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  1. Nickad

    Amants sous contrat

    Yamada est bien embêté, c’est un employé sérieux, séduisant et surtout très gentil toujours prêt à aider ses collègues ou à les écouter. Hélas, l’une d’elle en a profité pour prendre ses rêves pour la réalité et n’arrête pas de le coller et va même jusqu’à fouiller dans ses affaires. Ne sachant comment la faire arrêter il prétend qu’il est en couple avec Moriyama, un collègue qu’il ne côtoie pas souvent mais qui est un ancien camarade étudiant. L’aspect vraiment original vient du fait que Yamada se fasse harcelé. Pour une fois, c’est l’homme la cible et la jeune office lady le stalker. Le personnage principal est un peu fade, il manque clairement de caractère et il est assez incohérent : pour se débarrasser d’une gêneuse, il n’hésite pas à accepter de vendre son corps ! Il a de la chance quand même, il demande un service à son collègue gay qui en plus est amoureux de lui !! Moriyama, lui, passe trop vite du nerd au beau gosse. Je sais bien que c’est un one shot mais tout va un peu trop vite et tout se passe un peu trop bien entre les deux hommes. La romance est globalement gentillette, il y a des passages attendrissants mais certains aspects auraient pu être plus développés afin de donner un peu de dynamisme au récit.
  2. Titre de l'album : Amants sous contrat Scenariste de l'album : Io Matsuda Dessinateur de l'album : Io Matsuda Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Yanaka et Moriyama sont en couple... Bien qu'il s'agisse d'une fausse histoire d'amour en réalité ! Alors que Yanaka est harcelé par une de ses collègues, il demande à Moriyama de se faire passer pour son petit ami, en échange de quoi il fera tout ce qu'il veut. Mais voilà que Moriyama désire en contrepartie le corps de Yanaka ?! Yanaka va ainsi découvrir de nouvelles facettes de Moriyama et confus, il va commencer à s'abandonner à lui... Qu'adviendra t-il de leur relation basée sur un mensonge ?! "Je ne peux plus le nier à présent. Je suis tombé amoureux de toi." Critique : Yamada est bien embêté, c’est un employé sérieux, séduisant et surtout très gentil toujours prêt à aider ses collègues ou à les écouter. Hélas, l’une d’elle en a profité pour prendre ses rêves pour la réalité et n’arrête pas de le coller et va même jusqu’à fouiller dans ses affaires. Ne sachant comment la faire arrêter il prétend qu’il est en couple avec Moriyama, un collègue qu’il ne côtoie pas souvent mais qui est un ancien camarade étudiant. L’aspect vraiment original vient du fait que Yamada se fasse harcelé. Pour une fois, c’est l’homme la cible et la jeune office lady le stalker. Le personnage principal est un peu fade, il manque clairement de caractère et il est assez incohérent : pour se débarrasser d’une gêneuse, il n’hésite pas à accepter de vendre son corps ! Il a de la chance quand même, il demande un service à son collègue gay qui en plus est amoureux de lui !! Moriyama, lui, passe trop vite du nerd au beau gosse. Je sais bien que c’est un one shot mais tout va un peu trop vite et tout se passe un peu trop bien entre les deux hommes. La romance est globalement gentillette, il y a des passages attendrissants mais certains aspects auraient pu être plus développés afin de donner un peu de dynamisme au récit. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/amants-sous-contrat?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Grapefruit moon

    Kazuki a été émerveillé par un pâtissier quand il était enfant. Pour lui, c’était comme voir un magicien ! Il aurait bien aimé exercé le même métier mais il a dû y renoncer à cause de sa maladresse. Du coup, au lieu de cuisiner, il s’offre régulièrement de beaux gâteaux. Le jour où la pâtisserie de son enfance rouvre après travaux, il se fait embaucher comme serveur et rencontre Yoichiro, le nouveau chef, un génie en son genre qui a perdu sa motivation. Bien qu’il y ait une romance, Grapefruit Moon est plus l’histoire de passions : comment réaliser ses rêves quand le talent ou la motivation ne sont plus là ? Comme se remettre d’un échec ? et Tout simplement, comment vivre sa vie à fond sans avoir de regret. Les personnages sont lumineux ; Kazuki respire la joie de vivre et arrive parfaitement à transmettre son amour pour les pâtisseries et le bonheur que procure les instants de partage ! En plus de cela, le dessin est fin et soigné, les proportions sont harmonieuses et un baiser est ce qu’il y a de plus osé (tout public donc). Un livre à savourer.
  4. Nickad

    Grapefruit moon

    Titre de l'album : Grapefruit moon Scenariste de l'album : Tomo Serizawa Dessinateur de l'album : Tomo Serizawa Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Kazuki, un étudiant qui adore les sucreries, obtient un emploi à temps partiel dans une petite pâtisserie locale du nom de Fujimura. Lui est très maladroit et tête en l'air, tandis que Yôichirô, le chef pâtissier de la boutique, qui ne paraît pas des plus accueillants au premier abord, est en réalité très attentionné. Sans compter que les gâteaux qu'il crée de ses mains expertes sont incroyablement beaux ! En apprenant que Yôichirô avait quitté un célèbre établissement et qu'il perdait sa passion pour la pâtisserie, Kazuki décide de faire tout ce qu'il peut pour raviver ses papilles... Critique : Kazuki a été émerveillé par un pâtissier quand il était enfant. Pour lui, c’était comme voir un magicien ! Il aurait bien aimé exercé le même métier mais il a dû y renoncer à cause de sa maladresse. Du coup, au lieu de cuisiner, il s’offre régulièrement de beaux gâteaux. Le jour où la pâtisserie de son enfance rouvre après travaux, il se fait embaucher comme serveur et rencontre Yoichiro, le nouveau chef, un génie en son genre qui a perdu sa motivation. Bien qu’il y ait une romance, Grapefruit Moon est plus l’histoire de passions : comment réaliser ses rêves quand le talent ou la motivation ne sont plus là ? Comme se remettre d’un échec ? et Tout simplement, comment vivre sa vie à fond sans avoir de regret. Les personnages sont lumineux ; Kazuki respire la joie de vivre et arrive parfaitement à transmettre son amour pour les pâtisseries et le bonheur que procure les instants de partage ! En plus de cela, le dessin est fin et soigné, les proportions sont harmonieuses et un baiser est ce qu’il y a de plus osé (tout public donc). Un livre à savourer. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/grapefruit-moon?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Le concept du manga est simple : montrer que les filles ont aussi le droit de jouer à des jeux de combat et d’être passionnées par eux. Qu’elles peuvent être aussi geeks que des garçons en quelque sorte !! Le plus du scénario c’est d’avoir choisi comme héroïnes des jeunes filles qui vont dans un lycée huppé, un établissement pour demoiselles de bonnes famille aux manières impeccables qui feront la fierté de la société ! Cela aurait pu être bien si les deux personnages principaux étaient vraiment issus de la haute société, cela aurait une sorte de transgression des règles établies… Mais ici, la petite brunette est une boursière, elle a grandi au milieu des jeux vidéo ! Et celle aux cheveux argentés, surnommée « le lys blanc », est une gameuse dans l’âme qui se répand en injures quand elle joue. On tombe un peu dans la facilité je trouve. Mais ce n’est pas le plus dérangeant : car au final, on a des pages et des pages de jeu avec des techniques de combat… Le côté intéressant vient du fait qu’elles sont obligées de se cacher pour jouer mais sinon, les parties de combat trainent en longueur et le scénario est limité. On voit cependant que l’on a évolué, avant le fan service c’était des filles et des guns, maintenant ce sera des filles et des jeux vidéo !! Bref, je passe mon tour.
  6. Titre de l'album : Young ladies don't play fighting games tome 1 Scenariste de l'album : Eri Ejima Dessinateur de l'album : Eri Ejima Coloriste : Editeur de l'album : Vega-Dupuis Note : Résumé de l'album : June élève de première année, Aya étudie dans une école pour filles prestigieuse malgré sa condition modeste grâce à une bourse d'étude. Elle admire et rêve de devenir celle qu'on surnomme le « Lys blanc », la fille la plus populaire de l'institut en devenant elle-même une lady malgré son manque d'éducation. Un jour, elle surprend le « Lys blanc » jouer avec passion à un jeu de combat en cachette alors qu'ils sont interdits à l'école. Cette dernière prie Aya de garder son secret, mais reviendra vers elle pour lui demander...une partie ! Aya, qui est une ancienne joueuse accepte malgré les convenances de jouer avec elle. Cette rencontre marquera entre les deux filles le début d'une drôle de relation... Critique : Le concept du manga est simple : montrer que les filles ont aussi le droit de jouer à des jeux de combat et d’être passionnées par eux. Qu’elles peuvent être aussi geeks que des garçons en quelque sorte !! Le plus du scénario c’est d’avoir choisi comme héroïnes des jeunes filles qui vont dans un lycée huppé, un établissement pour demoiselles de bonnes famille aux manières impeccables qui feront la fierté de la société ! Cela aurait pu être bien si les deux personnages principaux étaient vraiment issus de la haute société, cela aurait une sorte de transgression des règles établies… Mais ici, la petite brunette est une boursière, elle a grandi au milieu des jeux vidéo ! Et celle aux cheveux argentés, surnommée « le lys blanc », est une gameuse dans l’âme qui se répand en injures quand elle joue. On tombe un peu dans la facilité je trouve. Mais ce n’est pas le plus dérangeant : car au final, on a des pages et des pages de jeu avec des techniques de combat… Le côté intéressant vient du fait qu’elles sont obligées de se cacher pour jouer mais sinon, les parties de combat trainent en longueur et le scénario est limité. On voit cependant que l’on a évolué, avant le fan service c’était des filles et des guns, maintenant ce sera des filles et des jeux vidéo !! Bref, je passe mon tour. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/young-ladies-don-t-play-fighting-games-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    No-Go Zone X tome 1

    Vous aimez Sweet Home ? Vous aimerez ce manga, enfin sauf si vous voulez un scénario original car les deux se ressemblent quand même beaucoup. Quand Ryôka se réveille de sa sieste, elle est seule dans son appartement mais pas dans son immeuble ! Un monstre géant s’est accolé au bâtiment, un monstre terrifiant qui attaque dès qu’il vous voit. Et c’est ainsi qu’elle mourut. Quand elle se réveille la seconde fois, elle est revenue au point de départ (son premier réveil) avec les souvenirs de la journée passée. Même si elle a du mal à y croire, elle essaye d’anticiper les événements et surtout échapper au monstre. Heureusement elle n’est pas seule dans l’immeuble et Shûhei, un camarade de classe et ami d’enfance, est aussi présent. Mais hélas, cette régression est accompagnée d’un changement important : ce n’est plus le même monstre ! Et c’est ainsi qu‘ils moururent ! Dans chaque boucle, de petits changements se produisent qui amèneront peut-être Ryôka vers le salut. On est dans une ambiance assez sombre où très peu d’informations sont données, ce qui fait que l’on ne sait jamais à quoi s’attendre. La série est finie en 3 tomes et ça c’est une bonne nouvelle car certains mangas ont tendance à trainer en longueur pour pas grand-chose. A suivre.
  8. Titre de l'album : No-Go Zone X tome 1 Scenariste de l'album : Romy Oishi Dessinateur de l'album : Meshe Coloriste : Editeur de l'album : Omaké Note : Résumé de l'album : Ryoka, une lycéenne, se réveille un beau matin et comprend rapidement qu'elle est seule, bloquée à l'intérieur de son immeuble dont tous les accès ont été fermés. D'après un message de sa mère se trouvant à l'extérieur, une mystérieuse créature appelée « X » se trouve dans leur appartement... Comment va-t-elle pouvoir s'enfuir ? Quelqu'un peut-il l'aider ? Et surtout, pourquoi Ryoka est-elle la seule à être restée enfermée dans cet immeuble ? Critique : Vous aimez Sweet Home ? Vous aimerez ce manga, enfin sauf si vous voulez un scénario original car les deux se ressemblent quand même beaucoup. Quand Ryôka se réveille de sa sieste, elle est seule dans son appartement mais pas dans son immeuble ! Un monstre géant s’est accolé au bâtiment, un monstre terrifiant qui attaque dès qu’il vous voit. Et c’est ainsi qu’elle mourut. Quand elle se réveille la seconde fois, elle est revenue au point de départ (son premier réveil) avec les souvenirs de la journée passée. Même si elle a du mal à y croire, elle essaye d’anticiper les événements et surtout échapper au monstre. Heureusement elle n’est pas seule dans l’immeuble et Shûhei, un camarade de classe et ami d’enfance, est aussi présent. Mais hélas, cette régression est accompagnée d’un changement important : ce n’est plus le même monstre ! Et c’est ainsi qu‘ils moururent ! Dans chaque boucle, de petits changements se produisent qui amèneront peut-être Ryôka vers le salut. On est dans une ambiance assez sombre où très peu d’informations sont données, ce qui fait que l’on ne sait jamais à quoi s’attendre. La série est finie en 3 tomes et ça c’est une bonne nouvelle car certains mangas ont tendance à trainer en longueur pour pas grand-chose. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/no-go-zone-x-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Titre de l'album : Blood-crawling princess tome 1 Scenariste de l'album : Yuki Azuma Dessinateur de l'album : Yuki Azuma Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Ils l'ont traînée dans la boue, elle va faire couler leur sang. La princesse Evita menait une vie modeste mais heureuse dans son petit royaume jusqu'au jour où le pays voisin attaque sans préavis. Elle assiste, impuissante, au sac de ses terres et au massacre de sa famille. Seule survivante, Evita est vendue à une maison close, où elle devient la prostituée Priscilla. Alors qu'elle semble condamnée à une vie de torture aux mains du troisième fils du souverain, les cloches de la révolte sonnent enfin. Critique : Un grand empire désireux de conquêtes et de pouvoir envahit un jour le petit royaume paisible de Batalia, exterminant la population. Par miracle Evita, la princesse du royaume arrive à s’échapper et n’a pas d’autre choix que de vendre son corps pour survivre. Elle est donc devenue, sous le nom de Priscilla, l’une des courtisanes les plus prisées de la ville de San Missa, un endroit dédié au plaisir composé de maisons closes où les femmes y sont retenues contre leur gré jusqu’à leur mort. Mais Priscilla n’est pas la gentille idiote qu’elle laisse paraitre et elle fomente sa vengeance contre l’empire en entrainant dans son sillage toutes les femmes de la cité. Il est temps de lancer la contre-attaque ! Si dans The brave wish revenging, on a Raoul, le héros trahi, qui prend sa revanche de façon extrême, Evita est son pendant féminin. Une héroïne forte qui va frapper un grand coup (plusieurs même !) que ce soit contre l’empire mais surtout contre les hommes. Pour dire, Kurokawa a accompagné l’envoi du service de presse d’un casse-noix, je vous laisse deviner son utilisation :) ! C’est antitotalitarisme et anti-patriarcal à souhait !! Par contre, le manga est violent et à réserver à un public averti. Reste à voir si le scénario va tomber dans une accumulation de scènes choquantes (comme son pendant) ou s’il va proposer une trame plus constructive et intéressante. À suivre Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blood-crawling-princess-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    Blood-crawling princess tome 1

    Un grand empire désireux de conquêtes et de pouvoir envahit un jour le petit royaume paisible de Batalia, exterminant la population. Par miracle Evita, la princesse du royaume arrive à s’échapper et n’a pas d’autre choix que de vendre son corps pour survivre. Elle est donc devenue, sous le nom de Priscilla, l’une des courtisanes les plus prisées de la ville de San Missa, un endroit dédié au plaisir composé de maisons closes où les femmes y sont retenues contre leur gré jusqu’à leur mort. Mais Priscilla n’est pas la gentille idiote qu’elle laisse paraitre et elle fomente sa vengeance contre l’empire en entrainant dans son sillage toutes les femmes de la cité. Il est temps de lancer la contre-attaque ! Si dans The brave wish revenging, on a Raoul, le héros trahi, qui prend sa revanche de façon extrême, Evita est son pendant féminin. Une héroïne forte qui va frapper un grand coup (plusieurs même !) que ce soit contre l’empire mais surtout contre les hommes. Pour dire, Kurokawa a accompagné l’envoi du service de presse d’un casse-noix, je vous laisse deviner son utilisation :) ! C’est antitotalitarisme et anti-patriarcal à souhait !! Par contre, le manga est violent et à réserver à un public averti. Reste à voir si le scénario va tomber dans une accumulation de scènes choquantes (comme son pendant) ou s’il va proposer une trame plus constructive et intéressante. À suivre
  11. J’ai découvert cette série par son anime que j’avais bien apprécié. Je n’ai pas été déçue par le manga, les deux sont cohérents que ce soit au niveau du graphisme ou du scénario. Notre héros était un assassin hors pair mais dans ce genre d’organisation, il n’y a pas de retraite (Comme pour Killer Peter !) : vous mourrez en mission ou vous êtes éliminé ! C’est ce qui s’est passé pour notre héros, il est mort lors de l’explosion d’un avion. Mais son profil intéressait la déesse d’un autre monde qui cherche des personnes capables d’éliminer le futur héros de son monde. Comme souvent, le héros surpuissant est un problème : soit il fait de l’ombre au roi en place soit il se lâche et représente une calamité pour les habitants. Donc Lugh (c’est son nouveau nom) se voit offrir une nouvelle vie avec un objectif à atteindre : assassiner le héros mais seulement après qu’il ait vaincu le seigneur démon !! Pour cela, il peut choisir quelques compétences et renaît dans une famille avec des moyens : les Tuatha Dé, une famille d’assassins au service de la royauté. Le voilà donc à améliorer ses compétences, chercher des armes ou des techniques efficaces et trouver des renseignements sur sa cible. Mais ce qu’il n’avait pas anticiper ce sont les liens affectifs qu’il va développer : famille, amis et amour ! On a un shonen efficace bien ficelé et rythmé. Les personnages sont attachants, le graphisme est agréable et adapté et le scénario contient assez d’évènements pour ne pas avoir le temps de s’ennuyer. Par contre, je ne sais pas si la partie « harem » était nécessaire mais c’est un élément classique de ce genre d’isekai et vu qu’il n’est pas trop lourd, il ne dérange pas. Una aventure à suivre !
  12. Titre de l'album : The world's finest assassin tomes 1 & 2 Scenariste de l'album : Rui Tsukiyo Dessinateur de l'album : Hamao Sumeragi Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Ayant la lourde et dure mission de tuer le héros qui provoquera la fin du monde, Lugh vise à devenir le meilleur assassin de l'histoire en mélangeant les compétences issues de son ancienne vie et la magie de ce monde. Voici l'histoire fantastique mêlant réincarnation et assassins ! Critique : J’ai découvert cette série par son anime que j’avais bien apprécié. Je n’ai pas été déçue par le manga, les deux sont cohérents que ce soit au niveau du graphisme ou du scénario. Notre héros était un assassin hors pair mais dans ce genre d’organisation, il n’y a pas de retraite (Comme pour Killer Peter !) : vous mourrez en mission ou vous êtes éliminé ! C’est ce qui s’est passé pour notre héros, il est mort lors de l’explosion d’un avion. Mais son profil intéressait la déesse d’un autre monde qui cherche des personnes capables d’éliminer le futur héros de son monde. Comme souvent, le héros surpuissant est un problème : soit il fait de l’ombre au roi en place soit il se lâche et représente une calamité pour les habitants. Donc Lugh (c’est son nouveau nom) se voit offrir une nouvelle vie avec un objectif à atteindre : assassiner le héros mais seulement après qu’il ait vaincu le seigneur démon !! Pour cela, il peut choisir quelques compétences et renaît dans une famille avec des moyens : les Tuatha Dé, une famille d’assassins au service de la royauté. Le voilà donc à améliorer ses compétences, chercher des armes ou des techniques efficaces et trouver des renseignements sur sa cible. Mais ce qu’il n’avait pas anticiper ce sont les liens affectifs qu’il va développer : famille, amis et amour ! On a un shonen efficace bien ficelé et rythmé. Les personnages sont attachants, le graphisme est agréable et adapté et le scénario contient assez d’évènements pour ne pas avoir le temps de s’ennuyer. Par contre, je ne sais pas si la partie « harem » était nécessaire mais c’est un élément classique de ce genre d’isekai et vu qu’il n’est pas trop lourd, il ne dérange pas. Una aventure à suivre ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-world-s-finest-assassin-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Vavam Vampire tome 1

    Qui est Ranmaru Mori ? c’est certes un samurai à l’époque d’Oda Nobunaga mais c’est surtout l’employé des bains de la Carpe au Japon contemporain. Un employé un peu spécial car derrière son comportement d’employé modèle, c’est surtout un vampire qui lorgne sur le fils de famille, il attend depuis une décennie que ce dernier atteigne la majorité avent de la croquer car pour lui, rien n’est plus délicieux que le sang d’un adolescent encore vierge qui s’ouvre à ses premiers émois ! Mais son plan risque de tomber à l’eau le jour où le garçon vit son premier coup de foudre : Ranmaru compte bien se débarrasser de la gêneuse ! Voici un vampire bien différent de ceux que l’on a l’habitude de voir dans les mangas. Oublié le vampire séduisant au cœur des shojo ou le vampire puissant et combatif des shonen ! Ran ne rentre dans aucune case connue : il n’est pas imbu de lui-même, ne joue pas au mystérieux (il dit ouvertement qu’il est un vampire), il est prêt à faire n’importe quel travail ou action pour atteindre son objectif. Au final, on a un scénario original, un personnage intéressant et beaucoup de pointes d’humour qui font de cette série un pur moment de divertissement sans prise de tête. Pour information l’anime est sorti en janvier 2025 au Japon et diffusé en simulcast sur Netflix, il y aura aussi un long métrage qui devrait sortir sur les écrans nippons cet été. En attendant, vous pouvez vous offrir la version collector du premier tome avec une jaquette alternative et un standee de Ranmaru.
  14. Titre de l'album : Vavam Vampire tome 1 Scenariste de l'album : Hiromasa Okujima Dessinateur de l'album : Hiromasa Okujima Coloriste : Editeur de l'album : Crunchyroll Note : Résumé de l'album : Ranmaru Mori vit et travaille aux bains de la Carpe, tenus par la famille Tatsuno depuis des générations. Le jeune homme est particulièrement proche de Rihito qui s'apprête à entrer au lycée. Tel un grand frère bienveillant, il est toujours là pour offrir un conseil ou veiller sur l'adolescent dans l'ombre. Après tout, Rihito lui a sauvé la vie, il y a des années de ça. Depuis, Ranmaru attend le moment idéal pour le dévorer. Car l'employé modèle est un vampire de 450 piges et surtout un fin gourmet ! Il fera tout pour protéger Rihito jusqu'à sa majorité : quand le sang des jeunes hommes purs est le plus délicieux. Mais le lycée, c'est l'arrivée de tous les vices dans l'existence d'un garçon entre sorties en tre potes, filles et rites de passage... Pour espérer croquer le fruit de son travail acharné, le vampire va devoir se démener ! Critique : Qui est Ranmaru Mori ? c’est certes un samurai à l’époque d’Oda Nobunaga mais c’est surtout l’employé des bains de la Carpe au Japon contemporain. Un employé un peu spécial car derrière son comportement d’employé modèle, c’est surtout un vampire qui lorgne sur le fils de famille, il attend depuis une décennie que ce dernier atteigne la majorité avent de la croquer car pour lui, rien n’est plus délicieux que le sang d’un adolescent encore vierge qui s’ouvre à ses premiers émois ! Mais son plan risque de tomber à l’eau le jour où le garçon vit son premier coup de foudre : Ranmaru compte bien se débarrasser de la gêneuse ! Voici un vampire bien différent de ceux que l’on a l’habitude de voir dans les mangas. Oublié le vampire séduisant au cœur des shojo ou le vampire puissant et combatif des shonen ! Ran ne rentre dans aucune case connue : il n’est pas imbu de lui-même, ne joue pas au mystérieux (il dit ouvertement qu’il est un vampire), il est prêt à faire n’importe quel travail ou action pour atteindre son objectif. Au final, on a un scénario original, un personnage intéressant et beaucoup de pointes d’humour qui font de cette série un pur moment de divertissement sans prise de tête. Pour information l’anime est sorti en janvier 2025 au Japon et diffusé en simulcast sur Netflix, il y aura aussi un long métrage qui devrait sortir sur les écrans nippons cet été. En attendant, vous pouvez vous offrir la version collector du premier tome avec une jaquette alternative et un standee de Ranmaru. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/vavam-vampire-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Titre de l'album : Comme dans un shojo tomes 1 & 2 Scenariste de l'album : Shina Suzuka Dessinateur de l'album : Shina Suzuka Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Kitaoji est un bel homme d'affaires qui rêve d'une romance comme dans les shojo. Un jour, par hasard, il apprend qu'Arima, son collègue de travail, lit aussi des mangas pour filles, et ils deviennent amis. Kitaoji est ravi de trouver quelqu'un à qui parler de sa passion secrète pour la première fois, mais il y a en fait un gros malentendu entre les deux... !? Critique : Quand un homme fan de shojo rencontre un homme homosexuel, il peut vite y avoir des malentendus mais rien que la communication ne saurait résoudre ! Cette relation va vite évoluer d’amitié en amour. Elle n’est pas non plus la thématique principale de ce manga car ici, on parle d’identité, de vivre ses passions et de les assumer. On parle du regard des autres et de la bienséance aux yeux de la société. Kitaôji est un très bon homme d’affaires, il représente le gendre idéal, celui que toutes les jeunes femmes espèrent avoir comme époux. Seulement, il est passionné de shojo et s’en cache depuis que son ex l’a regardé de travers avec un soupçon de dégoût. Alors lorsqu’il découvre que son collègue lit aussi des shojos, il pense qu’ils sont pareils et se dévoile sauf que ce dernier n’a pas vraiment les mêmes intentions. C’est un très bon manga, en dehors du très beau dessin, il a des thématiques importantes. Comment s’assumer dans une société bourrée de préjugés et de règles restrictives ? Pourquoi les hommes ne pourraient pas lire de shojo ? Comment dépasser un traumatisme ? Et tout simplement comment communiquer ? Et puis, il y a un côté très mignon, très fleurs bleues et romantique… très shojo quoi ! Ça met du baume au cœur et un sourire aux lèvres. À lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/comme-dans-un-shojo-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    Comme dans un shojo tomes 1 & 2

    Quand un homme fan de shojo rencontre un homme homosexuel, il peut vite y avoir des malentendus mais rien que la communication ne saurait résoudre ! Cette relation va vite évoluer d’amitié en amour. Elle n’est pas non plus la thématique principale de ce manga car ici, on parle d’identité, de vivre ses passions et de les assumer. On parle du regard des autres et de la bienséance aux yeux de la société. Kitaôji est un très bon homme d’affaires, il représente le gendre idéal, celui que toutes les jeunes femmes espèrent avoir comme époux. Seulement, il est passionné de shojo et s’en cache depuis que son ex l’a regardé de travers avec un soupçon de dégoût. Alors lorsqu’il découvre que son collègue lit aussi des shojos, il pense qu’ils sont pareils et se dévoile sauf que ce dernier n’a pas vraiment les mêmes intentions. C’est un très bon manga, en dehors du très beau dessin, il a des thématiques importantes. Comment s’assumer dans une société bourrée de préjugés et de règles restrictives ? Pourquoi les hommes ne pourraient pas lire de shojo ? Comment dépasser un traumatisme ? Et tout simplement comment communiquer ? Et puis, il y a un côté très mignon, très fleurs bleues et romantique… très shojo quoi ! Ça met du baume au cœur et un sourire aux lèvres. À lire.
  17. Seno est le majordome attitré de Ryôsuke, un alpha dominant et aussi son ami d’enfance. Il fait passer son travail avant et reste stoïque en toute occasion également quand Ryôsuke le provoque volontairement en ayant des relations sexuelles avec des omegas devant lui. Cependant Seno a de plus en plus de mal à contenir sa propre libido et se rend secrètement en ville pour avoir des relations d’une nuit en se faisant passer pour un omega. Mais il se peut que ses changements physiques aient une origine qu’il ignore… Les Bêtas ne sont pas forcément les personnages le plus mis à l’honneur dans l’omegaverse et souvent, sous l’influence des phéromones alpha, ils finissent par changer de genre. C’est une facilité dans le scénario qui permet des scènes érotiques osées ! Ce manga propose une approche différente et assez surprenante que je ne vous dévoilerai pas ! La série n’est pas désagréable mais manque un peu de peps. La révélation de fin du tome un est cassez dérangeante… Et j’ai un peu peur que la fin tombe dans l’écueil de la facilité, ce sera à voir dans le 3e et dernier tome de la série.
  18. Titre de l'album : Le pauvre bêta ne connaît pas l'amour tomes 1 & 2 Scenariste de l'album : Shima Yashiki Dessinateur de l'album : Shima Yashiki Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Suzuharu Seno (bêta) est le majordome personnel de Ryôsuke Isezaki (alpha),héritier d'une illustre famille. Libre et incontrôlable, Ryôsuke ne se satisfait pas des omégas avec qui il couche et il essaye de séduire Seno, dont le corps réagit malgré lui, même en sachant que son maître n'est pas sérieux... Un maître alpha fait tomber son majordome bêta dans son piège amoureux ! Critique : Seno est le majordome attitré de Ryôsuke, un alpha dominant et aussi son ami d’enfance. Il fait passer son travail avant et reste stoïque en toute occasion également quand Ryôsuke le provoque volontairement en ayant des relations sexuelles avec des omegas devant lui. Cependant Seno a de plus en plus de mal à contenir sa propre libido et se rend secrètement en ville pour avoir des relations d’une nuit en se faisant passer pour un omega. Mais il se peut que ses changements physiques aient une origine qu’il ignore… Les Bêtas ne sont pas forcément les personnages le plus mis à l’honneur dans l’omegaverse et souvent, sous l’influence des phéromones alpha, ils finissent par changer de genre. C’est une facilité dans le scénario qui permet des scènes érotiques osées ! Ce manga propose une approche différente et assez surprenante que je ne vous dévoilerai pas ! La série n’est pas désagréable mais manque un peu de peps. La révélation de fin du tome un est cassez dérangeante… Et j’ai un peu peur que la fin tombe dans l’écueil de la facilité, ce sera à voir dans le 3e et dernier tome de la série. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-pauvre-beta-ne-connait-pas-l-amour-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Titre de l'album : Boruto - two blue vortex tome 3 Scenariste de l'album : Masashi Kishimoto Dessinateur de l'album : Mikio Ikemoto Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Les shinju Jûra et Hidari attaquent le village de Konoha. L'équipe 10 Ino-Shika-Chô vient s'interposer lorsque Jûra tente de dévorer Himawari. C'est alors que Kyûbi, qui sommeillait à l'intérieur de Himawari, s'éveille... Par ailleurs, Hidari croise Sarada, et l'affrontement commence. Que vont faire Boruto et Kawaki alors que Konoha se trouve dans une impasse ? Critique : Rhhhaaa moi qui croyais être devenu hermétique à la suite de Naruto, ce Blue Vortex est en train de me replonger dedans ! Ce tome 3 est excellent. Il remet sur le devant de la scène toutes les parties de Naruto que j'aimais. On voit revenir Kyubi et on ne focalise pas que sur l'opposition entre Boruto et Kawaki (personnage devenu très chiant) en étendant l'aventure au village de Konoha et particulièrement à la sœur de Boruto : Himawari. On retrouve à la fois un esprit de corps et d'équipe, mais aussi une Himawari jeune et propulsé au centre d'une attention que les gènes de sa même cherchaient à lui faire fuir. Ce coté "enfant dépassé" par les événements amène un petit coté émouvant qui tranche avec le poker face de Kawaki et le côté détaché de Boruto. Bref j'en suis passé de "Au non encore une suite" à... mince j'ai pas tous les tomes de boruto.... J'suis mort ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/boruto-two-blue-vortex-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    Boruto - two blue vortex tome 3

    Rhhhaaa moi qui croyais être devenu hermétique à la suite de Naruto, ce Blue Vortex est en train de me replonger dedans ! Ce tome 3 est excellent. Il remet sur le devant de la scène toutes les parties de Naruto que j'aimais. On voit revenir Kyubi et on ne focalise pas que sur l'opposition entre Boruto et Kawaki (personnage devenu très chiant) en étendant l'aventure au village de Konoha et particulièrement à la sœur de Boruto : Himawari. On retrouve à la fois un esprit de corps et d'équipe, mais aussi une Himawari jeune et propulsé au centre d'une attention que les gènes de sa même cherchaient à lui faire fuir. Ce coté "enfant dépassé" par les événements amène un petit coté émouvant qui tranche avec le poker face de Kawaki et le côté détaché de Boruto. Bref j'en suis passé de "Au non encore une suite" à... mince j'ai pas tous les tomes de boruto.... J'suis mort !
  21. On parle beaucoup de la Japan expo, on s’en fait une certaine idée mais au fait c’est quoi exactement ? La Japan expo est le plus grand événement européen autour de la culture du Japon, situé au parc des expositions de Villepinte au nord-est de Paris, pas très loin de l’aéroport Charles de Gaulle. L’exposition se déroule sur 4 jours (en général le 1er week-end de juillet) il s’étend sur plusieurs halls du parc des expositions, comme vous pouvez le voir sur le plan ci-dessous. Qu’est-ce qu’on y trouve ? - Une grosse partie est dédiée à l’univers du manga avec la présence d’une bonne partie des éditeurs français et quelques indépendants : chacun propose une partie librairie où vous pouvez obtenir des goodies inédits ou exclusifs, les éditeurs qui ont plus de moyens propose aussi des animations autour de leurs séries phares, vous pouvez aussi retrouver un espace dédicace et y rencontrer des auteurs. Il y a aussi certaines plateformes de webtoon avec événements cadeaux et dédicaces. - Une partie fanart où il y a des auteurs indépendants, des artistes qui font des illustrations originales ou dérivées de personnages connus, des créations kawaii… - Une partie merchandising où vous pouvez acheter figurines, produits dérivés, katanas, vêtements de cosplay, peluches… - Une autre grosse partie autour des jeux video avec des bornes pour tester les jeux, des quizzs avec des cadeaux à gagner… - Une partie autour de la musique avec des scènes où l’on peut voir des groupes K-pop ou des idoles japonaises - Un espace jeux et sports pour pratiquer des jeux de société traditionnels ou faire une initiation au sumo - Un village d’artisans japonais (ambiance très zen !) avec des objets et des artisans en provenance directe du Japon, on n’a notamment pu assister à un aiguisage de couteaux par un maitre coutelier selon les méthodes traditionnelles. Cet espace avait également une scène pour y entendre de la musique et y voir des danses traditionnelles (concert de shamisen par exemple) - Un espace détente pour découvrir le shiatsu, suivre un court enseignement ou profiter d’une séance de 30 minutes - Un espace autour du cosplay avec la possibilité de rencontrer des cosplayeurs célèbres, de faire réparer son costume si un problème est survenu pendant le salon, de se faire prendre en photo par des professionnels, de faire des photos de groupe autour d’un même thème et donc d’y faire des rencontres !! - Une zone était réservée pour la diffusion de films : épisodes d’anime en avant-première ou festival autour d’un metteur en scène le soir - Une scène avec des démonstrations de cuisine, une pour des conférences et je dois certainement en oublier ! - Un hall entièrement réservé pour l’ECG : l’European Cosplay Gathering pour un show exceptionnel le samedi soir et la sélection française le dimanche - Ensuite des stands qui n’avaient pas grand-chose à voir avec le Japon (genre Starwars et Harry Potter) mais qui ont toujours du succès - Et bien sûr, disséminés çà et là, de la restauration autour de l’Asie pour y déguster Onigiri, Omerice, Corn dog, Poulet Karage… Du coup devant tout ce qu’il est possible de faire ou de voir, il faut s’organiser un minimum, voici donc les conseils : - Réserver un hôtel dès que vous savez que vous venez, car certaines enseignes n’hésitent pas à augmenter considérablement leur prix (j’en ai vu un passer de 47 à 190 euros la nuit !!) - Ne prenez pas l’hôtel trop loin du parc des expo, envisager de pouvoir éventuellement vous y rendre à pied (j’ai dû revenir à pied un soir et j’ai mis 30 minutes) - Pensez que si vous devez reprendre des transports en commun pour vous y rendre, cela vous coutera de l’argent en plus, le RER est pratique mais il n’y en a pas tout le temps. Il y a pas mal de bus qui desservent le parc mais attention le week-end, il y en a moins et vu le nombre de visiteurs ils sont souvent blindés. Heureusement, les chauffeurs n’étaient pas regardant sur les titres de transports et beaucoup ont pris le bus gratuitement - Si vous pouvez, venez avec vos sandwichs, il est tentant de découvrir la nourriture sur place mais si vous restez 4 jours, cela peut vite devenir cher. Attention, les hôtels et supérettes sur place se sont vite retrouvés à sec. - Prévoyez de l’argent liquide, les petits stands ne prennent pas forcément la carte bleue et la consigne à l’entrée de la Japan pour laisser vos sacs ou valises ne prend que de l’espèce ! Pareil, les distributeurs sur place étaient à sec dès le 2eme jour ! - Si vous voulez absolument avoir certains goodies ou dédicaces, privilégiez ces endroits le matin en arrivant et même comme cela, il faut être au début de la file d’attente car les visiteurs qui ont les moyens achètent le pass zen et arrivent 1H avant les autres - Pareil pour les animations : certaines demandent du temps et les files d’attente s’allongent rapidement. Certaines activités (comme la séance de shiatsu) peuvent être réservées pour les jours qui suivent. N’hésitez pas à vous renseigner. - Pour les goodies éditeurs : ils sont normalement obtenus avec l’achat de mangas. Cependant, il y a aussi des goodies gratuits (comme des badges) que vous pouvez avoir en demandant à la caisse. Après tout dépend de la personne que vous avez en face de vous ! Certains goodies partent très vite alors prenez les en début de salon. Et dans la dernière heure du dimanche, certains stands donnent ce qui leur reste. - Pour le spectacle ECG, si vous avez un billet ou un star pass, vous aurez une file d’attente prioritaire et des chaises au plus près de la scène. Pour les autres, si vous faites la queue assez tôt, il y aura encore des chaises, sinon les autres sont assis par terre et voient le spectacle sur grand écran (à noter que la queue a commencé 2 heures avant le début du spectacle) - Et le plus important ; prenez conscience que vous ne pourrez pas tout faire, donc faites-vous un petit planning avec vos priorités et vous caserez le reste quand vous pourrez !!
  22. Avez-vous entendu parler de Webtoon ? Un phénomène qui monte en puissance et très prisé des adolescents ? Pour vous y retrouver un peu, je vous propose de vous éclairer sur le sujet. Origine : Devant la modernisation des téléphones, l’apparition des tablettes, les auteurs ont alors réfléchi à développer une application plus facile à lire surtout dans les transports. C’est ainsi qu’est apparu le webtoon : un webcomic développé pour être lu facilement sur mobile avec une lecture verticale : une case en largeur et un défilement facile avec le pouce, pas besoin de 2 mains ! On peut se tenir à la barre du métro et lire tranquillement ! Les premiers webtoons sont apparus en Corée, la première plateforme en 2003 mais c’est surtout NAVER en 2004 qui a permis sa démocratisation. Hélas pour les français, il faudra attendre 2011 avec l’arrivée de Delitoon pour avoir une plateforme officielle qui présente ces œuvres. Avant, il fallait se contenter de traductions faites par des sites de fans ou des lectures en anglais. Evolution : En 2019, le webtoon explose ! Les plateformes se multiplient (webtoon de Naver, verytoon de Delcourt, webtoon factory de Dupuis, Piccoma du japonais Kakao). La majorité de ces supports fonctionnent de la même façon : quelques épisodes gratuits pour découvrir la série puis un système de « coin » à gagner ou à acheter pour débloquer les chapitres suivants. Ou parfois, il suffit juste d’être patient pour avoir le nouveau chapitre gratuitement (1 semaine en général sur les plateformes webtoon et piccoma). Cet engouement ne passe pas inaperçu et les éditeurs s’activent pour sortir des versions physiques ; des labels ou éditeurs spécifiques apparaissent : Kbooks, VEGA (Dupuis), SIKKU (Michel Lafon), Koyohan (Matin Calme), Nazca, Kotoon, Kamondo books. N’oublions pas les éditeurs qui faisaient déjà quelques parutions de webtoon sans changer de nom : on retrouve Re:life chez Ki-oon et peut-être le 1er à avoir été édité en France, Bâtard et Sweet home chez Ki-oon, Tower of God chez Ototo, Killing Stalking chez Taifu. Format : Pour ceux qui se sont donc déjà lancé dans le webtoon papier, vous avez sûrement remarqué le format et le tarif : un format A5 avec un prix globalement de 15 euros le tome. Pourquoi est-ce si cher me direz-vous ? Tout d’abord, le webtoon est entièrement colorisé, ensuite il faut passer d’une lecture verticale ou tout le dynamisme se retrouve dans les espacements du défilement et les coupures des cases à une lecture (de gauche à droite comme les livres français) à plusieurs vignettes sur une largeur : un gros travail d’adaptation donc qui a un coût ! Pour ce qui est du format, c’est un accord entre les éditeurs pour garder une cohérence. Oui re:life, tower of God, TODAG, DICE sont des petits formats… pour le 1er, il est paru quand le webtoon n’était pas encore à la mode ! Pour les autres, une question de budget peut-être ? Qui est le lecteur type ? Il s’agit de la jeune fille de 17 ans : les garçons ont tendance à rester sur le shonen, alors que les filles lisent de tout. Cela se ressent aussi sur la partie création, sur webtoon factory par exemple, il y a beaucoup d’autrices. Webtoon et censure : En théorie, il n’y a aucune raison de se limiter au niveau des scenarii, seulement voilà, le webtoon est publié en informatique, et passe par des serveurs ou applications qui censurent automatiquement certains contenus. Donc aujourd’hui, les plateformes ne peuvent pas aller au maximum de ce qui est possible et se censurent elles-mêmes pour éviter d’avoir de problèmes. Quelques éditeurs webtoon : Lors de la Japan expo de 2022, a eu lieu une conférence au sujet du webtoon avec quelques acteurs du secteur : Webtoon Factory, Delitoon, Ankama et Koyohan étaient présents. Webtoon factory : Appartient au groupe Dupuis, favorise les webtoons de création française ou européenne. Leur objectif : proposer 60 nouvelles séries par an, cherche à préserver la qualité que ce soit au niveau graphique ou du scenario et aimerait aller plus loin que le webtoon coréen qui est parfois très codifié. Delitoon : Pionner de la plateforme webtoon en France, crée en 2011 par un homme tout seul. En 2017, il y a eu un essor avec un partenariat avec une entreprise coréenne Ankama : Existe depuis 2000 avec les jeux, ils ont déjà une grosse communauté qui les suit. Veulent se lancer dans le webtoon pour être présent sur tous les supports mais ils ont tout à construire sur le sujet. Koyohan : Son objectif est de plaire au plus grand nombre et pour cela reste sur le webtoon coréen Remarques diverses : Comme pour le manga, la grosse difficulté des créations françaises va être de séduire le public français habitué au webtoon coréen L’arrivée de la pandémie du covid a permis un essor du webtoon, des artistes de nombreux pays se sont mis à exploiter ce format, vous pouvez d’ailleurs mettre vos œuvres sur certains de ces sites. Bien sûr, l’un des objectifs serait d’exporter le webtoon français et la reconnaissance ultime serait de le faire connaître en Corée. Si ce projet n’est pas impossible (cf publication de radiant au Japon), cela reste encore compliqué : la Corée reste un pays assez fermé aux influences extérieures. Il y a encore 1 ans, les coréens n’étaient pas conscients de l’importance du webtoon dans le monde, ils ne comprenaient pas pourquoi des éditeurs voulaient en faire des exemplaires papier, maintenant qu’ils ont compris l’achat des droits a augmenté et cela se ressent dans le prix du livre.
  23. poseidon2

    Helck tome 10

    Titre de l'album : Helck tome 10 Scenariste de l'album : Nanaki Nanao Dessinateur de l'album : Nanaki Nanao Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Un mystérieux héros qui dit vouloir exterminer tous ses semblables ?! Attention, voici l'incroyable Helck ! "Je te sauverai, petit frère", cria le héros.Alors qu'ils sont presque parvenus jusqu'au Roi, Helck et sa troupe doivent affronter un ennemi de taille : Cless le héros, qui reste manipulé comme un pantin par le pouvoir de contrôle ! Pour la première fois de sa vie, Helck va devoir se disputer réellement avec son petit frère... Critique : Et bien ! J'ai beau etre un grand fan de cette série et j'avais beau penser avoir compris l'histoire... je dois bien reconnaitre que je ne m'attendais pas du tout à ca.... Et je ne suis pas encore bien sur si cela va me plaire. Ce tome 10, deux tomes avant la fin, remet encore une pièce dans la case "surprise" en nous dévoilant qui est le roi. Et ce n'est pas une petite surprise qui nous attend. Mais plutôt un "game changing"... au tome 10... Et si cela est quand même intéressant et logique pour l'instant, j'ai un peu peur que cette fin, qui promettait d'être si bien, ne se transforme en usine à gaz pour pas grand-chose... Alors on va faire confiance à notre auteur sur les deux derniers tomes..... mais j'avoue que j'ai un peu peur 😞 Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/helck-tome-10?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. poseidon2

    Helck tome 10

    Et bien ! J'ai beau etre un grand fan de cette série et j'avais beau penser avoir compris l'histoire... je dois bien reconnaitre que je ne m'attendais pas du tout à ca.... Et je ne suis pas encore bien sur si cela va me plaire. Ce tome 10, deux tomes avant la fin, remet encore une pièce dans la case "surprise" en nous dévoilant qui est le roi. Et ce n'est pas une petite surprise qui nous attend. Mais plutôt un "game changing"... au tome 10... Et si cela est quand même intéressant et logique pour l'instant, j'ai un peu peur que cette fin, qui promettait d'être si bien, ne se transforme en usine à gaz pour pas grand-chose... Alors on va faire confiance à notre auteur sur les deux derniers tomes..... mais j'avoue que j'ai un peu peur 😞
  25. Titre de l'album : Crows tome 1 & 2 Scenariste de l'album : Hiroshi Takahashi Dessinateur de l'album : Hiroshi Takahashi Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Le lycée pour garçons Suzuran est un lieu où s’affrontent différentes factions de voyous pour obtenir la place de meneur suprême. Actuellement, tous les élèves sont soumis au puissant Bandô, élève de terminale et membre d’un gang de Bosozoku : The Front Of Armament. Tous sauf le trio d’Ebizuka qui arrive à encore lui tenir tête. Pourtant, l’arrivée du nouvel élève Bôya Harumichi, qui fait preuve d’une force redoutable, pourrait bien changer les choses. Critique : Gros lecteur de manga, j'ai découvert le Furyo pur il y a seulement quelques années avec tout d'abord.... Slam dunk qui mele habilement un peu de Furyo au manga de sport. J'ai lu Yu Yu Hakusho mais plus orienté shonen. J'ai essayé Holyland mais avec un coté psychologique et arts martiaux l'éloignant un peu eu coté lycée...avant de tomber sous le charme de Out aux éditions Meian. Là, on est dans le pur Furyo.... Alors quand j'ai vu que Kana éditait l'un des titres phare du Furyo pour la première fois en France j'ai voulu voir ce que l'ancêtre avait dans le ventre. Et la réponse est que, pour l'instant, ce Crows est un très bon manga... d'époque. Très bon, car avec un grand con de personnage principal super balaise comme il se doit et un manga très loin des prises de tête d'Holyland. Ça déconne, ça se bat et ça ne va pas plus loin. Exactement le genre de détente que l'on souhaite quand l'on ouvre un Furyo ! Par contre, il faut bien avouer que, et ce, malgré un bon travail des équipes de Kana, le dessin est quand même "dans son jus". Quand on compare à style plus agressif et fin de Out, cela fait un poil bizarre. Cette série en 22 tomes devra donc faire comme beaucoup de réédition de série : Affronter ses descendants sans rougir et assumer son âge. Slam dunk le fait dès la parution d'un manga de sport... La réponse dépendra beaucoup de l'histoire cachée de Boya.... Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/crows-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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