
Dur dur. Dur de devoir faire cette chronique car évidemment Joann Sfar est un monstre sacré de la BD.
Mais vous avez pourtant vu que j'ai mis une note assez sévèrement inhabituelle.
Tout simplement car je n'ai pas réussi à finir cette BD.
Joann Sfar l'a écrit pendant le Covid, et tout le début de cette BD ne parle finalement presque que de ça. Et cela ne m'intéresse pas ou plus. C'est trop frais, trop récent, cela a été notre quotidien pendant trop longtemps. Hors si j'avais déjà du mal avec le concept de cette série sur les 2 premiers tomes, là je vous avoue que je décroche. Les personnages ne me déclenchent aucune empathie, je ne rigole pas aux vannes. Quand au dessin, je ne suis guère sensible au trait pourtant remarquable, détaillé et très personnalisé de Joann Sfar.
Mais tout cela a fait que je n'ai pris aucun plaisir à cette lecture, et que je m'y suis profondément ennuyé. Ne voyez dans ma note aucun jugement de valeur sur cette BD qui plaira je n'en doute pas à ceux qui ont déjà adoré les deux premiers tomes. Mais moi je lâche l'affaire ici, question de goût personnel tout simplement.
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