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  • Arsène Lupin - Les origines - Intégrale


    The_PoP
    • Scenariste: Benoît Batey Dessinateur: Christophe Gaultier Coloriste: Marie Galopin Editeur: Rue de sevres Note :
      Résumé:

      Tandis que la France se passionne pour les exploits du mystérieux « Prince des voleurs », les olympiades tant attendues concluent la formation de nos héros à la Croix des Walhs. Arsène y gagnera l'amour d'Athéna et de solides ennemis, qui n'hésiteront pas à le faire accuser de l'assassinat de son père adoptif. Il faudra toute la ruse du jeune homme et de ses meilleurs compagnons pour renverser le destin. et ouvrir un nouveau chapitre dans la vie d'Arsène, sous le nom de Lupin. BD tout public.

      Autres informations: Inspiré de l'oeuvre de Maurice Leblanc
      Type: BD Europeene L'acheter sur bdfugue Genre: Aventure Prix: -- Nb de pages: --
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    Rue de Sèvres nous offre une belle réédition de sa série sur les Origines d'Arsène Lupin, parue initialement entre 2014 et 2016 et composée de 3 tomes. L'éditeur surfe là complètement sur la médiatisation du personnage de Lupin à travers la série Netflix assez sympathique qui fait bien parler d'elle en ce moment. 

     Cette intégrale nous livre donc les débuts d'Arsène Lupin. De mémoire d'ancien jeune lecteur de l'oeuvre de M. Leblanc, il me semble que cette histoire n'a jamais fait l'objet d'un livre, excepté peut être dans l'aiguille creuse justement mais je peux me tromper. Quoiqu'il en soit, partez du principe qu'il s'agit ici d'un reboot, d'une autre interprétation des origines de M. Lupin. 

    L'histoire est donc très intéressante, et la narration parfois tortueuse ou originale ne vous donnera pas moins envie de découvrir la suite. Le personnage de ce Lupin en construction est fascinant. Seul regret, les auteurs nous laissent avec pas mal de questions, pas mal d'intrigues pas encore dénouées, et qui clairement appelaient quand même un quatrième tome.

    Graphiquement, je ne suis pas convaincu par le trait de Benoit Batey, les personnages ne sont pas rendus empathiques, il y a des ressemblances parfois trompeuses, et pour être tout à fait honnête, c'est une BD que j'ai mis du temps à avoir envie de découvrir alors même que je suis un grand fan du personnage. Mais c'est ainsi avec les dessinateurs aux traits engagés et assumés. ce qui moi ne m'a pas séduit en séduira d'autres, la qualité étant par ailleurs indéniable. Faites vous votre propre opinion, les premières pages sont disponibles sur bdfugue, et l'histoire ne peut que plaire aux amateurs de Lupineries !

     

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  • Dernières Critiques

    • Olot
      Note :
      Ce roman graphique est un véritable ovni aux éditions Tanibis, d'ailleurs la couverture en dit long sur le récit. L'auteur se présente en introduction comme un musicien passionné par les statues moai de l'île de Pâques. Quand il découvre qu'il en existe une autre en Espagne, il en profite pour le visiter lors d'une tournée en Europe. Il relate dans ce recueil d'histoires courtes des faits divers pour le moins étrange qui se déroulent dans la ville qui accueille cette statue, Olot. L'atmosphère est bien travaillée et curieuse, d'ailleurs il y a des références à David Lynch avec le générique de Twin peaks. Dr. Alderete doit être un amateur de ce genre et réussit à instaurer cette même ambiance à son récit. Entre chaque fait divers, on peut suivre un homme faisant des choses relativement similaire sur plusieurs époque de sa vie.  La partie graphique est très intéressante et certainement l'atout majeur de ce titre. On passe du noir et blanc à des pages assez psychédéliques avec une colorisation spéciale.
      Olot fait partie de ces bandes dessinée inclassable et particulière, on aime ou pas mais c'est très original.
      • 1 réponse

    • Shadow of the ring tome 2
      Note :
      Dans le 1er tome, on avait besoin de se familiariser avec ce nouvel univers, qui était d’ailleurs prometteur. Ce second volume me laisse un peu perplexe. D’abord ; il y a de nouveaux pays avec de nouveaux personnages : on a du mal à bien comprendre qui est avec qui et quelles sont les relations entre les différents pays. Ensuite, il y a les armes, des sortes de tenues de combat qui se ressemblent toutes : ce qui fait qu’entre deux combattants, ce n’est pas toujours aisé de les reconnaitre.

      On a un peu l’impression d’être jeté au milieu du livre sans avoir lu le début : on arrive directement dans l’action, au cœur d’un conflit. D’un côté c’est bien car on n’a pas une introduction interminable mais de l’autre, vu que l’on se trouve dans un univers complétement inédit, on a du mal à s’immerger sans un minimum de connaissance.

      Je regrette également le survol des personnages : on n’a pas vraiment le temps de les connaitre. Pour le moment, le lecteur reste un spectateur ; il y a peut-être trop d’informations d’un coup, on a à peine le temps de découvrir le pays de Keiju que l’on part déjà dans un autre décor. Pour le moment, l’histoire ne m’a pas convaincue et a du mal à capter mon attention.
      • 1 réponse
    • Un second au revoir tome 1
      Note :
      Un peu comme dans Erased ou Le bateau de Thésée, on a un personnage principal qui va revenir quelques années en arrière pour élucider une affaire policière.

      Lors des funérailles de son meilleur ami disparu, Hinata Harusawa découvre que ce dernier a été assassiné lorsqu’ils étaient au lycée et que son corps a été dissimulé dans les murs de leur salle de club : le club d’arts plastiques. Agressé au cours des obsèques, Hinata revient quelques mois avant la disparition de Sora et décide de tout faire pour empêcher le drame. Seulement, d’autres événements ont lieu à la place.

      J’aime bien ce genre d’histoire, en même temps qu’il y a un secret à découvrir, on voit les personnages se débattre dans un passé où le moindre de leurs agissements peut avoir des répercussions. Ces scénarios sont toujours plus travaillés que les mangas de régression où le héros cherche juste à échapper à son funeste destin, scénarios qui se déroulent toujours un peu de la même façon. Dans ces retours dans le passé « policier », on part à la recherche d’indices et souvent les trames sont complexes. On ne sait jamais à quoi s’attendre et on découvre souvent des personnages à plusieurs facettes.

      Le manga est bien orchestré, bien dessiné et on a hâte d’aller découvrir la suite. Un bon début pour un thriller passionnant qui sait nous tenir en haleine. 3 tomes en cours.
      • 1 réponse
    • Jealousy blinds love
      Note :
      D’un côté, il y a Hirino, un prodige du piano qui n’évolue plus depuis le décès de sa mère. De l’autre, Takase, un jeune élève prometteur, fan de Hirino, qui est également un génie. Entre les deux, il y a de l’envie, de la jalousie (par rapport au talent), une relation ambigüe pas très nette. Ils se cherchent, se mentent à eux-mêmes et profitent de l’autre. Mais qui mène vraiment la barque ?

      Ce qui est sûr, c’est que l’histoire joue sur les sentiments, ceux que l’on ressent mais surtout ce que l’on tait. Les personnages se mentent à eux-mêmes, il se mentent entre eux, chacun agit de façon à obtenir ce qu’il veut sans vraiment savoir non plus ce qu’il souhaite vraiment. C’est un vrai imbroglio.

      Pour le lecteur, c’est assez difficile de ressentir de l’empathie. Certes le graphisme est beau et élégant, l’histoire est intrigante mais le développement n’est pas vraiment à la hauteur. D’abord, on aurait aimé une présence plus marquée de la musique qui aurait amenée des envolées romantiques ou dramatiques et surtout nous aurait baigné dans une passion plus prononcée. Et puis, il manque des informations, comme s’appesantir par moment sur certaines pensées, certains ressentis. On a l’impression de survoler un peu l’histoire et c’est dommage.
      • 0 réponse
    • Amour placebo tome 2 (fin)
      Note :
      Satô a découvert que Serika avait une autre vie, une vie avec un mari où il n’avait pas sa place. Finalement tout n’était que mensonge, alors il erre l’âme en peine, le cœur détruit. Il se sent vide, n’a plus envie de rien et s’abandonne à une vie sans lendemain où il prend ce qui passe à sa portée.

      Ce deuxième tome est très sombre, assez glauque et limite dépressif. C’est le vide absolu dans le cœur et l’âme de Satô et Akane Torikai nous le fait bien ressentir. Un désespoir si grand que l’on a l’impression de plonger dans un gouffre sans fin. De ce côté-là, le manga est réussi mais humainement parlant, on ne s’y sent pas à l’aise avec l’envie, presque, de ne pas poursuivre la lecture.

      Amour placebo est un manga pour adulte ou plutôt pour lecteur mature, capable d’appréhender la psychologie et capable de regarder en face un monde qui n’est pas reluisant. Toute la construction du scénario est réussie, les réflexions sont sensées et les descriptions des sentiments sont réalistes, trop peut-être. Car l’histoire est triste, sombre. Elle est intéressante mais on n’a pas vraiment envie d’y revenir.
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