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  • The unnamed - Redcoat tome 1


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    • Scenariste: Geoff Johns (Scénario) Dessinateur: Bryan Hitch | Andrea Mutti Coloriste: Bryan Hitch Editeur: Urban Comics Note :
      Résumé:

      Simon Pure, un soldat déserteur de l'armée britannique lors de la Guerre d'Indépendance américaine, voit son destin bouleversé par un rituel magique auquel il n'aurait jamais dû assister. Devenu immortel malgré lui, il balade son arrogance et son inconséquence à travers les époques, s'attirant toujours plus d'ennuis et manquant à chaque fois de provoquer un paradoxe temporel majeur. Et si c'était possible, la vie éternelle de Pure prend un tournant inattendu lorsqu'il croise la route d'un jeune garçon de 13 ans nommé Albert Einstein...
      THE UNNAMED : REDCOAT suit les aventures de Simon Pure, un personnage irrévérencieux qui, au fil de son existence, croise des figures historiques majeures.
      Geoff JOHNS (GREEN LANTERN, FLASH) et Bryan HITCH (THE AUTHORITY) proposent une nouvelle série régulière dans l'univers partagé de THE UNNAMED, où la magie, les voyages dans le temps et la conspiration règnent en maîtres. Contenu vo : Redcoat #1-7 + Tales of the Unnamed: The Blizzard.

      Type: Comic L'acheter sur bdfugue Genre: Aventure Prix: 31 Nb de pages: 312
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    En parallèle de l'émergence de l'energonverse, Urban continue d'explorer un autre univers, celui de Geoff Johns nommé : The unnamed.

    Apres Geiger et Junkyard Joe, voici un troisième héros inconnu appelé The redcoat. Ancien déserteur de la guerre de sécession, il a acquis complètement par hasard l'immortalité et.... n'en profite pas vraiment au vu de sa vie lors du début de l'album.

    Geoff Johns nous livre ici un antihéros assez classique avec un traitement de l'immortalité qui l'est tout autant. Si le traitement de l'histoire est plutôt bon avec un rythme soutenu et des aventures vraiment rocambolesques, le traitement du pouvoir d'immortalité est lui un peu trop facile. On a déjà beaucoup vu le "poids" de l'immortalité, avec la peur de s'attacher tout ça tout ça.

    Ca ne veut pas dire qu'on ne passe pas un bon moment à la lecture de ce récit plein de méchants déguisés en KKK, de jeunes surdoués et d'immortel qui ne le sont pas forcément vraiment vraiment.

    Juste qu'un peu plus d'originalité aurait été pas mal 🙂

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    • Origines
      Note :
      Origines est une création des trois auteurs Arash Amel, Joseph Oxford et Lee Toland Krieger scénarisé par Clay McLeod Chapman. ce roman graphique de science-fiction nous emmène dans le futur sur une Terre dévastée où la végétation a recouvert les vestiges de grandes villes. Les hommes ont disparu depuis longtemps suite à une guerre avec l'intelligence artificielle. Dans ce décor apocalyptique, on découvre la naissance d'un enfant au destin essentiel. L'histoire est partagée entre le passé pour notre compréhension et le présent avec l'enfant devenu homme. L’aventure est passionnante et l’on se laisse porter par l’intrigue avec des scènes d’action bien orchestrées. La partie graphique est magnifique gérée par Jakub Rebelka dont les lecteurs de Judas ou encore Le Dernier Jour de Howard Phillips Lovecraft connaissent la qualité. L’album se termine sur plusieurs illustrations, galerie de personnages et planches crayonnées en bonus.

      Les éditions 404 Graphic poursuivent leur travail soigné pour leur édition et nous offrent la possibilité de découvrir tous les albums dessiné par Jakub Rebelka dernièrement. Les auteurs nous donnent une réflexion sur les dangers de l’intelligence artificielle mais également sur la vie. 
        • Like
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    • Les nageuses de Minuit
      Note :
      Voilà un joli roman graphique comme je les aime. Des sujets lourds mais pas improbables, des destins mêlés sans être trop pleins de dramaturgies, avec surtout beaucoup des petits rien qui constituent la vie. Des incompréhensions, des injustices, tout ce avec quoi on se construit et sur lequel on doit vivre. 

      Et surtout cette belle amitié naissante entre femmes, entre battantes qui présentent le féminisme comme une lutte presque contre soi, contre son regard avant même d'être une lutte contre une société ou les hommes. Il se dégage de cette bd une belle force et une belle atmosphère. J'ai bien aimé le fait que les personnages semblent réels, sans fausses pudeurs, sans être tous beaux, regardant leurs propres défauts, y compris corporels en face. Bref, une BD sur de vrais gens, avant même d'être une bd sur l'émancipation ou les combats raciaux. 

      C'est fin et intelligent. 
      • 0 réponse
    • La fabrique des insurgées - 1869 : la première grève d'ouvrières
      Note :
      Bruno Loth nous propose de revenir sur un évènement historique peu connu, avec le début de la révolte des femmes ouvrières de la soie, les ovalistes. L'album commence en 1867 quand deux jeunes femmes quittent leur campagne avec l'espoir de travailler dans l'industrie de la soie à Lyon. Très vite, les deux femmes vont déchanter en découvrant les conditions de travail, le nombre d'heure de travail et sept jours sur sept avec un salaire en dessous de ce qu'on leur avait promis. Bruno Loth ajoute quelques coupures de journaux de l'époque relatant des évènements se mettant en place. L'histoire est romancée avec les deux femmes tout en retraçant la mise en place de grève par des femmes. C'est une première fois pour l'époque et c'est un exemple qui marqua fortement les mouvements sociaux du 19ème siècle. La partie graphique est en noir et blanc avec des dégradés de gris en guise de couleur. Les planches sont bien travaillés pour nous plonger dans cette époque passée.
      Les amateurs de récits historique devraient trouver leur compte avec roman graphique complet en un tome. Ce mouvement de grève est un élément majeur pour la lutte des classes. 
      • 0 réponse

    • Dans le premier train du matin tome 1 & 2 (fin)
      Note :
      Dans le premier train du matin est un recueil de cinq histoires courtes en deux volumes, chaque histoire étant composée de plusieurs chapitres et n’ayant rien à voir les unes avec les autres. 

      Ce sont des bribes de vies d’adolescents comme si on lisait un chapitre au milieu d’un roman sans avoir ni le début ni la fin. Ce sont des passages importants dans l’existence de ces jeunes, des passages qui les mettent face à une réalité, à une relation. 

      Dans le premier train du matin, on retrouve deux jeunes qui en théorie n’auraient rien à faire là à cette heure mais qui ont tous les deux une bonne raison d’y être. Le soda au melon parle d’une jeune fille qui ne peut pas distinguer certaines couleurs, cela finit par créer une distance avec ses amies mais elle ne sait pas comment leur en parler. Il y a aussi l’histoire d’un frère et d’une sœur séparé à la suite du divorce de leurs parents, une histoire d’amour à sens unique. On finira par le 4 mars, 14h30, la cellule de prison qui compare la vie scolaire d’une lycéenne à une cellule de prison pour parler de son mal-être.  

      Dans chaque histoire, l’un des personnages se met à analyser la situation, faisant des déductions et mettant son binôme en face d’une vérité. C’est comme un raisonnement lors d’une enquête policière. 

      Si le concept est intéressant et les comportements bien analysés, il y a un côté assez froid dans le récit, probablement dû à cet aspect analyse psychologique. Et puis, on reste sur notre faim, comme dans la première histoire où on aurait bien aimé savoir la suite. Il y a un goût d’inachevé qui n’est pas satisfaisant. Dommage car les idées sont bonnes et le graphisme est plaisant. 
      • 0 réponse
    • Samurai deeper kyo - star edition tome 1
      Note :
      En parallèle du lancement du manga Kagurabachi, kana profite de la publicité engendrée par ce retour des samourais au premier plan pour nous sortir une "star édition" de Samourai Deeper Kyo. L'un des hits des années 2000.

      Peut-être le premier manga de samourai post pour ado paru en France (2001 - 2008) avec Kenshin...

      Comme toujours, l'intérêt de ces stars éditions, c'est que pour moins de 11 euros, on a un double album. On devrait donc avoir 19 tomes de cette star édition pour conclure l'histoire de Samourai Deeper Kyo. Un véritable bon plan pour qui n'a jamais lu cette série de samourai pour ado. Une série de samourai qui, si elle tire en longueur sur le milieu, reste bien plus adapté à un lectorat de 10 à 15 ans que Kagurabachi. En effet le dessin est bien moins fouillis, les personnages plus faciles à cerner et le tout moins gore et plus facile à lire.

      Une aventure au long cours qui ravira vos enfants fan de samourai sans avoir à réellement avoir peur du niveau de violence présent.

      Les adultes préféreront l'habitant de l'infini, mais on n'est pas dans le même degré de violence et de réalisme.

       

       
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