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  1. Titre de l'album : Gonzo, voyage dans l'Amérique de Las Vegas parano Scenariste de l'album : Morgan Navarro Dessinateur de l'album : Morgan Navarro Coloriste : Morgan Navarro Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Un dessinateur angoissé embarque avec un ami reporter dans un road-trip aux USA sur les traces de l'écrivain-journaliste Hunter S. Thompson. Ce dernier, mort en 2005, a en son temps inventé le concept de gonzo-journalisme, un journalisme « embarqué » et raconté à la première personne, et écrit un roman chef-d'oeuvre : "Las Vegas Parano". En mars 2023, Morgan Navarro, accompagné de Jack Souvant, part sur les traces de cet écrivain culte et de ceux qui l'ont connu : sa veuve, Terry Gilliam, Ralph Steadman ou Johnny Depp... Il en résulte une aventure déjantée, dans un pays bien loin du rêve américain. Angoisses, fous rires et folie Critique : Bon allez après moultes hésitations, je préfère ne pas donner de note à cette BD. En effet il y a eu, de ma part, une vraie erreur de casting (tant qu'à parler cinéma). Je ne connais pas Gonzo, je n'ai pas vu Las Vegas parano et.... j'avoue que cette période psychédélique des années 70 américaines ne m'attire pas du tout. J'avais pris cette BD surtout pour soutenir un auteur Grenoblois pour tout dire 😛 Et si l'aspect névrose et road trip m'a séduit au début, je dois avouer que le fond, le "gonzo-journalisme" et autres trucs autour du personnage, m'a rapidement ennuyé. Non pas que cela ne soit pas intéressant, c'est juste trop poussé sur un sujet qui ne m'intéresse pas du tout. Je pense très sincèrement que les fans de Las Vegas Parano et de son auteur se retrouveront dans ce road trip ! Je ne fais juste pas parti de ceux-ci. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gonzo-voyage-dans-l-amerique-de-las-vegas-parano?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Bon allez après moultes hésitations, je préfère ne pas donner de note à cette BD. En effet il y a eu, de ma part, une vraie erreur de casting (tant qu'à parler cinéma). Je ne connais pas Gonzo, je n'ai pas vu Las Vegas parano et.... j'avoue que cette période psychédélique des années 70 américaines ne m'attire pas du tout. J'avais pris cette BD surtout pour soutenir un auteur Grenoblois pour tout dire 😛 Et si l'aspect névrose et road trip m'a séduit au début, je dois avouer que le fond, le "gonzo-journalisme" et autres trucs autour du personnage, m'a rapidement ennuyé. Non pas que cela ne soit pas intéressant, c'est juste trop poussé sur un sujet qui ne m'intéresse pas du tout. Je pense très sincèrement que les fans de Las Vegas Parano et de son auteur se retrouveront dans ce road trip ! Je ne fais juste pas parti de ceux-ci.
  3. Titre de l'album : Les compagnons de la libération - Grenoble Scenariste de l'album : Jean-Yves Le Naour Dessinateur de l'album : Philippe Tarral Coloriste : Philippe Tarral Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : L'histoire d'une ville fière et courageuse qui a payé le prix fort de son insurrection. Durant la Seconde Guerre mondiale, la ville de Grenoble est marquée par l'intense activité des « groupes francs ». Explosions symboliques, mitraillage du siège de la Milice, vol de fichier du STO, dynamitage des usines, la résistance grenobloise nuit fortement à l'effort de guerre des Allemands. Piqués au vif, les nazis ripostent et multiplient arrestations et fusillades. Mais Grenoble, ville fière et irréductible, ne plie pas et continue le combat, inlassablement. Quitte à en payer le prix fort... Critique : Bon alors autant vous le dire tout de suite, Grenoble est "ma ville" comme on dit maintenant donc je ne SUIS PAS impartial du tout ! Cette BD a été pour moi une superbe lecture car elle a m'a présentée des endroits de Grenoble dont je n'imaginais mais pas l'histoire ! Des quartiers, des lieux particuliers et mêmes des personnages résonnant via les noms de rues... Énormément de chose que je ne connaissais pas. Une résistance globale d'une ville révoltée et de caractère qui lui a valut le nombre de "petite Russie" tellement les allemands étaient harcelés dans la région. Comme tous les autres tomes de cette série, ce tome ci devrait être donné à lire à tous, grenoblois comme non grenoblois pour ne pas oublier, mais surtout pour montrer qu'ensemble les gens sont puissants. Les pertes ont été nombreuses mais la "ville" ne s'est pas laissée faire au point d'être, pour l'ensemble de son travail, désigné comme un membre à part entière des "compagnons de la libération". Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-compagnons-de-la-liberation-grenoble?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Bon alors autant vous le dire tout de suite, Grenoble est "ma ville" comme on dit maintenant donc je ne SUIS PAS impartial du tout ! Cette BD a été pour moi une superbe lecture car elle a m'a présentée des endroits de Grenoble dont je n'imaginais mais pas l'histoire ! Des quartiers, des lieux particuliers et mêmes des personnages résonnant via les noms de rues... Énormément de chose que je ne connaissais pas. Une résistance globale d'une ville révoltée et de caractère qui lui a valut le nombre de "petite Russie" tellement les allemands étaient harcelés dans la région. Comme tous les autres tomes de cette série, ce tome ci devrait être donné à lire à tous, grenoblois comme non grenoblois pour ne pas oublier, mais surtout pour montrer qu'ensemble les gens sont puissants. Les pertes ont été nombreuses mais la "ville" ne s'est pas laissée faire au point d'être, pour l'ensemble de son travail, désigné comme un membre à part entière des "compagnons de la libération".
  5. poseidon2

    Putzi

    En lisant ce genre de biographie, il est souvent bien difficile de détacher le contenu du contenant. Détacher l'homme qui est au centre de cette BD de la réalisation de la BD elle même. Je vais essayer de le faire quand tellement l'homme me semble détestable alors que la BD est elle agréable à lire. Agréable car on sent le travail de recherche effectué sur un homme méconnu et qui a parcouru le monde entier au cours de sa vie. On sent l'investissement pour décrire la vie et l'évolution de Putzi sur le ton le plus neutre possible et ne pas juger. Nous laisser nous faire notre avis sur un homme tomber en pâmoison devant l'orateur et la personne, surement, charismatique qu'était Adolf Hitler. Un bon reportage sur un Nazi peu connu. Aussi détestable soit-il, il faut reconnaitre que le traitement biographique est vraiment bon !
  6. poseidon2

    Putzi

    Titre de l'album : Putzi Scenariste de l'album : Thomas Snégaroff Dessinateur de l'album : Louison Coloriste : Louison Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : Marchand d'art dans le New York bohème des années 1910, musicien à ses heures, Ernst Hanfstaengl devint dix ans plus tard le confident et le pianiste d'Hitler. Cet excentrique était fasciné par le chef des nazis, à qui il offrit de l'argent notamment pour remettre à flot l'organe de presse du mouvement, le Volkischer Beobachter. Il lui fit rencontrer la famille Wagner. Il rêvait d'honneurs et d'une alliance entre l'Allemagne et les États-Unis, ses deux patries. Nommé responsable de la presse étrangère du Reich en 1933, il crût à son destin. Jalousé par Goebbels et Goring, il n'obtint que la disgrâce. Son incroyable exil le conduisit au président Roosevelt, qui fit de lui son principal informateur sur le Fuhrer. Traître pour les uns, bouffon sans conséquence pour les autres, il fut l'un des artisans du mal. Thomas Snégaroff s'est allié avec Louison (Marilyn, dernières séances) pour adapter son roman à succès en bande dessinée. Critique : En lisant ce genre de biographie, il est souvent bien difficile de détacher le contenu du contenant. Détacher l'homme qui est au centre de cette BD de la réalisation de la BD elle même. Je vais essayer de le faire quand tellement l'homme me semble détestable alors que la BD est elle agréable à lire. Agréable car on sent le travail de recherche effectué sur un homme méconnu et qui a parcouru le monde entier au cours de sa vie. On sent l'investissement pour décrire la vie et l'évolution de Putzi sur le ton le plus neutre possible et ne pas juger. Nous laisser nous faire notre avis sur un homme tomber en pâmoison devant l'orateur et la personne, surement, charismatique qu'était Adolf Hitler. Un bon reportage sur un Nazi peu connu. Aussi détestable soit-il, il faut reconnaitre que le traitement biographique est vraiment bon ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/putzi?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. poseidon2

    Un sombre manteau

    Il est des BD dont le scenario est quasiment couru d'avance, mais pour lesquels le charme opère et nous fait oublier cette absence de surprise. Ce "Un sombre manteau" fait partie de ce genre de récit. En effet, on comprend très vite la relation entre les deux femmes et l'on ne peut s'imaginer une autre fin (quoi que). Pour autant, ce n'empêche pas que cette BD soit extrêmement bien faite au point d'en venir à haïr les pestes du village qui rejettent sûr autrui les malheurs qui peuvent leur arriver. On prend en amitié nos deux femmes, seules et au passé plus triste que sombre, au fur et à mesure que cette nouvelle filiation se crée. Le mutisme de Serena apportant un côté encore plus intense aux échanges. Jamie Martin joue intelligemment avec les révélations et le rythme de son récit, ces premières impactant le second avec plus de force que je n'aurai cru. Une bien "belle" histoire d'un auteur espagnole qui continue de gagner ses galons dans l'hexagone.
  8. Titre de l'album : Un sombre manteau Scenariste de l'album : Jaime Martín Dessinateur de l'album : Jaime Martín Coloriste : Jaime Martín Editeur de l'album : Dupuis - Air Libre Note : Résumé de l'album : Un petit village des Pyrénées, au milieu du XIXe siècle. Mara est une vieille guérisseuse célibataire, qui vend ses remèdes aux villageois et doit faire face à leur mépris. Son mode de vie rude et isolé est, en effet, mal vu par un milieu patriarchal et centré sur la famille. Un jour, elle recueille en pleine forêt Serena, jeune fuyarde muette au passé mystérieux. Mara la soigne et lui fait découvrir le métier de guérisseuse et les secrets de la montagne. Mais cette nouvelle venue n'est pas bien vue au village, d'autant plus quand une épidémie éclate, menaçant la vie des habitants et de leurs bêtes. Après une trilogie autobiographique saluée par la critique, le cador de la BD espagnole Jaime Martin replonge ici dans une fiction historique sombre et teintée de fantastique. Critique : Il est des BD dont le scenario est quasiment couru d'avance, mais pour lesquels le charme opère et nous fait oublier cette absence de surprise. Ce "Un sombre manteau" fait partie de ce genre de récit. En effet, on comprend très vite la relation entre les deux femmes et l'on ne peut s'imaginer une autre fin (quoi que). Pour autant, ce n'empêche pas que cette BD soit extrêmement bien faite au point d'en venir à haïr les pestes du village qui rejettent sûr autrui les malheurs qui peuvent leur arriver. On prend en amitié nos deux femmes, seules et au passé plus triste que sombre, au fur et à mesure que cette nouvelle filiation se crée. Le mutisme de Serena apportant un côté encore plus intense aux échanges. Jamie Martin joue intelligemment avec les révélations et le rythme de son récit, ces premières impactant le second avec plus de force que je n'aurai cru. Une bien "belle" histoire d'un auteur espagnole qui continue de gagner ses galons dans l'hexagone. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/un-sombre-manteau?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Titre de l'album : Carnet sauvage Scenariste de l'album : Zao Dao Dessinateur de l'album : Zao Dao Coloriste : Zao Dao Editeur de l'album : Mosquito Note : Résumé de l'album : La jeune Zao Dao ouvre ses carnets de dessins réalisés au jour le jour et nous éblouit par son talent d'aquarelliste, sa façon légère et virtuose de passer d'un style à l'autre en toute spontanéité. Dans ces carnets, il y a en germe les futures bandes dessinées de l'artiste. Critique : A l'origine paru en août 2016 , le recueil Carnet sauvage de Zao Dao se voit réédité cet été pour le plaisir des yeux ! Au fil des pages , vous en prendrez plein les mirettes tant la palette de l'artiste est vaste ! On débute l'ouvrage par une série de portraits , la plupart issus de la BD Le souffle du vent dans les pins , avec des visages en pleine page à l'aquarelle d'une expression bluffante . Elle insère ça et là d'autres portraits en noir et blanc , crayonnés , puis nous passons à des estampes et autres croquis dans plusieurs styles graphiques . L'apothéose étant ce final de double-pages , où la féerie se mêle aux somptueux paysages et autres scènes muettes mais tellement parlantes ! Ce genre de livre est parfait en complément des autres oeuvres de l'auteure chinoise , elles aussi parues chez Mosquito 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/carnet-sauvage/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Kevin Nivek

    Carnet sauvage

    A l'origine paru en août 2016 , le recueil Carnet sauvage de Zao Dao se voit réédité cet été pour le plaisir des yeux ! Au fil des pages , vous en prendrez plein les mirettes tant la palette de l'artiste est vaste ! On débute l'ouvrage par une série de portraits , la plupart issus de la BD Le souffle du vent dans les pins , avec des visages en pleine page à l'aquarelle d'une expression bluffante . Elle insère ça et là d'autres portraits en noir et blanc , crayonnés , puis nous passons à des estampes et autres croquis dans plusieurs styles graphiques . L'apothéose étant ce final de double-pages , où la féerie se mêle aux somptueux paysages et autres scènes muettes mais tellement parlantes ! Ce genre de livre est parfait en complément des autres oeuvres de l'auteure chinoise , elles aussi parues chez Mosquito 😉
  11. poseidon2

    Bâtardes de Zeus

    Les "Bâtardes de Zeus" est un road trip mythologique mettant en avant deux femmes à la recherche de leur père : Zeus lui-même. Cette aventure les amènera à rencontrer un grand nombre des personnages secondaires de la mythologie grecque. Comme dans beaucoup de road trip, elles vont en apprendre plus sur elle-même que sur leur père..... Si ce road trip ne manque pas d'intérêt, avec des personnages à fort caractères et une mythologie représentée comme on se l'imagine, et un découpage en hommage et Ulysse et son odyssée, j'ai trouvé la "fin" un peu trop évidente et ca m'a un peu refroidi. J'aurais aimé un contre-pied et plus de surprise. Étonnamment un peu plus de folie ! La lecture reste sympathique. Faudrait-il encore à certain faire avec un graphisme qui semble un peu brouillon au démarrage mais se fait vite oublié dans les pages qui suivent.
  12. Titre de l'album : Bâtardes de Zeus Scenariste de l'album : Agnès Maupré Dessinateur de l'album : Agnès Maupré Coloriste : Agnès Maupré Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Physalis et Britomartis ont grandi ensemble sur la même île, dans l'ombre du père qu'elles n'ont jamais connu : Zeus. Bâtardes en quête d'identité, elles partent sur les routes pour retrouver cette figure paternelle imposante autant que fuyante qui se cache au sommet de l'Olympe. Elles rencontrent en chemin d'autres enfants du dieu, leurs soeurs et frères, figures plus ou moins perturbées de la mythologie grecque. Elles sont confrontées aux ravages commis par les dieux, qui se servent des humains pour tromper leur ennui, les pliant au gré de leurs envies, plus inconséquents encore que cruels. La violence de la domination divine mettra leur relation à rude épreuve et secouera leurs convictions. Car, après tout, faut-il connaître ses parents pour savoir qui on est ? Après de multiples BD historiques et travaux d'adaptation, Agnès Maupré se lance ici dans un scénario original qui lui permet d'explorer et de réécrire avec modernité les mythes grecs. Critique : Les "Bâtardes de Zeus" est un road trip mythologique mettant en avant deux femmes à la recherche de leur père : Zeus lui-même. Cette aventure les amènera à rencontrer un grand nombre des personnages secondaires de la mythologie grecque. Comme dans beaucoup de road trip, elles vont en apprendre plus sur elle-même que sur leur père..... Si ce road trip ne manque pas d'intérêt, avec des personnages à fort caractères et une mythologie représentée comme on se l'imagine, et un découpage en hommage et Ulysse et son odyssée, j'ai trouvé la "fin" un peu trop évidente et ca m'a un peu refroidi. J'aurais aimé un contre-pied et plus de surprise. Étonnamment un peu plus de folie ! La lecture reste sympathique. Faudrait-il encore à certain faire avec un graphisme qui semble un peu brouillon au démarrage mais se fait vite oublié dans les pages qui suivent. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batardes-de-zeus?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. poseidon2

    Mou

    Titre de l'album : Mou Scenariste de l'album : Benoît Feroumont Dessinateur de l'album : Benoît Feroumont Coloriste : Benoît Feroumont Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Charles est un loser qui rate tout. Jusqu'au soir où il rencontre dans un bar Paola, une jeune chimiste, qui le ramène chez elle. Après un rapport plutôt décevant, Charles s'enfuit après avoir bu une boisson (très mauvaise) dans le frigo. Il ignore qu'il a ingurgité une expérience de Paola sur la structure osseuse des astronautes. Le lendemain matin, il se réveille transformé en monstre plein de tentacules. Son destin vient de basculer... Avec Mou !, Benoît Feroumont nous offre une fable érotique hilarante où un loser transformé en monstre à tentacules devient le fantasme numéro un de toute la ville. Critique : Quand j'ai feuilleté ce Mou, je me suis demandé ce que j'avais entre les mains. Était-ce une espèce d'hentai français avec des filles dénudées et des tentacules ? J'ai été rapidement rassuré car cet album est plus une histoire rigolote mais traitant d'un sujet qui est plus complexe qu'il n'y parait : l'image que renvoient les films X et autres images qui "définissent" ce que doit être une relation sexuelle et le poids que cela fait peser sur la gent masculine. Et oui pour une fois on parle du côté masculin de ce problème. Non pas que le côté féminin de cette déformation du plaisir ne soit pas traité, mais notre auteur nous montre un personnage qui n'a aucune estime de lui-même car ne réussi pas à tenir aussi longtemps que dans les films. S'en suis une transformation lui présentant la chose différemment et les femmes sous un nouveau jour, chacune aillant leurs particularités. Bref une lecture erotico rigolote au final mais traitant d'un vrai sujet. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mou?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. poseidon2

    Mou

    Quand j'ai feuilleté ce Mou, je me suis demandé ce que j'avais entre les mains. Était-ce une espèce d'hentai français avec des filles dénudées et des tentacules ? J'ai été rapidement rassuré car cet album est plus une histoire rigolote mais traitant d'un sujet qui est plus complexe qu'il n'y parait : l'image que renvoient les films X et autres images qui "définissent" ce que doit être une relation sexuelle et le poids que cela fait peser sur la gent masculine. Et oui pour une fois on parle du côté masculin de ce problème. Non pas que le côté féminin de cette déformation du plaisir ne soit pas traité, mais notre auteur nous montre un personnage qui n'a aucune estime de lui-même car ne réussi pas à tenir aussi longtemps que dans les films. S'en suis une transformation lui présentant la chose différemment et les femmes sous un nouveau jour, chacune aillant leurs particularités. Bref une lecture erotico rigolote au final mais traitant d'un vrai sujet.
  15. poseidon2

    Marée haute

    Amis amateurs d'histoire de famille, ou de tranche de vie tout court, ce Marée haute est fait pour vous. On retrouve tout ce que l'on aime quand on apprécie ce genre de récit : Une histoire, vraie, de l'émotion, des personnages authentiques et une ambiance qui fait rapidement du lecteur l'un des membres de cette famille. La particularité de cet album de Isaac Sánchez est de faire de la maison elle-même un membre à part de cette famille. Un membre avec qui il échange souvent. Un membre spectateur du changement induit par les années qui passent autant que par les modes. Une maison qui sait forcément tout ce qui se passe entre ses murs : les rigolades autant que les secrets et les mensonges. Le carnet de photo-reportage du retour sur les lieux des sons enfance de notre auteur est particulièrement touchant, encrant cette histoire dans la réalité. Une belle lecture d'été, que se soit pour les nostalgiques ou pour les amateurs de récits familiaux.
  16. poseidon2

    Marée haute

    Titre de l'album : Marée haute Scenariste de l'album : Isaac Sánchez Dessinateur de l'album : Isaac Sánchez Coloriste : Isaac Sánchez Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Badalone, côte espagnole, années 90. Pour offrir un lieu de détente et de baignade malgré la pollution des plages, de singuliers commerces fleurissent. Regroupant restaurant et piscine en bord de mer, les baños apportent vie et touristes dans des banlieues jadis abandonnées. C'est dans un de ces établissements insolites que grandit Isaac. Entre événements marquants et portraits d'habitués, il raconte, au rythme des saisons, ses souvenirs, parfois fantasmés. Critique : Amis amateurs d'histoire de famille, ou de tranche de vie tout court, ce Marée haute est fait pour vous. On retrouve tout ce que l'on aime quand on apprécie ce genre de récit : Une histoire, vraie, de l'émotion, des personnages authentiques et une ambiance qui fait rapidement du lecteur l'un des membres de cette famille. La particularité de cet album de Isaac Sánchez est de faire de la maison elle-même un membre à part de cette famille. Un membre avec qui il échange souvent. Un membre spectateur du changement induit par les années qui passent autant que par les modes. Une maison qui sait forcément tout ce qui se passe entre ses murs : les rigolades autant que les secrets et les mensonges. Le carnet de photo-reportage du retour sur les lieux des sons enfance de notre auteur est particulièrement touchant, encrant cette histoire dans la réalité. Une belle lecture d'été, que se soit pour les nostalgiques ou pour les amateurs de récits familiaux. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/maree-haute-9782808504911?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Troisième tome de l'histoire de notre gardienne de fée et quasiment le premier tome des véritables aventures ! En effet on entre ici enfin dans des aventures qui dépassent la prise de possession de la ruche par Lucie. On rencontre d'autres porteuses de ruches, des mix se font, les caractères s'affirment et pas forcément pour le mieux pour notre ruche. Mais plus que cela, on découvre les vraies intentions de la mère de notre gardienne ainsi que les conséquences de l'existence des fées et de leurs chasseurs avec une aventure parisienne sous haute tension. Une vraie aventure pour une histoire qui commence à peine finalement....
  18. Titre de l'album : Le jardin des fées tome 3 - Le trésor des reines Scenariste de l'album : Audrey Alwett Dessinateur de l'album : Nora Moretti Coloriste : Nora Moretti Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Elles exaucent votre souhait, mais elles en meurent. Lucie est bergère des fées, à la recherche d'un jardin où elles pourraient s'établir. Mais la route est difficile et les disputes avec Marigold, la reine des fées, affaiblissent la ruche. La rencontre avec une autre bergère et un certain cartographe pourrait les aider... à moins qu'elle ne leur soit fatale. Pendant ce temps, à Paris, Achille a rejoint Arlésia, la mère de Lucie. Bientôt, lui aussi deviendra chasseur de fées et la ruche de Lucie pourrait bien être sa première proie... Une aventure féerique à la croisée de l'affaire des Fées de Cottingley, des univers de Beatrix Potter et d'un Paris mystérieux... Critique : Troisième tome de l'histoire de notre gardienne de fée et quasiment le premier tome des véritables aventures ! En effet on entre ici enfin dans des aventures qui dépassent la prise de possession de la ruche par Lucie. On rencontre d'autres porteuses de ruches, des mix se font, les caractères s'affirment et pas forcément pour le mieux pour notre ruche. Mais plus que cela, on découvre les vraies intentions de la mère de notre gardienne ainsi que les conséquences de l'existence des fées et de leurs chasseurs avec une aventure parisienne sous haute tension. Une vraie aventure pour une histoire qui commence à peine finalement.... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-jardin-des-fees-tome-3-le-tresor-des-reines?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Titre de l'album : Disparus - L'affaire Godard Scenariste de l'album : Pascal Bresson , Béatrice Merdrignac Dessinateur de l'album : Samuel Figuière Coloriste : Editeur de l'album : Petit à petit Note : Résumé de l'album : Le 1er septembre 1999, un père et ses deux enfants quittent le port de Saint-Malo en voilier. Quelques jours plus tard, l'annexe du navire est retrouvée sur une mer d'huile, dans l'incompréhension la plus totale. À son bord, un chéquier au nom de M. Yves Godard. Et c'est là que tout commence... pour ne jamais finir. À travers les yeux des enquêteurs, suivez une des plus mystérieuses disparitions de la fin du XXe siècle. Précisément illustré et documenté, ce Docu-BD vous plongera au plus profond de cette affaire qui continue de faire trembler l'ouest de la France. Critique : Après La traque et avant Le corbeau (affaire Grégory) , la jeune maison d'édition petitàpetit qui continue son ascension , sort une BD-doc sur l'affaire Godard . Ce fait divers avait fait trembler la France au début des années 2000, avec la disparition mystérieuse d'une famille entière . Le fil narratif commence avec la présentation de la famille et surtout du père , le médecin Yves Godard . En alternant pages BD et pages documentaires , on apprend le passé du docteur, ses aspirations et son mode de vie . Le récit s'attarde sur lui car il représente le chainon essentiel de cette histoire macabre . Aux scènes familiales , vient en parallèle l'enquête policière avec le travail de terrain , les questions posées aux éventuels témoins , les hypothèses émises par les forces de l'ordre , en somme l'enquête essayant de remonter ce fil d'Ariane jusqu'au tout début pour tenter de comprendre . Une fois de plus, le lecteur est accaparé par la lecture de cette enquête , les témoignages , les policiers désabusés par tant de mystères , les regrets de certains sur des actions entreprises ou non , on pense à ce garde-côte qui n'a pas poussé plus loin sa curiosité et qui s'en veut énormément ; le talent de Pascal Bresson transpire dans ces pages immersives . Le trait réaliste de Samuel Figuière convient parfaitement au propos et donne une réelle plus-value au récit . Je ne connaissais pas cette histoire , mais je dois bien avouer qu'elle est autant empreinte de mystères que celle de La traque avec Dupont de Ligonnès . Malgré les preuves retrouvées bien après la disparition , il demeure de nombreuses interrogations, avec en plus la présence d'un "corbeau" . Le mystère reste entier ! En octobre , paraîtra Le corbeau , centré sur l'affaire Grégory 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/disparus-l-affaire-godard/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Kevin Nivek

    Disparus - L'affaire Godard

    Après La traque et avant Le corbeau (affaire Grégory) , la jeune maison d'édition petitàpetit qui continue son ascension , sort une BD-doc sur l'affaire Godard . Ce fait divers avait fait trembler la France au début des années 2000, avec la disparition mystérieuse d'une famille entière . Le fil narratif commence avec la présentation de la famille et surtout du père , le médecin Yves Godard . En alternant pages BD et pages documentaires , on apprend le passé du docteur, ses aspirations et son mode de vie . Le récit s'attarde sur lui car il représente le chainon essentiel de cette histoire macabre . Aux scènes familiales , vient en parallèle l'enquête policière avec le travail de terrain , les questions posées aux éventuels témoins , les hypothèses émises par les forces de l'ordre , en somme l'enquête essayant de remonter ce fil d'Ariane jusqu'au tout début pour tenter de comprendre . Une fois de plus, le lecteur est accaparé par la lecture de cette enquête , les témoignages , les policiers désabusés par tant de mystères , les regrets de certains sur des actions entreprises ou non , on pense à ce garde-côte qui n'a pas poussé plus loin sa curiosité et qui s'en veut énormément ; le talent de Pascal Bresson transpire dans ces pages immersives . Le trait réaliste de Samuel Figuière convient parfaitement au propos et donne une réelle plus-value au récit . Je ne connaissais pas cette histoire , mais je dois bien avouer qu'elle est autant empreinte de mystères que celle de La traque avec Dupont de Ligonnès . Malgré les preuves retrouvées bien après la disparition , il demeure de nombreuses interrogations, avec en plus la présence d'un "corbeau" . Le mystère reste entier ! En octobre , paraîtra Le corbeau , centré sur l'affaire Grégory 😉
  21. Kevin Nivek

    Ils viendront

    L'auteur de romans fantastiques Erik L'Homme se lance dans la BD avec une nouvelle série jeunesse teintée de mystères . La collection "Frissons" , déjà riche de La brigade des cauchemars , s'enrichit donc d'une aventure aux faux airs du film de JJ Abrams , Super 8 . Les deux héros de cette aventure , Lukas et Selma ne sont pas au bout de leurs surprises en voyant leur quotidien bouleversé par ces disparitions inquiétantes d'adolescents du même âge . En parallèle , un policier opiniâtre ne lâche pas l'affaire et va découvrir le lien unissant ces enlèvements , mais sera t'il trop tard pour sauver nos deux jeunes gens ?? De l'aventure, du mystère et une enquête bien menée , voici les composantes de ce premier tome , assez intrigant . Ajoutez à cela un dessin au trait rond et doux de Marcello de Martino , dans la lignée de son compatriote italien Alessandro Barbucci . Des couleurs un peu trop numériques , et un léger manque de détail au regard du travail de Barbucci , mais il ivre néanmoins un ensemble graphique cohérent et accrocheur pour la population ado ciblée . Un bon premier tome , avec de bonnes pistes de scénario, de l'ambition , un cap à maintenir dans les tomes suivants !
  22. Kevin Nivek

    Ils viendront

    Titre de l'album : Ils viendront Scenariste de l'album : Erik L'Homme Dessinateur de l'album : Marcello de Martino Coloriste : Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Une nouvelle série dans la collection Frissons Alors que la ville d'Edgetown est plongée dans la torpeur d'un été inhabituellement chaud, la police est confrontée à de mystérieuses disparitions: des adolescents, que rien ne semble relier, sont enlevés les uns après les autres. L'enquête piétine. L'inspecteur Grayharm décide alors de mener les recherches à sa manière... quitte à s'attirer les foudres de ses supérieurs. En rentrant chez lui, le jeune Lukas Velejos manque à son tour de se faire kidnapper et se réfugie chez son amie Selma. Bientôt, tous les deux vont se retrouver au centre d'une terrible machination et impitoyablement traqués... Critique : L'auteur de romans fantastiques Erik L'Homme se lance dans la BD avec une nouvelle série jeunesse teintée de mystères . La collection "Frissons" , déjà riche de La brigade des cauchemars , s'enrichit donc d'une aventure aux faux airs du film de JJ Abrams , Super 8 . Les deux héros de cette aventure , Lukas et Selma ne sont pas au bout de leurs surprises en voyant leur quotidien bouleversé par ces disparitions inquiétantes d'adolescents du même âge . En parallèle , un policier opiniâtre ne lâche pas l'affaire et va découvrir le lien unissant ces enlèvements , mais sera t'il trop tard pour sauver nos deux jeunes gens ?? De l'aventure, du mystère et une enquête bien menée , voici les composantes de ce premier tome , assez intrigant . Ajoutez à cela un dessin au trait rond et doux de Marcello de Martino , dans la lignée de son compatriote italien Alessandro Barbucci . Des couleurs un peu trop numériques , et un léger manque de détail au regard du travail de Barbucci , mais il ivre néanmoins un ensemble graphique cohérent et accrocheur pour la population ado ciblée . Un bon premier tome , avec de bonnes pistes de scénario, de l'ambition , un cap à maintenir dans les tomes suivants ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ils-viendront/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Titre de l'album : Bertille & Lassiter Scenariste de l'album : Éric Stalner Dessinateur de l'album : Éric Stalner Coloriste : Éric Stalner Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : D'un côté les Bertille et leur mystérieuse boule rouge. De l'autre Lassiter. Leurs vies ne devaient pas s'entremêler et pourtant... À la fin des années 1920, le commissaire Bertille rencontre par hasard Bertille, jeune fille de bonne famille lors de l'apparition d'un étrange phénomène. Quarante ans plus tard, Jonathan Lassiter, jeune Américain un peu paumé rencontre par hasard Edward dans un bar. Après une nuit mouvementée, il doit rapidement fuir le Nebraska et les États-Unis. Installé depuis quelques mois à Paris, il décide un jour de prendre un train pour la Bretagne à la gare Montparnasse, et tombe sur Bertille et Bertille. Pur hasard ? Rien n'est moins sûr... Critique : Et bien dite donc je ne dois pas être bien malin, car je n'avais pas compris que "Bertille et Bertille" et "13 heures 17 dans la vie de Jonathan Lassiter" faisaient partie du même univers. Mais pas du tout. Et pourtant... Stalner nous livre un tome qui mêle les deux histoires. Un tome réussit à garder le décalage des tomes précédents avec cette douce langueur et décontraction des années 60 tout en ajoutant les gangsters à la poursuite de Lassister et l'énigmatique boule rouge de bertille et Bertille. Une aventure qui se lit comme on déguste un bonbon à sucer. Tout doucement et ou le véritable gout ne se révèle que vers la moitié, une fois que la bouche est bien aromatisée. C'est pareil ici. On est un peu dubitatif au début, mais c'est juste le temps de se remettre dans l'ambiance… et une fois qu'on y est on est porté par le charme désuet de nos Bertille et par cette étrange boule qui semble douée de sentiment. Une belle conclusion à un triptyque que je n'avais pas du tout vu venir. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bertille-lassiter?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. poseidon2

    Bertille & Lassiter

    Et bien dite donc je ne dois pas être bien malin, car je n'avais pas compris que "Bertille et Bertille" et "13 heures 17 dans la vie de Jonathan Lassiter" faisaient partie du même univers. Mais pas du tout. Et pourtant... Stalner nous livre un tome qui mêle les deux histoires. Un tome réussit à garder le décalage des tomes précédents avec cette douce langueur et décontraction des années 60 tout en ajoutant les gangsters à la poursuite de Lassister et l'énigmatique boule rouge de bertille et Bertille. Une aventure qui se lit comme on déguste un bonbon à sucer. Tout doucement et ou le véritable gout ne se révèle que vers la moitié, une fois que la bouche est bien aromatisée. C'est pareil ici. On est un peu dubitatif au début, mais c'est juste le temps de se remettre dans l'ambiance… et une fois qu'on y est on est porté par le charme désuet de nos Bertille et par cette étrange boule qui semble douée de sentiment. Une belle conclusion à un triptyque que je n'avais pas du tout vu venir.
  25. poseidon2

    Hitomi

    Urban comics continue sa mue avec un nouvel album dans la collection "bd". pas de début de série ce coup-ci mais un très beau one shot sur le samourail noir de Nobunaga. Tiré d'une histoire vraie, cette histoire cherche à combler la fin de l'histoire de l'homme noir qui suivi Nobunaga mais qui disparu de l'histoire du japon en même temps que la mort de son maitre. Elle nous raconte donc, au travers d'une vendetta d'une jeune fille, l'errance d'un rônin de couleur dans le Japon féodale. Un Samourail noir qui est autant une bête de foire de part sa couleur qu'un samourail respecté par ses combats passés. Entre description du Japon féodal, combat de samourail et réflexion sur la perte de racines des personnes issues de l'esclavage et leur quasi impossible l'intégration, ce Hitomi nous parle autant qu'il nous charme les rétines par le talent graphique de Isabella Mazzanti. À conseiller à tous les fans de l'époque féodale japonaise.
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