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  1. Kevin Nivek

    Gerda Taro

    On connait le mythe Robert Capa, grand photographe de guerre entre autres, mais il était temps de rendre justice à une femme l'ayant mis sur orbite, la très avant-gardiste Gerda Taro ! De sa jeunesse dans une Allemagne en pleine montée du nazisme avec les chasses aux juifs, elle y sera même séquestrée et interrogée ; puis son départ pour Paris et sa rencontre avec de nombreux photographes dont le jeune Robert Capa (qui ne portait pas encore ce nom 😉 ), vous suivrez les grandes étapes de son destin hors du commun pour une femme de son époque ! Se sentant libre et affranchie de la toute puissance masculine des années 30, elle multiplie les conquêtes amoureuses, n'hésite pas à s'exhiber quitte à perturber ces messieurs, elle est définitivement à des années lumières de l'establishment en rigueur ! Le récit alterne flashbacks et présent, entrecoupé de pages présentées comme des interviews avec un protagoniste parlant de Gerda à différents moments de sa vie. La partie graphique propose aussi deux versions, une légèrement colorisée à l'aquarelle bleutée et encrages profonds de noir et une autre pour le passé dans un noir et blanc simple et anguleux. Deux ambiances différentes aidant à mieux situer le récit, en revanche la nature du trait de Sylvain Combrouze est telle qu'il est parfois difficile de reconnaître les nombreux personnages. Un dessin semi-réaliste centré sur les femmes et hommes en place au milieu de ces zones de guerre, presque prémonitoires à l'invasion de la Pologne en 1939 comme point d'entrée de la seconde guerre mondiale. Le destin incroyable de cette femme méritait cet hommage !
  2. Kevin Nivek

    Gerda Taro

    Titre de l'album : Gerda Taro Scenariste de l'album : Fabrice Garate Dessinateur de l'album : Sylvain Combrouze Coloriste : Editeur de l'album : La boite à bulles Note : Résumé de l'album : Le destin de Gerda Taro, pionnière du photojournalisme, figure de la lutte antifasciste, à l'origine du mythe Robert Capa et pourtant injustement méconnue. Si l'on se souvient aujourd'hui du légendaire reporter de guerre Robert Capa, c'est en partie grâce à Gerda Taro. Son nom, c'est elle. Le lancement de sa carrière, c'est elle. Certains de ses clichés les plus célèbres, c'est encore elle. Mais Gerda Taro ne fut pas seulement l'ombre de Capa. Elle fut d'abord et surtout l'une des premières femmes photoreporters. Avant Lee Miller, elle est l'une des premières à partir sur les zones de conflits, au cours des années 1930. Animée par la ferme conviction que l'information peut changer le monde, elle n'hésitera pas à se rendre sur le front espagnol dès 1936 pour couvrir la guerre civile et combattre, à sa manière, le fascisme grandissant en Europe. Injustement oubliée à la faveur de son compagnon de route et compagnon de vie, Robert Capa, la figure de cette pionnière du photojournalisme, farouche défenseuse de la liberté et de la condition féminine, est enfin réhabilitée par Fabrice Garate Delgado et Sylvain Combrouze. Critique : On connait le mythe Robert Capa, grand photographe de guerre entre autres, mais il était temps de rendre justice à une femme l'ayant mis sur orbite, la très avant-gardiste Gerda Taro ! De sa jeunesse dans une Allemagne en pleine montée du nazisme avec les chasses aux juifs, elle y sera même séquestrée et interrogée ; puis son départ pour Paris et sa rencontre avec de nombreux photographes dont le jeune Robert Capa (qui ne portait pas encore ce nom 😉 ), vous suivrez les grandes étapes de son destin hors du commun pour une femme de son époque ! Se sentant libre et affranchie de la toute puissance masculine des années 30, elle multiplie les conquêtes amoureuses, n'hésite pas à s'exhiber quitte à perturber ces messieurs, elle est définitivement à des années lumières de l'establishment en rigueur ! Le récit alterne flashbacks et présent, entrecoupé de pages présentées comme des interviews avec un protagoniste parlant de Gerda à différents moments de sa vie. La partie graphique propose aussi deux versions, une légèrement colorisée à l'aquarelle bleutée et encrages profonds de noir et une autre pour le passé dans un noir et blanc simple et anguleux. Deux ambiances différentes aidant à mieux situer le récit, en revanche la nature du trait de Sylvain Combrouze est telle qu'il est parfois difficile de reconnaître les nombreux personnages. Un dessin semi-réaliste centré sur les femmes et hommes en place au milieu de ces zones de guerre, presque prémonitoires à l'invasion de la Pologne en 1939 comme point d'entrée de la seconde guerre mondiale. Le destin incroyable de cette femme méritait cet hommage ! Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien Partenaire : https://www.bdfugue.com/gerda-taro/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Kevin Nivek

    Modigliani

    Artiste complet (sculpture, dessin, peinture) , Ernesto Anderle poursuit ses déclarations d'amour aux grands peintres italiens . Après un réussi Caravage publié chez Petitàpetit , il réitère l'exercice avec Modigliani pour la rentrée littéraire de l'éditeur Steinkis. On y retrouve son trait particulier à l'aquarelle mais avec des contours marqués et puissants à l'encrage noir . C'est assez déstabilisant car certaines cases semblent incomplètes ou mal finies , pendant que d'autres semblent vouloir sortir des pages, transpirantes de vie ! Plutôt que de réaliser une biographie simple et classique, il met en scène une quête d'identité avec pour toile de fond la vie du peintre italien. En effet, Jeanne sa fille unique cherche à remonter le temps au fil de ses discussions avec sa grand-mère et comprendre réellement qui étaient ses parents ! Ce chemin va la conduire à Paris, la ville ayant permis à Modigliani de véritablement percer. Vous découvrirez ainsi les rencontres avec Picasso ( un ami/ennemi), Renoir, mais aussi les nombreuses difficultés éprouvées pour vivre de son art. La rencontre avec Jeanne Hébuterne va marquer un tournant dans cette vie de bohème marquée par la maladie et la fée verte. Cette plongée dans le Paris des années 1910 à 1920 est passionnante, d'autant que je connaissais ce peintre de nom, mais pas à travers ses oeuvres et ce style qu'il a forgé et imposé malgré les ombreuses critiques de l'époque. Le Nu couché ci-dessous a été vendu plus de 150000000 lors d'une vente aux enchères il y a quelques années ! Un comble en voyant Modigliani vivre dans la misère toute sa vie ... Sans aimer son style, voire l'Art, vous apprécierez le trait d'Ernesto Anderle et son style onirique. Je recommande tout particulièrement la plongée dans l'inconscient de Jeanne opérée par Modigliani lorsqu'il réalise son portrait. Une mise en image vertigineuse, on entre dans la tête du peintre littéralement.
  4. Kevin Nivek

    Modigliani

    Titre de l'album : Modigliani Scenariste de l'album : Ernesto Anderle Dessinateur de l'album : Ernesto Anderle Coloriste : Ernesto Anderle Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : Jeanne, fille unique d'Amedeo Modigliani, cherche à comprendre quel homme était son père, disparu alors qu'elle n'était qu'une enfant. Peintre de génie, artiste maudit, rival et ami de Picasso, Amedeo Modigliani fut applaudi et censuré. Au fil du témoignage de son vieil ami, Maurice Utrillo, s'esquisse petit à petit pour Jeanne le portrait de ce père, fou d'amour pour l'art, pour la vie, et pour sa mère, Jeanne Hébuterne... Critique : Artiste complet (sculpture, dessin, peinture) , Ernesto Anderle poursuit ses déclarations d'amour aux grands peintres italiens . Après un réussi Caravage publié chez Petitàpetit , il réitère l'exercice avec Modigliani pour la rentrée littéraire de l'éditeur Steinkis. On y retrouve son trait particulier à l'aquarelle mais avec des contours marqués et puissants à l'encrage noir . C'est assez déstabilisant car certaines cases semblent incomplètes ou mal finies , pendant que d'autres semblent vouloir sortir des pages, transpirantes de vie ! Plutôt que de réaliser une biographie simple et classique, il met en scène une quête d'identité avec pour toile de fond la vie du peintre italien. En effet, Jeanne sa fille unique cherche à remonter le temps au fil de ses discussions avec sa grand-mère et comprendre réellement qui étaient ses parents ! Ce chemin va la conduire à Paris, la ville ayant permis à Modigliani de véritablement percer. Vous découvrirez ainsi les rencontres avec Picasso ( un ami/ennemi), Renoir, mais aussi les nombreuses difficultés éprouvées pour vivre de son art. La rencontre avec Jeanne Hébuterne va marquer un tournant dans cette vie de bohème marquée par la maladie et la fée verte. Cette plongée dans le Paris des années 1910 à 1920 est passionnante, d'autant que je connaissais ce peintre de nom, mais pas à travers ses oeuvres et ce style qu'il a forgé et imposé malgré les ombreuses critiques de l'époque. Le Nu couché ci-dessous a été vendu plus de 150000000 lors d'une vente aux enchères il y a quelques années ! Un comble en voyant Modigliani vivre dans la misère toute sa vie ... Sans aimer son style, voire l'Art, vous apprécierez le trait d'Ernesto Anderle et son style onirique. Je recommande tout particulièrement la plongée dans l'inconscient de Jeanne opérée par Modigliani lorsqu'il réalise son portrait. Une mise en image vertigineuse, on entre dans la tête du peintre littéralement. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/modigliani/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Après un premier tome qui ne m'avaient guère passionné, le personnage de Chaplin me laissant jusqu'ici assez froid et loin de l'image que j'avais de lui, le tome 2 avait relancé mon intérêt pour cette série, ébauchant alors déjà ce tome 3 venu me réconcilier définitivement avec cette trilogie. En effet, c'est ici que l'on prend enfin la mesure de Chaplin puisque je suis persuadé que l'artiste ne devient grand que lorsqu'il sert un idéal plus grand que son ego. Les failles de l'homme exposées avec lucidité forment alors un beau contrepoint au génie de l'artiste. Ce Chaplin qui sut se réinventer, sortir du chemin tracé, s'opposer, et jeter un regard acerbe et toujours pertinent près d'un siècle plus tard sur sa société pour ainsi rentrer dans l'Histoire est passionnant. Ses deux contrepoints, formé ici dans ce tome 3 avec l'évolution d'Hitler et le personnage de Hoover, permettent de mieux mesurer la difficulté de ce qu'il entreprit et fit. Cette trilogie mérite d'être lue puisqu'il s'agit finalement de l'une des seules biographies sérieuses et couvrant une vaste partie de sa vie consacrée à ce génie que fut Chaplin. Bravo Messieurs, une belle fin en apothéose pour tout passionné d'histoire et de cinéma. Les liens vers les chroniques des précédents tomes :
  6. Titre de l'album : Chaplin - Tome 3 - Contre John Edgar Hoover Scenariste de l'album : Laurent Seksik Dessinateur de l'album : David Francois Coloriste : David Francois Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Après avoir connu ascension fulgurante, succès incontesté et premiers échecs, Charlie Chaplin traverse, à l'aube de ses 40 ans, une période de doutes. Désintéressé par les louanges d'Hollywood, et surtout marqué par la misère sociale et l'instabilité politique grandissante, le prodige du cinéma envisage de mettre un terme à sa carrière. C'est sa rencontre avec l'actrice Paulette Goddard qui lui donnera un nouveau souffle créatif et lui permettra de prendre le virage dont son oeuvre avait besoin. Délaissant la comédie au profit d'un ton plus engagé, Chaplin s'attelle à ce qui resteront ses films les plus marquants : Les Temps Modernes et Le Dictateur. Critique : Après un premier tome qui ne m'avaient guère passionné, le personnage de Chaplin me laissant jusqu'ici assez froid et loin de l'image que j'avais de lui, le tome 2 avait relancé mon intérêt pour cette série, ébauchant alors déjà ce tome 3 venu me réconcilier définitivement avec cette trilogie. En effet, c'est ici que l'on prend enfin la mesure de Chaplin puisque je suis persuadé que l'artiste ne devient grand que lorsqu'il sert un idéal plus grand que son ego. Les failles de l'homme exposées avec lucidité forment alors un beau contrepoint au génie de l'artiste. Ce Chaplin qui sut se réinventer, sortir du chemin tracé, s'opposer, et jeter un regard acerbe et toujours pertinent près d'un siècle plus tard sur sa société pour ainsi rentrer dans l'Histoire est passionnant. Ses deux contrepoints, formé ici dans ce tome 3 avec l'évolution d'Hitler et le personnage de Hoover, permettent de mieux mesurer la difficulté de ce qu'il entreprit et fit. Cette trilogie mérite d'être lue puisqu'il s'agit finalement de l'une des seules biographies sérieuses et couvrant une vaste partie de sa vie consacrée à ce génie que fut Chaplin. Bravo Messieurs, une belle fin en apothéose pour tout passionné d'histoire et de cinéma. Les liens vers les chroniques des précédents tomes : Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chaplin-tome-3-contre-john-edgar-hoover?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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