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Titre de l'album : Les aigles de Rome - Tome VII Scenariste de l'album : Enrico Marini Dessinateur de l'album : Enrico Marini Coloriste : Enrico Marini Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Sous le règne de Tiberius, Romains et Germains continuent à se livrer une guerre dévastatrice. Marcus, toujours à la recherche de son fils retenu en otage chez les barbares, s’engage dans les troupes romaines dirigées par Germanicus et n’a plus qu’une obsession : se venger de celui qu’il considérait autrefois comme son frère et qui lui a pris ce qu’il avait de plus cher. Arminius quant à lui, poursuit ses ambitions de royauté. Mais ces dernières seront-elles compatibles avec une vie de famille ? Thuenslda pourrait bien, en effet, mettre au monde son héritier. Pour la première fois, c’est Arminius qui risque de tout perdre….Loin de chez lui et au combat, saura-t-il protéger les siens des foudres de ceux qu’il a trahis ? Dans ce septième volet d’une saga palpitante se déroulant sous l’Empire romain, Marini signe un scénario plein de rebondissements avec, en prime, des scènes de combats grandioses. Critique : Et bien voilà qui est bon ! Car si je suis un grand adorateur du travail et de l'univers de Marini, sa série les Aigles de rome me laissait une impression mitigée, la faute à un scénario qui peinait à me passionner depuis 2-3 tomes, hors là avec ce tome VII Enrico Marini tire le profit de tout ce qu'il a mis en place précédemment. Les enjeux montent d'un cran, la maturité des personnages aussi, on rentre dans le peplum sérieux, et cela fonctionne à 200% pour moi. C'est l'un de mes albums préféré de cette fin d'année, et l'idée que le tome 8 soit déjà en cours m'enchante. Si vous aimez les gladiateurs et les courses de char, c'est pour vous, même si vous n'en verrez pas 🙂 Les aigles de Rome est en train de s'installer pour moi comme l'une des références du genre, et ce tome 7 m'a juste donné envie de relire l'ensemble de la série, ce qui n'est jamais mauvais signe soyons clair. Je ne mets pas au panthéon de mes bd préférées tout ce que fait Marini car même si j'adore son dessin et son univers, je dois admettre que certains de ses scénarios sont plus faciles que d'autres, ou tirent trop sur l'hommage et le plaisir de la nostalgie d'une certaine époque que vers l'histoire qui va marquer un lecteur. Alors quand l'un de ses scénarios prend de l'ampleur, du sérieux et de la dramaturgie et que c'est toujours servi par son dessin que j'adore, comment ne pas foncer ? Pourquoi bouderait-on son plaisir ? En plus vous savez quoi ? Je crois que j'aime bien quand même quand une bonne série dure un peu plus de 3-4 tomes. Cela devient un vrai plaisir coupable et c'est encore mieux si l'intrigue est conçue pour durer aussi longtemps, là j'adore. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-aigles-de-rome-tome-7/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Les aigles de rome - Tome 8 Scenariste de l'album : Enrico Marini Dessinateur de l'album : Enrico Marini Coloriste : Enrico Marini Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : La rivalité entre Marcus et Arminius est plus féroce que jamais. Marcus veut retrouver son fils et le ramener à Rome, espérant ainsi sauver le frère de Cabar. Mais il est trop tard : Morphea a déjà tué son otage de ses propres mains. Marcus, toujours en charge de la mission que lui a confiée Germanicus il y a longtemps, part récupérer les aigles perdues, l'une d'entre elles serait aux mains des Bructères. De son côté, Arminius, bouleversé par la capture de Thusnelda, est plus résolu que jamais à anéantir les Romains. Son agressivité et sa soif de vengeance ne cessent de croître. Dans l'ombre, Morphea et Sejanus complotent de leur côté pour assassiner Thusnelda, qui s'apprête à donner naissance à son enfant. Marcus lui, est toujours déterminé à tuer Arminius. Tandis que les tensions atteignent leur paroxysme, le destin de chacun semble plus incertain que jamais... Critique : Bon il est temps de le dire, mais Enrico Marini est probablement l'un des auteurs bd franco belge les plus complet et doué de sa génération. Alors bien sûr ce n'est pas un inconnu, mais je le trouve indéniablement sous côté, la faute probablement à son positionnement de male blanc aimant les histoires sentant bon la testostérone, les belles femmes pulpeuses, l'érotisme, les vannes un peu lourdes et surtout un certain type de cinéma désormais bien loin de nos écrans. Mais c'est se borner à une approche bien caricaturale du personnage, car en fait on a affaire à un dessinateur merveilleux et prolixe, qui signe seul l'ensemble de ces oeuvres, nous proposant aussi bien des séries courtes en deux tomes que des séries longues. Et ses scénarios sont tous globalement bons voir excellents dans les deux cas. Sa carrière est déjà d'une belle longévité, et ses séries longues ont leur place dans beaucoup de bibliothèques de bdphiles avertis. Ce n'est pas un mince exploit. Bref, une fois remis l'église au centre du village intéressons nous à ce tome. Il fait directement suite à un tome 8 dantesque que j'avais placé dans mon top bd de 2024. Dur dur donc de poursuivre avec autant d'intensité dramatique et ce tome est un petit peu plus transitionnel. Il n'empêche que l'on sent clairement la fin se dessiner, et que je parie qu'elle ne sera pas parachutée, mais construite depuis le début avec une belle cohérence. Les dessins sont toujours aussi fabuleux, même si cela reste du Enrico Marini reconnaissable au premier coup d'oeil. Les aigles de rome est vraiment pour moi l'une des toutes meilleures série de ce génie de la bd qui ne se différenciera du Scorpion que par les goûts des uns et des autres. Elle est indéniablement plus sérieuse, moins cabotine et plus dramatique, mais quelle plongée dans le Peplum de nos jeunesse ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien Partenaire : https://www.bdfugue.com/les-aigles-de-rome-tome-8-couverture-marcus/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Bon il est temps de le dire, mais Enrico Marini est probablement l'un des auteurs bd franco belge les plus complet et doué de sa génération. Alors bien sûr ce n'est pas un inconnu, mais je le trouve indéniablement sous côté, la faute probablement à son positionnement de male blanc aimant les histoires sentant bon la testostérone, les belles femmes pulpeuses, l'érotisme, les vannes un peu lourdes et surtout un certain type de cinéma désormais bien loin de nos écrans. Mais c'est se borner à une approche bien caricaturale du personnage, car en fait on a affaire à un dessinateur merveilleux et prolixe, qui signe seul l'ensemble de ces oeuvres, nous proposant aussi bien des séries courtes en deux tomes que des séries longues. Et ses scénarios sont tous globalement bons voir excellents dans les deux cas. Sa carrière est déjà d'une belle longévité, et ses séries longues ont leur place dans beaucoup de bibliothèques de bdphiles avertis. Ce n'est pas un mince exploit. Bref, une fois remis l'église au centre du village intéressons nous à ce tome. Il fait directement suite à un tome 8 dantesque que j'avais placé dans mon top bd de 2024. Dur dur donc de poursuivre avec autant d'intensité dramatique et ce tome est un petit peu plus transitionnel. Il n'empêche que l'on sent clairement la fin se dessiner, et que je parie qu'elle ne sera pas parachutée, mais construite depuis le début avec une belle cohérence. Les dessins sont toujours aussi fabuleux, même si cela reste du Enrico Marini reconnaissable au premier coup d'oeil. Les aigles de rome est vraiment pour moi l'une des toutes meilleures série de ce génie de la bd qui ne se différenciera du Scorpion que par les goûts des uns et des autres. Elle est indéniablement plus sérieuse, moins cabotine et plus dramatique, mais quelle plongée dans le Peplum de nos jeunesse !
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Et bien voilà qui est bon ! Car si je suis un grand adorateur du travail et de l'univers de Marini, sa série les Aigles de rome me laissait une impression mitigée, la faute à un scénario qui peinait à me passionner depuis 2-3 tomes, hors là avec ce tome VII Enrico Marini tire le profit de tout ce qu'il a mis en place précédemment. Les enjeux montent d'un cran, la maturité des personnages aussi, on rentre dans le peplum sérieux, et cela fonctionne à 200% pour moi. C'est l'un de mes albums préféré de cette fin d'année, et l'idée que le tome 8 soit déjà en cours m'enchante. Si vous aimez les gladiateurs et les courses de char, c'est pour vous, même si vous n'en verrez pas 🙂 Les aigles de Rome est en train de s'installer pour moi comme l'une des références du genre, et ce tome 7 m'a juste donné envie de relire l'ensemble de la série, ce qui n'est jamais mauvais signe soyons clair. Je ne mets pas au panthéon de mes bd préférées tout ce que fait Marini car même si j'adore son dessin et son univers, je dois admettre que certains de ses scénarios sont plus faciles que d'autres, ou tirent trop sur l'hommage et le plaisir de la nostalgie d'une certaine époque que vers l'histoire qui va marquer un lecteur. Alors quand l'un de ses scénarios prend de l'ampleur, du sérieux et de la dramaturgie et que c'est toujours servi par son dessin que j'adore, comment ne pas foncer ? Pourquoi bouderait-on son plaisir ? En plus vous savez quoi ? Je crois que j'aime bien quand même quand une bonne série dure un peu plus de 3-4 tomes. Cela devient un vrai plaisir coupable et c'est encore mieux si l'intrigue est conçue pour durer aussi longtemps, là j'adore.
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Ce qui est bien avec Marini c'est que lorsqu'il choisit un thème, il le prend à bras le corps. IL prend son temps et le développe à sa sauce. Il nous l'a montré avec son Batman. IL le montre encore plus avec ce Noir Burlesque. Il y a tout ce que l'on attend d'un polar des années 50 dans ce noir Burlesque. Un peu de prohibition, beaucoup de mafiosos, des clubs de danse sous terrains, des filles aguicheuses, un héros au passé sombre et au regard ténébreux et bien sûr de l'action, des courses poursuites et des fusillades. Comme je vous la disais en introduction, Marini ne fait pas les choses à moitié. Malgré une sensation de déjà vu, on prit au trippes par cet amour impossible et par nos deux personnages qui aiment jouer avec le feu. Graphiquement, dire que c'est du Marini serait trop réducteur. Car si c'est bien du Marini, c'est du Marini sublimé par une mise en couleur à la "Liste de Schindler" qui fait ressortir les parties intenses du dessin et rehausse les grande planches de façon assez magique ! C'est vraiment très beau ! Vivement la fin du diptyque !!!
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Titre de l'album : Noir Burlesque t1 Scenariste de l'album : Enrico Marini Dessinateur de l'album : Enrico Marini Coloriste : Enrico Marini Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Philadelphie, années 1950. Une chambre d'hôtel, la nuit. Assis dans un fauteuil, un homme attend, un revolver à la main. Il s'appelle Slick et guète l'arrivée de Caprice, la femme qui l'a trahi. En ouvrant la porte, Caprice comprend aussitôt : il est venu pour se venger. Quelques mois plus tôt, Slick a loupé un casse. Il doit de l'argent à son commanditaire, Rex, un boss de la mafia irlandaise. Ce dernier compte bien épouser Caprice, danseuse dans sa boite de nuit, après avoir éliminé Slick du paysage. Mais il s'est passé quelque chose entre Caprice et Slick. Il y a longtemps déjà, bien avant toute cette histoire. Ils étaient tombés amoureux. Et maintenant, ils jouent avec le feu... Inspiré par les films noirs américains des années 1950, Enrico Marini signe avec Noir burlesque un polar sombre à souhait, peuplé de femmes fatales et baigné de sensualité, où le crime et la violence se nourrissent de la jalousie et des trahisons. Critique : Ce qui est bien avec Marini c'est que lorsqu'il choisit un thème, il le prend à bras le corps. IL prend son temps et le développe à sa sauce. Il nous l'a montré avec son Batman. IL le montre encore plus avec ce Noir Burlesque. Il y a tout ce que l'on attend d'un polar des années 50 dans ce noir Burlesque. Un peu de prohibition, beaucoup de mafiosos, des clubs de danse sous terrains, des filles aguicheuses, un héros au passé sombre et au regard ténébreux et bien sûr de l'action, des courses poursuites et des fusillades. Comme je vous la disais en introduction, Marini ne fait pas les choses à moitié. Malgré une sensation de déjà vu, on prit au trippes par cet amour impossible et par nos deux personnages qui aiment jouer avec le feu. Graphiquement, dire que c'est du Marini serait trop réducteur. Car si c'est bien du Marini, c'est du Marini sublimé par une mise en couleur à la "Liste de Schindler" qui fait ressortir les parties intenses du dessin et rehausse les grande planches de façon assez magique ! C'est vraiment très beau ! Vivement la fin du diptyque !!! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/noir-burlesque-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
