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  1. poseidon2

    Vertu de Saint Cyr

    Oui oui je vous spam de coup de cœur. Mais c'est pas moi qui vais m'en plaindre... En plus même si je mets des coups de coeurs, ils sont tous vraiment différents. Celui-ci est un coup de coeur en forme de soutien à un thème qui me touche : le harcèlement institutionnel dans l'armée. Car l'album en lui-même est... un webtoon, avec toutes les approximations graphiques qui vont avec. Mais le sujet et le traitement, issue des histoires réelles de harcèlement et de viol au sein de Saint Cyr, mérite un coup de cœur et une mise en avant. La lecture de ce premier tome, en plus d'être captivante, est aussi révoltante et écœurante qu'elle ne semble bien réelle. Des fils de bonne famille nés avec une cuillère en argent se prenant pour des élites par héritage qui font leurs lois, obligeant les autres à s'asseoir sur leurs propres convictions s'ils veulent traverser leurs cursus sans "histoire", c'est un condensé de tout ce que tout le monde déteste dans les "élites" française. Et ce premier tome nous montre bien que les meilleures volontés sont broyées pour ne pas ternir la réputation d'une institution d'un autre siècle. Quand lit çà et là que ce qui a été révélée par les journaux en 2018 est toujours d'actualité et que le #metoo n'a rien changé dans ce genre d'école, on en vient à souhaiter que nos filles fuit le plus loin possible toute personne issue de ce genre d'établissement.
  2. Titre de l'album : Vertu de Saint Cyr Scenariste de l'album : Rutile Dessinateur de l'album : Yllogique Coloriste : Yllogique Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : En entrant à Saint-Cyr, Vertu Dumas pensait qu'elle allait se hisser au sommet grâce à ses talents de duelliste. Mais elle se rend compte que l'école est dominée par les « tradis », un groupe d'élèves et de gradés sexistes, racistes, homophobes et nationalistes. Révoltée par leurs agissements, Vertu abandonne ses rêves de gloire au profit d'une nouvelle ambition : détruire ce groupe. Critique : Oui oui je vous spam de coup de cœur. Mais c'est pas moi qui vais m'en plaindre... En plus même si je mets des coups de coeurs, ils sont tous vraiment différents. Celui-ci est un coup de coeur en forme de soutien à un thème qui me touche : le harcèlement institutionnel dans l'armée. Car l'album en lui-même est... un webtoon, avec toutes les approximations graphiques qui vont avec. Mais le sujet et le traitement, issue des histoires réelles de harcèlement et de viol au sein de Saint Cyr, mérite un coup de cœur et une mise en avant. La lecture de ce premier tome, en plus d'être captivante, est aussi révoltante et écœurante qu'elle ne semble bien réelle. Des fils de bonne famille nés avec une cuillère en argent se prenant pour des élites par héritage qui font leurs lois, obligeant les autres à s'asseoir sur leurs propres convictions s'ils veulent traverser leurs cursus sans "histoire", c'est un condensé de tout ce que tout le monde déteste dans les "élites" française. Et ce premier tome nous montre bien que les meilleures volontés sont broyées pour ne pas ternir la réputation d'une institution d'un autre siècle. Quand lit çà et là que ce qui a été révélée par les journaux en 2018 est toujours d'actualité et que le #metoo n'a rien changé dans ce genre d'école, on en vient à souhaiter que nos filles fuit le plus loin possible toute personne issue de ce genre d'établissement. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien Partenaire : https://www.bdfugue.com/vertu-de-saint-cyr?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Titre de l'album : Pénis de table tome 2 Scenariste de l'album : Cookie Kalkair Dessinateur de l'album : Cookie Kalkair Coloriste : Cookie Kalkair Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : Cookie Kalkair met la parole masculine à nu. En 2016, j'ai eu envie de faire une expérience : réunir autour d'une table six mecs très différents les uns des autres et les faire parler librement de leur sexualité. Presque dix ans plus tard, il me semblait évident qu'il fallait r ecommencer. Critique : Il nous avait ému avec Merveilleux, un roman graphique traitant de l'AVC de son père et des répercussions familiales, le trublion Cookie Kalkair revient avec un sujet plus léger mais non moins personnel : la sexualité des hommes ! Pénis 2 table deux le retour ! Le premier était sorti en 2016 (Steinkis aussi), l'auteur complet réitère l'exercice avec 6 hommes aux sexualités toutes différentes pour un tour de table sans concessions ! Dans un esprit de déconstruction il aborde des sujets tels que la culture porno, les sextoys, le sexe anal, le rapport des hommes à la prostitution, et l'érotisme masculin en dernier sujet surprenant mais néanmoins très intéressant ! Issus de courants sexuels variés, nos 7 hommes d'âges différents se livrent à nu sur leurs préférences, leurs fantasmes et autres idées préconçues sur ces thèmes avec une grande franchise et sans aucun tabou et je dois bien avouer que cela fait du bien de lire ces déclarations ! J'ai pour ma part découvert de nombreux termes et autres pratiques qui m'étaient totalement inconnues jusqu'à lors ! Lire ces dialogues immerge le lecteur, il prend part au débat et se questionne lui aussi. J'ajoute qu'il y a un chapitre "bonus" où ce ne sont plus 7 hommes mais 7 femmes traitant de leur rapport avec le "pénis" ! Ici aussi, 7 femmes d'horizons sexuels divers et variés avec des différences d'âge et une parole totalement libérée. L'humour reste présent, idem pour "l'hôte" des lieux Cookie Kalkair qui énumère quelques statistiques et rappels historiques en lien avec le sujet traité. Une suite encore meilleure, c'est assez rare pour le noter 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien Partenaire : https://www.bdfugue.com/penis-de-table-tome-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Kevin Nivek

    Pénis de table tome 2

    Il nous avait ému avec Merveilleux, un roman graphique traitant de l'AVC de son père et des répercussions familiales, le trublion Cookie Kalkair revient avec un sujet plus léger mais non moins personnel : la sexualité des hommes ! Pénis 2 table deux le retour ! Le premier était sorti en 2016 (Steinkis aussi), l'auteur complet réitère l'exercice avec 6 hommes aux sexualités toutes différentes pour un tour de table sans concessions ! Dans un esprit de déconstruction il aborde des sujets tels que la culture porno, les sextoys, le sexe anal, le rapport des hommes à la prostitution, et l'érotisme masculin en dernier sujet surprenant mais néanmoins très intéressant ! Issus de courants sexuels variés, nos 7 hommes d'âges différents se livrent à nu sur leurs préférences, leurs fantasmes et autres idées préconçues sur ces thèmes avec une grande franchise et sans aucun tabou et je dois bien avouer que cela fait du bien de lire ces déclarations ! J'ai pour ma part découvert de nombreux termes et autres pratiques qui m'étaient totalement inconnues jusqu'à lors ! Lire ces dialogues immerge le lecteur, il prend part au débat et se questionne lui aussi. J'ajoute qu'il y a un chapitre "bonus" où ce ne sont plus 7 hommes mais 7 femmes traitant de leur rapport avec le "pénis" ! Ici aussi, 7 femmes d'horizons sexuels divers et variés avec des différences d'âge et une parole totalement libérée. L'humour reste présent, idem pour "l'hôte" des lieux Cookie Kalkair qui énumère quelques statistiques et rappels historiques en lien avec le sujet traité. Une suite encore meilleure, c'est assez rare pour le noter 😉
  5. Kevin Nivek

    Seule contre Hollywood

    L'artiste complet Halim se lance dans l'adaptation d'une histoire vraie, un scandale hollywoodien à ses débuts dans les années 30. Patricia Douglas a été agressée sexuellement par deux hommes lors d'une soirée organisée par la toute puissante voire omnipotente Metro-Goldwin-Mayer (MGM) où 120 femmes avaient été invitées sans savoir que 282 hommes seraient présents pour se "distraire". Un véritable guet-apens où l'alcool coulait à flot avec les dérives qu'il peut entraîner dans une société patriarcale au possible. Nous suivrons le combat de cette femme qui va attaquer le studio de cinéma en justice. La grande partie de récit se déroule au tribunal avec les joutes verbales des avocats faisant intervenir une grande quantité de témoins et spécialistes. La MGM sentant le mauvais coup venir, distribue les pots de vin et autres arrangements pour faire plier la jeune Patricia. Halim mélange les cases et découpe le gaufrier en diagonales pour tonifier l'action, mais cela perd un peu le lecteur qui ne comprend plus trop dans quel sens lire les bulles. La trichromie est assez réussie et nous plonge bien dans l'ambiance "films noirs" de ces années, les personnages sont assez reconnaissables malgré leur nombre important, il faut s'accrocher à la lecture pour ne pas perdre le fil. Il s'agit d'une histoire vaste aux enjeux dépassant les protagonistes, même la pauvre victime Patricia ! Un scandale dans la lignée de celui de Wenstein, sauf que celui-ci aura mis 60 ans à être véritablement dénoncé, la vie de Patricia Douglas ayant été irrémédiablement brisée ! On peut reprocher à Halim cette fin qui nous laisse pantois suite au verdict prononcé : "sans suite" . Un final expédié un peu trop vite, qui aurait gagné en épaisseur au détriment de passages superflus en amont. Le plus important reste la dénonciation de cette affaire, et il le réussit plutôt bien.
  6. Titre de l'album : Seule contre Hollywood Scenariste de l'album : Halim Dessinateur de l'album : Halim Coloriste : Halim Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : L'affaire Patricia Douglas est probablement le plus gros scandale jamais enterré de l'histoire de Hollywood. " Je n'essayais pas d'obtenir quoi que ce soit. Je voulais juste que quelqu'un me croie. " Patricia Douglas A peine âgée de 20 ans, Patricia Douglas, ainsi que 120 danseuses professionnelles, sont recrutées pour un tournage par la Metro-Goldwyn-Mayer. Elles sont convoquées le soir du 5 mai 1937, mais, bien loin de participer au " tournage " prévu, les jeunes femmes se retrouvent propulsées dans une gigantesque soirée privée organisée pour les 282 représentants commerciaux. Agressée durant la soirée, Patricia Douglas décide de porter plainte contre le plus puissant des studios hollywoodiens. A l'époque, ce genre d'affaires se dénoue en privé, à coups d'intimidation et d'arrangements financiers mais, 80 ans avant #MeToo, Patricia Douglas aura le courage d'aller jusqu'au bout... Critique : L'artiste complet Halim se lance dans l'adaptation d'une histoire vraie, un scandale hollywoodien à ses débuts dans les années 30. Patricia Douglas a été agressée sexuellement par deux hommes lors d'une soirée organisée par la toute puissante voire omnipotente Metro-Goldwin-Mayer (MGM) où 120 femmes avaient été invitées sans savoir que 282 hommes seraient présents pour se "distraire". Un véritable guet-apens où l'alcool coulait à flot avec les dérives qu'il peut entraîner dans une société patriarcale au possible. Nous suivrons le combat de cette femme qui va attaquer le studio de cinéma en justice. La grande partie de récit se déroule au tribunal avec les joutes verbales des avocats faisant intervenir une grande quantité de témoins et spécialistes. La MGM sentant le mauvais coup venir, distribue les pots de vin et autres arrangements pour faire plier la jeune Patricia. Halim mélange les cases et découpe le gaufrier en diagonales pour tonifier l'action, mais cela perd un peu le lecteur qui ne comprend plus trop dans quel sens lire les bulles. La trichromie est assez réussie et nous plonge bien dans l'ambiance "films noirs" de ces années, les personnages sont assez reconnaissables malgré leur nombre important, il faut s'accrocher à la lecture pour ne pas perdre le fil. Il s'agit d'une histoire vaste aux enjeux dépassant les protagonistes, même la pauvre victime Patricia ! Un scandale dans la lignée de celui de Wenstein, sauf que celui-ci aura mis 60 ans à être véritablement dénoncé, la vie de Patricia Douglas ayant été irrémédiablement brisée ! On peut reprocher à Halim cette fin qui nous laisse pantois suite au verdict prononcé : "sans suite" . Un final expédié un peu trop vite, qui aurait gagné en épaisseur au détriment de passages superflus en amont. Le plus important reste la dénonciation de cette affaire, et il le réussit plutôt bien. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/seule-contre-hollywood/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. La déferlante #metoo a effectué un véritable tsunami sur le monde occidental, le malheur étant qu'il a fallu attendre des années et de nombreux drames pour qu'enfin les langues se délient ! Anne Bouillon fait partie de celles qui ont commencé leur combat pour la justice des femmes, bien avant l'arrivée de #metoo. Elle en a d'ailleurs souffert, subissant les quolibets de ses pairs, mais elle n'a jamais cessé et s'est engagée sur une voie 100% féminine, à savoir que la totalité de ses clients(es) sont donc des femmes victimes de violences. Un parti pris semé d'embûches, que la journaliste Charlotte Roman a choisi de mettre en lumière à travers ce documentaire BD saisissant. Au cours de la lecture, vous accompagnerez Maître Bouillon dans ses entretiens avec les victimes, les plaidoiries et interrogatoires de tribunaux, mais aussi ses discussions dans la salle de repos avec ses associés. Des échanges importants car ils traitent de leurs difficultés et leurs ressentis face à tel ou tel dossier. L'avocate nantaise ne s'économise pas et avance toujours d'un pas décidé et confiant. On observe ainsi les moeurs changer au sein des commissariats qui avaient tendance à prendre un peu à la légère les déclarations de femmes battues, le regard des juges aussi, c'est tout un monde judiciaire qui s'adapte à ces paroles libérées et cela fait le plus grand bien ! Vous assisterez à des témoignages durs et poignants, sous le trait de la dessinatrice Lison Ferné qui s'attarde sur les visages et les regards, elle les place au centre des cases sans arrière-plan pour bien signifier la solitude ressentie par les personnes concernées. Des couleurs sobres composent les pages, la joie est peu fréquente dans cet univers. Le poids des mots/maux jalonne les séquences dans les tribunaux, et vous découvrirez des agresseurs et victimes aux profils variés. La tâche est immense pour cette avocate téméraire, songez que dans les dossiers de violences sexuelles, 80% des plaintes sont classées sans suites et seulement 1% se terminent par une condamnation ! Des chiffres à peine croyables qui ne demandent qu'à changer avec ce très bel exemple d'abnégation d'une avocate décidée à bousculer les codes et rendre tout simplement justice. Un ouvrage engagé et engageant.
  8. Titre de l'album : Les femmes ne meurent pas par hasard Scenariste de l'album : Charlotte Rotman, Anne Bouillon Dessinateur de l'album : Lison Ferné Coloriste : Juliette Vaast Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : Je ne défends plus les hommes. Leur violence, je n'en peux plus. Mais je veux vous raconter les femmes, celles qui viennent me trouver dans mon cabinet, celles qui veulent échapper à leurs oppresseurs, celles qui demandent justice. Je plaide pour elles. Anne Bouillon est avocate à Nantes et féministe. Depuis metoo, son cabinet ne désemplit pas. Chaque jour, des victimes s'adressent à elle. Chaque jour, elle se bat pour que la justice les entende. Critique : La déferlante #metoo a effectué un véritable tsunami sur le monde occidental, le malheur étant qu'il a fallu attendre des années et de nombreux drames pour qu'enfin les langues se délient ! Anne Bouillon fait partie de celles qui ont commencé leur combat pour la justice des femmes, bien avant l'arrivée de #metoo. Elle en a d'ailleurs souffert, subissant les quolibets de ses pairs, mais elle n'a jamais cessé et s'est engagée sur une voie 100% féminine, à savoir que la totalité de ses clients(es) sont donc des femmes victimes de violences. Un parti pris semé d'embûches, que la journaliste Charlotte Roman a choisi de mettre en lumière à travers ce documentaire BD saisissant. Au cours de la lecture, vous accompagnerez Maître Bouillon dans ses entretiens avec les victimes, les plaidoiries et interrogatoires de tribunaux, mais aussi ses discussions dans la salle de repos avec ses associés. Des échanges importants car ils traitent de leurs difficultés et leurs ressentis face à tel ou tel dossier. L'avocate nantaise ne s'économise pas et avance toujours d'un pas décidé et confiant. On observe ainsi les moeurs changer au sein des commissariats qui avaient tendance à prendre un peu à la légère les déclarations de femmes battues, le regard des juges aussi, c'est tout un monde judiciaire qui s'adapte à ces paroles libérées et cela fait le plus grand bien ! Vous assisterez à des témoignages durs et poignants, sous le trait de la dessinatrice Lison Ferné qui s'attarde sur les visages et les regards, elle les place au centre des cases sans arrière-plan pour bien signifier la solitude ressentie par les personnes concernées. Des couleurs sobres composent les pages, la joie est peu fréquente dans cet univers. Le poids des mots/maux jalonne les séquences dans les tribunaux, et vous découvrirez des agresseurs et victimes aux profils variés. La tâche est immense pour cette avocate téméraire, songez que dans les dossiers de violences sexuelles, 80% des plaintes sont classées sans suites et seulement 1% se terminent par une condamnation ! Des chiffres à peine croyables qui ne demandent qu'à changer avec ce très bel exemple d'abnégation d'une avocate décidée à bousculer les codes et rendre tout simplement justice. Un ouvrage engagé et engageant. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-femmes-ne-meurent-pas-par-hasard/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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