
Artiste multi-tâches , Erich Hartmann a travaillé sur des parutions DC comics , la saga Nicolas Eymerich (éditions Delcourt) , mais aussi un roman graphique sur l’érection de la statue de la liberté : Liberty (éditions Robinson) . Il réalise aussi 7 albums de la série Orgies barbares (éditions Tabou) avec un trait que Manara ne pourrait renier 😉 Il réitère ici avec Héritage pervers , une histoire érotico-porno-SM , teintée d’humour mais surtout de scènes hardcores ! Cela commence par l’explication à une charmante jeune actrice du changement de scénario de sa prochaine production . Le directeur donne des arguments convaincants , notamment sur le plan financier pour la convaincre des bienfaits d’un tel changement de position artistique . Cette dernière devra en effet tourner dans un film porno car elle aurait des aptitudes cachées ! La toute puissance masculine bat son plein ici , à l’image de ce producteur sûr de lui et « fort occupé » . Puis sans transition , l’on passe à trois soeurs prenant possession d’un vieux manoir légué par une grand-mère assez secrète sur le sous-sol du bâtiment 😉 Une des trois effectue la visite et va pénétrer dans un monde d’orgies bestiales et fantastiques . A partir de là , les événements s’enchainent à vive allure , autant que les plans à deux , trois , voire tentaculaires . Le trait précis et réaliste de l’auteur fait des merveilles . Les corps s’embrasent , les désirs inavoués se révèlent dans une cascade de sécrétions de fluides en tous genres ! Les dialogues sont au diapason d’une pornographie crue et totalement décomplexée . Avis aux amateurs , ça dépote !
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