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  1. Kevin Nivek

    Serial rockers

    Après des BD-doc centrées sur un groupe ou une star bien particulière, l'éditeur petitàpetit a eu la bonne idée de réaliser un album sur les frasques des rockstars ! Ainsi, James Brown, David Bowie, Madonna, Keith Richards et tant d'autres passent sous la moulinette des auteurs et on se régale d'apprendre toutes ces anecdotes croustillantes. Une présentation brève de la star commence le chapitre avec sa jeunesse, son milieu social, puis ses débuts sur scène, avec le but de comprendre pourquoi tel ou tel look, mais aussi telle ou telle conduite dans les vies publiques et privées ! Vous apprendrez que Ozzy Osborne et Keith Richards demeurent des anomalies, des "mutants" pour être encore en vie après les conduites addictives de toutes sortes au cours de leur vie ! Mais aussi la liaison courte et intense de Mick Jagger et Bowie, un petit monde que la scène britannique de ces années là 😉 . Elvis aimait les vierges, Gainsbarre s'adresse à la jeune Witney Houston en des termes peu élogieux sous l'oeil consterné et catastrophé de Michel Drucker, Jimi Hendrix et ses appétits insatiables en matière de sexe, tant de révélations croustillantes au fil de ces 120 pages que vous ne verrez pas défiler. Un regret, la présence de la seule et unique Madonna en tant que femme, il y avait peut-être matière à trouver d'autres personnalités féminines aux frasques détonantes. La ligne graphique est assurée par un collectif d'auteurs de talent, qui s'adaptent à la star du chapitre. Ainsi le trait sera rond et pop pour Madonna, quand le choix des couleurs pour Kiss et Ozzy Osborne sera plus sombre accompagné d'une griphe réaliste. Pour les amateurs de musique mais pas que, c'est réellement une mine d'informations, chapeautée par le grand amateur de métal et plus rockeur des scénaristes : Eric Corbeyran et son éternel perfecto 🙂
  2. Titre de l'album : Serial rockers Scenariste de l'album : Eric Corbeyran, Stéphane Deschamps Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Petit à petit Note : Résumé de l'album : Le rock et ses fait scandale depuis sa création. Pourquoi ? Comment ? Qui en sont les héros et qui en sont les perdants magnifiques ? Serial Rockers raconte avec humour et décalage les dérapages des légendes : leurs moeurs, leur look, leur langage, leurs succès et bien entendu leurs frasques. Critique : Après des BD-doc centrées sur un groupe ou une star bien particulière, l'éditeur petitàpetit a eu la bonne idée de réaliser un album sur les frasques des rockstars ! Ainsi, James Brown, David Bowie, Madonna, Keith Richards et tant d'autres passent sous la moulinette des auteurs et on se régale d'apprendre toutes ces anecdotes croustillantes. Une présentation brève de la star commence le chapitre avec sa jeunesse, son milieu social, puis ses débuts sur scène, avec le but de comprendre pourquoi tel ou tel look, mais aussi telle ou telle conduite dans les vies publiques et privées ! Vous apprendrez que Ozzy Osborne et Keith Richards demeurent des anomalies, des "mutants" pour être encore en vie après les conduites addictives de toutes sortes au cours de leur vie ! Mais aussi la liaison courte et intense de Mick Jagger et Bowie, un petit monde que la scène britannique de ces années là 😉 . Elvis aimait les vierges, Gainsbarre s'adresse à la jeune Witney Houston en des termes peu élogieux sous l'oeil consterné et catastrophé de Michel Drucker, Jimi Hendrix et ses appétits insatiables en matière de sexe, tant de révélations croustillantes au fil de ces 120 pages que vous ne verrez pas défiler. Un regret, la présence de la seule et unique Madonna en tant que femme, il y avait peut-être matière à trouver d'autres personnalités féminines aux frasques détonantes. La ligne graphique est assurée par un collectif d'auteurs de talent, qui s'adaptent à la star du chapitre. Ainsi le trait sera rond et pop pour Madonna, quand le choix des couleurs pour Kiss et Ozzy Osborne sera plus sombre accompagné d'une griphe réaliste. Pour les amateurs de musique mais pas que, c'est réellement une mine d'informations, chapeautée par le grand amateur de métal et plus rockeur des scénaristes : Eric Corbeyran et son éternel perfecto 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/serial-rockers/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Titre de l'album : Red Hot Chili Peppers Scenariste de l'album : Borja Figuerola, Samuel Degasne Dessinateur de l'album : Carlos Cordoba, Paskal Millet Coloriste : Francesca Vivaldi, Alice Previati Editeur de l'album : Petit à petit Note : Résumé de l'album : Cela fait plus de 40 ans que les Red Hot Chili Peppers marchent sur le toit du monde musical puisant dans les différents styles de quoi créer un son unique. On trouve dans leur discographie un mélange de pop, de rock, de rap, de funk, de punk, de soul, de métal… A travers leur histoire tumultueuse, le groupe créé par Anthony Kiedis et Michael « Flea » Balzary, fait aujourd’hui référence dans l’univers Pop-Rock international. Ça sent le soleil de Californie et le bon rock’n’roll dans ce Docu-BD au rythme endiablé ! Dream of Californication ! Critique : J'ai découvert les Red hot avec l'album consacrant leur succès mondial, Blood Sugar Sex Magik. Sorti en 1991, je l'écoute pour la première fois en 1995 sur les bancs du lycée et une onde sismique semble m'avoir transpercé à tout jamais. La bande d'Anthony Kiedis venait de gagner un nouveau fan pour des années à venir ! Un son plus "accessible" et moins violent que les non moins excellents Rage against the machine, parcourt les travées d'une époque bénie pour le rock de façon générale. Songez que Nirvana, Smashing pumpkins et Pearl jam ont fait les premières parties des Red hot lors de leurs tournées ! La créativité était incroyable et elle transpire dans les pages de ce formidable documentaire dédié au groupe quadragénaire. Vous allez apprendre une multitude d'informations sur leurs débuts, leurs rencontres, leurs multiples séparations/réconciliations, bref, 40 années tumultueuses jalonnées de musique et de substances illicites en tout genre... Quelle vie de groupe mes aïeux ! La drogue a été omniprésente, mais une autre addiction a frappé les membres : l'envie permanente de travailler ensemble dans une osmose singulière. Vous allez découvrir leur méthode de travail qui semble unique en son genre mais qui a permis l'émergence de tellement de tubes et autres accords mythiques, qu'elle en devient naturelle et logique ! Le talent ne s'explique pas, il se vit à travers Anthony et ses acolytes. Le dessin réaliste de Carlos Cordoba est précis, les protagonistes sont facilement reconnaissables, il parvient à dégager beaucoup d'énergie des cases "musicales", la lumière suit les Red hot dans une symbiose éclatante. On est avec Anthony Kiedis lorsqu'il compose mais on est aussi avec lui lors de ses nombreuses phases "down", marquées par des séjours en centre de détox. Pourquoi ce titre "under the bridge" ? Lisez ce docu-bd aux notes fusionnelles et embrasez-vous au son du big band californien 😉 A lire et à relire et à prêter, mais surtout, à écouter ensuite ou pendant ! Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/red-hot-chilli-peppers/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Kevin Nivek

    Red Hot Chili Peppers

    J'ai découvert les Red hot avec l'album consacrant leur succès mondial, Blood Sugar Sex Magik. Sorti en 1991, je l'écoute pour la première fois en 1995 sur les bancs du lycée et une onde sismique semble m'avoir transpercé à tout jamais. La bande d'Anthony Kiedis venait de gagner un nouveau fan pour des années à venir ! Un son plus "accessible" et moins violent que les non moins excellents Rage against the machine, parcourt les travées d'une époque bénie pour le rock de façon générale. Songez que Nirvana, Smashing pumpkins et Pearl jam ont fait les premières parties des Red hot lors de leurs tournées ! La créativité était incroyable et elle transpire dans les pages de ce formidable documentaire dédié au groupe quadragénaire. Vous allez apprendre une multitude d'informations sur leurs débuts, leurs rencontres, leurs multiples séparations/réconciliations, bref, 40 années tumultueuses jalonnées de musique et de substances illicites en tout genre... Quelle vie de groupe mes aïeux ! La drogue a été omniprésente, mais une autre addiction a frappé les membres : l'envie permanente de travailler ensemble dans une osmose singulière. Vous allez découvrir leur méthode de travail qui semble unique en son genre mais qui a permis l'émergence de tellement de tubes et autres accords mythiques, qu'elle en devient naturelle et logique ! Le talent ne s'explique pas, il se vit à travers Anthony et ses acolytes. Le dessin réaliste de Carlos Cordoba est précis, les protagonistes sont facilement reconnaissables, il parvient à dégager beaucoup d'énergie des cases "musicales", la lumière suit les Red hot dans une symbiose éclatante. On est avec Anthony Kiedis lorsqu'il compose mais on est aussi avec lui lors de ses nombreuses phases "down", marquées par des séjours en centre de détox. Pourquoi ce titre "under the bridge" ? Lisez ce docu-bd aux notes fusionnelles et embrasez-vous au son du big band californien 😉 A lire et à relire et à prêter, mais surtout, à écouter ensuite ou pendant !
  5. Kevin Nivek

    The prism - Tome 1

    Matteo de Longis se lance enfin dans le grand bain en tant qu'auteur complet avec une aventure spatiale rock n'roll ! Une pollution sonore enrayant la vie nommée le sotw ( smoke on the water) , comme un clin d'oeil à l'une des plus grandes chansons rock de tous les temps , se déploie de façon inquiétante et empirique à la surface de la planète terre . La solution ? Un son venu des confins de l'espace , le son d'une chanson et d'accords parfaits pouvant stopper cette atteinte virale menaçante . Cet objectif ne sera atteint qu'avec les meilleurs musiciens du monde . 5 femmes et hommes choisis par un consortium , qui devront travailler de concert et offrir à la terre une chanson "libératrice" ! Barbara Canepa déjà co-illustratrice sur Skydoll dirige cette collection de l'éditeur Oxymore et laisse à son confrère Matteo de Longis une grande latitude . On retrouve ce trait rond caractéristique , aux influences "manga" , avec une palette de couleurs vives et numériques . Une performance graphique de haute volée , au service d'un découpage dynamique et emprunté lui aussi aux productions nippones , avec par exemple des gros plans sur les visages des protagonistes amplifiant leurs réactions . L'italien ne cache pas son admiration pour le mangaka Yusuke Murata (One-Punch-Man) et s'inspire de son style dans les phases d'action , donnant ainsi de la vitesse et du mouvement au récit . L'ensemble aurait des allures d'un mélange du style de Buchet (Sillage) et Murata , un style réaliste franco-belge aux rondeurs japonaises , embelli par des couleurs éclatantes . Vous l'aurez compris , il sera difficile de ne pas être emballé par le dessin de cet ouvrage magnifiquement relié . L'histoire en revanche peine à convaincre , les personnages sont caricaturaux et cette fameuse pollution sonore n'est que très peu décrite , idem pour cette éventuelle solution "space-rock" venue de la lune . L'auteur s'est évidemment fait plaisir en amateur de musique , en illustrant le vaisseau spatial en forme de guitare électrique et en utilisant la musique comme remède à cette terrible atteinte planétaire .On sent un soucis du détail et l'envie de bien faire . Il a présenté les personnages , situé le contexte , il va falloir dorénavant donner un peu plus de profondeur à l'histoire 😉 . Continuez mr De Longis , vous êtes sur la bonne voie , the show must go on !!
  6. Titre de l'album : The prism - Tome 1 Scenariste de l'album : Matteo de Longis Dessinateur de l'album : Matteo de Longis Coloriste : Matteo de Longis Editeur de l'album : Oxymore Note : Résumé de l'album : La Terre, dans un futur proche. La pollution sonore menace de détruire la planète. Et si le dernier espoir de l'humanité était le rock ? A la surface de la Terre, des espaces immenses sont recouverts par le Sotw. Ce phénomène, lié à la pollution sonore, efface la vie où il passe... et son terrain de jeu s'accroît sans cesse. La dernière option pour le contenir provient d'une immense mégacoporation : il s'agit d'envoyer dans l'espace un supergroupe de rock pour un concert hors du commun. Tel est l'objectif du projet Prisme, visant à réunir les meilleurs musiciens de la planète pour sauver la vie sur Terre et enrayer le Sotw. Sauf qu'il n'est pas si simple de créer une osmose entre les talents, même lorsque l'enjeu est immense... Matteo de Longis nous plonge avec son incroyable virtuosité graphique dans une ambitieuse et envoûtante épopée du rock spatial. Critique : Matteo de Longis se lance enfin dans le grand bain en tant qu'auteur complet avec une aventure spatiale rock n'roll ! Une pollution sonore enrayant la vie nommée le sotw ( smoke on the water) , comme un clin d'oeil à l'une des plus grandes chansons rock de tous les temps , se déploie de façon inquiétante et empirique à la surface de la planète terre . La solution ? Un son venu des confins de l'espace , le son d'une chanson et d'accords parfaits pouvant stopper cette atteinte virale menaçante . Cet objectif ne sera atteint qu'avec les meilleurs musiciens du monde . 5 femmes et hommes choisis par un consortium , qui devront travailler de concert et offrir à la terre une chanson "libératrice" ! Barbara Canepa déjà co-illustratrice sur Skydoll dirige cette collection de l'éditeur Oxymore et laisse à son confrère Matteo de Longis une grande latitude . On retrouve ce trait rond caractéristique , aux influences "manga" , avec une palette de couleurs vives et numériques . Une performance graphique de haute volée , au service d'un découpage dynamique et emprunté lui aussi aux productions nippones , avec par exemple des gros plans sur les visages des protagonistes amplifiant leurs réactions . L'italien ne cache pas son admiration pour le mangaka Yusuke Murata (One-Punch-Man) et s'inspire de son style dans les phases d'action , donnant ainsi de la vitesse et du mouvement au récit . L'ensemble aurait des allures d'un mélange du style de Buchet (Sillage) et Murata , un style réaliste franco-belge aux rondeurs japonaises , embelli par des couleurs éclatantes . Vous l'aurez compris , il sera difficile de ne pas être emballé par le dessin de cet ouvrage magnifiquement relié . L'histoire en revanche peine à convaincre , les personnages sont caricaturaux et cette fameuse pollution sonore n'est que très peu décrite , idem pour cette éventuelle solution "space-rock" venue de la lune . L'auteur s'est évidemment fait plaisir en amateur de musique , en illustrant le vaisseau spatial en forme de guitare électrique et en utilisant la musique comme remède à cette terrible atteinte planétaire .On sent un soucis du détail et l'envie de bien faire . Il a présenté les personnages , situé le contexte , il va falloir dorénavant donner un peu plus de profondeur à l'histoire 😉 . Continuez mr De Longis , vous êtes sur la bonne voie , the show must go on !! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-prism-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Titre de l'album : Je suis au delà de la mort Scenariste de l'album : L'homme étoilé Dessinateur de l'album : L'homme étoilé Coloriste : L'homme étoilé Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Il n'est jamais trop tard pour réaliser ses rêves : après des années à écumer les petites salles avec son groupe de rock, Jean s'apprête à s'envoler en direction des États-Unis pour y enregistrer son premier album. Malheureusement, il n'est jamais trop tôt pour se réveiller brusquement : Jean apprend qu'il est atteint d'un cancer, et ses projets d'avenir s'accordent très mal avec la chimio. En plus, son voisin de chambre à l'hôpital est un infâme grincheux qui ne jure que par Sinatra... Mais quand tout semble se refermer... Critique : N'y allons pas par quatre chemin, c'est mon coup de coeur de la rentrée. Ma femme, mes potes, les femmes de mes potes se sont jetés dessus. Pas un ne l'a lâché sans l'avoir fini. Quelques larmichettes, larmes ou sourires, jamais d'indifférence. Graphiquement c'est fluide, terriblement expressif en peu de traits, ce n'est peut être pas encore du Larcenet, mais il y a indéniablement du talent. L'histoire elle, est forcément poignante, et on pourrait considérer que c'est facile finalement. Sauf que, sauf que. D'abord le dosage entre émotions est génial, tristesse et joie sont habilement mêlées, sans jamais nous déborder dans un sens ou dans l'autre. L'histoire flirte parfois avec l'angélisme mais la réalité pointe toujours le bout de son nez sans concession. Bref, le roman graphique de la rentrée est là. C'est un régal, cela se lit sans faim, c'est facile, bon et intéressant. Peut-être pas philosophique ou vraiment profond, mais paradoxalement tellement vivant. Une réussite. Et je ne dit pas ça souvent sur les ouvrages venant de "stars" des réseaux 🙂 Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/je-suis-au-dela-de-la-mort?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. The_PoP

    Je suis au delà de la mort

    N'y allons pas par quatre chemin, c'est mon coup de coeur de la rentrée. Ma femme, mes potes, les femmes de mes potes se sont jetés dessus. Pas un ne l'a lâché sans l'avoir fini. Quelques larmichettes, larmes ou sourires, jamais d'indifférence. Graphiquement c'est fluide, terriblement expressif en peu de traits, ce n'est peut être pas encore du Larcenet, mais il y a indéniablement du talent. L'histoire elle, est forcément poignante, et on pourrait considérer que c'est facile finalement. Sauf que, sauf que. D'abord le dosage entre émotions est génial, tristesse et joie sont habilement mêlées, sans jamais nous déborder dans un sens ou dans l'autre. L'histoire flirte parfois avec l'angélisme mais la réalité pointe toujours le bout de son nez sans concession. Bref, le roman graphique de la rentrée est là. C'est un régal, cela se lit sans faim, c'est facile, bon et intéressant. Peut-être pas philosophique ou vraiment profond, mais paradoxalement tellement vivant. Une réussite. Et je ne dit pas ça souvent sur les ouvrages venant de "stars" des réseaux 🙂
  9. The_PoP

    Sold-out - Tome 1 - Face A

    Ce Sold Out est une bonne surprise de lecture tant je n'en attendais pas grand chose au départ, ne connaissant pas Phil Castaza et étant un peu dubitatif vis à vis du scénario proposé par cette bd tant celle-ci semblait lorgner de près du côté des Vieux Fourneaux. Au final j'ai passé un beau moment de lecture, je me suis marré un peu, j'ai souvent souri, et j'ai refermé la bd avec la patate. Dur d'en demander plus non ? La couverture n'est pas très réussi je trouve alors que le dessin est globalement plutôt chouette et cohérent avec le thème. Les personnages sont bien sentis, l'histoire ne va pas forcément chercher loin, mais c'est une tranche de vie un peu particulière alors on n'en attends pas forcément beaucoup plus.
  10. Titre de l'album : Sold-out - Tome 1 - Face A Scenariste de l'album : Phil Castaza Dessinateur de l'album : Phil Castaza Coloriste : Phil Castaza Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Vous êtes de ceux qui pensent qu'à 73 ans on est simplement bon à jeter au vide-ordures, atteint par la sénilité ? Parce que les articulations n'ont plus la même souplesse, les tissus pas la même élasticité ? Nos deux vieilles carcasses vont vous prouver le contraire et pas qu'un peu ! Elles remontent un groupe de rock, comme au bon vieux temps des 60'. Et ça va envoyer le steak ! Critique : Ce Sold Out est une bonne surprise de lecture tant je n'en attendais pas grand chose au départ, ne connaissant pas Phil Castaza et étant un peu dubitatif vis à vis du scénario proposé par cette bd tant celle-ci semblait lorgner de près du côté des Vieux Fourneaux. Au final j'ai passé un beau moment de lecture, je me suis marré un peu, j'ai souvent souri, et j'ai refermé la bd avec la patate. Dur d'en demander plus non ? La couverture n'est pas très réussi je trouve alors que le dessin est globalement plutôt chouette et cohérent avec le thème. Les personnages sont bien sentis, l'histoire ne va pas forcément chercher loin, mais c'est une tranche de vie un peu particulière alors on n'en attends pas forcément beaucoup plus. Autres infos : Album feel good Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sold-out-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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