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Olympus Mons Tome 1 : Anomalie un Scénario : Christophe Bec Dessin : Stefano Raffaele Couleur : Digikore studios Genre : Science-Fiction Edition : Soleil Date de parution : Dispo L'acheter sur BDFugue Résumé : 2026 : des phénomènes inexpliqués et étranges se produisent simultanément en différents lieux. Dans les profondeurs de la Mer Baltique, des chasseurs de trésors sous-marins découvrent ce qui semble être les vestiges d'un artefact inconnu ; dans l'Iowa, un medium est hanté par d'étranges visions dans lesquelles il visite une épave mystérieuse au fond de la mer. Sur un écran, un message adressé aux habitants de la Terre ; sur Mars, des cosmonautes trouvent une série d'objets énigmatiques. En suivant leur piste, ils arrivent sur les pentes de la plus haute éminence de Mars, le mont Olympus, où ils découvrent la carcasse d'un vaisseau spatial. L'énigme est totale mais aucun doute : ces différents phénomènes sont bien liés entre eux ! Avec Olympus Mons, Christophe Bec débute une nouvelle saga d’anticipation et de science-fiction, en collaboration avec Stefano Raffaele pour les dessins. Les deux auteurs de Prométhée nous livrent un récit très proche de ce dernier, aussi bien dans l’histoire que dans la construction du récit. Les lecteurs vont pouvoir suivre une intrigue dans le passé avec Christophe Colomb et son équipage à la limite de la mutinerie. Une autre intrigue dans un futur proche, avec une équipe de chercheurs en plein mer et des fouilles sous-marine. Une troisième intrigue nous présente une équipe de journalistes de documentaires qui enquête sur les mystères archéologiques. Et la dernière intrigue nous emmène sur Mars avec une équipe de scientifiques Russe. Bec alterne les scènes entre les différentes intrigues au bout d’une ou deux planches comme sur Prométhée. Les mystères sont nombreux et prenants pour cette introduction. J’espère que l’on ne retrouvera pas le même problème que sur Prométhée, avec une histoire qui n’avance à cause du nombre de protagonistes importants. Au niveau graphique, Stefano Raffaele livre des planches parfaites dans un style très réaliste comme à son habitude. Les couleurs sont gérés par Digikore studios. Les amateurs de récits d’anticipation tel que Prométhée seront comblé par Olympus Mons. Cette nouvelle série s’annonce sur de nombreux tomes mais ce premier tome attise l’intérêt et soulève de nombreux questionnements. Note : Alx23
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Nouvelle série des auteurs de Dent d'ours avec encore une histoire d'époque et encore une histoire d'aviation de nos auteurs. Mais pas juste une histoire d'aviation. L'aviation est ici vraiment en tache de fond avec comme véritable centre d’intérêt le KKK et l'endroit où vie notre Black Squaw : Le sud des états unis. En effet le résumé vente beaucoup l'aspect prohibition/Capone là ou au final ce n'est qu'une introduction au personnage. Et ça ma un poil déçu. J'avoue que l'aspect prohibition est ce qui m'avait attiré. Alors la partie KKK est sympa mais un peu moins original. Le fait de passer de Capone à la problématique de racisme du Sud plus la présentation de notre Squaw fait de ce Black Squaw t1 un pur tome d'introduction. Une introduction qui promet de belle chose mais une introduction quand même 🙂
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Titre de l'album : Black Squaw t1 Scenariste de l'album : Yann Dessinateur de l'album : Alain Henriet Editeur de l'album : Dupuis Note de l'album : 4 Résumé de l'album : Etats-Unis des années 20, au coeur de la Prohibition : Bessie Coleman, jeune métisse aux origines Cherokee et afro-américaines, se rêve aviatrice depuis l'enfance. Mais les écoles de pilotage sont un luxe inaccessible lorsque l'on naît femme, pauvre et noire dans l'Amérique de la ségrégation raciale et du Ku Klux Klan... Farouchement déterminée, Bessie rejoint le monde du crime organisé, des distilleries clandestines et des importations illégales : puisque l'époque est propice à tous les trafics, c'est au sein de la pègre et recrutée par Al Capone en personne qu'elle exercera ses talents. "Le balafré" cherche un aviateur n'ayant pas froid aux yeux pour assurer la liaison avec les îles Saint-Pierre et Miquelon, territoire français situé au large du Canada et devenu une véritable plaque tournante de la contrebande d'alcool. Une mission de plus en plus dangereuse au regard des conditions de vol suicidaires et des risques de se faire mitrailler par les gardes-côtes, ou lyncher par les sinistres encagoulés du KKK... A travers les exploits de cette héroïne confrontée à un univers violent et corrompu, et les flashback dévoilant son enfance dans la réserve indienne de son père, les auteurs de "Dent D'ours" révèlent la destinée hors du commun de Bessie Coleman, première aviatrice noire de l'Histoire. Sa volonté acharnée de surmonter les pires obstacles feront d'elle un modèle universel d'émancipation et de lutte contre la discrimination raciale. Critique : Nouvelle série des auteurs de Dent d'ours avec encore une histoire d'époque et encore une histoire d'aviation de nos auteurs. Mais pas juste une histoire d'aviation. L'aviation est ici vraiment en tache de fond avec comme véritable centre d’intérêt le KKK et l'endroit où vie notre Black Squaw : Le sud des états unis. En effet le résumé vente beaucoup l'aspect prohibition/Capone là ou au final ce n'est qu'une introduction au personnage. Et ça ma un poil déçu. J'avoue que l'aspect prohibition est ce qui m'avait attiré. Alors la partie KKK est sympa mais un peu moins original. Le fait de passer de Capone à la problématique de racisme du Sud plus la présentation de notre Squaw fait de ce Black Squaw t1 un pur tome d'introduction. Une introduction qui promet de belle chose mais une introduction quand même 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/black-squaw-tome-1-nighthawk?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Scénario : Younn Locard Dessin : Florent Grouazel Editeur : actes sud Note : 5/5 L'acheter sur bdfugue Résumé: "Premier volume de "Révolution", une trilogie sur la Révolution française, "Liberté" ressuscite 1789 en se promenant dans tous les étages de la société. Une fresque grandiose, brassant de multiples personnages et qui totalisera près de 1000 pages. Un livre-événement, par les auteurs d'"Eloi". " Le fauve d'or à Angoulême décerné à ce splendide ouvrage . Actes Sud a soigné cette sortie , l'objet est beau , bien relié , un bijou ! Les auteurs souhaitent nous faire vivre la Révolution à travers le prisme de plusieurs personnages , issus des différentes classes sociales .Et il est bien là le coup de force , car d'emblée on est immergé par les lieux dans lesquels évoluent ces protagonistes d'horizons divers . Le trait précis à 4 mains nous plonge dans les rues pavées de Paris , au coeur même de l'insurrection naissante . La rumeur gronde , la fumée des incendies à la Bastille envahit les cases et l'on sent que plus rien ne sera comme avant . Oubliez Marat , Danton , Louis XVI et Marie-Antoinette ; et transpirez avec ces inconnus et leurs propres soucis personnels . Car se révolter c'est louable , mais il faut se loger , se nourrir , en bref , continuer de vivre . D'une mendiante borgne , à un journaliste arriviste et plutôt royaliste , un épicurien et son frère que tout oppose , une galerie de personnages s'élevant grâce à cette Révolution naissante se croisent . On rêverait presque de rencontrer Charlotte Corday dans le tome 2 . Danton a dit au bourreau avant de mourir exécuté : « Tu montreras ma tête au peuple, elle en vaut la peine. » Et bien , ce livre en vaut la peine et a sa place dans toute bédéthèque qui se respecte . Par Nivek
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Ouiiiii ouiiii vous ne rêvez pas. J'ai bien mis 4.5 à un album des "Profs"... moi aussi ca m'étonne. Mais c'est vrai. Cette album le mérite. Alors non je vous rassure quand meme.... ce ne sont pas les blagues qui méritent un 4.5. (Desolé messieurs les auteurs, je dois maintenir un standing 😄😄 😄 😄 ) Blague à part les blagues sont ce qu'elles sont. Non ce qui mérite votre attention c'est la qualité de réalisation de cet album. Car outre les 20 pages d'histoires illustrées par 20 auteurs de la maison Bamboo, cet album retrace rien de moins que l'histoire de la transformation de bamboo. En effet cette série a transformé un petit editeur en un acteur majeure de la BD francaise. Et cet album montre bien que, n'en deplaise à la société bien pensante de la BD européenne, le commun des lecteurs à vraiment envie de s'amuser et de se detendre. Au travers d'une fresque historique, cet album retrace la progression de la série jusqu'à la consécration : le film. Entre l'histoire de la maison d'édition, celle de la série et des descriptions d'auteurs, cette édition anniversaire à tout d'une édition collector. Une édition qui récompense le pari osé d'un jeune gerant de maison d'édition.
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Titre de l'album : Les profs - l'album des 20 ans Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Editeur de l'album : Bamboo Note de l'album : 4.5 Résumé de l'album : En 2000 sortait le premier tome des Profs chez Bamboo. 20 ans et plusieurs millions d’albums vendus plus tard, après deux films au cinéma, on peut sans problème dire que les personnages de Pica et Erroc font partie du patrimoine de la bande dessinée. Pour fêter cet anniversaire, quoi de mieux qu’un album unique. Au sommaire : 22 planches commentées par les auteurs ; une histoire inédite de 20 pages écrites par Erroc et Sti et dessinées par 20 dessinateurs ; des interviews exceptionnelles des auteurs ; 20 ans d’actualités revues par les Profs ; un retour sur l’aventure des Profs au cinéma ; la toute première planche de la série, publiée dans le Journal de Mickey ; et pleins d’autres surprises !!! Critique : Ouiiiii ouiiii vous ne rêvez pas. J'ai bien mis 4.5 à un album des "Profs"... moi aussi ca m'étonne. Mais c'est vrai. Cette album le mérite. Alors non je vous rassure quand meme.... ce ne sont pas les blagues qui méritent un 4.5. (Desolé messieurs les auteurs, je dois maintenir un standing 😄😄 😄 😄 ) Blague à part les blagues sont ce qu'elles sont. Non ce qui mérite votre attention c'est la qualité de réalisation de cet album. Car outre les 20 pages d'histoires illustrées par 20 auteurs de la maison Bamboo, cet album retrace rien de moins que l'histoire de la transformation de bamboo. En effet cette série a transformé un petit editeur en un acteur majeure de la BD francaise. Et cet album montre bien que, n'en deplaise à la société bien pensante de la BD européenne, le commun des lecteurs à vraiment envie de s'amuser et de se detendre. Au travers d'une fresque historique, cet album retrace la progression de la série jusqu'à la consécration : le film. Entre l'histoire de la maison d'édition, celle de la série et des descriptions d'auteurs, cette édition anniversaire à tout d'une édition collector. Une édition qui récompense le pari osé d'un jeune gerant de maison d'édition. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-profs-l-album-des-20-ans?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Comme tout le monde j'ai beaucoup entendu parler de cette BD. Et pour tout vous avouer plus que du fait divers américains. Je fais parti de ces gens qui trouvent qu'il y a tellement de fait divers liés aux armes à feux aux États-Unis qu'il ne les remarques plus. Triste n'est pas ? J’ai donc abordé cet album sans savoir de quoi il parlait et je dois avouer que ce fait divers est tout ce qui me repousse dans la culture américaine. Et en cela la BD est réussie : elle fait son office de reportage sans "vraiment" porter de jugement. Et là ou Fabien Nury réussi un vrai travail d'écriture, c'est dans le "vraiment". En effet si le texte et la présentation semble neutre, le découpage l'est beaucoup moins. La façon de bien montrer la mise en avant de l'aspect financier de l'affaire, de l'aspect médiatique mais aussi de finir par Eddy Routh montre clairement le penchant des auteurs. On sait bien que ce qui restera d'une lecture, c'est la fin de celle-ci.... Ce qui me fera nuancer l'ensemble des critiques élogieuses, c'est le dessin de Brûno donc je ne suis pas forcement fan (mais ça c'est "chacun ses goûts") mais surtout la faible part que prend Eddy Routh dans le récit. La BD est vue comme "montrant le point de vue du tueur" alors qu'en fait non. On nous montre la partie médiatique de l'affaire en effleurant tout juste la phycologie d'Eddy. On se concentre plus sur celle de la femme de Chris par exemple. Si l'épilogue corrige un peu tout cela, j'aurai préféré un traitement plus équilibré. Le choix de dénoncer l'aspect mercantile de cette affaire avec les interviews Fox News, les différents livres "best-seller" et l'affaire Jesse Ventura, masque un peu le problème de fond ce cette affaire qui est que si on ne fait pas de gonflette et qu’on n’a pas tué au moins une personne, on n’est pas un "bonhomme" aux états unis. Je vous laisserais vous faire votre opinion et à venir en discuter ici, ça promet d’être intéressant 🙂
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Titre de l'album : L'homme qui tua Chris Kyle Scenariste de l'album : Fabien Nury Dessinateur de l'album : Bruno Editeur de l'album : Dargaud Note de l'album : 4 Résumé de l'album : Chris Kyle est un héros. Ancien sniper chez les Navy Seals durant la deuxième guerre d'Irak, il a tué plus de 160 « cibles ». Au faîte de sa gloire (Clint Eastwood a même acheté les droits de son autobiographie, bestseller aux États-Unis, pour en faire un film ? ce sera "American Sniper"), Chris Kyle dédie sa vie à aider ses anciens camarades de combats marqués aussi bien physiquement que mentalement par la guerre. Eddie Ray Routh est l'un d'entre eux. Le 2 février 2013, l'inconnu EDDIE RAY ROUTH abat la Légende Chris Kyle. Ce livre raconte l'histoire raconte le crime ? et ses conséquences. Critique : Comme tout le monde j'ai beaucoup entendu parler de cette BD. Et pour tout vous avouer plus que du fait divers américains. Je fais parti de ces gens qui trouvent qu'il y a tellement de fait divers liés aux armes à feux aux États-Unis qu'il ne les remarques plus. Triste n'est pas ? J’ai donc abordé cet album sans savoir de quoi il parlait et je dois avouer que ce fait divers est tout ce qui me repousse dans la culture américaine. Et en cela la BD est réussie : elle fait son office de reportage sans "vraiment" porter de jugement. Et là ou Fabien Nury réussi un vrai travail d'écriture, c'est dans le "vraiment". En effet si le texte et la présentation semble neutre, le découpage l'est beaucoup moins. La façon de bien montrer la mise en avant de l'aspect financier de l'affaire, de l'aspect médiatique mais aussi de finir par Eddy Routh montre clairement le penchant des auteurs. On sait bien que ce qui restera d'une lecture, c'est la fin de celle-ci.... Ce qui me fera nuancer l'ensemble des critiques élogieuses, c'est le dessin de Brûno donc je ne suis pas forcement fan (mais ça c'est "chacun ses goûts") mais surtout la faible part que prend Eddy Routh dans le récit. La BD est vue comme "montrant le point de vue du tueur" alors qu'en fait non. On nous montre la partie médiatique de l'affaire en effleurant tout juste la phycologie d'Eddy. On se concentre plus sur celle de la femme de Chris par exemple. Si l'épilogue corrige un peu tout cela, j'aurai préféré un traitement plus équilibré. Le choix de dénoncer l'aspect mercantile de cette affaire avec les interviews Fox News, les différents livres "best-seller" et l'affaire Jesse Ventura, masque un peu le problème de fond ce cette affaire qui est que si on ne fait pas de gonflette et qu’on n’a pas tué au moins une personne, on n’est pas un "bonhomme" aux états unis. Je vous laisserais vous faire votre opinion et à venir en discuter ici, ça promet d’être intéressant 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-homme-qui-tua-chris-kyle?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Ahhhh celui la je l'ai lu 🙂 quand j'étais au collège... ou est-ce au lycée ? Bref vous l'aurez compris je ne m'en souvenais pas vraiment mise à part le thème. Et bien autant vous dire que j'ai été happé dans ce paris du XIXieme largement plus maintenant que par le passé. Bon ok entre temps j'ai "muri" (je met des guillemets au cas ou madame me lise) et je suis plus à meme de comprendre les problematiques de Denise et l'impact de la creation du "Bonheur des Dames" par Octave sur la vie parisienne. C'est quand meme fou de voir à quel point le marketing et les grands magasins n'ont pas changé depuis cette époque. La tirade d'Octave sur les articles en soldes et la vente à perte est vraiment d'actualité. La mise en image d'un mythe comme celui ci est souvent compliqué mais Agnès Maupré y arrive très bien avec des personnages attachants et un style qui nous projette efficacement dans le XIXieme siecle. Une vraie bonne adaptation pour une histoire qui n'a pas perdue de son interet !
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Titre de l'album : Au bonheur des dames Scenariste de l'album : Agnès Maupré d'apres Emile Zola Dessinateur de l'album : Agnès Maupré Editeur de l'album : Casterman Note de l'album : 4.5 Résumé de l'album : Venue de sa lointaine Normandie, Denise arrive à Paris avec ses deux frères sans un sou en poche... D’abord aidée par l’oncle Baudu, un commerçant méfiant, elle va franchir la porte du Bonheur des Dames, un immense magasin de nouveautés qui fait se déplacer tout ce que Paris compte d’élégantes… Engagée comme vendeuse, Denise découvre autour d’elle les rivalités avec les autres vendeuses, devenant vite la victime d’un système aliénant où il faut sans cesse se battre pour vendre et où les amitiés sont rares. Mais la jeune femme va faire la connaissance d’Octave Mouret, le directeur du Bonheur des Dames, un homme de conquête qui ne songe qu’à l’expansion de son magasin, à défaut de trouver l’amour. À moins que la rencontre avec Denise ne vienne bouleverser ses croyances ? Critique : Ahhhh celui la je l'ai lu 🙂 quand j'étais au collège... ou est-ce au lycée ? Bref vous l'aurez compris je ne m'en souvenais pas vraiment mise à part le thème. Et bien autant vous dire que j'ai été happé dans ce paris du XIXieme largement plus maintenant que par le passé. Bon ok entre temps j'ai "muri" (je met des guillemets au cas ou madame me lise) et je suis plus à meme de comprendre les problematiques de Denise et l'impact de la creation du "Bonheur des Dames" par Octave sur la vie parisienne. C'est quand meme fou de voir à quel point le marketing et les grands magasins n'ont pas changé depuis cette époque. La tirade d'Octave sur les articles en soldes et la vente à perte est vraiment d'actualité. La mise en image d'un mythe comme celui ci est souvent compliqué mais Agnès Maupré y arrive très bien avec des personnages attachants et un style qui nous projette efficacement dans le XIXieme siecle. Une vraie bonne adaptation pour une histoire qui n'a pas perdue de son interet ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/au-bonheur-des-dames?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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A lala.... quand le coeur et la raison se battent il est difficile de donner raison à l'un ou à l'autre. Et c'est exactement mon dilemme à l'aube de cette critique. En effet je sais... je sais que la fin que Jim nous livre est la plus logique. La plus juste au regard du jeu qu'il nous a presenté sur 4 tomes. Mais pas celle que j'aurais souhaité. Pas celle que mon coeur souhaite.... Parce que tout dans ce tome 4 respire une autre fin. Ce tome 4 qui marque la fin de 50 ans de cache cache et de poursuite. Un tome qui montre qu'il n'y a pas d'age pour s'assagir et qu'une bonne décision n'arrive jamais trop tard. Une bonne décision donne l'occcasion d'en profiter et si elle vient tard il suffit juste d'en profiter plus. En grand connaisseur des sentiments humains, Jim retranscris bien ce que j'ai pu voir au travers de mes parents (j'ai encore 10 ans de marge ouf !). Cette cinquantaine qui fait réfléchir à la phrase : "il sera bientot trop tard pour...." phrase que l'on ne se pose pas quand on est jeune et insouciant. Mais phrase lourde d'impact quand le bilan effectué derrière n'est pas celui qu'on aurait voulut. Il nous montre bien que malgré les fiestas et les conneries du vieux qui veux rester jeune, Raphael n'aspire qu'à une vie calme. L'instant ou il se dit qu'il serait mieux tout seul avec ses deux fillles est magique..... Reste la fin... qui tranche par sa logique implacable. Trop implacable au regard des trois precedents tomes guidés par les sentiments plus que par la raison. Je vous laisserais juge. On peut quand meme feliciter Jim pour cette fin de série et son analyse fine du temps qui passe et de son imapct sur les gens.
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Titre de l'album : Une nuit a rome t4 Scenariste de l'album : Jim Dessinateur de l'album : Jim Editeur de l'album : Grand Angle Note de l'album : 4 Résumé de l'album : « Tu crois qu'à 50 ans on vivra encore des choses fortes ? ». Dix ans ont passé depuis la première nuit à Rome et cette promesse que Marie et Raphaël s'étaient faite de passer la nuit de leurs quarante ans tous les deux... Puis les amants sont retournés à leur existence d'avant. Quand Marie reçoit une invitation pour aller fêter les cinquante ans de Raphaël à Rome, elle ne sait pas encore si elle va accepter. L'invitation de Raphaël restera-t-elle lettre morte ? Et puis, après tant d'années, n'y a-t-il pas tout à perdre à essayer de revivre cette nuit exceptionnelle ? Critique : A lala.... quand le coeur et la raison se battent il est difficile de donner raison à l'un ou à l'autre. Et c'est exactement mon dilemme à l'aube de cette critique. En effet je sais... je sais que la fin que Jim nous livre est la plus logique. La plus juste au regard du jeu qu'il nous a presenté sur 4 tomes. Mais pas celle que j'aurais souhaité. Pas celle que mon coeur souhaite.... Parce que tout dans ce tome 4 respire une autre fin. Ce tome 4 qui marque la fin de 50 ans de cache cache et de poursuite. Un tome qui montre qu'il n'y a pas d'age pour s'assagir et qu'une bonne décision n'arrive jamais trop tard. Une bonne décision donne l'occcasion d'en profiter et si elle vient tard il suffit juste d'en profiter plus. En grand connaisseur des sentiments humains, Jim retranscris bien ce que j'ai pu voir au travers de mes parents (j'ai encore 10 ans de marge ouf !). Cette cinquantaine qui fait réfléchir à la phrase : "il sera bientot trop tard pour...." phrase que l'on ne se pose pas quand on est jeune et insouciant. Mais phrase lourde d'impact quand le bilan effectué derrière n'est pas celui qu'on aurait voulut. Il nous montre bien que malgré les fiestas et les conneries du vieux qui veux rester jeune, Raphael n'aspire qu'à une vie calme. L'instant ou il se dit qu'il serait mieux tout seul avec ses deux fillles est magique..... Reste la fin... qui tranche par sa logique implacable. Trop implacable au regard des trois precedents tomes guidés par les sentiments plus que par la raison. Je vous laisserais juge. On peut quand meme feliciter Jim pour cette fin de série et son analyse fine du temps qui passe et de son imapct sur les gens. Autres infos : On ne pouvait pas le laisser tranquille ? Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/une-nuit-a-rome-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Ce que j'aime bien dans la BD, c'est qu'elle me permet de découvrir de nouvelles et belles histoires. Et celle d'Emile Griffith en est une. Belle et difficile comme souvent. Belle car Emile Griffith est un homme simple et vrai. Un homme qui a du mal à comprendre pourquoi on ne pourrait pas vivre comme on le veux et qui est suffisamment innocent pour prendre la vie comme elle vient. Dur car être boxeur et homosexuel ce n'est déjà pas facile à notre époque mais alors après la seconde guerre mondial c'était pire. Mais ce qui fait le vrai intérêt de cette lecture et de cette histoire c'est que notre auteur nous montre un boxeur dont la vie bascule sur un ring. Plutôt que de appesantir sur l'aspect "homophobie" ou noir du sujet, il préféré se concentrer sur le vrai problème du boxeur qui est l'accident de ring ! On parle des autres sujets mais on traite vraiment Emilie Griffith comme un boxeur comme un autre. On a donc une vraie lecture d'une belle vie de boxe. Une vie compliquée.... mais une belle vie bien remplie.
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Titre de l'album : Knock out ! Scenariste de l'album : Kleist Dessinateur de l'album : Kleist Editeur de l'album : Casterman Note de l'album : 4 Résumé de l'album : Quand la haine engendre la mort, quelle place pour le pardon ? Une ville, la nuit. Un homme est passé à tabac dans une ruelle par un groupe hurlant des insultes homophobes. Abandonné en sang dans le caniveau, il est abordé par une mystérieuse silhouette encapuchonnée, qui recueille sa confession. Né en 1938 dans une île des Caraïbes, Emile Griffith émigre aux États-Unis après la Seconde Guerre mondiale, où, devenu modiste, il confectionne des chapeaux pour femme. Jusqu’au jour où son patron repère son impressionnante musculature, due à une jeunesse passée à trimer dans des exploitations agricoles, et le présente à un entraîneur de boxe. Doué, Emile va rapidement grimper les échelons, mais avec le succès viennent la jalousie et les injures contre ce boxeur qui préfère les hommes... Le tragique destin du premier champion du monde de boxe homosexuel. Critique : Ce que j'aime bien dans la BD, c'est qu'elle me permet de découvrir de nouvelles et belles histoires. Et celle d'Emile Griffith en est une. Belle et difficile comme souvent. Belle car Emile Griffith est un homme simple et vrai. Un homme qui a du mal à comprendre pourquoi on ne pourrait pas vivre comme on le veux et qui est suffisamment innocent pour prendre la vie comme elle vient. Dur car être boxeur et homosexuel ce n'est déjà pas facile à notre époque mais alors après la seconde guerre mondial c'était pire. Mais ce qui fait le vrai intérêt de cette lecture et de cette histoire c'est que notre auteur nous montre un boxeur dont la vie bascule sur un ring. Plutôt que de appesantir sur l'aspect "homophobie" ou noir du sujet, il préféré se concentrer sur le vrai problème du boxeur qui est l'accident de ring ! On parle des autres sujets mais on traite vraiment Emilie Griffith comme un boxeur comme un autre. On a donc une vraie lecture d'une belle vie de boxe. Une vie compliquée.... mais une belle vie bien remplie. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/knock-out-179908?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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L'auteur Vianello nous propose de suivre les aventures d'un déserteur de la légion étrangère en 1938. Le héros est un séducteur qui s'attire rapidement des problèmes et enchaîne les mauvaises situations. Ce déserteur va participer au conflit de la guerre civile espagnole contre son gré. On reconnaît l'inspiration de Hugo Pratt avec cet auteur qui était son assistant à l'époque. Le personnage principal subit toutes les mésaventures sans réellement être impactés par les événements. De plus, il est souvent sollicité par la gente féminine. Les dessins sont en noir et blanc dans un style semi-réaliste assez maîtrisé. La partie graphique est l'intérêt principale de cette histoire assez légère. Avec Hispaniola, les lecteurs auront l'impression de découvrir un héros sur une courte période de sa vie sans véritable début ni fin.
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Titre de l'album : Hispaniola Scenariste de l'album : Vianello Dessinateur de l'album : Vianello Editeur de l'album : Mosquito Note de l'album : 2.5 Résumé de l'album : Espagne 1938. Un déserteur, officier de la Légion étrangère, tente de sortir du sanglant guêpier de la guerre civile espagnole. Le capitaine Lacombe se la coule douce à Alger, avec la femme de son colonel. Mais il se fait pincer et ça dégénère salement. Le voici obligé de quitter l'Algérie clandestinement pour Marseille. La traversée de la Méditerranée vire au cauchemar quand son bateau croise un navire italien à destination de l'Espagne pour ravitailler les troupes de Franco. Déserteur ou pas, le voici accusé d'espionnage et débarqué directement dans les geôles franquistes, dans l'attente d'un jugement expéditif. Heureusement pour lui, il n'y a pas que les troupes du Caudillo à avoir la gâchette facile. Un commando de républicains prend la prison d'assaut, et le voici embarqué dans la guerre civile. Les brigades internationales lui ouvrent leurs bras, au moment où les soviétiques commencent à éliminer les anarchistes et les non-staliniens... Critique : L'auteur Vianello nous propose de suivre les aventures d'un déserteur de la légion étrangère en 1938. Le héros est un séducteur qui s'attire rapidement des problèmes et enchaîne les mauvaises situations. Ce déserteur va participer au conflit de la guerre civile espagnole contre son gré. On reconnaît l'inspiration de Hugo Pratt avec cet auteur qui était son assistant à l'époque. Le personnage principal subit toutes les mésaventures sans réellement être impactés par les événements. De plus, il est souvent sollicité par la gente féminine. Les dessins sont en noir et blanc dans un style semi-réaliste assez maîtrisé. La partie graphique est l'intérêt principale de cette histoire assez légère. Avec Hispaniola, les lecteurs auront l'impression de découvrir un héros sur une courte période de sa vie sans véritable début ni fin. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/catalogsearch/result/?q=Vianello?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Un nouvel album ou une réédition d'un titre de Sergio Toppi est toujours un événement à ne pas rater dans le monde de la bande dessinée. En dehors des séries culte comme Sharaz-De ou Le collectionneur, l'auteur a réalisé de nombreuses histoires courtes regroupées dans des albums par les éditions Mosquito. Dans cet album intitulé Köllwitz 1742, nous retrouvons quatre histoires de Toppi avec pour thème principal la guerre. L'auteur nous donne sa vision pour dénoncer la violence et la stupidité de la guerre et parfois aussi avec une touche fantastique. Les récits nous emmènent sur la campagne de Prusse, la guerre civile en Yougoslavie ou la guerre du Vietnam. En parallèle des scénarios intéressants même dans la méthode de les traiter, on découvre le talent de dessinateur et illustrateur de Toppi. En effet, on reste admiratif devant les planches de l'auteur qui alterne entre planche traditionnelle avec des cases et des planches où l'auteur mélange tous les personnages en une seule illustration. Cette technique est très représentative du style de Toppi que l'on retrouve dans toutes ses œuvres. Les quatre histoires sont en noir et blanc comme souvent dans les histoires de Toppi part quelques exceptions comme Sharaz-De. Köllwitz 1742 est une fois de plus un titre à ne pas rater pour tous les amateurs de Toppi mais aussi pour les nouveaux.
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Un nouvel album ou une réédition d'un titre de Sergio Toppi est toujours un événement à ne pas rater dans le monde de la bande dessinée. En dehors des séries culte comme Sharaz-De ou Le collectionneur, l'auteur a réalisé de nombreuses histoires courtes regroupées dans des albums par les éditions Mosquito. Dans cet album intitulé Köllwitz 1742, nous retrouvons quatre histoires de Toppi avec pour thème principal la guerre. L'auteur nous donne sa vision pour dénoncer la violence et la stupidité de la guerre et parfois aussi avec une touche fantastique. Les récits nous emmènent sur la campagne de Prusse, la guerre civile en Yougoslavie ou la guerre du Vietnam. En parallèle des scénarios intéressants même dans la méthode de les traiter, on découvre le talent de dessinateur et illustrateur de Toppi. En effet, on reste admiratif devant les planches de l'auteur qui alterne entre planche traditionnelle avec des cases et des planches où l'auteur mélange tous les personnages en une seule illustration. Cette technique est très représentative du style de Toppi que l'on retrouve dans toutes ses œuvres. Les quatre histoires sont en noir et blanc comme souvent dans les histoires de Toppi part quelques exceptions comme Sharaz-De. Köllwitz 1742 est une fois de plus un titre à ne pas rater pour tous les amateurs de Toppi mais aussi pour les nouveaux. (title): (value) Voir la totalité de enregistrement
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Deuxième tome des étoiles de l’histoire et après Charlie Chaplin, c’est une femme qui est mise à l’honneur avec rien de mon que mademoiselle Marilyn Monroe. Et franchement c’était une superbe idée. Superbe car on se rend bien compte en lisant cette biographie que l’on retient de Marilyn….. Uniquement ce qu’elle ne voulait pas que l’on retienne d’elle : L’exemple de la Pin-Up. Cette biographie nous montre qu’elle était vraiment plus que ça. Une femme pleine de rêve et d’envie. Une femme qui a cherchée toute sa « courte » vie être plus que ce que son corps renvoyait. Elle montre aussi que le star-système est dure pour les artistes. A toujours vouloir plus on laisse les gens qui comptent vraiment sur le côté. Christian Paty illustre superbement bien cet album. Sa Marilyn est très jolie et le choix de dessins tout en rondeur et en bonhommie tranche bien avec les moments difficiles de son histoire pour ne pas apitoyer le lecteur. Encore une belle réalisation qui présentera aux générations actuelle ce qu’était une icône du star-système… ce qui a disparu quoi J
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Deuxième tome des étoiles de l’histoire et après Charlie Chaplin, c’est une femme qui est mise à l’honneur avec rien de mon que mademoiselle Marilyn Monroe. Et franchement c’était une superbe idée. Superbe car on se rend bien compte en lisant cette biographie que l’on retient de Marilyn….. Uniquement ce qu’elle ne voulait pas que l’on retienne d’elle : L’exemple de la Pin-Up. Cette biographie nous montre qu’elle était vraiment plus que ça. Une femme pleine de rêve et d’envie. Une femme qui a cherchée toute sa « courte » vie être plus que ce que son corps renvoyait. Elle montre aussi que le star-système est dure pour les artistes. A toujours vouloir plus on laisse les gens qui comptent vraiment sur le côté. Christian Paty illustre superbement bien cet album. Sa Marilyn est très jolie et le choix de dessins tout en rondeur et en bonhommie tranche bien avec les moments difficiles de son histoire pour ne pas apitoyer le lecteur. Encore une belle réalisation qui présentera aux générations actuelle ce qu’était une icône du star-système… ce qui a disparu quoi J (title): (value) Voir la totalité de enregistrement
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Hauteville house Tome 16 : Mélancholia Scénario : Fred Duval Dessin : Thierry Gioux Couleur : Nuria Sayago Genre : Aventure / Fantastique Edition : Delcourt Date de parution : Dispo L'acheter sur BDFugue Résumé : Witwatersrand, sud de l’Afrique, 1867. Le directeur de la mine, son contremaître et un ingénieur parlent des travaux de terrassement qui avancent. Ils ont perdu quelques hommes mais le dirigeant, en bon colonialiste, ne s’en offusque pas le moins du monde. Un mineur vient alors les alerter. On a découvert au fond de la mine de curieuses runes dans les galeries les plus récentes. Un nouveau cycle démarre avec ce Mélancholia qui nous conduit en Afrique du Sud et plus précisément dans les mines du transvaal. La main d’œuvre africaine est surexploitée par des propriétaires européens peu scrupuleux du nombre de vie perdues pour trouver des richesses. Au même moment Londres, Eglantine se rend dans un hôpital psychiatrique pour rejoindre celui que l’on nomme le fantôme. Fred Duval poursuit les aventures des héros de Hauteville House avec des tomes consacrés à Gavroche et Zelda en Amérique du sud et d’autres à Eglantine, le fantôme de Paris et Georges en Europe. L’auteur installe toujours une ambiance lovecraftienne avec des allusions aux dieux anciens dont il ne faut pas prononcer les noms. L’action et aventure sont toujours au rendez-vous avec une partie fantastique et steampunk qui ont fait le succès de cette série. Au niveau dessin, Emem gère le storyboard et Thierry Gioux finalise les dessins. Le rendu final reste de qualité moyenne surtout au niveau des visages des personnages. Hauteville House continue l’aventure et les amateurs de la série ne devraient pas être déçu par ce nouveau cycle. Note : Alx23
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Série : La promesse de la tortue Scenario : Stephane Piatzszek Dessin : Tieko my 2 cents une bonne histoire de pirate Edition : Grand angle Acheter sur BDfugue Résumé :1642, le destin de trois filles de rien exilées de France vers l'île de la tortue pour devenir femmes de flibustiers. En 1642, deux ans après son héroïque reprise de l'île de la tortue aux Anglais, le gouverneur Levasseur fait venir des prisonnières françaises, voleuses et prostituées, pour servir d'épouses aux flibustiers et sédentariser la population. Parmi elles, Quitt, Apolline et Louise, trois femmes catapultées dans un monde violent et exclusivement masculin, vont conclure un pacte d'amitié pour s'entraider et survivre coûte que coûte. Mais dans cette période de fureur, leurs routes et leurs aspirations vont bientôt diverger, mettant leur amitié puis leur vie même en péril. La piraterie a de nouveau le vent en poupe ( ) dans le petit monde de la BD. Avant le très attendu Raven, voici venu une histoire prenant place sur la fameuse ile de la tortue. Une vraie grande histoire de pirate qui nous parle de promesse, de trésor et d'aventure. Une histoire de pirate que l'on suit par l’intermédiaire... de femme. Femmes qui, comme on l'avais sublimement vu dans Barracuda, doivent jouer de tous leurs atouts pour se faire une place dans ce monde de brut. Le fait d'avoir choisi trois femmes aux destins radicalement différent sur cette île de la tortue n'est pas sens rappeler l’illustre prédécesseur de Dufaux et Jeremy mais la comparaison s’arrête là. En effet cette BD est plus "légère" et le but des femmes plus simple : rentrer chez elles. Cette simplicité de scénario est à la fois le point fort et faible de cet album : Fort car accessible à tous via un thème que tout le monde connait et une ile de la tortue mythique pour tout fan de flibuste. Faible car on a pour l'instant un peu l'impression de déjà-vu/lu. EN fait, et j'espère me tromper, on voit d'ors et déjà se dessiner la fin.... En résumé, ce premier tome est une bonne histoire de pirate à laquelle il manque un grain de folie pour changer de catégorie. Ma Note:
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Bon sur celui ci on ne va pas y aller par 4 chemins : C'est super décevant. Le premier ne lancait deja pas très bien le diptyque en nous servant une histoire esclave des evenements avec un héros qui ne servait pas à grand chose. Et bien autant vous dire que la suite est du meme accabis. Le héros est toujours aussi passif et il n'ait pas aidé par une narration étrangement mal faite de la part d'Aurelien Ducoudray.C'est ce qui est le plus suprenant ici. Aurelien Ducoudray, qui nous a habitué a de très belle histoire dont le meilleur exemple est le camp poutine qui sort en parrallèle de celui ci, nous livre ici une suite de scènettes sans relles lien entre elles et sans jamais impliquer le lecteur. Tout comme le personnage principal, on se promene dans Kiev en regardant ce qu'il se passe, passant d'un endroit à un autre. Ce manque de liant est criant sur la fin avec la gestion complement ratée des "2 filles" . La fin en est d'ailleurs surrealiste....Je ne pensais pas dire cela d'un livre de Ducoudray mais ce tome deux (et le dityque) est sauvé par les dessins plus sympa de Alliel..... Ce diptyque resssemble à une commande qui ne plaisait pas au scenariste ou alors par un sujet trop compliqué pour etre traité en deux tomes seulement.
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Série : Teen Titan Scenario : Kami Garcia Dessin : Gabriel Picolo my 2 cents Scénario intéressant mais graphiquement insuffisant Edition : Urban Link Acheter sur BDfugue Résumé :Raven n’a beau avoir que dix-sept ans, la vie n’a pas manqué de lui infliger son lot d’épreuves douloureuses. La disparition de sa mère adoptive dans un tragique accident de voiture, et l’amnésie totale qui en découla, marquent le début d’une longue et difficile reconstruction personnelle. Recueillie par sa tante de cœur, la jeune femme débute l’écriture de cette nouvelle page blanche à la Nouvelle-Orléans, où d’étranges phénomènes visuels et auditifs commencent à se manifester, en rêve d’abord, puis au sein même de son lycée. Raven est-elle prête à affronter son passé et la noirceur qu’elle sent s’éveiller en elle ? Sa demi-sœur, Max, et le séduisant Tommy Torres seront-ils en mesure de lui apporter le soutien dont elle a besoin ? Une quête d’identité aux frontières du surnaturel Deuxième tome de la nouvelle collection Urban Link a être tombé entre mes mains.... et j'ai bien l'impression que celui ci n'a pas eu de chance. Pas eu de chance de passer après le catwoman. car autant vous le dire tout de suite, il a bien du mal à tenir la comparaison. Non pas à cause de l'histoire (et encore) mais surtout à cause du dessin. Graphiquement c'est le plus "amateur" du lot. Si le style de coloration à l'aquarelle choisi est plutôt intéressant car bien accordé au thème magique, le dessin est lui un peu trop faible à mon gout. Pas assez de details et globalement trop infantile pour allez avec l'aspect "roman graphique" pour adulte voulu par les éditions DC. C'est d'autant plus embêtant que le scénario est, sans être mauvais, lui aussi assez enfantin. Si le choix du personnage, trop peu mis en avant, de Raven est intéressant, le scénario reste trop à un niveau proche de celui de d'un Urban Kids pour vraiment intéresser un public adulte. Ce comics aurait surement eu autant sa place dans Urban Kids que dans Link Ma Note:
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Wilfried Lupano est un auteur reconnu. Vous le connaissez tous pour ses vieux fourneaux, son loup en Slip ou encore son Traquemage. Que des BD qui ont monté l'humour à la Lupano comme l'un des humours les plus cotés des ces 5 dernières années. Mais si on remonte un peu en arrière, on reussi à remonter à l'album qui a progeté monsieur Lupano sur le devant de la scène. Et cet album c'est bien pour moi le Singe de Hartepool. Nommé à Angloueme en 2013, ce fameux Singe a en effet montré aux yeux du grand public l'humour aussi fin que cynique de monsieur Lupano. Car dans le singe de Hartepool on retrouve tout ce qui lui a réussi plus tard : Des personnages aussi bêtes que crédibles et surtout des dialogues diaboliques qui reussissent à ne pas masquer la morale d'une bien triste histoire. Une histoire (tres probablement) vraie d'ailleurs. Car plus que dans ses albums suivants, le singe de Hartepool est une histoire drole mais au final bien triste pour ce singe qui n'avait rien demandé. Entre rire aux larmes et tristesse de la bêtise humaine, Lupano nous transporte, durant cette courte lecture, à une époque ou la bestise ne choquait personne. Une pépite d'humour, basée sur une legende réelle au point que les habitants de Hartpool soient surnommés les Monkey Hanger, qui faut definitivement avoir dans sa bibliothèque.