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Titre de l'album : Dawnrunner Scenariste de l'album : Ram V Dessinateur de l'album : Evan Cagle Coloriste : Dave Stewart & Francesco Segala Editeur de l'album : Hi-Graphics Note : Résumé de l'album : Il y a un siècle, un portail s'est ouvert en Amérique Centrale.Des monstres géants, les Tetzas, sont apparus à travers ce passage et ont changé le monde tel que les humains le connaissaient... pour toujours.Anita Marr est la meilleure pilote d'Iron Kings, ces robots géants utilisés par les humains dans leur lutte contre les Tetzas. Sa vie bascule lorsqu'on lui propose de tester un tout nouveau prototype révolutionnaire... Un album événement signé Ram V au scénario et le brillantissime Evan Cagle au dessin ! Critique : Et bien voilà, très grosse claque de la rentrée pour moi que ce Dawnrunner. Alors attention, probablement que pour les amateurs de mangas, ce sera peut être un peu déroutant, voir décevant, tant le thème des Mechas affrontant des Kaijus pour le sort de l'humanité a déjà été vu, lu, revu, et relu, et avec des oeuvres majeures et références comme Evangelion par exemple. Même le cinéma américain s'en est emparé avec le sympathique et surprenant Pacific Rim notamment. Et bien là, on est vraiment vraiment vraiment très proche de ces histoires là. Mais en très fort également, puisque Ram V nous montre qu'on peut encore raconter une histoire dont on a envie de lire la suite page après page, alors même qu'on pense déjà la connaître. Mais c'est aussi cela la puissance des grands mythes, combien de fois a-t-on lu l'histoire d'Arthur ? De l'illiade ou de l'odyssée à travers les yeux d'un nouvel auteur et pourtant toujours avec plaisir ? Bref, c'est du neuf avec du vieux, on est bien d'accord, mais c'est plus que bien fait, c'est nerveux, beau, et la dimension intime des personnages prend vite le dessus sur le reste, en douceur et en finesse mais qui finalement balaye peu à peu le reste. Graphiquement Evan Cagle nous livre de bien belles planches, dont certaines sont certes un peu complexes et pas toujours faciles à comprendre mais qui ont une grande puissance et une belle nervosité. On ne s'ennuie pas une seconde, et les personnages humains ne sont pas délaissés au profit des méchas et des Kaijus. Bref, foncez si vous n'avez pas peur de lire encore une oeuvre sur ce thème là car Dawnrunner est le genre de bd qu'on lit d'une traite puis qu'on referme avec une sensation de manque et de déception tant on aurait aimé faire encore un bout de route avec ces personnages là. Une oeuvre marquante pour moi, félicitations à HiGraphics. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dawnrunner/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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- comic
- science fiction
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Et bien voilà, très grosse claque de la rentrée pour moi que ce Dawnrunner. Alors attention, probablement que pour les amateurs de mangas, ce sera peut être un peu déroutant, voir décevant, tant le thème des Mechas affrontant des Kaijus pour le sort de l'humanité a déjà été vu, lu, revu, et relu, et avec des oeuvres majeures et références comme Evangelion par exemple. Même le cinéma américain s'en est emparé avec le sympathique et surprenant Pacific Rim notamment. Et bien là, on est vraiment vraiment vraiment très proche de ces histoires là. Mais en très fort également, puisque Ram V nous montre qu'on peut encore raconter une histoire dont on a envie de lire la suite page après page, alors même qu'on pense déjà la connaître. Mais c'est aussi cela la puissance des grands mythes, combien de fois a-t-on lu l'histoire d'Arthur ? De l'illiade ou de l'odyssée à travers les yeux d'un nouvel auteur et pourtant toujours avec plaisir ? Bref, c'est du neuf avec du vieux, on est bien d'accord, mais c'est plus que bien fait, c'est nerveux, beau, et la dimension intime des personnages prend vite le dessus sur le reste, en douceur et en finesse mais qui finalement balaye peu à peu le reste. Graphiquement Evan Cagle nous livre de bien belles planches, dont certaines sont certes un peu complexes et pas toujours faciles à comprendre mais qui ont une grande puissance et une belle nervosité. On ne s'ennuie pas une seconde, et les personnages humains ne sont pas délaissés au profit des méchas et des Kaijus. Bref, foncez si vous n'avez pas peur de lire encore une oeuvre sur ce thème là car Dawnrunner est le genre de bd qu'on lit d'une traite puis qu'on referme avec une sensation de manque et de déception tant on aurait aimé faire encore un bout de route avec ces personnages là. Une oeuvre marquante pour moi, félicitations à HiGraphics.
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Titre de l'album : Killer Peter tome 2 Scenariste de l'album : Jung-Hyun Kim | Lina Lim Dessinateur de l'album : Jung-Hyun Kim | Lina Lim Coloriste : Editeur de l'album : Michel Lafon Note : Résumé de l'album : Alors qu'il a brillamment réintégré l'association criminelle Gloire, Peter doit se soumettre au prélèvement de sang imposé à tous les nouveaux assassins. Pour empêcher que son ADN ne trahisse sa réelle identité, il doit rapidement faire disparaître son échantillon. Mais ce dernier est conservé dans un hôpital gardé par des combattants expérimentés avec à leur tête l'étrange apôtre Nathanaël. Le premier affrontement entre deux apôtres semble inévitable ! Critique : Plus ce webtoon avance et plus j’ai envie de savoir la suite et j’irai même jusqu’à dire qu’il se bonifie. Ce second tome ne dévoile pas encore tout le potentiel de la série (toujours en cours avec 63 chapitres disponibles) mais il permet déjà de comprendre que les auteurs ont beaucoup de choses à nous montrer et surtout qu’ils ne manquent pas d’imagination. Afin de détruire Gloire, Peter, redevenu jeune, s’est infiltré parmi les tueurs de rang D du groupe mais un problème s’annonce, le check-up obligatoire des membres de Gloire risque de le démasquer. Il a la solution toute trouvée : faire sauter l’hôpital ! Mais celui-ci est géré par un nouveau disciple : Nathanaël, un combat de taille s’annonce. C’est en voyant ce combat que j’ai compris que même si Killer Peter allait enchainer des combats au risque de s’empêtrer dans une accumulation lassante, le scénario était assez riche pour que l’on ne s’ennuie pas. Chaque nouveau personnage est travaillé soigneusement que ce soit sur son passé ou ses techniques de combats. Ajouté à cela des points d’humour et des situations inattendues, Killer Peter est en bonne voie pour devenir un webtoon incontournable. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/killer-peter-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Plus ce webtoon avance et plus j’ai envie de savoir la suite et j’irai même jusqu’à dire qu’il se bonifie. Ce second tome ne dévoile pas encore tout le potentiel de la série (toujours en cours avec 63 chapitres disponibles) mais il permet déjà de comprendre que les auteurs ont beaucoup de choses à nous montrer et surtout qu’ils ne manquent pas d’imagination. Afin de détruire Gloire, Peter, redevenu jeune, s’est infiltré parmi les tueurs de rang D du groupe mais un problème s’annonce, le check-up obligatoire des membres de Gloire risque de le démasquer. Il a la solution toute trouvée : faire sauter l’hôpital ! Mais celui-ci est géré par un nouveau disciple : Nathanaël, un combat de taille s’annonce. C’est en voyant ce combat que j’ai compris que même si Killer Peter allait enchainer des combats au risque de s’empêtrer dans une accumulation lassante, le scénario était assez riche pour que l’on ne s’ennuie pas. Chaque nouveau personnage est travaillé soigneusement que ce soit sur son passé ou ses techniques de combats. Ajouté à cela des points d’humour et des situations inattendues, Killer Peter est en bonne voie pour devenir un webtoon incontournable.
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Ohhh que ce pari est osé, mettre un agent secret connu pour ses capacités d'action en fauteuil roulant, lourdement handicapé qui plus est ce n'est pas un petit paris ! Cela relance pas mal l'intérêt de la série, qui commençait à vivoter un peu par la surpuissance de certains de ses équipiers. L'informatique et l'usage des nouvelles technologies est quand même parfois proche de la deus ex machina bien pratique pour nos scénaristes. Ceci dit cette mouture a du répondant et si le complot/enquête est finalement assez banal et classique, il reste à des niveaux compréhensible aisément qui rende la lecture fluide et facile. En bonus, on voyage un peu, et notre équipe d'expert étoffent un peu plus leurs relations interpersonnelles pour notre plus grand plaisir. A 13,50€ il faut saluer que cela reste de la bonne bd d'aventure et d'action, facile d'accès et agréable à lire, dans la tradition franco belge. les planches d'Alain Queireix sont d'ailleurs très bonnes et bien détaillées pour ce genre de bd. On attendra donc le prochain tome avec plaisir, et ce n'est pas rien puisque ce sera déjà le vingtième !
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Titre de l'album : Alpha - Tome 19 - Mr Washington Scenariste de l'album : Emmanuel Herzet Dessinateur de l'album : Alain Queireix Coloriste : Andrea Meloni Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Au Caire, un mystérieux « Monsieur Washington » paye des gamins des rues pour effectuer de « menus travaux de recyclage » à base de radium et autres saletés radioactives qui font de très belles bombes. C’est le moment pour Alpha et les Roadies de la CIA de remonter en selle ! Mais Irène a de sérieux doutes sur la capacité de son meilleur agent à assurer ses fonctions… depuis le fauteuil roulant sur lequel l’a cloué sa dernière mission. L’heure de la retraite aurait-elle sonné pour Dwight Tyler… ? Critique : Ohhh que ce pari est osé, mettre un agent secret connu pour ses capacités d'action en fauteuil roulant, lourdement handicapé qui plus est ce n'est pas un petit paris ! Cela relance pas mal l'intérêt de la série, qui commençait à vivoter un peu par la surpuissance de certains de ses équipiers. L'informatique et l'usage des nouvelles technologies est quand même parfois proche de la deus ex machina bien pratique pour nos scénaristes. Ceci dit cette mouture a du répondant et si le complot/enquête est finalement assez banal et classique, il reste à des niveaux compréhensible aisément qui rende la lecture fluide et facile. En bonus, on voyage un peu, et notre équipe d'expert étoffent un peu plus leurs relations interpersonnelles pour notre plus grand plaisir. A 13,50€ il faut saluer que cela reste de la bonne bd d'aventure et d'action, facile d'accès et agréable à lire, dans la tradition franco belge. les planches d'Alain Queireix sont d'ailleurs très bonnes et bien détaillées pour ce genre de bd. On attendra donc le prochain tome avec plaisir, et ce n'est pas rien puisque ce sera déjà le vingtième ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/alpha-tome-19-mr-washington/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Green Class - Tome 5 - Dernier Sacrifice Scenariste de l'album : Jérôme Hamon Dessinateur de l'album : David Tako Coloriste : David Tako Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : L'heure est grave : les Shoggoths viennent d'activer la quatrième stèle des grands anciens. Et s'ils parviennent à la cinquième et dernière, c'en est fini de l'humanité. Un futur que Naïa est prête à tout pour éviter. Pour empêcher que d'autres souffrent comme son frère Noah. Pour sauver ce qui reste. Mais tout le monde ne l'entend pas de la même oreille : être humain n'est-il pas un pêché en soi ? Beth, pour sa part, est prête à payer la rédemption au prix fort... Fût-ce ses amis d'hier. Critique : Commençons à parler de ce dernier tome de green class en saluant le job de l'éditeur : 72 pages de super qualité, une série un peu jeunesse mais moderne et intéressante pour adultes terminée en 5 tomes, des couv sublimes à la vue et au touché, et un dessin hyper dynamique, le tout pour moins de 15€, bah je dis chapeau bas. Le scénario est toujours aussi original, même si là forcément on est sur sa conclusion et que les nouveautés sont forcément moins marquantes. Je suis toujours stupéfait par le chemin pris par cette bd après un premier tome original mais classique dans son déroulement, et le coup de pelle dans la gueule du lecteur avec les sauts narratifs du second tome qui m'ont bien perdu à l'époque. Aujourd'hui encore, il faut que je relise une nouvelle fois l'ensemble pour mieux saisir les pièces du puzzle qui s'est dessiné dans les deux derniers tomes. Rayon critique je note juste l'évolution très très (trop?) rapide de nos héros en pro de la survie là où des escouades de forces spéciales se font décimer comme des idiots. C'est un peu facile, m'enfin, je pinaille. Côté dessin, si les fonds des cases sont souvent un peu trop nues pour que l'on s'extasie dessus, du côté du mouvement, de la mise en scène et du dynamisme du bazar, on touche à ce qui se fait de mieux dans le genre, reprenant donc au passage quelques codes du manga et comics qui amènent beaucoup de fluidité à l'ensemble. David Tako gère aussi à merveille ses visages et ses personnages, qui ont le mérite de se distinguer en terme de look et de personnalités de ce qu'on a déjà lu cent fois. Et puis cette couv' texturée.... Miam. bref si vous ne connaissez pas Green class, lancez vous. En dehors d'un tome 2 qui va vous laissé un peu dubitatif niveau scénario, la suite confirmera que c'est du tout bon, et finie en 5 tomes. bravo. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/green-class-tome-5-dernier-sacrifice/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Tomb raider king tome 1 Scenariste de l'album : Yuns (studio Redice) Dessinateur de l'album : 3b2s Coloriste : Editeur de l'album : Pika - Wavetoon Note : Résumé de l'album : En 2025, le monde est envahi par des tombeaux, et les artefacts qui en sortent, porteurs de légendes oubliées, confèrent des pouvoirs extraordinaires à leurs utilisateurs. Seo Ju-heon, pilleur de tombe, est trompé par son employeur après une vie de pillage servile et se retrouve au bord de la mort. Mais un mystérieux corbeau lui offre une seconde chance. Propulsé quinze ans en arrière, à une époque où les artefacts sont encore nimbés de mystère, Ju-heon, doté d'une mémoire infaillible et d'un talent stratégique hors du commun, s'engage sur la voie de la vengeance. Collectionnant les trésors et préparant sa revanche, il est prêt à faire payer ceux qui l'ont trahi. Critique : Alors oui, je sens que vous allez déjà me dire que des apparitions soudaines de tombeaux au milieu des villes remplies de monstres à combattre et de trésors à trouver c’est comme les tours ou les portails et que finalement il n’y a pas grand-chose de nouveau… Et bien vous avez à la fois raison et tort ! Certes, le principe reste globalement le même, des êtres humains deviennent plus puissants grâce à ce qu’ils acquièrent dans les tombeaux et certains s’enrichissent. Certes, ces nouveaux « surhommes » se regroupent en guilde et la concurrence fait rage. Mais ce n’est pas pour autant que ce webtoon est une redite d’un autre même si on peut y voir certaines inspirations. Et la première est que Ju-heon, notre héros se retrouve, après être presque mort dans un tombeau, à posséder une interface système qui lui semble propre. On ne peut que penser à Jinwoo dans Solo Leveling à ce moment. Ensuite, chaque tombeau a une légende propre qui fait référence à des contes ou autres mythologies un peu comme les constellations dans Lecteur Omniscient. Mais l’histoire a plusieurs éléments novateurs : il s’agit d’abord de tombeaux avec une chasse au artéfacts ; ce n’est pas pour rien qu’il y a « tomb raider » dans le titre, notre héros se situe dans la lignée de Lara Croft ou Indiana Jones. Ensuite ces artéfacts ont une volonté propre et ne sont pas forcément là pour le bien-être de l’espèce humaine. Et enfin, il y a le côté pilleur de tombes, Ju-heon ne manque pas d’astuces et de ruses à la fois pour mettre la main sur les artéfacts mais aussi pour devancer les concurrents quitte à les faire tourner en bourrique. Tomb Raider King apporte une certaine fraicheur dans le webtoon fantastique d’action tout en mélangeant habilement différentes thématiques. Une histoire rondement menée pour un pur moment de détente ! A lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tomb-raider-king-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Alors oui, je sens que vous allez déjà me dire que des apparitions soudaines de tombeaux au milieu des villes remplies de monstres à combattre et de trésors à trouver c’est comme les tours ou les portails et que finalement il n’y a pas grand-chose de nouveau… Et bien vous avez à la fois raison et tort ! Certes, le principe reste globalement le même, des êtres humains deviennent plus puissants grâce à ce qu’ils acquièrent dans les tombeaux et certains s’enrichissent. Certes, ces nouveaux « surhommes » se regroupent en guilde et la concurrence fait rage. Mais ce n’est pas pour autant que ce webtoon est une redite d’un autre même si on peut y voir certaines inspirations. Et la première est que Ju-heon, notre héros se retrouve, après être presque mort dans un tombeau, à posséder une interface système qui lui semble propre. On ne peut que penser à Jinwoo dans Solo Leveling à ce moment. Ensuite, chaque tombeau a une légende propre qui fait référence à des contes ou autres mythologies un peu comme les constellations dans Lecteur Omniscient. Mais l’histoire a plusieurs éléments novateurs : il s’agit d’abord de tombeaux avec une chasse au artéfacts ; ce n’est pas pour rien qu’il y a « tomb raider » dans le titre, notre héros se situe dans la lignée de Lara Croft ou Indiana Jones. Ensuite ces artéfacts ont une volonté propre et ne sont pas forcément là pour le bien-être de l’espèce humaine. Et enfin, il y a le côté pilleur de tombes, Ju-heon ne manque pas d’astuces et de ruses à la fois pour mettre la main sur les artéfacts mais aussi pour devancer les concurrents quitte à les faire tourner en bourrique. Tomb Raider King apporte une certaine fraicheur dans le webtoon fantastique d’action tout en mélangeant habilement différentes thématiques. Une histoire rondement menée pour un pur moment de détente ! A lire.
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Commençons à parler de ce dernier tome de green class en saluant le job de l'éditeur : 72 pages de super qualité, une série un peu jeunesse mais moderne et intéressante pour adultes terminée en 5 tomes, des couv sublimes à la vue et au touché, et un dessin hyper dynamique, le tout pour moins de 15€, bah je dis chapeau bas. Le scénario est toujours aussi original, même si là forcément on est sur sa conclusion et que les nouveautés sont forcément moins marquantes. Je suis toujours stupéfait par le chemin pris par cette bd après un premier tome original mais classique dans son déroulement, et le coup de pelle dans la gueule du lecteur avec les sauts narratifs du second tome qui m'ont bien perdu à l'époque. Aujourd'hui encore, il faut que je relise une nouvelle fois l'ensemble pour mieux saisir les pièces du puzzle qui s'est dessiné dans les deux derniers tomes. Rayon critique je note juste l'évolution très très (trop?) rapide de nos héros en pro de la survie là où des escouades de forces spéciales se font décimer comme des idiots. C'est un peu facile, m'enfin, je pinaille. Côté dessin, si les fonds des cases sont souvent un peu trop nues pour que l'on s'extasie dessus, du côté du mouvement, de la mise en scène et du dynamisme du bazar, on touche à ce qui se fait de mieux dans le genre, reprenant donc au passage quelques codes du manga et comics qui amènent beaucoup de fluidité à l'ensemble. David Tako gère aussi à merveille ses visages et ses personnages, qui ont le mérite de se distinguer en terme de look et de personnalités de ce qu'on a déjà lu cent fois. Et puis cette couv' texturée.... Miam. bref si vous ne connaissez pas Green class, lancez vous. En dehors d'un tome 2 qui va vous laissé un peu dubitatif niveau scénario, la suite confirmera que c'est du tout bon, et finie en 5 tomes. bravo.
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Titre de l'album : Kali Scenariste de l'album : Daniel Freedman Dessinateur de l'album : Robert Sammelin Coloriste : Robert Sammelin Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Le nouveau nom de la furie Poignardée dans le dos, empoisonnée et laissée pour morte par son propre gang, Kali se lance dans une vengeance sans retour à travers un désert ravagé par la guerre. La mort imminente coulant dans ses veines et une armée fasciste à ses trousses, Kali ne reculera devant rien pour se faire justice, même si cela doit être la dernière chose qu'elle fera jamais. Daniel Freedman (Raiders) et Robert Sammelin, artiste pour Mondo et le studio de jeux vidéo DICE, nous offrent un roman graphique original et un spectacle d'action existentielle non-stop, parfait pour les fans de Mad Max : Fury Road. Critique : Bon timing pour HiGraphics, anciennement Hicomics, de sortit ce Kali alors que Furiosa vient de débouler sur nos écrans. Si tout le monde fait ce raccourci en parlant de Kali c'est que le cocktail explosif concocté par les deux auteurs Daniel Freedman au scénario et Roger Sammelin au dessin a les mêmes ingrédients : de l'action quasi non stop, une intrigue simple mais parlante, un monde post apocalyptique ou la loi du plus fort règne, une héroïne badass. Ils ont d'ailleurs le bon goût d'amener un peu de nuances et de doutes sur notre "héroïne" en fin d'album ce qui n'a pas manqué de me plaire. Côté dessin, on est presque au cinéma avec un découpage des planches, des plans et des scène d'action assez jouissif et fluides. Le jeu des couleurs aide à la mise en scène, et on se rapproche parfois sur certaines planches d'un Kill Bill cinématographique de ce point de vue là. Une réussite. Par contre pour les amateurs de grands décors, ce n'est pas la bonne pioche, il y en a peu, au profit des personnages et de l'action. On ne peut pas tout avoir. Attention l'édition est belle, mais en fin d'album il y a le making of, ce qui fait un peu moins de pages pour l'histoire principale que ce que l'on pourrait penser. Et ça passe très vite. Autres infos : Lettrage : Thu Van NGUYEN Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kali?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Bon timing pour HiGraphics, anciennement Hicomics, de sortit ce Kali alors que Furiosa vient de débouler sur nos écrans. Si tout le monde fait ce raccourci en parlant de Kali c'est que le cocktail explosif concocté par les deux auteurs Daniel Freedman au scénario et Roger Sammelin au dessin a les mêmes ingrédients : de l'action quasi non stop, une intrigue simple mais parlante, un monde post apocalyptique ou la loi du plus fort règne, une héroïne badass. Ils ont d'ailleurs le bon goût d'amener un peu de nuances et de doutes sur notre "héroïne" en fin d'album ce qui n'a pas manqué de me plaire. Côté dessin, on est presque au cinéma avec un découpage des planches, des plans et des scène d'action assez jouissif et fluides. Le jeu des couleurs aide à la mise en scène, et on se rapproche parfois sur certaines planches d'un Kill Bill cinématographique de ce point de vue là. Une réussite. Par contre pour les amateurs de grands décors, ce n'est pas la bonne pioche, il y en a peu, au profit des personnages et de l'action. On ne peut pas tout avoir. Attention l'édition est belle, mais en fin d'album il y a le making of, ce qui fait un peu moins de pages pour l'histoire principale que ce que l'on pourrait penser. Et ça passe très vite.
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Titre de l'album : Rebuild the world tome 8 Scenariste de l'album : Nahuse Dessinateur de l'album : Kirihito Ayamura Coloriste : Editeur de l'album : Vega-Dupuis Note : Résumé de l'album : Dans un monde où les monstres attaquent les terres dévastées, Akira, un enfant venant des taudis, projette de devenir un grand chasseur dans le but de sortir de la misère. Pour chaque relique de l'ancien monde vendue, une somme d'argent plus ou moins grande est à la clé, et les plus grands chasseurs peuvent même vivre derrière les murailles, en sécurité. Un jour, alors qu'un groupe de bandits essaie de le dépouiller, Akira aperçoit une femme qu'il est le seul à voir, et qui lui sauve la vie lors d'une explosion. Elle prétend se nommer Alpha, et être une réalité augmentée de l'ancien monde. Voyant un potentiel de chasseur chez le jeune garçon, elle lui propose de passer un contrat avec elle : en échange de son soutien dans ses combats et des reliques pouvant permettre de rapporter beaucoup d'argent à Akira, ce dernier devra reconquérir une partie des ruines des terres dévastées pour elle. Critique : Fin du combat entre Akira et la pilleuse de relique et quelle fin de combat ! Tendu comme jamais, ce combat nous montre un Akira devant se passer de l'aide d'alpha pour esquiver tout en réussissant à contre-attaquer. Mais le vrai intérêt de ce tome 8, c'est qu'outre la fin de ce combat, il avance sur l'intrigue principale en nous faisant apprendre pas mal de chose sur Alpha, mais aussi sur les forces s'affrontant pour prendre le contrôle global. Le dessin de Kirihito Ayamura est toujours très bon et le scenario se pose enfin un peu pour se permettre de nous donner des miettes de ce qui nous attend dans la suite. Un manga toujours aussi dense et intéressant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rebuild-the-world-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Fin du combat entre Akira et la pilleuse de relique et quelle fin de combat ! Tendu comme jamais, ce combat nous montre un Akira devant se passer de l'aide d'alpha pour esquiver tout en réussissant à contre-attaquer. Mais le vrai intérêt de ce tome 8, c'est qu'outre la fin de ce combat, il avance sur l'intrigue principale en nous faisant apprendre pas mal de chose sur Alpha, mais aussi sur les forces s'affrontant pour prendre le contrôle global. Le dessin de Kirihito Ayamura est toujours très bon et le scenario se pose enfin un peu pour se permettre de nous donner des miettes de ce qui nous attend dans la suite. Un manga toujours aussi dense et intéressant.
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Ca y est on entre dans le dure et le tome 6 monte vraiment en puissance et se trouve être excellent. Fini les enchainements de combats. Il n'y a plus que 40 démons se battant pour le titre et nous connaissons une bonne partie d'entre eux. Ce tome 5, et le tome 6, nous lance sur la piste des tablettes de pierres. Tablettes qui recèlent un mystère qui va s'avérer un obstacle à surmonter pour notre Gash.... mais surtout un passage de notre récit qui voit se former des alliances et des clans. Alliance qui permette de renouveler la simple bataille de pouvoir, autorisant notre auteur à user et abuser de combinaison de pouvoir entre Gash et ses amis, surtout dans le tome 6 qui se révèle être le tome de combat le plus intense depuis le début de la série. Graphiquement, on commence à avoir l'habitude des graphismes vieillots et on retrouve la bonne bouille de Gash avec énormément de plaisir. Vivement la suite
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Titre de l'album : Gash bell !! - perfect edition tome 5 & 6 Scenariste de l'album : Makoto Raiku Dessinateur de l'album : Makoto Raiku Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Les chasseurs les plus discrets de l'univers de Gash Bell, Garza et Baransha, font leur apparition !! Kanchome va devoir se battre pour protéger sa petite soeur Lucika, tandis que Gash affronte le terrible Barry, ainsi que Kid, le professeur Mystère et ses douze acolytes ! Rendez-vous également au " Gash Café ", un espace de repos et de paix où les démons mettent de côté leurs différends pour discuter et révéler les aspects les plus étonnants de leur personnalité tout en profitant d'un bon thé ! Les invités du tome 5 sont Kid, Papipurio et Zoboron ! Critique : Ca y est on entre dans le dure et le tome 6 monte vraiment en puissance et se trouve être excellent. Fini les enchainements de combats. Il n'y a plus que 40 démons se battant pour le titre et nous connaissons une bonne partie d'entre eux. Ce tome 5, et le tome 6, nous lance sur la piste des tablettes de pierres. Tablettes qui recèlent un mystère qui va s'avérer un obstacle à surmonter pour notre Gash.... mais surtout un passage de notre récit qui voit se former des alliances et des clans. Alliance qui permette de renouveler la simple bataille de pouvoir, autorisant notre auteur à user et abuser de combinaison de pouvoir entre Gash et ses amis, surtout dans le tome 6 qui se révèle être le tome de combat le plus intense depuis le début de la série. Graphiquement, on commence à avoir l'habitude des graphismes vieillots et on retrouve la bonne bouille de Gash avec énormément de plaisir. Vivement la suite Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gash-bell-perfect-edition-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Space relic hunters Scenariste de l'album : Sylvain Runberg Dessinateur de l'album : Grun Coloriste : Grun Editeur de l'album : Daniel Maghen Note : Résumé de l'album : Dans une galaxie régie par un quatuor souverain d'une grande puissance, Xia et Little Mercur sont les chasseurs de reliques les plus célèbres du coin. Ils vivent au gré de leurs trafics jusqu'au jour où leur dernière mission pourrait bien leur coûter la vie. Ce space opera retourne autant les cerveaux que les estomacs ! Après une guerre de religion interplanétaire et une galaxie dévastée 200 ans plus tôt, quatre dieux, surnommés Le Grand Quatuor , décident d'ériger un nouvel empire. Ils instaurent une dictature violente et répressive, anéantissant toutes formes de religions autres que celle vouée à leur propre culte. Les Légions divines ont été créées pour faire respecter cet ordre, mais malgré leur surveillance, les différents peuples et espèces continuent de vénérer en secret leurs anciens dieux. Cette situation engendre un trafic galactique de reliques aliènes, liées à de nombreux cultes dorénavant interdits. Qui dit interdit, dit contrebande et la naissance de Relic Hunters. C'est de cette activité que vivent Xia, une humaine, et Little Mercur, un alien masqué dont on ne connaît pas la race. Ils font partie des meilleurs chasseurs de reliques de la galaxie et sont rejoints pour une nouvelle mission par Vitellius, un ex-centurion déserteur des Légions divines. Critique : On retrouve la même équipe artistique de la trilogie de science-fiction On mars, pour un one shot de plus d'une centaine de pages pour mettre en image ce space opera plein d'action. Sylvain Runberg s'est déjà forgé une bonne réputation de scénariste avec toutes ses productions. Il est très à l'aise sur ce genre science-fiction, avec cette histoire où trois chasseurs de reliques doivent faire équipe pour avoir la récompense s'ils retrouvent cet objet d'une religion oubliée. Les personnages sont haut en couleur entre l'humaine alcoolique de par sa religion, un alien discret et un ancien soldat de la légion divine. Les trois héros sont engagés pour affronter toutes sortes de danger sur plusieurs planètes pour leur réussir leur mission. Grun est un dessinateur habitué également aux récits de SF, il s'amuse à mettre en scène les personnages dans des mondes exotiques avec des races extraterrestres. Les scènes d'action sont bien rythmées et les planches très détaillées. L'album se termine sur des recherches graphiques de l'auteur. Si vous avez appréciez On mars, vous devriez êtes conquis par cette nouvelle production de Runberg et Grun. Sinon ce one shot est une bonne occasion de découvrir leur travail. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/space-relic-hunters?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Alpha - Tome 18 - Drones Scenariste de l'album : Emmanuel Herzet Dessinateur de l'album : Alain Queireix Coloriste : Didier Ray Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Vingt-et-un drones livrés par la société américaine Blade Inc. disparaissent en Roumanie. Le coupable est tout trouvé : James Leitton, PDG d'Aerok, un concurrent malheureux que tout accuse. Dwight Tyler est donc dépêché sur place pour interroger Leitton. Une mission a priori simple... qui se complique rapidement quand il découvre l'homme d'affaire assassiné ! Alpha va devoir goûter l'hospitalité roumaine un peu plus longtemps que prévu... Critique : On retrouve Alpha plongé dans un complot centré sur l'usage de Drones meurtriers, de sociétés de sécurités privées, et de rivalité indo-pakistanaise... Autant vous dire que c'est plutôt très ancré dans notre monde actuel. Pas trop de sentimentalisme donc dans cet intrigue, excepté un peu sur le final, on est plutôt sur du techno thriller. Emmanuel Herzet gère bien son scénario et utilise à bon escient les facilités de son super hackeur pour faire avancer son scénario sans temps morts afin de presque boucler son enquête en 48 pages. Le dénouement poussera les amateurs de la série à attendre avec impatience le tome 19. Côté dessin, je trouve que c'est parfois encore un peu inégal avec pas mal de jolies planches, et quelques unes un peu fades avec des visages, des décors et des couleurs manquant un peu de finesse. Cela reste toutefois largement dans les standards habituels de la série, l'équipe aux commandes n'ayant pas changée depuis le tome précédent. Autres infos : D'après l'oeuvre créée par Jigounov et rENARD Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/alpha-tome-18-drones?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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On retrouve Alpha plongé dans un complot centré sur l'usage de Drones meurtriers, de sociétés de sécurités privées, et de rivalité indo-pakistanaise... Autant vous dire que c'est plutôt très ancré dans notre monde actuel. Pas trop de sentimentalisme donc dans cet intrigue, excepté un peu sur le final, on est plutôt sur du techno thriller. Emmanuel Herzet gère bien son scénario et utilise à bon escient les facilités de son super hackeur pour faire avancer son scénario sans temps morts afin de presque boucler son enquête en 48 pages. Le dénouement poussera les amateurs de la série à attendre avec impatience le tome 19. Côté dessin, je trouve que c'est parfois encore un peu inégal avec pas mal de jolies planches, et quelques unes un peu fades avec des visages, des décors et des couleurs manquant un peu de finesse. Cela reste toutefois largement dans les standards habituels de la série, l'équipe aux commandes n'ayant pas changée depuis le tome précédent.
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Et pan voici une conclusion comme on aimerait en voir plus souvent... Le convoyeur est une super série ambitieuse en 4 tomes, et au vu des éléments mis en places dans les 3 premiers tomes, on pouvait se demander fort logiquement comment ils allaient bien pouvoir conclure leur bazar proprement. Et bien.... Fort justement, fort logiquement, avec du rythme mais pas trop, en prenant parfois même leur temps, signe d'une narration très bien maitrisée. J'ai lu ces 4 tomes à plusieurs années d'intervalle et pourtant tout reste logique et fluide. Bravo M. Roulot. Pour les dessins, est-il besoin de dire que M. Armand est bien aujourd'hui dans la catégorie des très bons, il va falloir le suivre car sa série est graphiquement au diapason de la narration. Ne vous y trompez pas, le convoyeur est excellent et mémorable, il lui manque peut être un petit quelque chose, notamment au niveau de ses personnages pour franchir le dernier cap dans nos coeurs, mais c'est surtout à cause du choix de narration très très osé et réussi de la transition entre tome 1 et tome 2. Bref, merci, une lecture d'apocalypse fantatstque pas déjà lue trente fois et qui nous surprend assez souvent, c'est un beau cadeau.
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Titre de l'album : Le convoyeur - Tome 4 - La saison des spores Scenariste de l'album : Tristan Roulot Dessinateur de l'album : Dimitri Armand Coloriste : Lucille Noël et Dimitri Armand Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Minerva a récupéré son aimé mais l'esprit de ce dernier appartient toujours à la Reine des Convoyeurs. Et les stocks du sérum capable de le rendre à son humanité diminuent drastiquement. A présent, pour sauver Kivan, à défaut d'avoir pu sauver leur fils Iram, Minerva n'a plus le choix : elle doit retrouver le cargo et tuer la Reine ! Enfin, si la horde des Convoyeurs, la Nature ou le mystérieux homme lancé à ses trousses ne la tuent pas avant... Critique : Et pan voici une conclusion comme on aimerait en voir plus souvent... Le convoyeur est une super série ambitieuse en 4 tomes, et au vu des éléments mis en places dans les 3 premiers tomes, on pouvait se demander fort logiquement comment ils allaient bien pouvoir conclure leur bazar proprement. Et bien.... Fort justement, fort logiquement, avec du rythme mais pas trop, en prenant parfois même leur temps, signe d'une narration très bien maitrisée. J'ai lu ces 4 tomes à plusieurs années d'intervalle et pourtant tout reste logique et fluide. Bravo M. Roulot. Pour les dessins, est-il besoin de dire que M. Armand est bien aujourd'hui dans la catégorie des très bons, il va falloir le suivre car sa série est graphiquement au diapason de la narration. Ne vous y trompez pas, le convoyeur est excellent et mémorable, il lui manque peut être un petit quelque chose, notamment au niveau de ses personnages pour franchir le dernier cap dans nos coeurs, mais c'est surtout à cause du choix de narration très très osé et réussi de la transition entre tome 1 et tome 2. Bref, merci, une lecture d'apocalypse fantatstque pas déjà lue trente fois et qui nous surprend assez souvent, c'est un beau cadeau. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-convoyeur-tome-4-la-saison-des-spores?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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On retrouve la même équipe artistique de la trilogie de science-fiction On mars, pour un one shot de plus d'une centaine de pages pour mettre en image ce space opera plein d'action. Sylvain Runberg s'est déjà forgé une bonne réputation de scénariste avec toutes ses productions. Il est très à l'aise sur ce genre science-fiction, avec cette histoire où trois chasseurs de reliques doivent faire équipe pour avoir la récompense s'ils retrouvent cet objet d'une religion oubliée. Les personnages sont haut en couleur entre l'humaine alcoolique de par sa religion, un alien discret et un ancien soldat de la légion divine. Les trois héros sont engagés pour affronter toutes sortes de danger sur plusieurs planètes pour leur réussir leur mission. Grun est un dessinateur habitué également aux récits de SF, il s'amuse à mettre en scène les personnages dans des mondes exotiques avec des races extraterrestres. Les scènes d'action sont bien rythmées et les planches très détaillées. L'album se termine sur des recherches graphiques de l'auteur. Si vous avez appréciez On mars, vous devriez êtes conquis par cette nouvelle production de Runberg et Grun. Sinon ce one shot est une bonne occasion de découvrir leur travail.
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Keanu Reeves est acteur de film d'action comme pour tous ses rôles dans John Wick ou Matrix. C'est donc pas trop étonnant de retrouver sa création en comics dans ce registre. Le scénariste Matt Kindt collabore avec Reeves pour construire cette histoire de personnage immortel au fil des époques et surtout des guerres comme on va pouvoir le découvrir dans cette suite. En effet, le héros explique et raconte quelques moments forts de sa longue vie avec souvent des guerres et le rôle qu'il a joué dans les conflits armés. La partie graphique est intéressante et l'atout majeur de ce titre d'action et guerre. Les combats sont dynamiques et l'auteur jongle entre les époques avec des décors bien travaillés. Le prochain tome de BRZRKR apportera la conclusion de cette série d'action avec les réponses ou explications que l'on commence à avoir dans cette suite.
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Titre de l'album : BRZRKR tome 2 Scenariste de l'album : Keanu Reeves & Matt Kindt Dessinateur de l'album : Ron Garney Coloriste : Bill Crabtree Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Mi-mortel et mi-dieu, maudit et contraint à la violence, l'homme connu uniquement sous le nom de B. recommence à errer dans le monde. Après avoir enduré une série d'expériences, B. se souviendra enfin de ses origines. Mais que signifie cette révélation pour son avenir ? Critique : Keanu Reeves est acteur de film d'action comme pour tous ses rôles dans John Wick ou Matrix. C'est donc pas trop étonnant de retrouver sa création en comics dans ce registre. Le scénariste Matt Kindt collabore avec Reeves pour construire cette histoire de personnage immortel au fil des époques et surtout des guerres comme on va pouvoir le découvrir dans cette suite. En effet, le héros explique et raconte quelques moments forts de sa longue vie avec souvent des guerres et le rôle qu'il a joué dans les conflits armés. La partie graphique est intéressante et l'atout majeur de ce titre d'action et guerre. Les combats sont dynamiques et l'auteur jongle entre les époques avec des décors bien travaillés. Le prochain tome de BRZRKR apportera la conclusion de cette série d'action avec les réponses ou explications que l'on commence à avoir dans cette suite. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/brzrkr-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Au nom de la République - Tome 2 - Mission Buulo Maarer Scenariste de l'album : Jean-Claude Bartoll Dessinateur de l'album : Gabriel Guzman Coloriste : Silvia Fabris Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Denis Allex, un agent de la DGSE est kidnappé en Somalie. Quelques années plus tard, un commando tente de l'exfiltrer mais l'opération échoue : l'otage et deux membres du service action sont tués. Sur ordre du Président de la République, l'unité Gamma doit localiser et éliminer le chef des islamistes. Une course contre la montre s'engage afin de venger leurs camarades morts... Critique : Second tome pour nos barbouzes de la dgse, ces agents d'une cellule secrète chargée des basses oeuvres de la république française. Si les personnages paraissaient relativement froids dans le premier tome, il faut reconnaitre que dans ce tome-ci on les voit parfois moins professionnels qu'on n'aurait pu l'imaginer. Ici entre fiascos initiaux et tentatives de rattrapages, on suit la traque orchestrée par la France de l'un des leaders djihadistes à travers l'Afrique. Si pour les passionnés de ces affaires de barbouzes, de commandos, d'état et de lutte anti terroriste il y aura de la matière, pour les autres ce tome 2 d'au nom de la république risque de paraitre un peu fade. Entre une action réduite pour coller au réalisme de la bd, des dessins sérieux, peut être un brin austères malgré une mise en couleurs réussie de Silvia Fabris, et des personnages finalement peu enthousiasmants, cela risque d'être un peu rude pour le grand public de la bd. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/au-nom-de-la-republique-tome-2-mission-buulo-maarer?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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