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  1. poseidon2

    Bienvenue à Pandemonia

    En voilà un tome surprenant. Surprenant, car tournant très vite dans le n'importe quoi. Mais du très bon n'importe quoi ! On est dans une histoire ou un boni menteur beau parleur se retrouve en enfer et ne se laisse pas démonter. Mais un enfer qui n'est qu'un reflet de notre monde, avec ses problèmes, ses syndicats et un nombre de péchés dingues qui augmentent en même temps que les nouvelles technologies arrivent. Un monde plein de démons qui râlent, avec une hiérarchie qui n'en peu plus et des condamnés au final pas si mal lotis. Une BD pleine d'humour, de second degré, mais aussi de critique des beaux parleurs et de ceux qui les croient sans réfléchir. Le seul truc dommage c'est qu'il semblerait sur ce soit un one shot... meme si..... 4
  2. Titre de l'album : Bienvenue à Pandemonia Scenariste de l'album : Diego Agrimbau Dessinateur de l'album : Gabriel Ippoliti Coloriste : Gabriel Ippoliti Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Lorsqu'Uriaki Posta meurt et se retrouve aux Enfers, il se dit qu'il s'agit d'une erreur : Comment un gourou du développement personnel avec des millions d'adeptes pourrait-il être damné ? Mais même en utilisant tous ses trucs de coaching, difficile de faire entendre raison à la bureaucratie infernale. Car la situation est compliquée aussi pour Lucifer et son conseil d'administration de Princes-démons : les damnés arrivent en trop grand nombre, et pas de directives du Paradis, le Grand Patron ne prend plus aucun appel ! Une satire féroce élaborée par Diego Agrimbau (« L'Humain ») et enluminée par Gabriele Ippoliti, qui signe là son premier album pour Dargaud. Critique : En voilà un tome surprenant. Surprenant, car tournant très vite dans le n'importe quoi. Mais du très bon n'importe quoi ! On est dans une histoire ou un boni menteur beau parleur se retrouve en enfer et ne se laisse pas démonter. Mais un enfer qui n'est qu'un reflet de notre monde, avec ses problèmes, ses syndicats et un nombre de péchés dingues qui augmentent en même temps que les nouvelles technologies arrivent. Un monde plein de démons qui râlent, avec une hiérarchie qui n'en peu plus et des condamnés au final pas si mal lotis. Une BD pleine d'humour, de second degré, mais aussi de critique des beaux parleurs et de ceux qui les croient sans réfléchir. Le seul truc dommage c'est qu'il semblerait sur ce soit un one shot... meme si..... 4 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bienvenue-a-pandemonia?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Titre de l'album : Je suis au delà de la mort Scenariste de l'album : L'homme étoilé Dessinateur de l'album : L'homme étoilé Coloriste : L'homme étoilé Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Il n'est jamais trop tard pour réaliser ses rêves : après des années à écumer les petites salles avec son groupe de rock, Jean s'apprête à s'envoler en direction des États-Unis pour y enregistrer son premier album. Malheureusement, il n'est jamais trop tôt pour se réveiller brusquement : Jean apprend qu'il est atteint d'un cancer, et ses projets d'avenir s'accordent très mal avec la chimio. En plus, son voisin de chambre à l'hôpital est un infâme grincheux qui ne jure que par Sinatra... Mais quand tout semble se refermer... Critique : N'y allons pas par quatre chemin, c'est mon coup de coeur de la rentrée. Ma femme, mes potes, les femmes de mes potes se sont jetés dessus. Pas un ne l'a lâché sans l'avoir fini. Quelques larmichettes, larmes ou sourires, jamais d'indifférence. Graphiquement c'est fluide, terriblement expressif en peu de traits, ce n'est peut être pas encore du Larcenet, mais il y a indéniablement du talent. L'histoire elle, est forcément poignante, et on pourrait considérer que c'est facile finalement. Sauf que, sauf que. D'abord le dosage entre émotions est génial, tristesse et joie sont habilement mêlées, sans jamais nous déborder dans un sens ou dans l'autre. L'histoire flirte parfois avec l'angélisme mais la réalité pointe toujours le bout de son nez sans concession. Bref, le roman graphique de la rentrée est là. C'est un régal, cela se lit sans faim, c'est facile, bon et intéressant. Peut-être pas philosophique ou vraiment profond, mais paradoxalement tellement vivant. Une réussite. Et je ne dit pas ça souvent sur les ouvrages venant de "stars" des réseaux 🙂 Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/je-suis-au-dela-de-la-mort?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. The_PoP

    Je suis au delà de la mort

    N'y allons pas par quatre chemin, c'est mon coup de coeur de la rentrée. Ma femme, mes potes, les femmes de mes potes se sont jetés dessus. Pas un ne l'a lâché sans l'avoir fini. Quelques larmichettes, larmes ou sourires, jamais d'indifférence. Graphiquement c'est fluide, terriblement expressif en peu de traits, ce n'est peut être pas encore du Larcenet, mais il y a indéniablement du talent. L'histoire elle, est forcément poignante, et on pourrait considérer que c'est facile finalement. Sauf que, sauf que. D'abord le dosage entre émotions est génial, tristesse et joie sont habilement mêlées, sans jamais nous déborder dans un sens ou dans l'autre. L'histoire flirte parfois avec l'angélisme mais la réalité pointe toujours le bout de son nez sans concession. Bref, le roman graphique de la rentrée est là. C'est un régal, cela se lit sans faim, c'est facile, bon et intéressant. Peut-être pas philosophique ou vraiment profond, mais paradoxalement tellement vivant. Une réussite. Et je ne dit pas ça souvent sur les ouvrages venant de "stars" des réseaux 🙂
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