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Titre de l'album : L'école des dragons sur la montagne Scenariste de l'album : Kui Ryoko Dessinateur de l'album : Kui Ryoko Coloriste : Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : Un héros est de retour dans son village, un ange s'interroge sur son orientation après le collège, les centaures triment comme chevaux de trait et, comme d'habitude, des dragons volent au-dessus de l'école. Quand la fantasy s'invite dans le quotidien avec la force de l'évidence : neuf récits d'une grande autrice. Critique : L'école des dragons de la montagne c'est un recueil de 9 nouvelles nous dépeignant la vie courante... d'un univers fantastique. Il est globalement découpé en deux parties. Une première tournée autour du mythe de la belle et la bête, imaginant des légendes autour de la Bête, recluse dans son château. Notre autrice laisse libre cours à son imagination sur le pourquoi de cette réclusion et les répercutions qu'aurait la fin de la présence de la bête, quelle que soit cette fin. La deuxième partie nous montre... des scènes de la vie courante dans un monde ou les centaures cohabite avec les humains et ou les dragons deviennent une espèce rendue obsolète par l'essor de la technologie. Scènes amusantes permettant une transposition aisée et amusante du racisme, de la gestion de la différence et du passage de mode, d'époque dans un contexte fantastique. C'est bien dessiné, super rafraîchissant et très dense pour le prix. Une bonne lecture pour cet été. Seul ombre au tableau : je pense que la version originale devait être en plus gros format car certains dialogues font mal aux yeux tellement c'est écrit petit... Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-ecole-des-dragons-sur-la-montagne?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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L'école des dragons de la montagne c'est un recueil de 9 nouvelles nous dépeignant la vie courante... d'un univers fantastique. Il est globalement découpé en deux parties. Une première tournée autour du mythe de la belle et la bête, imaginant des légendes autour de la Bête, recluse dans son château. Notre autrice laisse libre cours à son imagination sur le pourquoi de cette réclusion et les répercutions qu'aurait la fin de la présence de la bête, quelle que soit cette fin. La deuxième partie nous montre... des scènes de la vie courante dans un monde ou les centaures cohabite avec les humains et ou les dragons deviennent une espèce rendue obsolète par l'essor de la technologie. Scènes amusantes permettant une transposition aisée et amusante du racisme, de la gestion de la différence et du passage de mode, d'époque dans un contexte fantastique. C'est bien dessiné, super rafraîchissant et très dense pour le prix. Une bonne lecture pour cet été. Seul ombre au tableau : je pense que la version originale devait être en plus gros format car certains dialogues font mal aux yeux tellement c'est écrit petit...
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Fin du deuxième diptyque sur les personnages secondaires du Konoha post Naruto après Sasuke Retsuden Comme on pouvait l'attendre à la lecture du premier tome, l'action arrive enfin dans cette deuxième partie avec l'entrée en scène de membre de la secte "Lumière de Jashin", qui rêve de refaire le pacte de sang fait par Hidan, membre de l'akastuki qui a tué.... Asuma, le père de Mirai. De quoi pimenter un peu notre histoire et de raviver le seul véritable intérêt de ces parutions : la nostalgie. Car si l'ensemble est sympa et plaira aux aficionados de Naruto comme moi, ce diptyque reste assez moyen, surtout la partie "vieux Kakashi et vieux Gai" qui s'approche du ridicule. Bref pour compléter une collection pour les fans. Voir pourquoi pas caler l'étagère Naruto ....
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Titre de l'album : Naruto - Konoha shinden tome 2/2 Scenariste de l'album : Shô Hinata | Masashi Kishimoto Dessinateur de l'album : Natsuo Sai Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Pendant que Mirai assure la protection de Kakashi et de Gaï lors d’un voyage dans les sources d’eau chaude, elle rencontre Tatsumi, une jeune fille qui a perdu sa mère. Tatsumi propose à Mirai d’aller dans une « source chaude qui permet de rencontrer les défunts ». Après maintes hésitations, Mirai accompagne Tatsumi à cette source de la résurrection, car elle veut rencontrer son père, et non le connaître à travers les souvenirs des autres. Au contact des shinobis qui se sont battus pour la paix, et au bout de violents affrontements où les destins s’entremêlent, Mirai découvre comment doit être un shinobi ! Critique : Fin du deuxième diptyque sur les personnages secondaires du Konoha post Naruto après Sasuke Retsuden Comme on pouvait l'attendre à la lecture du premier tome, l'action arrive enfin dans cette deuxième partie avec l'entrée en scène de membre de la secte "Lumière de Jashin", qui rêve de refaire le pacte de sang fait par Hidan, membre de l'akastuki qui a tué.... Asuma, le père de Mirai. De quoi pimenter un peu notre histoire et de raviver le seul véritable intérêt de ces parutions : la nostalgie. Car si l'ensemble est sympa et plaira aux aficionados de Naruto comme moi, ce diptyque reste assez moyen, surtout la partie "vieux Kakashi et vieux Gai" qui s'approche du ridicule. Bref pour compléter une collection pour les fans. Voir pourquoi pas caler l'étagère Naruto .... Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/naruto-konoha-shinden-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Doomsday war - Rekkyô sensen tome 1 Scenariste de l'album : Natsuko Uruma Dessinateur de l'album : Natsuko Uruma Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : 16 combattants. 16 nations. Une seule vaincra. An 2206 de notre ère. La Terre est en proie aux pires catastrophes climatiques : la température du globe et le niveau des eaux ont drastiquement monté, le monde suffoque et une grande partie des animaux est éteinte. Selon Gaïa, l'intelligence artificielle aux prédictions incontestées, il ne reste plus que cent ans avant que la surpopulation n'entraîne la fin de l'humanité... Les 16 nations survivantes concluent alors un accord désespéré. Chacune d'entre elles sera représentée par un champion dans un grand tournoi. Et malheur aux pays vaincus... Ils disparaîtront de la surface terrestre, prolongeant ainsi un peu plus l'espérance de survie de la race humaine ! C'est le début d'un affrontement mondial démesuré, où tous les coups surnaturels sont permis, pour l'honneur et la survie de sa patrie ! Critique : Pour les vacances d'été, Doki doki nous sort un nouveau seinen prometteur nous présentant un battle royale mettant en jeu rien de moins que la survie de tous les habitants d'un pays entier". En effet la planète n'en peu tellement plus que la seule solution pour permettre à l'Humanité de survivre c'est de décimer arbitrairement une partie de ses habitants… c'est tout du moins le point de vue de l'IA nommée Gaia. Pour choisir quelle nation sera éradiquée, un battle royale est organisé entre tout les champions des 16 nations du monde. Ce que j'ai bien aimé dans cette nouvelle série, c'est que, hormis le battle royale et les combats globalement très bien fait, les humains remettent entièrement leurs décisions à une IA sans remettre sont choix en question, même si celui-ci condamne une partie de la planète. C'est le véritable point qui change dans ce premier tome. Les dirigeants de la terre se débarrassent de leur responsabilité au profit de Gaia...Sans véritablement se demander si cette IA n'a pas une volonté propre. Dessin efficace, combat intriguant plein de pouvoir étrange, IA qui semble hors de contrôle et humains perfides aux commandes. Un bon manga d'été donc on regrette juste de devoir attendre septembre pour avoir le tome 2 Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/doomsday-war-rekkyo-sensen-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Pour les vacances d'été, Doki doki nous sort un nouveau seinen prometteur nous présentant un battle royale mettant en jeu rien de moins que la survie de tous les habitants d'un pays entier". En effet la planète n'en peu tellement plus que la seule solution pour permettre à l'Humanité de survivre c'est de décimer arbitrairement une partie de ses habitants… c'est tout du moins le point de vue de l'IA nommée Gaia. Pour choisir quelle nation sera éradiquée, un battle royale est organisé entre tout les champions des 16 nations du monde. Ce que j'ai bien aimé dans cette nouvelle série, c'est que, hormis le battle royale et les combats globalement très bien fait, les humains remettent entièrement leurs décisions à une IA sans remettre sont choix en question, même si celui-ci condamne une partie de la planète. C'est le véritable point qui change dans ce premier tome. Les dirigeants de la terre se débarrassent de leur responsabilité au profit de Gaia...Sans véritablement se demander si cette IA n'a pas une volonté propre. Dessin efficace, combat intriguant plein de pouvoir étrange, IA qui semble hors de contrôle et humains perfides aux commandes. Un bon manga d'été donc on regrette juste de devoir attendre septembre pour avoir le tome 2
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Yamada est bien embêté, c’est un employé sérieux, séduisant et surtout très gentil toujours prêt à aider ses collègues ou à les écouter. Hélas, l’une d’elle en a profité pour prendre ses rêves pour la réalité et n’arrête pas de le coller et va même jusqu’à fouiller dans ses affaires. Ne sachant comment la faire arrêter il prétend qu’il est en couple avec Moriyama, un collègue qu’il ne côtoie pas souvent mais qui est un ancien camarade étudiant. L’aspect vraiment original vient du fait que Yamada se fasse harcelé. Pour une fois, c’est l’homme la cible et la jeune office lady le stalker. Le personnage principal est un peu fade, il manque clairement de caractère et il est assez incohérent : pour se débarrasser d’une gêneuse, il n’hésite pas à accepter de vendre son corps ! Il a de la chance quand même, il demande un service à son collègue gay qui en plus est amoureux de lui !! Moriyama, lui, passe trop vite du nerd au beau gosse. Je sais bien que c’est un one shot mais tout va un peu trop vite et tout se passe un peu trop bien entre les deux hommes. La romance est globalement gentillette, il y a des passages attendrissants mais certains aspects auraient pu être plus développés afin de donner un peu de dynamisme au récit.
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Titre de l'album : Amants sous contrat Scenariste de l'album : Io Matsuda Dessinateur de l'album : Io Matsuda Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Yanaka et Moriyama sont en couple... Bien qu'il s'agisse d'une fausse histoire d'amour en réalité ! Alors que Yanaka est harcelé par une de ses collègues, il demande à Moriyama de se faire passer pour son petit ami, en échange de quoi il fera tout ce qu'il veut. Mais voilà que Moriyama désire en contrepartie le corps de Yanaka ?! Yanaka va ainsi découvrir de nouvelles facettes de Moriyama et confus, il va commencer à s'abandonner à lui... Qu'adviendra t-il de leur relation basée sur un mensonge ?! "Je ne peux plus le nier à présent. Je suis tombé amoureux de toi." Critique : Yamada est bien embêté, c’est un employé sérieux, séduisant et surtout très gentil toujours prêt à aider ses collègues ou à les écouter. Hélas, l’une d’elle en a profité pour prendre ses rêves pour la réalité et n’arrête pas de le coller et va même jusqu’à fouiller dans ses affaires. Ne sachant comment la faire arrêter il prétend qu’il est en couple avec Moriyama, un collègue qu’il ne côtoie pas souvent mais qui est un ancien camarade étudiant. L’aspect vraiment original vient du fait que Yamada se fasse harcelé. Pour une fois, c’est l’homme la cible et la jeune office lady le stalker. Le personnage principal est un peu fade, il manque clairement de caractère et il est assez incohérent : pour se débarrasser d’une gêneuse, il n’hésite pas à accepter de vendre son corps ! Il a de la chance quand même, il demande un service à son collègue gay qui en plus est amoureux de lui !! Moriyama, lui, passe trop vite du nerd au beau gosse. Je sais bien que c’est un one shot mais tout va un peu trop vite et tout se passe un peu trop bien entre les deux hommes. La romance est globalement gentillette, il y a des passages attendrissants mais certains aspects auraient pu être plus développés afin de donner un peu de dynamisme au récit. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/amants-sous-contrat?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Kazuki a été émerveillé par un pâtissier quand il était enfant. Pour lui, c’était comme voir un magicien ! Il aurait bien aimé exercé le même métier mais il a dû y renoncer à cause de sa maladresse. Du coup, au lieu de cuisiner, il s’offre régulièrement de beaux gâteaux. Le jour où la pâtisserie de son enfance rouvre après travaux, il se fait embaucher comme serveur et rencontre Yoichiro, le nouveau chef, un génie en son genre qui a perdu sa motivation. Bien qu’il y ait une romance, Grapefruit Moon est plus l’histoire de passions : comment réaliser ses rêves quand le talent ou la motivation ne sont plus là ? Comme se remettre d’un échec ? et Tout simplement, comment vivre sa vie à fond sans avoir de regret. Les personnages sont lumineux ; Kazuki respire la joie de vivre et arrive parfaitement à transmettre son amour pour les pâtisseries et le bonheur que procure les instants de partage ! En plus de cela, le dessin est fin et soigné, les proportions sont harmonieuses et un baiser est ce qu’il y a de plus osé (tout public donc). Un livre à savourer.
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Titre de l'album : Grapefruit moon Scenariste de l'album : Tomo Serizawa Dessinateur de l'album : Tomo Serizawa Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Kazuki, un étudiant qui adore les sucreries, obtient un emploi à temps partiel dans une petite pâtisserie locale du nom de Fujimura. Lui est très maladroit et tête en l'air, tandis que Yôichirô, le chef pâtissier de la boutique, qui ne paraît pas des plus accueillants au premier abord, est en réalité très attentionné. Sans compter que les gâteaux qu'il crée de ses mains expertes sont incroyablement beaux ! En apprenant que Yôichirô avait quitté un célèbre établissement et qu'il perdait sa passion pour la pâtisserie, Kazuki décide de faire tout ce qu'il peut pour raviver ses papilles... Critique : Kazuki a été émerveillé par un pâtissier quand il était enfant. Pour lui, c’était comme voir un magicien ! Il aurait bien aimé exercé le même métier mais il a dû y renoncer à cause de sa maladresse. Du coup, au lieu de cuisiner, il s’offre régulièrement de beaux gâteaux. Le jour où la pâtisserie de son enfance rouvre après travaux, il se fait embaucher comme serveur et rencontre Yoichiro, le nouveau chef, un génie en son genre qui a perdu sa motivation. Bien qu’il y ait une romance, Grapefruit Moon est plus l’histoire de passions : comment réaliser ses rêves quand le talent ou la motivation ne sont plus là ? Comme se remettre d’un échec ? et Tout simplement, comment vivre sa vie à fond sans avoir de regret. Les personnages sont lumineux ; Kazuki respire la joie de vivre et arrive parfaitement à transmettre son amour pour les pâtisseries et le bonheur que procure les instants de partage ! En plus de cela, le dessin est fin et soigné, les proportions sont harmonieuses et un baiser est ce qu’il y a de plus osé (tout public donc). Un livre à savourer. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/grapefruit-moon?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Le concept du manga est simple : montrer que les filles ont aussi le droit de jouer à des jeux de combat et d’être passionnées par eux. Qu’elles peuvent être aussi geeks que des garçons en quelque sorte !! Le plus du scénario c’est d’avoir choisi comme héroïnes des jeunes filles qui vont dans un lycée huppé, un établissement pour demoiselles de bonnes famille aux manières impeccables qui feront la fierté de la société ! Cela aurait pu être bien si les deux personnages principaux étaient vraiment issus de la haute société, cela aurait une sorte de transgression des règles établies… Mais ici, la petite brunette est une boursière, elle a grandi au milieu des jeux vidéo ! Et celle aux cheveux argentés, surnommée « le lys blanc », est une gameuse dans l’âme qui se répand en injures quand elle joue. On tombe un peu dans la facilité je trouve. Mais ce n’est pas le plus dérangeant : car au final, on a des pages et des pages de jeu avec des techniques de combat… Le côté intéressant vient du fait qu’elles sont obligées de se cacher pour jouer mais sinon, les parties de combat trainent en longueur et le scénario est limité. On voit cependant que l’on a évolué, avant le fan service c’était des filles et des guns, maintenant ce sera des filles et des jeux vidéo !! Bref, je passe mon tour.
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Titre de l'album : Young ladies don't play fighting games tome 1 Scenariste de l'album : Eri Ejima Dessinateur de l'album : Eri Ejima Coloriste : Editeur de l'album : Vega-Dupuis Note : Résumé de l'album : June élève de première année, Aya étudie dans une école pour filles prestigieuse malgré sa condition modeste grâce à une bourse d'étude. Elle admire et rêve de devenir celle qu'on surnomme le « Lys blanc », la fille la plus populaire de l'institut en devenant elle-même une lady malgré son manque d'éducation. Un jour, elle surprend le « Lys blanc » jouer avec passion à un jeu de combat en cachette alors qu'ils sont interdits à l'école. Cette dernière prie Aya de garder son secret, mais reviendra vers elle pour lui demander...une partie ! Aya, qui est une ancienne joueuse accepte malgré les convenances de jouer avec elle. Cette rencontre marquera entre les deux filles le début d'une drôle de relation... Critique : Le concept du manga est simple : montrer que les filles ont aussi le droit de jouer à des jeux de combat et d’être passionnées par eux. Qu’elles peuvent être aussi geeks que des garçons en quelque sorte !! Le plus du scénario c’est d’avoir choisi comme héroïnes des jeunes filles qui vont dans un lycée huppé, un établissement pour demoiselles de bonnes famille aux manières impeccables qui feront la fierté de la société ! Cela aurait pu être bien si les deux personnages principaux étaient vraiment issus de la haute société, cela aurait une sorte de transgression des règles établies… Mais ici, la petite brunette est une boursière, elle a grandi au milieu des jeux vidéo ! Et celle aux cheveux argentés, surnommée « le lys blanc », est une gameuse dans l’âme qui se répand en injures quand elle joue. On tombe un peu dans la facilité je trouve. Mais ce n’est pas le plus dérangeant : car au final, on a des pages et des pages de jeu avec des techniques de combat… Le côté intéressant vient du fait qu’elles sont obligées de se cacher pour jouer mais sinon, les parties de combat trainent en longueur et le scénario est limité. On voit cependant que l’on a évolué, avant le fan service c’était des filles et des guns, maintenant ce sera des filles et des jeux vidéo !! Bref, je passe mon tour. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/young-ladies-don-t-play-fighting-games-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : No-Go Zone X tome 1 Scenariste de l'album : Romy Oishi Dessinateur de l'album : Meshe Coloriste : Editeur de l'album : Omaké Note : Résumé de l'album : Ryoka, une lycéenne, se réveille un beau matin et comprend rapidement qu'elle est seule, bloquée à l'intérieur de son immeuble dont tous les accès ont été fermés. D'après un message de sa mère se trouvant à l'extérieur, une mystérieuse créature appelée « X » se trouve dans leur appartement... Comment va-t-elle pouvoir s'enfuir ? Quelqu'un peut-il l'aider ? Et surtout, pourquoi Ryoka est-elle la seule à être restée enfermée dans cet immeuble ? Critique : Vous aimez Sweet Home ? Vous aimerez ce manga, enfin sauf si vous voulez un scénario original car les deux se ressemblent quand même beaucoup. Quand Ryôka se réveille de sa sieste, elle est seule dans son appartement mais pas dans son immeuble ! Un monstre géant s’est accolé au bâtiment, un monstre terrifiant qui attaque dès qu’il vous voit. Et c’est ainsi qu’elle mourut. Quand elle se réveille la seconde fois, elle est revenue au point de départ (son premier réveil) avec les souvenirs de la journée passée. Même si elle a du mal à y croire, elle essaye d’anticiper les événements et surtout échapper au monstre. Heureusement elle n’est pas seule dans l’immeuble et Shûhei, un camarade de classe et ami d’enfance, est aussi présent. Mais hélas, cette régression est accompagnée d’un changement important : ce n’est plus le même monstre ! Et c’est ainsi qu‘ils moururent ! Dans chaque boucle, de petits changements se produisent qui amèneront peut-être Ryôka vers le salut. On est dans une ambiance assez sombre où très peu d’informations sont données, ce qui fait que l’on ne sait jamais à quoi s’attendre. La série est finie en 3 tomes et ça c’est une bonne nouvelle car certains mangas ont tendance à trainer en longueur pour pas grand-chose. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/no-go-zone-x-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Vous aimez Sweet Home ? Vous aimerez ce manga, enfin sauf si vous voulez un scénario original car les deux se ressemblent quand même beaucoup. Quand Ryôka se réveille de sa sieste, elle est seule dans son appartement mais pas dans son immeuble ! Un monstre géant s’est accolé au bâtiment, un monstre terrifiant qui attaque dès qu’il vous voit. Et c’est ainsi qu’elle mourut. Quand elle se réveille la seconde fois, elle est revenue au point de départ (son premier réveil) avec les souvenirs de la journée passée. Même si elle a du mal à y croire, elle essaye d’anticiper les événements et surtout échapper au monstre. Heureusement elle n’est pas seule dans l’immeuble et Shûhei, un camarade de classe et ami d’enfance, est aussi présent. Mais hélas, cette régression est accompagnée d’un changement important : ce n’est plus le même monstre ! Et c’est ainsi qu‘ils moururent ! Dans chaque boucle, de petits changements se produisent qui amèneront peut-être Ryôka vers le salut. On est dans une ambiance assez sombre où très peu d’informations sont données, ce qui fait que l’on ne sait jamais à quoi s’attendre. La série est finie en 3 tomes et ça c’est une bonne nouvelle car certains mangas ont tendance à trainer en longueur pour pas grand-chose. A suivre.
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Un grand empire désireux de conquêtes et de pouvoir envahit un jour le petit royaume paisible de Batalia, exterminant la population. Par miracle Evita, la princesse du royaume arrive à s’échapper et n’a pas d’autre choix que de vendre son corps pour survivre. Elle est donc devenue, sous le nom de Priscilla, l’une des courtisanes les plus prisées de la ville de San Missa, un endroit dédié au plaisir composé de maisons closes où les femmes y sont retenues contre leur gré jusqu’à leur mort. Mais Priscilla n’est pas la gentille idiote qu’elle laisse paraitre et elle fomente sa vengeance contre l’empire en entrainant dans son sillage toutes les femmes de la cité. Il est temps de lancer la contre-attaque ! Si dans The brave wish revenging, on a Raoul, le héros trahi, qui prend sa revanche de façon extrême, Evita est son pendant féminin. Une héroïne forte qui va frapper un grand coup (plusieurs même !) que ce soit contre l’empire mais surtout contre les hommes. Pour dire, Kurokawa a accompagné l’envoi du service de presse d’un casse-noix, je vous laisse deviner son utilisation :) ! C’est antitotalitarisme et anti-patriarcal à souhait !! Par contre, le manga est violent et à réserver à un public averti. Reste à voir si le scénario va tomber dans une accumulation de scènes choquantes (comme son pendant) ou s’il va proposer une trame plus constructive et intéressante. À suivre
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Titre de l'album : Blood-crawling princess tome 1 Scenariste de l'album : Yuki Azuma Dessinateur de l'album : Yuki Azuma Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Ils l'ont traînée dans la boue, elle va faire couler leur sang. La princesse Evita menait une vie modeste mais heureuse dans son petit royaume jusqu'au jour où le pays voisin attaque sans préavis. Elle assiste, impuissante, au sac de ses terres et au massacre de sa famille. Seule survivante, Evita est vendue à une maison close, où elle devient la prostituée Priscilla. Alors qu'elle semble condamnée à une vie de torture aux mains du troisième fils du souverain, les cloches de la révolte sonnent enfin. Critique : Un grand empire désireux de conquêtes et de pouvoir envahit un jour le petit royaume paisible de Batalia, exterminant la population. Par miracle Evita, la princesse du royaume arrive à s’échapper et n’a pas d’autre choix que de vendre son corps pour survivre. Elle est donc devenue, sous le nom de Priscilla, l’une des courtisanes les plus prisées de la ville de San Missa, un endroit dédié au plaisir composé de maisons closes où les femmes y sont retenues contre leur gré jusqu’à leur mort. Mais Priscilla n’est pas la gentille idiote qu’elle laisse paraitre et elle fomente sa vengeance contre l’empire en entrainant dans son sillage toutes les femmes de la cité. Il est temps de lancer la contre-attaque ! Si dans The brave wish revenging, on a Raoul, le héros trahi, qui prend sa revanche de façon extrême, Evita est son pendant féminin. Une héroïne forte qui va frapper un grand coup (plusieurs même !) que ce soit contre l’empire mais surtout contre les hommes. Pour dire, Kurokawa a accompagné l’envoi du service de presse d’un casse-noix, je vous laisse deviner son utilisation :) ! C’est antitotalitarisme et anti-patriarcal à souhait !! Par contre, le manga est violent et à réserver à un public averti. Reste à voir si le scénario va tomber dans une accumulation de scènes choquantes (comme son pendant) ou s’il va proposer une trame plus constructive et intéressante. À suivre Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blood-crawling-princess-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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J’ai découvert cette série par son anime que j’avais bien apprécié. Je n’ai pas été déçue par le manga, les deux sont cohérents que ce soit au niveau du graphisme ou du scénario. Notre héros était un assassin hors pair mais dans ce genre d’organisation, il n’y a pas de retraite (Comme pour Killer Peter !) : vous mourrez en mission ou vous êtes éliminé ! C’est ce qui s’est passé pour notre héros, il est mort lors de l’explosion d’un avion. Mais son profil intéressait la déesse d’un autre monde qui cherche des personnes capables d’éliminer le futur héros de son monde. Comme souvent, le héros surpuissant est un problème : soit il fait de l’ombre au roi en place soit il se lâche et représente une calamité pour les habitants. Donc Lugh (c’est son nouveau nom) se voit offrir une nouvelle vie avec un objectif à atteindre : assassiner le héros mais seulement après qu’il ait vaincu le seigneur démon !! Pour cela, il peut choisir quelques compétences et renaît dans une famille avec des moyens : les Tuatha Dé, une famille d’assassins au service de la royauté. Le voilà donc à améliorer ses compétences, chercher des armes ou des techniques efficaces et trouver des renseignements sur sa cible. Mais ce qu’il n’avait pas anticiper ce sont les liens affectifs qu’il va développer : famille, amis et amour ! On a un shonen efficace bien ficelé et rythmé. Les personnages sont attachants, le graphisme est agréable et adapté et le scénario contient assez d’évènements pour ne pas avoir le temps de s’ennuyer. Par contre, je ne sais pas si la partie « harem » était nécessaire mais c’est un élément classique de ce genre d’isekai et vu qu’il n’est pas trop lourd, il ne dérange pas. Una aventure à suivre !
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Titre de l'album : The world's finest assassin tomes 1 & 2 Scenariste de l'album : Rui Tsukiyo Dessinateur de l'album : Hamao Sumeragi Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Ayant la lourde et dure mission de tuer le héros qui provoquera la fin du monde, Lugh vise à devenir le meilleur assassin de l'histoire en mélangeant les compétences issues de son ancienne vie et la magie de ce monde. Voici l'histoire fantastique mêlant réincarnation et assassins ! Critique : J’ai découvert cette série par son anime que j’avais bien apprécié. Je n’ai pas été déçue par le manga, les deux sont cohérents que ce soit au niveau du graphisme ou du scénario. Notre héros était un assassin hors pair mais dans ce genre d’organisation, il n’y a pas de retraite (Comme pour Killer Peter !) : vous mourrez en mission ou vous êtes éliminé ! C’est ce qui s’est passé pour notre héros, il est mort lors de l’explosion d’un avion. Mais son profil intéressait la déesse d’un autre monde qui cherche des personnes capables d’éliminer le futur héros de son monde. Comme souvent, le héros surpuissant est un problème : soit il fait de l’ombre au roi en place soit il se lâche et représente une calamité pour les habitants. Donc Lugh (c’est son nouveau nom) se voit offrir une nouvelle vie avec un objectif à atteindre : assassiner le héros mais seulement après qu’il ait vaincu le seigneur démon !! Pour cela, il peut choisir quelques compétences et renaît dans une famille avec des moyens : les Tuatha Dé, une famille d’assassins au service de la royauté. Le voilà donc à améliorer ses compétences, chercher des armes ou des techniques efficaces et trouver des renseignements sur sa cible. Mais ce qu’il n’avait pas anticiper ce sont les liens affectifs qu’il va développer : famille, amis et amour ! On a un shonen efficace bien ficelé et rythmé. Les personnages sont attachants, le graphisme est agréable et adapté et le scénario contient assez d’évènements pour ne pas avoir le temps de s’ennuyer. Par contre, je ne sais pas si la partie « harem » était nécessaire mais c’est un élément classique de ce genre d’isekai et vu qu’il n’est pas trop lourd, il ne dérange pas. Una aventure à suivre ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-world-s-finest-assassin-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Vavam Vampire tome 1 Scenariste de l'album : Hiromasa Okujima Dessinateur de l'album : Hiromasa Okujima Coloriste : Editeur de l'album : Crunchyroll Note : Résumé de l'album : Ranmaru Mori vit et travaille aux bains de la Carpe, tenus par la famille Tatsuno depuis des générations. Le jeune homme est particulièrement proche de Rihito qui s'apprête à entrer au lycée. Tel un grand frère bienveillant, il est toujours là pour offrir un conseil ou veiller sur l'adolescent dans l'ombre. Après tout, Rihito lui a sauvé la vie, il y a des années de ça. Depuis, Ranmaru attend le moment idéal pour le dévorer. Car l'employé modèle est un vampire de 450 piges et surtout un fin gourmet ! Il fera tout pour protéger Rihito jusqu'à sa majorité : quand le sang des jeunes hommes purs est le plus délicieux. Mais le lycée, c'est l'arrivée de tous les vices dans l'existence d'un garçon entre sorties en tre potes, filles et rites de passage... Pour espérer croquer le fruit de son travail acharné, le vampire va devoir se démener ! Critique : Qui est Ranmaru Mori ? c’est certes un samurai à l’époque d’Oda Nobunaga mais c’est surtout l’employé des bains de la Carpe au Japon contemporain. Un employé un peu spécial car derrière son comportement d’employé modèle, c’est surtout un vampire qui lorgne sur le fils de famille, il attend depuis une décennie que ce dernier atteigne la majorité avent de la croquer car pour lui, rien n’est plus délicieux que le sang d’un adolescent encore vierge qui s’ouvre à ses premiers émois ! Mais son plan risque de tomber à l’eau le jour où le garçon vit son premier coup de foudre : Ranmaru compte bien se débarrasser de la gêneuse ! Voici un vampire bien différent de ceux que l’on a l’habitude de voir dans les mangas. Oublié le vampire séduisant au cœur des shojo ou le vampire puissant et combatif des shonen ! Ran ne rentre dans aucune case connue : il n’est pas imbu de lui-même, ne joue pas au mystérieux (il dit ouvertement qu’il est un vampire), il est prêt à faire n’importe quel travail ou action pour atteindre son objectif. Au final, on a un scénario original, un personnage intéressant et beaucoup de pointes d’humour qui font de cette série un pur moment de divertissement sans prise de tête. Pour information l’anime est sorti en janvier 2025 au Japon et diffusé en simulcast sur Netflix, il y aura aussi un long métrage qui devrait sortir sur les écrans nippons cet été. En attendant, vous pouvez vous offrir la version collector du premier tome avec une jaquette alternative et un standee de Ranmaru. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/vavam-vampire-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Qui est Ranmaru Mori ? c’est certes un samurai à l’époque d’Oda Nobunaga mais c’est surtout l’employé des bains de la Carpe au Japon contemporain. Un employé un peu spécial car derrière son comportement d’employé modèle, c’est surtout un vampire qui lorgne sur le fils de famille, il attend depuis une décennie que ce dernier atteigne la majorité avent de la croquer car pour lui, rien n’est plus délicieux que le sang d’un adolescent encore vierge qui s’ouvre à ses premiers émois ! Mais son plan risque de tomber à l’eau le jour où le garçon vit son premier coup de foudre : Ranmaru compte bien se débarrasser de la gêneuse ! Voici un vampire bien différent de ceux que l’on a l’habitude de voir dans les mangas. Oublié le vampire séduisant au cœur des shojo ou le vampire puissant et combatif des shonen ! Ran ne rentre dans aucune case connue : il n’est pas imbu de lui-même, ne joue pas au mystérieux (il dit ouvertement qu’il est un vampire), il est prêt à faire n’importe quel travail ou action pour atteindre son objectif. Au final, on a un scénario original, un personnage intéressant et beaucoup de pointes d’humour qui font de cette série un pur moment de divertissement sans prise de tête. Pour information l’anime est sorti en janvier 2025 au Japon et diffusé en simulcast sur Netflix, il y aura aussi un long métrage qui devrait sortir sur les écrans nippons cet été. En attendant, vous pouvez vous offrir la version collector du premier tome avec une jaquette alternative et un standee de Ranmaru.
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Quand un homme fan de shojo rencontre un homme homosexuel, il peut vite y avoir des malentendus mais rien que la communication ne saurait résoudre ! Cette relation va vite évoluer d’amitié en amour. Elle n’est pas non plus la thématique principale de ce manga car ici, on parle d’identité, de vivre ses passions et de les assumer. On parle du regard des autres et de la bienséance aux yeux de la société. Kitaôji est un très bon homme d’affaires, il représente le gendre idéal, celui que toutes les jeunes femmes espèrent avoir comme époux. Seulement, il est passionné de shojo et s’en cache depuis que son ex l’a regardé de travers avec un soupçon de dégoût. Alors lorsqu’il découvre que son collègue lit aussi des shojos, il pense qu’ils sont pareils et se dévoile sauf que ce dernier n’a pas vraiment les mêmes intentions. C’est un très bon manga, en dehors du très beau dessin, il a des thématiques importantes. Comment s’assumer dans une société bourrée de préjugés et de règles restrictives ? Pourquoi les hommes ne pourraient pas lire de shojo ? Comment dépasser un traumatisme ? Et tout simplement comment communiquer ? Et puis, il y a un côté très mignon, très fleurs bleues et romantique… très shojo quoi ! Ça met du baume au cœur et un sourire aux lèvres. À lire.
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Titre de l'album : Comme dans un shojo tomes 1 & 2 Scenariste de l'album : Shina Suzuka Dessinateur de l'album : Shina Suzuka Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Kitaoji est un bel homme d'affaires qui rêve d'une romance comme dans les shojo. Un jour, par hasard, il apprend qu'Arima, son collègue de travail, lit aussi des mangas pour filles, et ils deviennent amis. Kitaoji est ravi de trouver quelqu'un à qui parler de sa passion secrète pour la première fois, mais il y a en fait un gros malentendu entre les deux... !? Critique : Quand un homme fan de shojo rencontre un homme homosexuel, il peut vite y avoir des malentendus mais rien que la communication ne saurait résoudre ! Cette relation va vite évoluer d’amitié en amour. Elle n’est pas non plus la thématique principale de ce manga car ici, on parle d’identité, de vivre ses passions et de les assumer. On parle du regard des autres et de la bienséance aux yeux de la société. Kitaôji est un très bon homme d’affaires, il représente le gendre idéal, celui que toutes les jeunes femmes espèrent avoir comme époux. Seulement, il est passionné de shojo et s’en cache depuis que son ex l’a regardé de travers avec un soupçon de dégoût. Alors lorsqu’il découvre que son collègue lit aussi des shojos, il pense qu’ils sont pareils et se dévoile sauf que ce dernier n’a pas vraiment les mêmes intentions. C’est un très bon manga, en dehors du très beau dessin, il a des thématiques importantes. Comment s’assumer dans une société bourrée de préjugés et de règles restrictives ? Pourquoi les hommes ne pourraient pas lire de shojo ? Comment dépasser un traumatisme ? Et tout simplement comment communiquer ? Et puis, il y a un côté très mignon, très fleurs bleues et romantique… très shojo quoi ! Ça met du baume au cœur et un sourire aux lèvres. À lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/comme-dans-un-shojo-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Seno est le majordome attitré de Ryôsuke, un alpha dominant et aussi son ami d’enfance. Il fait passer son travail avant et reste stoïque en toute occasion également quand Ryôsuke le provoque volontairement en ayant des relations sexuelles avec des omegas devant lui. Cependant Seno a de plus en plus de mal à contenir sa propre libido et se rend secrètement en ville pour avoir des relations d’une nuit en se faisant passer pour un omega. Mais il se peut que ses changements physiques aient une origine qu’il ignore… Les Bêtas ne sont pas forcément les personnages le plus mis à l’honneur dans l’omegaverse et souvent, sous l’influence des phéromones alpha, ils finissent par changer de genre. C’est une facilité dans le scénario qui permet des scènes érotiques osées ! Ce manga propose une approche différente et assez surprenante que je ne vous dévoilerai pas ! La série n’est pas désagréable mais manque un peu de peps. La révélation de fin du tome un est cassez dérangeante… Et j’ai un peu peur que la fin tombe dans l’écueil de la facilité, ce sera à voir dans le 3e et dernier tome de la série.
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(et 1 en plus)
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Titre de l'album : Le pauvre bêta ne connaît pas l'amour tomes 1 & 2 Scenariste de l'album : Shima Yashiki Dessinateur de l'album : Shima Yashiki Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Suzuharu Seno (bêta) est le majordome personnel de Ryôsuke Isezaki (alpha),héritier d'une illustre famille. Libre et incontrôlable, Ryôsuke ne se satisfait pas des omégas avec qui il couche et il essaye de séduire Seno, dont le corps réagit malgré lui, même en sachant que son maître n'est pas sérieux... Un maître alpha fait tomber son majordome bêta dans son piège amoureux ! Critique : Seno est le majordome attitré de Ryôsuke, un alpha dominant et aussi son ami d’enfance. Il fait passer son travail avant et reste stoïque en toute occasion également quand Ryôsuke le provoque volontairement en ayant des relations sexuelles avec des omegas devant lui. Cependant Seno a de plus en plus de mal à contenir sa propre libido et se rend secrètement en ville pour avoir des relations d’une nuit en se faisant passer pour un omega. Mais il se peut que ses changements physiques aient une origine qu’il ignore… Les Bêtas ne sont pas forcément les personnages le plus mis à l’honneur dans l’omegaverse et souvent, sous l’influence des phéromones alpha, ils finissent par changer de genre. C’est une facilité dans le scénario qui permet des scènes érotiques osées ! Ce manga propose une approche différente et assez surprenante que je ne vous dévoilerai pas ! La série n’est pas désagréable mais manque un peu de peps. La révélation de fin du tome un est cassez dérangeante… Et j’ai un peu peur que la fin tombe dans l’écueil de la facilité, ce sera à voir dans le 3e et dernier tome de la série. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-pauvre-beta-ne-connait-pas-l-amour-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Rhhhaaa moi qui croyais être devenu hermétique à la suite de Naruto, ce Blue Vortex est en train de me replonger dedans ! Ce tome 3 est excellent. Il remet sur le devant de la scène toutes les parties de Naruto que j'aimais. On voit revenir Kyubi et on ne focalise pas que sur l'opposition entre Boruto et Kawaki (personnage devenu très chiant) en étendant l'aventure au village de Konoha et particulièrement à la sœur de Boruto : Himawari. On retrouve à la fois un esprit de corps et d'équipe, mais aussi une Himawari jeune et propulsé au centre d'une attention que les gènes de sa même cherchaient à lui faire fuir. Ce coté "enfant dépassé" par les événements amène un petit coté émouvant qui tranche avec le poker face de Kawaki et le côté détaché de Boruto. Bref j'en suis passé de "Au non encore une suite" à... mince j'ai pas tous les tomes de boruto.... J'suis mort !