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Qu'est-ce que c'est beau. Dans tous les sens du terme. Graphiquement, et n'en déplaise à l'auteure, à en croire ces dires en fin d'histoire, c'est superbe. Les émotions sont d'un naturel rare dans les mangas courant et les paysages subliment. Mais il n'y a pas que graphiquement que c'est beau. L'histoire elle-même l'est tout aussi. Elle respire la vérité. Pas de surenchère de sentiment, pas d'étalage de sentiment... rien de plus que les premiers émois d'une jeune fille timide et sa découverte d'un musicien , part sa musique, l'aide à sortir de sa coquille et à s'assumer. Rien de grandiloquent. Rien d'extravagant. Juste la vie d'une jeune fille à un âge compliqué. Rien de plus. Mais ce n'était pas nécessaire. Une très belle histoire qui se s'apprécie et se lisant !
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Titre de l'album : The song about green tome 1 & 2 Scenariste de l'album : Yan Gao Dessinateur de l'album : Yan Gao Coloriste : Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : À Taïwan, Lu et Nanjun se rencontrent au sortir de l’adolescence autour de leur passion commune pour la culture japonaise, de Haruki Murakami aux grandes figures de la pop. Subtile chronique douce-amère d’un premier amour qui vibre entre Taïwan et Tokyo, The Song about Green séduit par sa maturité graphique et sa justesse. Critique : Qu'est-ce que c'est beau. Dans tous les sens du terme. Graphiquement, et n'en déplaise à l'auteure, à en croire ces dires en fin d'histoire, c'est superbe. Les émotions sont d'un naturel rare dans les mangas courant et les paysages subliment. Mais il n'y a pas que graphiquement que c'est beau. L'histoire elle-même l'est tout aussi. Elle respire la vérité. Pas de surenchère de sentiment, pas d'étalage de sentiment... rien de plus que les premiers émois d'une jeune fille timide et sa découverte d'un musicien , part sa musique, l'aide à sortir de sa coquille et à s'assumer. Rien de grandiloquent. Rien d'extravagant. Juste la vie d'une jeune fille à un âge compliqué. Rien de plus. Mais ce n'était pas nécessaire. Une très belle histoire qui se s'apprécie et se lisant ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/song-about-green-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Oken - Combats et rêveries d'un poète taïwanais Scenariste de l'album : Shih-Hung Wu Dessinateur de l'album : Shih-Hung Wu Coloriste : Shih-Hung Wu Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : La jeunesse d'Oken a bien failli s'achever dans les flammes de l'Histoire. Contraints de fuir Taiwan pour fuir les bombes américaines, le jeune garçon et sa famille trouvent refuge dans les montagnes. Mais contre la mélancolie, Oken possède une arme à nulle autre pareille : la poésie. Celle-là même qui lui permet de percer la beauté du monde, et de comprendre que la vie est telle une araignée d'eau : fragile, mais tellement élégante et fascinante. Critique : Ce Oken me faisait diablement envie, mais force est de reconnaître, que pour moi qui ne suis pas tant attiré par l'art que cela, l'ensemble m'a finalement paru un peu trop abstrait. J'ai aimé découvrir ce contexte taiwanais de l'après guerre avec sa complexité historique et son côté méconnu pour nous européens. Il se dégage de belles choses de ces planches, et de ces rêveries. Malheureusement je pense ne pas avoir l'âme assez portée vers les belles rêveries poétiques pour tout en apprécier. Je ne peux que conseille Oken aux amoureux de la poésie, de l'asie et de l'art en général. Pour les autres, cela risque d'être plus abscons. Autres infos : D'après Yang Mu Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/oken-combats-et-reveries-d-un-poete-taiwanais?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Ce Oken me faisait diablement envie, mais force est de reconnaître, que pour moi qui ne suis pas tant attiré par l'art que cela, l'ensemble m'a finalement paru un peu trop abstrait. J'ai aimé découvrir ce contexte taiwanais de l'après guerre avec sa complexité historique et son côté méconnu pour nous européens. Il se dégage de belles choses de ces planches, et de ces rêveries. Malheureusement je pense ne pas avoir l'âme assez portée vers les belles rêveries poétiques pour tout en apprécier. Je ne peux que conseille Oken aux amoureux de la poésie, de l'asie et de l'art en général. Pour les autres, cela risque d'être plus abscons.
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