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  1. Nickad

    Sentinel

    Un homme se retrouve avec son fils, encore bébé, sur une ile inconnue après avoir fait naufrage et perdu sa femme. Les indigènes semblent hostiles et le pourchassent, il doit à tout prix trouver une embarcation pour quitter l’ile et pour cela ne peut compter que sur l’aide d’une femme mystérieuse qui ne comprend pas sa langue. Tout se passe très vite dans cette histoire, le naufrage, l’arrivée sur l’ile et l’issue de l’histoire. Tout est dans l’action, celle du présent où il faut se cacher et lutter, celle du passé menée tambour battant. Il y a un narrateur, non défini, qui raconte son histoire. Il y a des similitudes entre passé et présent. Et puis il y a l’inconnu, omniprésent, d’abord parce qu’on ne connait pas grand-chose de l’ile, à part son nom « Sentinel », qu’une grande partie de l’action se passe la nuit, et puis parce qu’il y a peu de paroles et que la moitié est en langage local. Le lecteur est mis au même niveau que l’homme, il subit l’action, on ne lui laisse pas le temps de s’appesantir et de comprendre et il prend la fin de plein fouet et tout s’éclaire enfin. Sentinel est une bd d’action efficace servie par des dessins tout autant efficaces. Elle n’est peut-être pas la plus originale dans le scenario mais elle a une narration légèrement déroutante, le genre de livre où la fin change tout. Toutefois, il y a des césures de mots inappropriées et des lettres en plus qui se baladent, je ne sais pas si c’est fait exprès mais cela laisse un petit goût de manque de finition pour le lectorat français.
  2. Nickad

    Sentinel

    Titre de l'album : Sentinel Scenariste de l'album : SARDINA Toni Dessinateur de l'album : D'ANGELO Simone Coloriste : D'ANGELO Simone Editeur de l'album : Shockdom Note : Résumé de l'album : Après un naufrage, un homme et son fils se retrouvent sur une île peuplée par des individus dangereux et inquiétants, décidés à les traquer comme des animaux. La fuite est impossible. Ils ne peuvent que confier leur destin à une femme autochtone qui veut les aider. Critique : Un homme se retrouve avec son fils, encore bébé, sur une ile inconnue après avoir fait naufrage et perdu sa femme. Les indigènes semblent hostiles et le pourchassent, il doit à tout prix trouver une embarcation pour quitter l’ile et pour cela ne peut compter que sur l’aide d’une femme mystérieuse qui ne comprend pas sa langue. Tout se passe très vite dans cette histoire, le naufrage, l’arrivée sur l’ile et l’issue de l’histoire. Tout est dans l’action, celle du présent où il faut se cacher et lutter, celle du passé menée tambour battant. Il y a un narrateur, non défini, qui raconte son histoire. Il y a des similitudes entre passé et présent. Et puis il y a l’inconnu, omniprésent, d’abord parce qu’on ne connait pas grand-chose de l’ile, à part son nom « Sentinel », qu’une grande partie de l’action se passe la nuit, et puis parce qu’il y a peu de paroles et que la moitié est en langage local. Le lecteur est mis au même niveau que l’homme, il subit l’action, on ne lui laisse pas le temps de s’appesantir et de comprendre et il prend la fin de plein fouet et tout s’éclaire enfin. Sentinel est une bd d’action efficace servie par des dessins tout autant efficaces. Elle n’est peut-être pas la plus originale dans le scenario mais elle a une narration légèrement déroutante, le genre de livre où la fin change tout. Toutefois, il y a des césures de mots inappropriées et des lettres en plus qui se baladent, je ne sais pas si c’est fait exprès mais cela laisse un petit goût de manque de finition pour le lectorat français. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sentinel?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    24 décembre 1992 décès de PEYO

    Pierre Culliford est né en 1928 en Belgique. Il débute dans la bande dessinée d’après-guerre puis entre au journal de Spirou en 1951 grâce à Franquin, il développe son personnage de Johan (apparut en 1946), rejoint bientôt par Pirlouit. C’est en 1958 qu’apparaissent pour la 1ere fois les schtroumpfs qui vont voler la vedette à Johan et Pirlouit. En 1960, il fonde un studio pour accueillir ses assistants car il est surchargé de travail et crée les séries Benoit Brisefer et Jacky et Célestin. Avec le succès de ses séries et le développement des schtroumpfs sous de multiples formats et produits dérivés, Peyo ne peut plus dessiner autant qu’avant d’autant qu’il a des problèmes de santé. En 1988, avec son fils il quitte Dupuis et crée sa maison d’édition Cartoon creation, ce sera un échec. Il rejoint ensuite Le lombard et sort de nouvelles aventures, il ne s’occupe plus que du côté artistique, sa famille gérant les affaires. Épuisé et malade, il meurt le 24 décembre d’une crise cardiaque. Son surnom Peyo vient de son petit cousin qui n’arrivait pas à prononcer les « r ». Au départ, les schtroumpfs ne devaient exister que dans une seule histoire et c’est le courrier des lecteurs qui incite le rédacteur en chef Yvan Delporte à poursuivre leurs aventures. Francis (auteur de la Ford T), François Walthéry (auteur de Natacha), Derib (Yakari, Buddy Longway, Jo…) entre autres ont été les assistants de Peyo. Le schtroumpf financier est le dernier album dessiné par Peyo
  4. Nickad

    23 décembre 2013 décès de José ORTIZ

    Né en 1932, José Ortiz est l’un des grands dessinateurs de la bande dessinée espagnole, il travailla dans les magazines Eerie et Vampirella. Puis il créa avec Segura les séries Hombre, Burton & Cyb et Morgan. Il est surtout reconnu pour son trait et son encrage qui en inspira plus d’un. Si vous voulez voir d’autres planches de l’auteur avec la progression de son trait, je vous recommande d’aller voir cet article José Ortiz : un maître espagnol nous a quittés… | BDZoom.com
  5. Nickad

    21 décembre 1935 naissance de JIDEHEM

    Jean de Maesmaker s’oriente rapidement vers une carrière artistique. En 1954, il crée une série policière Ginger et il prend alors à ce moment le nom de Jidéhem. En 1957, il entre au journal de Spirou et travaille sur les séries Spirou et Fantasio, Gaston Lagaffe puis Starter avec son héroïne Sophie. Le personnage de M de Maesmaker dans Gaston est inspiré en partie du père de Jidéhem avec l'accord de Franquin bien évidemment.
  6. Nickad

    17 décembre 1940 naissance d’EDIKA

    Edouard Karali dit Edika est né en Egyte où il a fait ses études et commencé à travailler dans la publicité. Arrivé en France ses dessins sont publiés dans les magazines Pilote, Charlie Mensuel ou Psikopat. Il se spécialise dans le dessin d’humour, parfois cru, ses personnages principaux sont Bronsky Proko ou Clark Gaybeul. La famille Karali baigne littéralement dans la bande dessinée, son frère Paul dit Carali est le créateur du journal Psikopat et dessine aussi, sa belle-sœur dite Gudule est écrivaine, un de ses neveux dit Olivier Ka et sa nièce dite Melaka sont auteurs de bandes dessinées.
  7. Bob Morane est avant tout un héros de romans d’Henri VERNES, apparu pour la 1ere fois dans le marabout junior n°16 en 1953. S’il était plus simple aventurier au départ, ses aventures sont devenues de plus en plus complexes, espionnage et science-fiction s’y sont mêlés. Henri Vernes a écrit 230 romans et une trentaine de nouvelles. Le personnage a été repris en 2012 par Gilles Devindilis dans les nouvelles aventures de Bob Morane. Une adaptation en bande dessinée existe également, parue d’abord dans les journaux comme Femmes d’aujourd’hui, Pilote et Tintin, on peut les trouver en intégrales. En 2015, Le lombard relance la série sous le nom de Bob Morane renaissance et une nouvelle BD, réalisé par des fans doit bientôt paraître en hommage à Henri Vernes, décédé le 25 juillet 2021.
  8. Nickad

    15 décembre 1967 naissance de ZEP

    Philippe CHAPPUIS dit ZEP est un auteur de bande dessinée suisse. A 12 ans il crée son 1er fanzine et l’appelle ZEP en hommage à Led Zeppelin, à 14 ans, il entre à l’école des arts décoratifs de Genève. En 1985, il commence à travailler au journal de Spirou et en 1992, il crée le personnage de Titeuf qui reste sa série phare mais dessine aussi d’autres albums en style plus réaliste (une histoire d’hommes, un bruit étrange et beau…)
  9. Philippe a fait 6 ans d’études à Bruxelles en suivant notamment les cours de François SCHUITEN et Philippe BERTHET afin de devenir dessinateur professionnel. Après plusieurs collaborations, il rencontre en 1988 Jean Van Hamme pour l’adaptation de ses romans Largo Winch. Depuis, il ne travaille plus que sur cette série.
  10. Titre de l'album : Aquablue T17 - La nuit de la miséricorde Scenariste de l'album : Hautière Dessinateur de l'album : Reno Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Terrorisme, écologie, xénophobie, extrémisme religieux, ce cycle, Retour aux Sources, aura abordé des sujets très en phase avec l'actualité et se conclue avec un formidable et généreux épisode de résolution. Sur Aquablue, Landon préside un banquet entre indigènes et colons humains pour célébrer l'apaisement et organiser la vie future en bonne entente. Nao, toujours prisonnier de son mystérieux geôlier, assiste à l'évènement par écran interposé. Bientôt le spectacle tourne au cauchemar et la situation s'embourbe. Il ne reste guère de solution diplomatique : « Si tu veux la paix, prépare la guerre ». Critique : Suite et fin de ce cycle entamé par Hautière et Reno , démarré en 2011 ! Ils avaient marqué une rupture graphique importante avec ces dessins plus "réalistes" , plus cinématographiques . On aime ou on aime pas , je le conçois . Etant fan de l'univers de Nao depuis ses débuts , j'ai adhéré totalement . Hautière se sert de problématiques actuelles telles l'écologie , la colonisation pour tisser son histoire et cela fonctionne parfaitement . Trahisons , vaisseaux spatiaux , mékas , lagons , surprises aussi , le cycle termine en feux d'artifices . Je dois préciser cependant que mes anciens Aquablue sont dans les cartons et je ne me souvenais plus tout à fait des tenants et aboutissants , j'aurai des blans à combler lorsque je relirai tout d'une traite . Il faut noter que la fin est une fin au sens propre du terme . Soit ils repartent sur un nouveau cycle , soit ils arrêtent . Avec toutes ces séries interminables , je trouve la démarche bienvenue . Un bon opus , dans la lignée des précédents , qui devrait combler les amateurs de l'autre planète bleue . Rakahanga Par @Kevin Nivek Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/aquablue-tome-17-la-nuit-de-la-misericorde?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Suite et fin de ce cycle entamé par Hautière et Reno , démarré en 2011 ! Ils avaient marqué une rupture graphique importante avec ces dessins plus "réalistes" , plus cinématographiques . On aime ou on aime pas , je le conçois . Etant fan de l'univers de Nao depuis ses débuts , j'ai adhéré totalement . Hautière se sert de problématiques actuelles telles l'écologie , la colonisation pour tisser son histoire et cela fonctionne parfaitement . Trahisons , vaisseaux spatiaux , mékas , lagons , surprises aussi , le cycle termine en feux d'artifices . Je dois préciser cependant que mes anciens Aquablue sont dans les cartons et je ne me souvenais plus tout à fait des tenants et aboutissants , j'aurai des blans à combler lorsque je relirai tout d'une traite . Il faut noter que la fin est une fin au sens propre du terme . Soit ils repartent sur un nouveau cycle , soit ils arrêtent . Avec toutes ces séries interminables , je trouve la démarche bienvenue . Un bon opus , dans la lignée des précédents , qui devrait combler les amateurs de l'autre planète bleue . Rakahanga Par @Kevin Nivek
  12. Après un bac philo, Laurent Chabosy dit Lewis Trondheim rencontre Jean-Christophe Menu en 1987 et découvre une nouvelle façon de faire de la bande dessinée. Il sortira 12 numéros de son fanzine ACCI H3319 puis rejoindra la revue Labo. Après plusieurs associations et rencontres, il lance chez Dargaud en 1994, la série Lapinot. A partir de 1997, il y l’apparition des « Donjon » en collaboration avec Joann Sfar, puis d’autres séries comme La mouche, Kaput & Zösky… Lewis Trondheim obtient le titre de Chevalier des arts et Lettres en 2005 et le Grand Prix à Angoulême en 2006. Il a plus de 200 publications à son actif.
  13. Virus Tome 1 : Incubation Scénario : Sylvain Ricard Dessin : Rica Couleur : Genre : Science-Fiction Edition : Delcourt Date de parution : Dispo L'acheter sur BDFugue Résumé : Une équipe d'intervention spéciale pénètre chez Guillaume pour l'interroger sur les évènements récents qui ont eu lieu au laboratoire où il travaille. Mais il n'y a que sa petite amie chez lui qui les informe qu'il est parti en croisière se ressourcer. C'est une catastrophe : Guillaume est porteur d'un virus mortel. Sylvain Ricard nous propose un nouveau thriller avec Virus qui est prévu en trilogie. En effet, le récit débute avec un virus qui vient de s’échapper d’un laboratoire par le biais d’un assistant qui préfère vivre les derniers moments de sa vie en extérieur. Il part en croisière sur un énorme bateau qui transporte des milliers de personne avec une énorme rave organisée à bord. Le virus est hautement contagieux, par la modification génétique pour le rendre mortel dans tous les cas pour l’homme. Cette introduction nous permet de suivre les cellules de crises mises en place pour trouver une solution à ce problème qui pourrait venir à bout de l’humanité. Au niveau dessin, on retrouve le trait réaliste de Rica. Toute la bande dessinée est en noir et blanc avec des dégradés de gris. La pagination de ce premier tome est importante avec plus de 110 pages de bande dessinée, dans un format plus petit. Un dossier de 25 pages termine l’album, avec beaucoup de documentation sur les virus et une preview du deuxième tome nous donne un aperçu de la suite. Note : Alx23
  14. Titre de l'album : Jonathan - tome 17, La piste de Yeshe Scenariste de l'album : Cosey Dessinateur de l'album : Cosey Coloriste : Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : C'est une lettre, reçue poste restante à Delhi la veille de son retour en Europe, qui entraîne Jonathan sur la piste de Yéshé. Là, installé dans un monastère perdu au coeur de l'Himalaya, alors que les « libérateurs » venus de Beijing cherchent à anéantir l'identité tibétaine, Jonathan, accompagné du malicieux moine Chamba, retrouve après de longues années celle qui donnera une réponse à ses questions. Critique : Et voilà , clap de fin pour l'ami Jonathan . Une aventure commencée il y a 46 ans dans le journal "Tintin" . Ce "double" de Cosey clôture son histoire , et il ne le fait pas seul , vous comprendrez mieux le sens de cette phrase à la fin de l'album 🙂 . Je dois avouer que je l'ai découvert tardivement , lors des sorties de ces intégrales , très bien illustrées et documentées , avec en prime des pistes musicales (fournies pas Cosey) à mettre en fond sonore lors de la lecture des tomes . Tangerine dream , Pink Floyd etc .... Des auteurs de cette époque avec un côté psychédélique . On est bien dans l'univers de l'auteur suisse , amateur de C.G. Jung . Car la quête de Jonathan a toujours été empreint de spiritualité , ponctuée de méditation et d'une profonde recherche de soi , et quel autre pays peut mieux symboliser cette recherche que le Tibet ? Durant ces 17 tomes nous apprenons à découvrir cette culture , ces couleurs , son alimentation et , ses habitants . Hormis un passage aux Etats-Unis (Cosey avoue d'ailleurs que ce n'est pas le meilleur moment de la série , et je suis bien d'accord) , Jonathan n'aura de cesse de voyager sur ces terres fantastiques du toit du monde . Je dois préciser qu'il me restait 2 intégrales à lire avant ce 17ème opus , mais j'ai pu saisir la presque totalité des événements se déroulants . Les noms des principaux protagonistes me sont revenus aussi , car il s'agit surtout de ceux ayant marqué Jonathan . Mais en refermant ces pages , je suis victime d'une furieuse envie de me replonger dedans et tout relire à la suite . Ce récit nous transporte littéralement , on sentirait presque l'odeur de la Tsampa et du thé au beurre . Cosey achève les aventures de son "clone" ou ami imaginaire de la façon la plus simple qu'il soit , et , sans qu'il n'y ait de happy end ou de drame , on n'éprouve une certaine nostalgie quand même . L'histoire se tient , mais je ne mets pas 5 sur 5 étoiles , car , il manque un "je ne sais quoi" comme disent les américains . Est-ce le fait de savoir qu'il n'y aura plus de nouveau Jonathan dans les bacs des libraires ? Le dessin de Cosey est reconnaissable entre mille et je peux comprendre les personnes réfractaires . Pour moi il est de ces auteurs "simples" mais qui à la manière d'un Hugo Prat , sont capables de vous transporter avec si peu de détails . Il sait rajouter des détails et le fait parfois dans certaines cases , mais il suffit de regarder ses décors enneigés pour comprendre de quelle simplicité je parle . Car au delà du dessin , il y a son écriture , et sa neige "simple" sera perçue comme authentique lors de ses descriptions , et vous aussi , vous la sentirez craquer sous vos pieds . Il fait assurément partie des grands du 9ème art , et Jonathan va rejoindre Tintin , Astérix et autres têtes d'affiches . Par Kevin Nivek Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jonathan-tome-17-la-piste-de-yeshe?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Et voilà , clap de fin pour l'ami Jonathan . Une aventure commencée il y a 46 ans dans le journal "Tintin" . Ce "double" de Cosey clôture son histoire , et il ne le fait pas seul , vous comprendrez mieux le sens de cette phrase à la fin de l'album 🙂 . Je dois avouer que je l'ai découvert tardivement , lors des sorties de ces intégrales , très bien illustrées et documentées , avec en prime des pistes musicales (fournies pas Cosey) à mettre en fond sonore lors de la lecture des tomes . Tangerine dream , Pink Floyd etc .... Des auteurs de cette époque avec un côté psychédélique . On est bien dans l'univers de l'auteur suisse , amateur de C.G. Jung . Car la quête de Jonathan a toujours été empreint de spiritualité , ponctuée de méditation et d'une profonde recherche de soi , et quel autre pays peut mieux symboliser cette recherche que le Tibet ? Durant ces 17 tomes nous apprenons à découvrir cette culture , ces couleurs , son alimentation et , ses habitants . Hormis un passage aux Etats-Unis (Cosey avoue d'ailleurs que ce n'est pas le meilleur moment de la série , et je suis bien d'accord) , Jonathan n'aura de cesse de voyager sur ces terres fantastiques du toit du monde . Je dois préciser qu'il me restait 2 intégrales à lire avant ce 17ème opus , mais j'ai pu saisir la presque totalité des événements se déroulants . Les noms des principaux protagonistes me sont revenus aussi , car il s'agit surtout de ceux ayant marqué Jonathan . Mais en refermant ces pages , je suis victime d'une furieuse envie de me replonger dedans et tout relire à la suite . Ce récit nous transporte littéralement , on sentirait presque l'odeur de la Tsampa et du thé au beurre . Cosey achève les aventures de son "clone" ou ami imaginaire de la façon la plus simple qu'il soit , et , sans qu'il n'y ait de happy end ou de drame , on n'éprouve une certaine nostalgie quand même . L'histoire se tient , mais je ne mets pas 5 sur 5 étoiles , car , il manque un "je ne sais quoi" comme disent les américains . Est-ce le fait de savoir qu'il n'y aura plus de nouveau Jonathan dans les bacs des libraires ? Le dessin de Cosey est reconnaissable entre mille et je peux comprendre les personnes réfractaires . Pour moi il est de ces auteurs "simples" mais qui à la manière d'un Hugo Prat , sont capables de vous transporter avec si peu de détails . Il sait rajouter des détails et le fait parfois dans certaines cases , mais il suffit de regarder ses décors enneigés pour comprendre de quelle simplicité je parle . Car au delà du dessin , il y a son écriture , et sa neige "simple" sera perçue comme authentique lors de ses descriptions , et vous aussi , vous la sentirez craquer sous vos pieds . Il fait assurément partie des grands du 9ème art , et Jonathan va rejoindre Tintin , Astérix et autres têtes d'affiches . Par Kevin Nivek
  16. Nickad

    Grand silence

    J’ai acheté ce livre un peu par hasard, attirée par la couverture de cet enfant seul, qui tient sa tête détachée de son corps, et qui, associée au titre évoquait un drame. Je l’ai lu sans avoir vu le résumé, comme souvent, pour ne pas être influencée. C’était une lecture étrange qui m’a vite prise aux tripes, un malaise grandissant et en même temps de l’admiration pour les auteures pour avoir su amener ce sujet sans être trop provocatrices ou trop crues. Car ici, ce ne sont pas les paroles qui comptent mais les images, fortes, métaphoriques par moment qui laisse entrevoir les tourments qui dévorent les personnages. Car il n’est pas facile d’aborder un tel sujet : les violences sexuelles sur les enfants, et cette façon de faire est très habile. Sans s’appesantir sur l’acte en lui-même, ce sont les conséquences qui sont mises en avant, l’impact que cela provoque : il y a celui qui rapetisse comme s’il voulait disparaitre, celui qui devient violent... Mais dans cette ville où les cris des enfants sont volés, où tout le monde se tait, les bourreaux ont parfois aussi été victimes. C’est un livre qui alerte, qui dénonce, qui dit qu’il faut que ça s’arrête mais qu’il faut aussi aider les victimes et les accompagner, à la fois pour qu’elles vivent mais aussi pour qu’elles ne reproduisent pas le même schéma. Et quand, à la fin, on se prend en pleine face les chiffres de la réalité, on reste choqué, incrédule sur ces données et on n’a qu’une envie, faire circuler cette information pour que cela cesse.
  17. Nickad

    Grand silence

    Titre de l'album : Grand silence Scenariste de l'album : ROJZMAN Théa Dessinateur de l'album : REVEL Sandrine Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Sur une île inconnue où vivent des humains qui nous ressemblent, une sorte d'usine géante œuvre depuis toujours. Cette étrange usine a pour mission d'avaler les cris rendus muets des enfants.Elle s'appelle Grand Silence...Dans un conte pour adultes aussi beau que son sujet est délicat, Théa Rojzman et Sandrine Revel livrent un roman graphique puissant qui explore sans brutalité ni complaisance un fléau que l'on préfère ignorer : celui des violences sexuelles commises sur les enfants. Critique : J’ai acheté ce livre un peu par hasard, attirée par la couverture de cet enfant seul, qui tient sa tête détachée de son corps, et qui, associée au titre évoquait un drame. Je l’ai lu sans avoir vu le résumé, comme souvent, pour ne pas être influencée. C’était une lecture étrange qui m’a vite prise aux tripes, un malaise grandissant et en même temps de l’admiration pour les auteures pour avoir su amener ce sujet sans être trop provocatrices ou trop crues. Car ici, ce ne sont pas les paroles qui comptent mais les images, fortes, métaphoriques par moment qui laisse entrevoir les tourments qui dévorent les personnages. Car il n’est pas facile d’aborder un tel sujet : les violences sexuelles sur les enfants, et cette façon de faire est très habile. Sans s’appesantir sur l’acte en lui-même, ce sont les conséquences qui sont mises en avant, l’impact que cela provoque : il y a celui qui rapetisse comme s’il voulait disparaitre, celui qui devient violent... Mais dans cette ville où les cris des enfants sont volés, où tout le monde se tait, les bourreaux ont parfois aussi été victimes. C’est un livre qui alerte, qui dénonce, qui dit qu’il faut que ça s’arrête mais qu’il faut aussi aider les victimes et les accompagner, à la fois pour qu’elles vivent mais aussi pour qu’elles ne reproduisent pas le même schéma. Et quand, à la fin, on se prend en pleine face les chiffres de la réalité, on reste choqué, incrédule sur ces données et on n’a qu’une envie, faire circuler cette information pour que cela cesse. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/grand-silence?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Titre de l'album : La dernière ombre tome 1 Scenariste de l'album : FILIPPI Denis-Pierre Dessinateur de l'album : YVAN Gaspard Coloriste : YVAN Gaspard Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : L'imaginaire pour transcender la guerre.À bout de forces, un groupe composé de soldats et de civils russes s'éloigne péniblement du front. La Première Guerre mondiale s'étire et si cet ignoble conflit meurtrit les corps, il épuise aussi les esprits les plus sains. Pour soulager le moral des troupes, le soldat Zvoga, ancien capitaine de son état, préconise une halte dans un manoir isolé près duquel ils passent. Ce n'est pas du goût de son lieutenant, mais ce sera l'occasion pour le «Doc.» de soigner les blessés et d'offrir à ses filles qui l'accompagnent, Natalia et Irina, un peu de repos. La Baronne qui vit dans ses lieux avec les siens les accueille malgré elle, mais leur dissimule un secret. En effet, vit caché dans les murs de sa propriété un groupe d'enfants qu'elle tente de préserver de la guerre et de ses ravages. Une nuit, Natalia les découvre mais ces derniers la prennent tout de suite en amitié grâce aux histoires merveilleuses qu'elle leur conte et qui allègent leur souffrance et les tourments de la guerre. Mais la barbarie n'est jamais loin; une mutinerie se prépare au sein du groupe de soldats et des rumeurs inquiétantes circulent... On aurait vu la dernière ombre roder en ces lieux... Premier tome d'un diptyque inspiré dans ses ambiances par le Labyrinthe de Pan, La Dernière Ombre met en scène les tourments de la guerre et comment la puissance de l'imaginaire peut permettre d'oublier la violence humaine. Critique : Au cœur de la première guerre mondiale, une petite troupe de soldats russes accompagnés d’un médecin et de ses deux filles tente de regagner les lignes arrières. A bout de force et souhaitant donner du repos et des soins à leurs blessés, ils trouvent refuge dans un manoir perdu au milieu de la forêt. Mais les discordances montent et les tensions deviennent inévitables. Cette bande dessinée en 2 tomes nous propose de voir la guerre au travers des yeux d’enfants, le graphisme est très beau, très métaphorique, les adultes sont représentés comme des monstres, quel que soit leur camp. La dure réalité de la guerre est bien présente, violente dans les combats, dans les blessures et violente dans les rapports ne laissant pas de place aux compromis. Au milieu de tout ça, il y a des enfants qui se cachent, qui tentent d’échapper à cette réalité et se réfugient dans l’imaginaire. Et puis, il y a cette légende, l’existence de la dernière ombre, va-t-elle intervenir pour y mettre un terme ? Une bd intéressante, mais on ignore encore où elle va nous mener. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-derniere-ombre-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    La dernière ombre tome 1

    Au cœur de la première guerre mondiale, une petite troupe de soldats russes accompagnés d’un médecin et de ses deux filles tente de regagner les lignes arrières. A bout de force et souhaitant donner du repos et des soins à leurs blessés, ils trouvent refuge dans un manoir perdu au milieu de la forêt. Mais les discordances montent et les tensions deviennent inévitables. Cette bande dessinée en 2 tomes nous propose de voir la guerre au travers des yeux d’enfants, le graphisme est très beau, très métaphorique, les adultes sont représentés comme des monstres, quel que soit leur camp. La dure réalité de la guerre est bien présente, violente dans les combats, dans les blessures et violente dans les rapports ne laissant pas de place aux compromis. Au milieu de tout ça, il y a des enfants qui se cachent, qui tentent d’échapper à cette réalité et se réfugient dans l’imaginaire. Et puis, il y a cette légende, l’existence de la dernière ombre, va-t-elle intervenir pour y mettre un terme ? Une bd intéressante, mais on ignore encore où elle va nous mener.
  20. Titre de l'album : Le manoir Sheridan tome 1 la porte de géhenne Scenariste de l'album : LAMONTAGNE Jacques Dessinateur de l'album : YI MA Coloriste : YI MA Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : La magie n'existe que parce qu'il y a des secrets...Québec, Canada 1922. En fuite après avoir volé la caisse d'un magasin général, Daniel est englouti avec son traîneau dans les eaux d'un lac gelé. Angus Mac Mahon le sauve de justesse et l'emmène dans sa demeure, le Manoir Sheridan, une grande bâtisse isolée et inquiétante. Au fil de sa convalescence, Daniel va découvrir par hasard, dans une aile dont l'accès lui est totalement interdit, la nièce d'Angus, la belle Edana, plongée dans un profond état de catalepsie. Daniel va découvrir qu'il a ouvert la porte d'un monde cauchemardesque qu'il lui faudra affronter en passant un dangereux pacte avec le maître des lieux, pour défendre sa vie et celle de cette mystérieuse créature dont le charme l'a envouté...Baigné d'une aura ténébreuse à la Edgar Alan Poe, ou encore d'ambiances proches de certains films de Tim Burton, le premier tome de ce diptyque nous transporte dans une aventure fantastique enlevée et magnifiée par un dessin des plus inspiré! Critique : Au Quebec en 1922, l’histoire commence avec un accident de voiture à cheval en plein hiver sur un lac gelé, Daniel est sauvé de justesse et se réveille au manoir Sheridan, un étrange manoir perdu au milieu de la forêt avec peu d’habitants. Mais lui comme les habitants ont tous des secrets et il va profiter de sa convalescence pour fouiner un peu. Les dessins sont somptueux, l’histoire est mystérieuse à souhait. Concernant le scenario, il part dans le fantastique mais vu le sous-titre ce n’est pas une surprise car pour ceux qui l’ignore, la Géhenne est le nom donné à l’enfer dans la bible. Annoncé comme un diptyque, cette bande dessinée est une réussite. Autres infos : Collection Vents d'Ouest Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-manoir-sheridan-tome-1-la-porte-de-gehenne?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Au Quebec en 1922, l’histoire commence avec un accident de voiture à cheval en plein hiver sur un lac gelé, Daniel est sauvé de justesse et se réveille au manoir Sheridan, un étrange manoir perdu au milieu de la forêt avec peu d’habitants. Mais lui comme les habitants ont tous des secrets et il va profiter de sa convalescence pour fouiner un peu. Les dessins sont somptueux, l’histoire est mystérieuse à souhait. Concernant le scenario, il part dans le fantastique mais vu le sous-titre ce n’est pas une surprise car pour ceux qui l’ignore, la Géhenne est le nom donné à l’enfer dans la bible. Annoncé comme un diptyque, cette bande dessinée est une réussite.
  22. Titre de l'album : Les bonhommes de pluie Scenariste de l'album : DUPRAT François Dessinateur de l'album : DUPRAT François Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : L’été, c’est le temps des jeux, des premières amours de vacances, de la détente et de l’aventure. Celui d’Héloïse s’annonce pourtant pluvieux et morose. Tracassée par le déménagement qui l’attend à la rentrée, la jeune fille part camper au bord de la mer avec son oncle, sa tante et son petit cousin. Un petit groupe d’adolescents, habitués des lieux, met Héloïse et Théo au défi d’aller récupérer un objet dans la vieille maison qui se dresse sur la plage… Il paraît que, cette année, la bâtisse est hantée par des fantômes, des bonshommes de pluie. Critique : Héloïse part en vacances au camping avec ses cousins, elle n’a pas vraiment le moral car elle va devoir déménager à cause de la mutation de sa mère. Heureusement, son cousin est plutôt sympathique et elle a croisé un garçon qui lui plait. Mais ce dernier se la pète un peu et les met au défi de se rendre dans une maison abandonnée en pleine nuit. Il semblerait cependant que cette maison soit occupée, est-ce qu’il s’agit de fantômes, de créatures fantastiques que l’on appelle des bonhommes de nuit ou encore des malfaiteurs ? Car le bruit court qu’il y aurait des voleurs au camping… Difficile de faire une critique sans dévoiler l’intrigue. Il y a tout un aspect sur les relations familiales, Héloïse prend conscience de ce qui est le plus important pour elle. Et il y a toute une partie sur un sujet d’actualité sensible, et cette BD permet d’en faire une 1ere approche auprès des plus jeunes. Bien sûr, comme il s’agit d’un livre « jeunesse » et même s’il y a une certaine gravité dans le thème, il est abordé avec une certaine retenue, de façon à pouvoir en discuter en famille ensuite. Une bd intelligente, avec de beaux dessins pour permettre de discuter de certains sujets en famille. Autres infos : Editions de la Gouttière Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-bonhommes-de-pluie?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Les bonhommes de pluie

    Héloïse part en vacances au camping avec ses cousins, elle n’a pas vraiment le moral car elle va devoir déménager à cause de la mutation de sa mère. Heureusement, son cousin est plutôt sympathique et elle a croisé un garçon qui lui plait. Mais ce dernier se la pète un peu et les met au défi de se rendre dans une maison abandonnée en pleine nuit. Il semblerait cependant que cette maison soit occupée, est-ce qu’il s’agit de fantômes, de créatures fantastiques que l’on appelle des bonhommes de nuit ou encore des malfaiteurs ? Car le bruit court qu’il y aurait des voleurs au camping… Difficile de faire une critique sans dévoiler l’intrigue. Il y a tout un aspect sur les relations familiales, Héloïse prend conscience de ce qui est le plus important pour elle. Et il y a toute une partie sur un sujet d’actualité sensible, et cette BD permet d’en faire une 1ere approche auprès des plus jeunes. Bien sûr, comme il s’agit d’un livre « jeunesse » et même s’il y a une certaine gravité dans le thème, il est abordé avec une certaine retenue, de façon à pouvoir en discuter en famille ensuite. Une bd intelligente, avec de beaux dessins pour permettre de discuter de certains sujets en famille.
  24. Titre de l'album : Big G - Paris-Plage sous les bombes Scenariste de l'album : MARCO Victor et Jean-Louis Dessinateur de l'album : MARCO Jean-Louis Coloriste : OOSHIMA Hiroyuki Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Après la Seconde Révolution française de 2042, la France a été renommée Les États-Unis de France et sa capitale Paris-Plage. C'est dans cet univers futuriste fait de violence et d'excès que vit BIG G, Gérard pour les intimes, un vétéran des S.C.E.U.F (Super commandos des États-Unis de France). Ce dernier aimerait profiter d'une vie normale dans la capitale Paris-Plage mais le destin semble s'acharner sur lui. Quoi qu'il fasse, il se retrouve, toujours malgré lui, au mauvais endroit au mauvais moment. Heureusement, ses capacités physiques hors normes et son entraînement militaire lui permettent à chaque fois de se sortir de ces mauvais pas. Critique : C’est un peu par hasard que j’ai acheté cette BD et quand je l’ai reçue, j’ai été assez rebutée par le dessin ! Malgré ça, je m’y suis plongée et l’ai lue d’une traite. Dans une France post-apocalyptique et un Paris entièrement reconstruit comme la plus grande station balnéaire du monde, Big G, un ancien agent des forces spéciales aux gros bras, mène une vie de débrouille, il se retrouve malgré lui impliqué dans des histoires diverses où il va croiser le président (qui est un peu spécial) et un gros vilain bien moche. Les auteurs ont très bien pensé leur nouveau monde, ils ont d’ailleurs la gentillesse de nous mettre une frise chronologique avec les grands événements pour mieux nous situer et poussent le souci du détail à nous mettre des publicités de leur univers entre les chapitres !. La nouvelle Paris est très originale et très bien pensée. L’histoire et les personnages ont tous un côté déjanté, un peu WTF. Apparemment, ce serait un 1er tome. Autres infos : Edition Fluide glacial Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/big-g-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. C’est un peu par hasard que j’ai acheté cette BD et quand je l’ai reçue, j’ai été assez rebutée par le dessin ! Malgré ça, je m’y suis plongée et l’ai lue d’une traite. Dans une France post-apocalyptique et un Paris entièrement reconstruit comme la plus grande station balnéaire du monde, Big G, un ancien agent des forces spéciales aux gros bras, mène une vie de débrouille, il se retrouve malgré lui impliqué dans des histoires diverses où il va croiser le président (qui est un peu spécial) et un gros vilain bien moche. Les auteurs ont très bien pensé leur nouveau monde, ils ont d’ailleurs la gentillesse de nous mettre une frise chronologique avec les grands événements pour mieux nous situer et poussent le souci du détail à nous mettre des publicités de leur univers entre les chapitres !. La nouvelle Paris est très originale et très bien pensée. L’histoire et les personnages ont tous un côté déjanté, un peu WTF. Apparemment, ce serait un 1er tome.
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