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  1. poseidon2

    Les mémoires de la Shoah

    On le dit souvent mais le devoir de mémoire est important. Se souvenir de l'horreur visuelle des camps de la mort et de la déportation est un sujet fréquemment traité. Par contre, l'impact de la Shoah sur les générations futures le sont peu, alors même que ce sont les générations qui permettront d'éviter que cela ne se reproduise. Et c'est en cela que le reportage d'Annick Cojean, publié dans Le Monde" dans les années 90, est marquant. Il ne traite pas de la Shoah, mais de l'impact de celle-ci sur les enfants de déportés... mais aussi les enfants de nazis. Et ce à une époque où les gens avaient encore du mal à parler de la Shoah. Une époque où il était important d'oublier pour repartir de plus belle, quitte à ne pas écouter ceux qui ont besoin de parler. Et tous ces témoignages sont marquants encore aujourd'hui, 30 ans après, et cela, même si les gens sont plus ouverts à discuter du sujet. Que ce soit les souvenirs des rescapés, de leurs enfants ou même des fils de nazis, qui ont dû vivre(ou pas) avec le poids des péchés de leurs parents, on ne peut qu'être choqué par ce que l'on lit. Ces interviews rendent le récit beaucoup plus humain et beaucoup plus proche de nous, ce qui rend quasiment tangible des horreurs pourtant vieilles de 80 ans. À lire et faire lire !
  2. Titre de l'album : Les mémoires de la Shoah Scenariste de l'album : Annick Cojean | Thea Rojzman Dessinateur de l'album : Tamia Baudouin Coloriste : Tamia Baudouin Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : 1942, descente des nazis dans le ghetto de Kovno, en Pologne : son nouveau-né dans les bras, une jeune femme regarde autour d'elle, hagarde. Bessie K : « Je tenais le bébé, et j'ai pris mon manteau, et j'ai emballé le bébé, je l'ai mis sur mon côté gauche car je voyais les Allemands dire "gauche" ou "droite", et je suis passée au travers avec le bébé. Mais le bébé manquait d'air et a commencé à s'étouffer et à pleurer. Alors l'Allemand m'a rappelée, il a dit : "Qu'est-ce que vous avez là ?" Je ne savais pas quoi faire parce que cela allait vite et tout était arrivé si soudainement. Je n'y étais pas préparée (...) Il a tendu son bras pour que je lui tende le paquet ; et je lui ai tendu le paquet. Et c'est la dernière fois que j'ai eu le paquet. » C'est l'un des nombreux témoignages de survivants des camps de la mort recueillis par Annick Cojean, grand reporter au Monde depuis plus de quarante ans. Elle reçoit en 1996 le prix Albert Londres pour Les mémoires de la Shoah. Ces textes magnifiques prennent une nouvelle dimension aujourd'hui avec cette adaptation en bande dessinée de Théa Rojzman et Tamia Baudoin. Une adaptation sensible des textes d'Annick Cojean en partenariat exclusif avec le Prix Albert Londres et le Mémorial de la Shoah. Critique : On le dit souvent mais le devoir de mémoire est important. Se souvenir de l'horreur visuelle des camps de la mort et de la déportation est un sujet fréquemment traité. Par contre, l'impact de la Shoah sur les générations futures le sont peu, alors même que ce sont les générations qui permettront d'éviter que cela ne se reproduise. Et c'est en cela que le reportage d'Annick Cojean, publié dans Le Monde" dans les années 90, est marquant. Il ne traite pas de la Shoah, mais de l'impact de celle-ci sur les enfants de déportés... mais aussi les enfants de nazis. Et ce à une époque où les gens avaient encore du mal à parler de la Shoah. Une époque où il était important d'oublier pour repartir de plus belle, quitte à ne pas écouter ceux qui ont besoin de parler. Et tous ces témoignages sont marquants encore aujourd'hui, 30 ans après, et cela, même si les gens sont plus ouverts à discuter du sujet. Que ce soit les souvenirs des rescapés, de leurs enfants ou même des fils de nazis, qui ont dû vivre(ou pas) avec le poids des péchés de leurs parents, on ne peut qu'être choqué par ce que l'on lit. Ces interviews rendent le récit beaucoup plus humain et beaucoup plus proche de nous, ce qui rend quasiment tangible des horreurs pourtant vieilles de 80 ans. À lire et faire lire ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-memoires-de-la-shoah?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. The_PoP

    Vivre à en mourir

    Avec les cérémonies au panthéon de la semaine dernière, Le Lombard remet en avant "Vivre à en mourir", leur BD historique traitant du destin de Marcel Rayman, l'un des membres juifs de la résistance communiste étrangère à l'occupation à Paris pendant la seconde guerre mondiale. Son destin tragique sera partie intégrante de la fameuse affiche rouge dont on a tant parlé. Cette bd est illustrée dans le style de la ligne claire par Jeanne Puchol, qui retranscris assez bien le sérieux du propos. L'histoire elle, désormais très connue est toujours aussi bouleversante. Pour les amoureux de la France, comme de ceux de l'Histoire, ces destins tragiques mêlés à cette période trouble sont fascinants. Cette bd est un excellent moyen pour ceux étant passé à côté de cette petite histoire dans la grande de rattraper leur retard. Avec sérieux et émotion on se plonge dans leurs vécus d'après notamment le témoignage qu'a pu en livrer l'un des rescapés à la fin de la guerre. Impressionnant, et édifiant, à lire tout simplement.
  4. Titre de l'album : Vivre à en mourir Scenariste de l'album : Laurent Galandon Dessinateur de l'album : Jeanne Puchol Coloriste : Laurence Croix Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Vivre à en mourir conte le destin de Marcel Rayman, ce jeune juif polonais pacifiste, qui, face à l'abomination nazie, prendra les armes auprès de Missak Manoukian et d'autres résistants. Pendant deux éprouvantes années, durant lesquelles il verra sa famille déportée, Marcel Rayman fait l'apprentissage de la clandestinité, de la « guérilla urbaine », de la mort, de la peur… et de la trahison. Son visage apparaîtra sur l'infamante Affiche Rouge, propagande de l'occupant destinée à discréditer les actions de la résistance parisienne. Critique : Avec les cérémonies au panthéon de la semaine dernière, Le Lombard remet en avant "Vivre à en mourir", leur BD historique traitant du destin de Marcel Rayman, l'un des membres juifs de la résistance communiste étrangère à l'occupation à Paris pendant la seconde guerre mondiale. Son destin tragique sera partie intégrante de la fameuse affiche rouge dont on a tant parlé. Cette bd est illustrée dans le style de la ligne claire par Jeanne Puchol, qui retranscris assez bien le sérieux du propos. L'histoire elle, désormais très connue est toujours aussi bouleversante. Pour les amoureux de la France, comme de ceux de l'Histoire, ces destins tragiques mêlés à cette période trouble sont fascinants. Cette bd est un excellent moyen pour ceux étant passé à côté de cette petite histoire dans la grande de rattraper leur retard. Avec sérieux et émotion on se plonge dans leurs vécus d'après notamment le témoignage qu'a pu en livrer l'un des rescapés à la fin de la guerre. Impressionnant, et édifiant, à lire tout simplement. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/vivre-a-en-mourir-vivre-a-en-mourir?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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