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Tout ce qui a été posté par The_PoP
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Gagner la guerre c'est la série qui vous fera sans nul doute aimer la fantasy à la française en BD en attendant qu'un jour soit peut être adapté Le sang des 7 rois en BD. Autant vous dire que j'attendais ce tome avec impatience. Les deux premiers tomes avaient frappés fort, servis de main de maître par le talentueux Frédéric Genêt (connu pour sa série Samouraï notamment). J'adore sa façon de représenter ses personnages, et surtout ses gueules cassées. Ses scènes d'actions et ses paysages ne sont souvent pas en reste, même s'il faut reconnaître que sur ce tome-ci, centré sur des intrigues de palais, certains arrières plans et décors sont parfois un peu vides. Ceci dit retrouver la gueule cassée de Benevenuto reste un plaisir graphique savoureux. L'histoire en elle même est toujours aussi passionnante, même pour ceux qui comme moi ont lu le livre original de Jean-Philippe Jaworski. Monde imaginaire médiéval réaliste, magie discrête, intrigues tortueuses et savoureuses, personnages moralement très discutables, on se rapproche grandement d'un Game of Throne avec moins de personnages mais plus maitrisé. Comme je l'ai dit plus haut, cet opus fait la part belle aux intrigues, mais Benvenuto y garde toute son importance et ses cabotinages. Encore une belle réussite donc, et j'ai hâte d'en lire la suite une nouvelle fois. C'est du très bon !
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Titre de l'album : Gagner la guerre - Tome 3 - La mère Patrie Scenariste de l'album : Frédéric Genêt & Jean Philippe Jaworski Dessinateur de l'album : Frédéric Genêt Coloriste : Annelise Sauvêtre & Frédéric Genêt Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Benvenuto est sorti des geôles ressiniennes et il est accueilli en héros à son retour au pays. Profitant de sa convalescence, il observe à distance les complots menés par son maître, le machiavélique Podestat. En surface, le calme semble être revenu à Ciudalia. Mais la tempête approche, Benvenuto le pressent. Bientôt, seuls ses instincts d'assassin pourront lui sauver sa vie. Critique : Gagner la guerre c'est la série qui vous fera sans nul doute aimer la fantasy à la française en BD en attendant qu'un jour soit peut être adapté Le sang des 7 rois en BD. Autant vous dire que j'attendais ce tome avec impatience. Les deux premiers tomes avaient frappés fort, servis de main de maître par le talentueux Frédéric Genêt (connu pour sa série Samouraï notamment). J'adore sa façon de représenter ses personnages, et surtout ses gueules cassées. Ses scènes d'actions et ses paysages ne sont souvent pas en reste, même s'il faut reconnaître que sur ce tome-ci, centré sur des intrigues de palais, certains arrières plans et décors sont parfois un peu vides. Ceci dit retrouver la gueule cassée de Benevenuto reste un plaisir graphique savoureux. L'histoire en elle même est toujours aussi passionnante, même pour ceux qui comme moi ont lu le livre original de Jean-Philippe Jaworski. Monde imaginaire médiéval réaliste, magie discrête, intrigues tortueuses et savoureuses, personnages moralement très discutables, on se rapproche grandement d'un Game of Throne avec moins de personnages mais plus maitrisé. Comme je l'ai dit plus haut, cet opus fait la part belle aux intrigues, mais Benvenuto y garde toute son importance et ses cabotinages. Encore une belle réussite donc, et j'ai hâte d'en lire la suite une nouvelle fois. C'est du très bon ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gagner-la-guerre-tome-3-la-mere-patrie?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Je ne suis jamais vraiment objectif avec les histoires de gentils fous, de rêveurs, de mythomanes, de fainéants et autres crapules. Alors comprenez bien que cette adaptation de Peer Gynt ne pouvait pas ne pas me plaire. Ne connaissant pas la pièce de théatre, quoi de mieux que la mise en images extraordinaire d'Antoine Carrion pour la découvrir ? Peer Gynt est un fou, un vaurien, mais du genre attachant, et qui va nous embarquer dans ses aventures. Chacun y lira en creux le sens caché qu'il voudra bien y découvrir car Peer Gynt parle d'abord de nous, de nos lâchetés, de nos bassesses et de nos rêves et frustrations. La narration est globalement bien maitrisée, ce qui n'est jamais simple quand on choisit d'adapter une pièce de théatre. Certaines ellipses ou transitions mériteront toutefois une attention particulière du lecteur pour ne pas en rater l'essence. L'édition elle même est sublime avec cette double page brumeuse merveilleuse qui n'a pas été sans me rappeler le Siegfried d'Alex Alice. Oui quand elle est à ce niveau la BD est bien un Art à n'en point douter. Merci aux éditions Soleil de nous proposer avec leur collection Métamorphose des œuvres littéraires plus complexes mais permettant de découvrir la littérature sous un autre angle. A noter qu'il s'agit d'une adaptation complète prévue en 2 tomes. Ce tome-ci reprend les actes I, II, et III.
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Titre de l'album : Peer Gynt - Tome 1 Scenariste de l'album : Antoine Carrion Dessinateur de l'album : Antoine Carrion Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Peer Gynt est l'adaptation en deux tomes d'une pièce de théâtre d'Henrik Ibsen. Cet opus adapte les actes I, II et III, le second, les actes IV et V. Antoine Carrion propose une relecture inspirée par le romantisme du XIXe siècle afin d'en épouser les reliefs dramatiques. Peer Gynt se rêve empereur, faisant le tour du monde. Des ambitions loin de son quotidien de paysan. Mais tout a un prix... Critique : Je ne suis jamais vraiment objectif avec les histoires de gentils fous, de rêveurs, de mythomanes, de fainéants et autres crapules. Alors comprenez bien que cette adaptation de Peer Gynt ne pouvait pas ne pas me plaire. Ne connaissant pas la pièce de théatre, quoi de mieux que la mise en images extraordinaire d'Antoine Carrion pour la découvrir ? Peer Gynt est un fou, un vaurien, mais du genre attachant, et qui va nous embarquer dans ses aventures. Chacun y lira en creux le sens caché qu'il voudra bien y découvrir car Peer Gynt parle d'abord de nous, de nos lâchetés, de nos bassesses et de nos rêves et frustrations. La narration est globalement bien maitrisée, ce qui n'est jamais simple quand on choisit d'adapter une pièce de théatre. Certaines ellipses ou transitions mériteront toutefois une attention particulière du lecteur pour ne pas en rater l'essence. L'édition elle même est sublime avec cette double page brumeuse merveilleuse qui n'a pas été sans me rappeler le Siegfried d'Alex Alice. Oui quand elle est à ce niveau la BD est bien un Art à n'en point douter. Merci aux éditions Soleil de nous proposer avec leur collection Métamorphose des œuvres littéraires plus complexes mais permettant de découvrir la littérature sous un autre angle. A noter qu'il s'agit d'une adaptation complète prévue en 2 tomes. Ce tome-ci reprend les actes I, II, et III. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/peer-gynt-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Les 5 terres n’a rien à y foutre pour moi. Série non achevée dont on se demande encore si elle est suffisamment bien pour continuer au bout de 5 tomes. je suis persuadé qu’elle ne fera pas date. les adaptations de Conan sont bien plus réussies par exemple. Lanfeust mérite une place évidente même si l’on n’est pas dans la Dark Fantasy.
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@VladNirky: j’ai fait les 8 premiers Carmen et j’ai beaucoup aimé. Tu me conseilles de continuer ou d’essayer code Mc Callum ?
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Pffff tu fais envie. Par rapport au tome 1 c’est encore mieux du coup ?
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J'avais déjà eu l'occasion de lire "Rentre dans le moule" de cet auteur que j'avais plutôt apprécié en dépit du fait qu'il parlait alors d'une expérience que j'avais moi même vécu très différemment. Une vie toute tracée reprend le fil de cett trilogie (pour le moment) autobiographique, ou l'auteur explore cette fois-ci le deuil de son père ainsi que le début de sa vocation créatrice. Le style graphique est assez épuré et colle plutôt bien au propos, même si certaines cases/choix m'ont laissé perplexes, globalement cela se lit avec plaisir et facilité. Le fond du propos lui ne m'a pas vraiment touché alors même que ce sont des thèmes que j'affectionne particulièrement. J'ai probablement un peu trop Le combat ordinaire en tête. Mais globalement je n'ai ressenti que peu d'empathie pour le personnage principal. Ce qui est probablement d'ailleurs voulu par l'auteur mais qui m'a gêné dans mon immersion et mon attachement au cheminement du héros. Cela reste très personnel j'imagine comme ressenti, et ma compagne a plutôt apprécié sa lecture. Faites vous donc votre propre avis.
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Titre de l'album : Une vie toute tracée Scenariste de l'album : Le Cil Vert Dessinateur de l'album : Le Cil Vert Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : À travers l'histoire de son double de papier, Le Cil vert, auteur d'Un faux boulot et Rentre dans le moule, signe le 3e volume de sa série autobiographique racontant le cheminement parcouru pour trouver sa vocation. Comment fait-on pour vivre notre vie quand on découvre que chaque jour pourrait être le dernier ? Pour Jean, ce réveil se passe après la mort de son père, une mort brutale, un accident de travail lorsque lui essayait d'en trouver un, de travail. Jean fuit. Il s'installe à Prague pour écrire une nouvelle page de sa vie et laisser derrière lui ses casseroles... du moins c'est ce qu'il croit. Critique : J'avais déjà eu l'occasion de lire "Rentre dans le moule" de cet auteur que j'avais plutôt apprécié en dépit du fait qu'il parlait alors d'une expérience que j'avais moi même vécu très différemment. Une vie toute tracée reprend le fil de cett trilogie (pour le moment) autobiographique, ou l'auteur explore cette fois-ci le deuil de son père ainsi que le début de sa vocation créatrice. Le style graphique est assez épuré et colle plutôt bien au propos, même si certaines cases/choix m'ont laissé perplexes, globalement cela se lit avec plaisir et facilité. Le fond du propos lui ne m'a pas vraiment touché alors même que ce sont des thèmes que j'affectionne particulièrement. J'ai probablement un peu trop Le combat ordinaire en tête. Mais globalement je n'ai ressenti que peu d'empathie pour le personnage principal. Ce qui est probablement d'ailleurs voulu par l'auteur mais qui m'a gêné dans mon immersion et mon attachement au cheminement du héros. Cela reste très personnel j'imagine comme ressenti, et ma compagne a plutôt apprécié sa lecture. Faites vous donc votre propre avis. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/une-vie-toute-tracee?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Le dessin est correct/sympa pour de la SF.
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Le maître chocolatier - Tome 3 - La plantation
The_PoP a répondu à un(e) sujet de The_PoP dans Toute la BD
Boaf les maitres de l'orge, dans le genre y a aussi les maitres de benson gate, c'est rigolo 5 minutes mais je me suis très très vite lassé. pas ce que je cherche en bd -
Le maître chocolatier - Tome 3 - La plantation
The_PoP a répondu à un(e) sujet de The_PoP dans Toute la BD
C'est l'idée en effet. -
bah oui facilement, en fait que tu joues sur xbox, ps4 ou pc tout le monde peut jouer ensemble. Par contre faut un casque. Et motiver aussi Kevin, je suis sur que ça le titille quand il en a marre d'Overwatch 🙂
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Pour ceux qui ont raté le début de cette série, je vous remets le lien vers la chronique du tome 2 Après l'enquête sous marine du second tome, nous revoici à New York où notre héros policier et enquêteur se retrouve confronté à plusieurs traffics malsains, mais quand ceux-ci finissent par toucher à la Fédération elle même, les embrouilles deviennent touffues. Je vous avoue que si l'histoire globale m'a passionné, car l'idée de base fonctionne toujours super bien, j'ai eu plus de mal sur les motivations de certains personnages et les enjeux du complot développé ici. Parfois nébuleux, parfois trop rapide, le format d'enquête bouclée en un tome me laisse un peu dubitatif tant la trame derrière mériterait quelque chose de plus fouillé et plus ambitieux. J'espère que les auteurs sauront se sortir du piège du "tome qui doit finir" pour nous proposer quelque chose qui prenne vraiment de l'ampleur et qui cesse de nous laisser sceptique sur les tenants et aboutissants des complots déjoués. Fédération reste de la bonne SF, fondée sur une idée (coucou les Men in Blacks) sympa et peu exploitée jusqu'à présent, servie par des graphismes très propres. Mais j'attends beaucoup plus d'Ange au scénario là dessus. Que ce soit au niveau des personnages ou de la SF mise en place j'aimerais vraiment voir ce que cela peut donner en développant vraiment.
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Titre de l'album : Fédération - Tome 3 - Hybride Scenariste de l'album : Ange Dessinateur de l'album : Alain Janolle Coloriste : Elvire de Cock Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : La Fédération extraterrestre exerce sur Terre une influence croissante. Des mafias s'organisent, trafiquant du matériel alien, proposant aux humains de s'hybrider pour un meilleur avenir. Enquêtant sur les conséquences terribles de ces contrebandes, Alex Green est, sans le savoir, porteur d'un secret qui pourrait changer les relations humains / aliens pour toujours... Critique : Pour ceux qui ont raté le début de cette série, je vous remets le lien vers la chronique du tome 2 Après l'enquête sous marine du second tome, nous revoici à New York où notre héros policier et enquêteur se retrouve confronté à plusieurs traffics malsains, mais quand ceux-ci finissent par toucher à la Fédération elle même, les embrouilles deviennent touffues. Je vous avoue que si l'histoire globale m'a passionné, car l'idée de base fonctionne toujours super bien, j'ai eu plus de mal sur les motivations de certains personnages et les enjeux du complot développé ici. Parfois nébuleux, parfois trop rapide, le format d'enquête bouclée en un tome me laisse un peu dubitatif tant la trame derrière mériterait quelque chose de plus fouillé et plus ambitieux. J'espère que les auteurs sauront se sortir du piège du "tome qui doit finir" pour nous proposer quelque chose qui prenne vraiment de l'ampleur et qui cesse de nous laisser sceptique sur les tenants et aboutissants des complots déjoués. Fédération reste de la bonne SF, fondée sur une idée (coucou les Men in Blacks) sympa et peu exploitée jusqu'à présent, servie par des graphismes très propres. Mais j'attends beaucoup plus d'Ange au scénario là dessus. Que ce soit au niveau des personnages ou de la SF mise en place j'aimerais vraiment voir ce que cela peut donner en développant vraiment. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/federation-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Et voici la conclusion de cette petite série façon saga de découverte du chocolat. Les héros sont toujours plutôt sympathiques et on en apprend vraiment beaucoup le long de cette BD qui, si elle ne révolutionnera pas le genre, reste un moyen agréable d'apprendre sur le chocolat surtout quand on est un néophyte comme moi. Graphiquement c'est très propre et soigné, et on prend plaisir à voyager avec nos personnages et d'autant plus que la colorisation est plutôt bien réussie. Certains points sont expédiés un peu vite, et il n'y a pas une énorme tension au niveau du déroulement des évènements, mais les choses se déroulent finalement suffisamment tranquillement pour laisser le chocolat en roi de cette BD. A découvrir pour les amateurs qui souhaitent en apprendre plus en passant un moment de lecture sympa !
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Titre de l'album : Le maître chocolatier - Tome 3 - La plantation Scenariste de l'album : Eric Corbeyran & Bénédicte Gourdon Dessinateur de l'album : Chetville Coloriste : Mikl Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Les malfrats avec lesquels Benjamin a passé des accords douteux se montrent de plus en plus menaçants. Alexis profite de la découverte par Manon d'une plantation de cacao au Vietnam pour fuir le danger. Guidés par les membres de l'association qui gère la plantation, les associés découvrent des fèves aux saveurs rares, qui leur permettront peut-être de sublimer leurs créations. Critique : Et voici la conclusion de cette petite série façon saga de découverte du chocolat. Les héros sont toujours plutôt sympathiques et on en apprend vraiment beaucoup le long de cette BD qui, si elle ne révolutionnera pas le genre, reste un moyen agréable d'apprendre sur le chocolat surtout quand on est un néophyte comme moi. Graphiquement c'est très propre et soigné, et on prend plaisir à voyager avec nos personnages et d'autant plus que la colorisation est plutôt bien réussie. Certains points sont expédiés un peu vite, et il n'y a pas une énorme tension au niveau du déroulement des évènements, mais les choses se déroulent finalement suffisamment tranquillement pour laisser le chocolat en roi de cette BD. A découvrir pour les amateurs qui souhaitent en apprendre plus en passant un moment de lecture sympa ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-maitre-chocolatier-tome-3-la-plantation?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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ah ah si jamais ça te tente en tous cas n'hésites pas, le cross lateforme est fait pour ça 🙂
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Ça demande une paire de parties et un ou deux potes avec qui jouer. Mais si t’as 2-3 potes qui jouent y a pas pire...
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Attend d’essayer warzone. fais gaffe avec des copains c’est hautement addictif. Seul c’est infernal de tension.
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Pas fait mais ça fait envie...
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Pour un premier essai ensemble, le duo d'auteurs formés par le couple Sylvie Roge et Olivier Grenson a fonctionné à merveille. C'est d'autant plus remarquable que si Olivier Grenson avait déjà démontré sa maitrise graphique, c'était la première incursion de Sylvie Roge dans le monde du scénario de BD. Hors, la maitrise du scénario, des flashbacks et des révélations, du rythme de cette BD m'a rendu cette lecture passionnante. L'histoire est humainement dure, difficile comme le sont les drames familiaux mais elle prend aux tripes directement. Je n'ai finalement qu'un regret c'est que j'ai trouvé que le personnage de la maman aurait pu gagner encore en nuances, en complexité. Graphiquement c'est très beau, fluide et détaillé, c'est indéniable, et j'ai parfois eu l'impression d'un certain mélange de style avec des poses, postures et visages qui m'ont beaucoup rappelé certains mangas étonnamment. La fée assassine est une belle BD sur les drames familiaux, la gémellité, les maltraitance psychologiques. Je vous la conseille.
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Titre de l'album : La fée assassine Scenariste de l'album : Sylvie Roge Dessinateur de l'album : Olivier Grenson Coloriste : Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Une jeune femme, en apparence calme et sans histoire, vient d'être arrêtée pour meurtre. Pour son mari, c'est la stupéfaction. Par l'entremise de l'avocat choisi pour la défendre, elle nous livre peu à peu l'histoire de sa vie. C'est l'histoire deux soeurs jumelles, d'un père absent et d'une mère abusive. C'est l'histoire d'un terrible secret de famille... Et celle d'une tragédie annoncée. Critique : Pour un premier essai ensemble, le duo d'auteurs formés par le couple Sylvie Roge et Olivier Grenson a fonctionné à merveille. C'est d'autant plus remarquable que si Olivier Grenson avait déjà démontré sa maitrise graphique, c'était la première incursion de Sylvie Roge dans le monde du scénario de BD. Hors, la maitrise du scénario, des flashbacks et des révélations, du rythme de cette BD m'a rendu cette lecture passionnante. L'histoire est humainement dure, difficile comme le sont les drames familiaux mais elle prend aux tripes directement. Je n'ai finalement qu'un regret c'est que j'ai trouvé que le personnage de la maman aurait pu gagner encore en nuances, en complexité. Graphiquement c'est très beau, fluide et détaillé, c'est indéniable, et j'ai parfois eu l'impression d'un certain mélange de style avec des poses, postures et visages qui m'ont beaucoup rappelé certains mangas étonnamment. La fée assassine est une belle BD sur les drames familiaux, la gémellité, les maltraitance psychologiques. Je vous la conseille. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-fee-assassine?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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c'est pas bordélique là, c'est juste q'uil faut un temps d'adaptation au dessin...
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Mon père n'a pas réussi à dépasser les 15 premières pages. Trop bordélique pour lui 🙂 et le Pulp je crois que ça lui parle pas trop