Je pense que la bd d'humour est vraiment le genre le plus délicat. Doser une blague, faire rire, ne pas tomber à plat est un numéro d'équilibriste. L'écrit le rend encore plus difficile. Ici cela prend tout son sens car je n'ai pas réussi à prendre de plaisir à la lecture de ce tome 55. Le talent des auteurs n'est pas vraiment en cause, mais entre un thème un peu trop léger, et quelques gags vraiment faciles, seules quelques pages m'ont séduit comme les gags du miroir ou celui de la thérapie. C'est trop peu sur un tome complet.
Dommage... Reste-t-il encore vraiment des gags à faire presque tous les ans autour du concept de Léonard ?
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