 13ème tome , notre équipe de choc , se retrouve à Shanghai , ville cosmopolite , aux influences multiples . Une ville partagée en plusieurs protectorats , mais gangrénée quand même par la mafia locale : la Hong Bang . Leader du commerce de l'opium , ces derniers traquent sans relâche nos jeunes producteurs d'opium X , avec une intensité rare . Li Hua et Isamu semblent avoir une adversaire des plus coriaces avec cette femme à la tête de la Hong Bang , qui ne montre aucune limite dans l'engrenage de la violence . Le dessin est toujours aussi détaillé et dynamique . Si cette période historique riche et la géographie vous plait , vous ne pouvez passer à côté de cette saga . Elle est documentée et l'on apprend une multitudes de choses sur cette région immense , ce "carrefour" asiatique . Des chinois, des japonais , des russes , des mongols , des européens , un véritable feu d'artifice culturel . Série à suivre !
  14. Titre de l'album : Manchuria opium squad - Tome 13 Scenariste de l'album : Tsukasa Monma Dessinateur de l'album : Shikako Coloriste : Editeur de l'album : Vega-Dupuis Note : Résumé de l'album : Notre équipe de choc répand peu à peu l'influence de l'opium X dans les rues de Shanghai, grâce à des revendeurs qui diffusent l'utilisation de cette drogue dans des fumeries. Cependant, Li Hua a un objectif bien plus grand, qui est de s'emparer de toutes les fumeries de la Hong Bang, ce qui revient à déclarer la guerre à cette organisation. Entre la police municipale de la concession, la Hong Bang et la fiabilité plus que douteuse de leur collaborateur Jing, nos protagonistes devront plus que jamais être sur leurs gardes durant leur ascension... Critique : Nous voici déjà au tome 13 de cette saga incroyable ! Petit rappel de l'histoire de ce "Breaking bad" version manga : Nous sommes à la fin des années 30 , juste avant que le second conflit mondial ne débute . Un jeune homme , Isamu Higata voit sa mère emportée par la peste . Se retrouvant à charge de sa famille il va se lancer dans la culture et le commerce du pavot , autrement dit , l'opium à fumer . De rencontres bonnes ou néfastes , il va jalonner la Mandchourie , véritable terre multiculturelle , partagée entre plusieurs pays et ethnies ! Un terreau fertile pour des aventures les plus rocambolesques avec une multitude de personnages mafieux du même acabit . La violence est crue et omniprésente , elle va croitre de tomes en tomes dans un déluge d'action et de suspens . A l'instar d'une saga comme Gannibal , nous avons ici un page turner qui ne vous ménagera pas ! Chaque fin de tome est propice à un ou des rebondissements , rendant l'attente de la suite , compliquée , voire insupportable 😉 Dans ce 13ème tome , notre équipe de choc , se retrouve à Shanghai , ville cosmopolite , aux influences multiples . Une ville partagée en plusieurs protectorats , mais gangrénée quand même par la mafia locale : la Hong Bang . Leader du commerce de l'opium , ces derniers traquent sans relâche nos jeunes producteurs d'opium X , avec une intensité rare . Li Hua et Isamu semblent avoir une adversaire des plus coriaces avec cette femme à la tête de la Hong Bang , qui ne montre aucune limite dans l'engrenage de la violence . Le dessin est toujours aussi détaillé et dynamique . Si cette période historique riche et la géographie vous plait , vous ne pouvez passer à côté de cette saga . Elle est documentée et l'on apprend une multitudes de choses sur cette région immense , ce "carrefour" asiatique . Des chinois, des japonais , des russes , des mongols , des européens , un véritable feu d'artifice culturel . Série à suivre ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/manchuria-opium-squad-tome-13/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Dans ce manga, on découvre une jeune mariée confrontée à l’absence de plus en plus fréquente de son mari, y compris pour les moments importants et symboliques de leur vie de couple. Peu à peu Aya soupçonne que son époux a peut-être quelqu’un d’autre dans sa vie et elle va chercher à obtenir une preuve irréfutable de son adultère avant de prendre une décision. Contrairement à Corps Solitaires qui se concentre sur deux couples et qui joue plus sur la partie psychologique et mélancolie, ici on a une palette plus large de personnages avec différents points de vue notamment sur le comportement que doit adopter Aya. L’ambiance est également différente, même si le personnage principal subit la situation et le contrecoup d’un possible adultère, elle ne se renferme pas sur elle-même et cherche à aller de l’avant même si ce qu’elle apprendra risque de ne pas lui plaire. Ne vous méprenez pas, le manga parle aussi de psychologie et l’on suit tout le cheminement des pensées d’Aya et aussi de ses amies ; l’autrice va juste un peu plus vite dans la prise de décision des personnages. On est dans un style différent mais tout aussi intéressant. J’attends la suite avec impatience pour deux raisons : voir le moment du clash et voir comment son mari va se justifier ! Série finie en 8 tomes
  16. Titre de l'album : One half of a married couple tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : NATSUKAWA Yukino Dessinateur de l'album : KUROSAWA Akiyo Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Aya, 29 ans, est mariée depuis deux ans. Elle jouit d'un quotidien paisible aux côtés de son époux Kazuma, un homme honnête et séduisant que tout le monde autour d'elle lui envie. Mais un jour, Aya découvre sur le téléphone de son mari un message lourd de sens. De plus, ce dernier se met à rentrer plus tard que d'habitude... "Dois-je enquêter sur l'infidélité de mon mari ?" "Est-ce que mon mari me trompe... ?!" Ainsi commence une vie conjugale pleine de doutes... Le thriller sentimental n°1 des ventes numériques au japon ! Le manga au succès retentissant ! Critique : Dans ce manga, on découvre une jeune mariée confrontée à l’absence de plus en plus fréquente de son mari, y compris pour les moments importants et symboliques de leur vie de couple. Peu à peu Aya soupçonne que son époux a peut-être quelqu’un d’autre dans sa vie et elle va chercher à obtenir une preuve irréfutable de son adultère avant de prendre une décision. Contrairement à Corps Solitaires qui se concentre sur deux couples et qui joue plus sur la partie psychologique et mélancolie, ici on a une palette plus large de personnages avec différents points de vue notamment sur le comportement que doit adopter Aya. L’ambiance est également différente, même si le personnage principal subit la situation et le contrecoup d’un possible adultère, elle ne se renferme pas sur elle-même et cherche à aller de l’avant même si ce qu’elle apprendra risque de ne pas lui plaire. Ne vous méprenez pas, le manga parle aussi de psychologie et l’on suit tout le cheminement des pensées d’Aya et aussi de ses amies ; l’autrice va juste un peu plus vite dans la prise de décision des personnages. On est dans un style différent mais tout aussi intéressant. J’attends la suite avec impatience pour deux raisons : voir le moment du clash et voir comment son mari va se justifier ! Série finie en 8 tomes Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/one-half-of-a-married-couple-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Tsugai tome 3

    Yuru et Aya peuvent enfin se parler, c’est le moment de revenir sur les événements passés, la fuite des parents, la présence d’une fausse Aya, les pouvoirs découlant de la naissance des jumeaux et c’est surtout le moment pour Yuru de prendre une décision : qui va-t-il suivre et que compte-t-il faire ? Un tome nécessaire qui permet de faire le point sur les informations des deux premiers tomes qui sont arrivées très vite et toutes en même temps. On comprend mieux à présent quels sont les enjeux autour des jumeaux et surtout comment sont organisés les différents camps. Un volume un peu moins dans l’action mais tout aussi important si ce n’est indispensable. Il y a encore beaucoup à découvrir dans ce manga surtout que nous sommes dans un nouvel univers où le lecteur manque de repères. C’est une aventure à plusieurs niveaux dans laquelle on ne peut rien prévoir et c’est très bien comme ça ! Un bon shonen à suivre.
  18. Nickad

    Tsugai tome 3

    Titre de l'album : Tsugai tome 3 Scenariste de l'album : ARAKAWA Hiromu Dessinateur de l'album : ARAKAWA Hiromu Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Du mystère, du surnaturel, de l'aventure, une histoire de fraternité : le nouveau Hiromu Arakawa est un manga inclassable qui réserve bien des surprises !? Après l'assaut sur la résidence Kagemori, Yuru apprend qu' Asa est déjà morte une fois. Se remémorant des moments tragiques de leur passé, Yuru et sa sœur tentent ensemble de trouver des indices qui les mèneraient à leurs parents disparus... C'est alors que Dera arrive à la résidence Kagemori sans y avoir été invité... Une nouvelle aventure de Dark Fantasy issue de l'imagination de Hiromu Arakawa, créatrice de FULLMETAL ALCHEMIST ! Critique : Yuru et Aya peuvent enfin se parler, c’est le moment de revenir sur les événements passés, la fuite des parents, la présence d’une fausse Aya, les pouvoirs découlant de la naissance des jumeaux et c’est surtout le moment pour Yuru de prendre une décision : qui va-t-il suivre et que compte-t-il faire ? Un tome nécessaire qui permet de faire le point sur les informations des deux premiers tomes qui sont arrivées très vite et toutes en même temps. On comprend mieux à présent quels sont les enjeux autour des jumeaux et surtout comment sont organisés les différents camps. Un volume un peu moins dans l’action mais tout aussi important si ce n’est indispensable. Il y a encore beaucoup à découvrir dans ce manga surtout que nous sommes dans un nouvel univers où le lecteur manque de repères. C’est une aventure à plusieurs niveaux dans laquelle on ne peut rien prévoir et c’est très bien comme ça ! Un bon shonen à suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tsugai-daemons-of-the-shadow-realm-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. poseidon2

    Breakdown tome 1

    Breakdown est un manga "ancien" (1996) ressortit par Vega. Ce manga est terminé en 5 tomes et ne raconte rien de moins que la fin du monde ! Mais attention, pour une fois, elle n'est pas nucléaire et pas "vraiment" la faute des humains. Si les dessins sont vraiment old school et pourront bloquer certains lecteurs, le scenario est, quant à lui, super intéressant. En effet, les réactions des gens à cette catastrophe sont, a contrario des mangas actuels, très réalistes avec énormément de réaction égoïste et des obligations de choix plus dure les uns que les autres pour sauver ce qu'il reste à sauver. C'est dure par moment, mais tellement réaliste que l'histoire en devient saisissante... si on réussit à passer outre les dessins bien sûr 😉
  20. Titre de l'album : Breakdown tome 1 Scenariste de l'album : Takao Saito Dessinateur de l'album : Takao Saito Coloriste : Editeur de l'album : Vega-Dupuis Note : Résumé de l'album : L'astéroïde Wilby est de ces objets célestes présentant un danger mortel de collision avec la terre ! L'interception à l'aide de missiles échoue, et l'astéroïde tombe dans l'océan Pacifique, déclenchant une catastrophe naturelle d'ampleur mondiale ! Misato Otomo, qui enquêtait pour le service des infos de la chaîne de télévision, survit par miracle au cataclysme, mais pour découvrir un Japon dévasté, revenu à l'âge de pierre. Il devra surmonter la peste, les animaux redevenus sauvages, une pénurie alimentaire extrême... et une humanité rendue à ses origines barbares. Critique : Breakdown est un manga "ancien" (1996) ressortit par Vega. Ce manga est terminé en 5 tomes et ne raconte rien de moins que la fin du monde ! Mais attention, pour une fois, elle n'est pas nucléaire et pas "vraiment" la faute des humains. Si les dessins sont vraiment old school et pourront bloquer certains lecteurs, le scenario est, quant à lui, super intéressant. En effet, les réactions des gens à cette catastrophe sont, a contrario des mangas actuels, très réalistes avec énormément de réaction égoïste et des obligations de choix plus dure les uns que les autres pour sauver ce qu'il reste à sauver. C'est dure par moment, mais tellement réaliste que l'histoire en devient saisissante... si on réussit à passer outre les dessins bien sûr 😉 Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/breakdown-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. On va être très honnête : Ces deux tomes avaient pour eux la lourde charge de statuer sur le devenir de la série à la maison…En effet, j'ai trouvé les deux premiers un peu trop convenus et faciles... Et bien cette suite a réussi sa mission : on continue ! Ce revirement est dû à un changement dans notre histoire avec une orientation du récit non pus sur les sentiments de notre héroïne, mais bien sûr la maladie de Kaori et, surtout, le difficile rapport d'une ado à la possibilité de la fin de vie. J'ai trouvé que ce traitement était très juste et très émouvant. Shizuku est dépassée, mais l'est d'une façon qui semble réellement naturelle. C'est très émouvant et bien plus prenant que les deux premiers tomes ne pouvaient le laisser penser.
  22. Titre de l'album : Notre été éphémère tome 3 & 4 Scenariste de l'album : Yuama Dessinateur de l'album : Yuama Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Shizuku se prépare à faire face à Kaori. Les mots sincères de celle-ci la touchent en plein coeur, et Shizuku accepte de redonner une chance à leur relation estivale éphémère. Mais alors que les doutes de Shizuku semblent commencer à se dissiper, il semble que Kaori cache quelque chose... Critique : On va être très honnête : Ces deux tomes avaient pour eux la lourde charge de statuer sur le devenir de la série à la maison…En effet, j'ai trouvé les deux premiers un peu trop convenus et faciles... Et bien cette suite a réussi sa mission : on continue ! Ce revirement est dû à un changement dans notre histoire avec une orientation du récit non pus sur les sentiments de notre héroïne, mais bien sûr la maladie de Kaori et, surtout, le difficile rapport d'une ado à la possibilité de la fin de vie. J'ai trouvé que ce traitement était très juste et très émouvant. Shizuku est dépassée, mais l'est d'une façon qui semble réellement naturelle. C'est très émouvant et bien plus prenant que les deux premiers tomes ne pouvaient le laisser penser. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/notre-ete-ephemere-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Franchement je n'y croyais pas. Le truc de la fille qui ne fait rien sauf être "in love" avec une fille qui ne l'aime pas jusqu'à la faire craquer… ça avait l'air niait au possible. Et bien pas du tout. Enfin pas vraiment. Alors oui le scenario n'est pas "fou fou" comme dirait ma fille. Mais c'est très mignon et au final se trouve être un vrai Isekai avec une fille très forte et pleine de connaissance. Les aventures rapprochent nos filles de façon "logique" ce qui casse l'aspect "niait" et "culcul" pour rendre cela juste mignon. Deux bons premiers tomes. J'attaque la suite !
  24. Titre de l'album : I’m in love with the villainess tome 1 & 2 Scenariste de l'album : Inori Dessinateur de l'album : Aonoshimo Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Rei Ohashi est une employée de bureau surmenée qui se voit réincarnée dans son jeu de drague préféré " Révolution ", sous le nom de l'héroïne Rae Taylor. Pourtant, ce ne sont pas les princes du jeu qui l'intéressent... mais la méchante noble Claire François ! Utilisant sa connaissance du jeu, Rae a réussi à devenir la servante de Claire. Pourtant, elle se retrouve à jouer les intermédiaires entre Thane et Claire...? Critique : Franchement je n'y croyais pas. Le truc de la fille qui ne fait rien sauf être "in love" avec une fille qui ne l'aime pas jusqu'à la faire craquer… ça avait l'air niait au possible. Et bien pas du tout. Enfin pas vraiment. Alors oui le scenario n'est pas "fou fou" comme dirait ma fille. Mais c'est très mignon et au final se trouve être un vrai Isekai avec une fille très forte et pleine de connaissance. Les aventures rapprochent nos filles de façon "logique" ce qui casse l'aspect "niait" et "culcul" pour rendre cela juste mignon. Deux bons premiers tomes. J'attaque la suite ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/im-in-love-with-the-villainess-tome-1-9782385034054?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Kabukichô bad trip tomes 1 et 2

    Tôru est un hôte qui a plutôt du succès et ce n’est pas uniquement dû à son physique, il peut en effet lire dans les pensées des gens et peut donc répondre au mieux à leurs attentes. Un jour, il croise le mannequin dont il est fan, Mizuki, et sans vraiment le vouloir, il découvre que ce dernier à des penchants originaux. Cela ne l’empêche pas de continuer à le côtoyer et devant l’amour qu’il ressent, il est prêt à assouvir quelques fantasmes de Mizuki. Avant toute chose, ce titre est réservé à un public averti, en plus des scènes osées, il y a des idées coquines à foison. Le récit joue sur deux tableaux, le premier est le pouvoir de Tôru qui peut lire les pensées des autres juste en les regardant, un pouvoir dont il ne se sert pas à mauvais escient et qui permet au lecteur de voir les différences qui existent entre les pensées et les mises en application de l’autre. L’auteur montre ainsi qu’il y a une différence entre les fantasmes et la réalité et qu’il ne faut pas forcément faire l’amalgame, il montre également qu’il ne faut pas « juger un livre à sa couverture ». Par ailleurs, cette narration permet d’entrer dans la psychologie des personnages ; le lecteur comprend ainsi les efforts qui sont fournis et les concessions qui sont faites de part et d’autre afin que leur histoire d’amour fonctionne. Le deuxième point abordé mais qui n’est pas vraiment approfondi dans ces deux premiers tomes, c’est l’admiration de Tôru envers un mannequin homme. S’il cache cette « passion » c’est à cause du regard de la société toujours prête à juger. Et bien sûr, il y a la romance qui évolue peu à peu, servie par un trait fin et élégant. Kabukichô Bad Trip fait donc un bon début avec une histoire qui sort de l’ordinaire, coquine et intéressante.
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