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  1. The_PoP

    Survival - Aparecida Prison

    Bon il faut le dire d'emblée pour évacuer le sujet : oui il y a bien deux dessinateurs différents sur ce tome : Mirko Colak sur les 33 premières pages puis Diego Bonesso sur la fin. Mais la transition entre les deux est bien faite, et si l'on remarque bien quelques différences, elles ne sont pas gênantes et pas forcément visible au premier lecteur. Pas de soucis de ce côté là donc. Survival c'est la nouvelle série de one shot sans lien les uns avec les autres, basé sur le principe de survie en milieu hostile et scénarisés par Christophe Bec. Si le premier nous avait emmené en forêt puis en haute montagne, celui-ci nous emmènera dans les bas fonds d'une prison brésilienne. Soyons factuels, ces deux premiers épisodes tournent vite au jeu de massacre, celui-ci venant dans la droite ligne du précédent comme on peut s'y attendre en prison. La bd n'est clairement pas à mettre entre toutes les mains, la violence y étant sur représentée, gore à souhait, et parfois franchement un brin dérangeante. Ceci étant dit, c'est en partie lié au sujet donc ce n'est pas hors de propos. Si le scénario de Christophe Bec était un peu linéaire et simpliste sur le premier tome malgré un joli twist final, ce tome-ci est plus complexe, et pour tout dire plus intéressant. Seul bémol, et c'est mon dada du moment, en 64 pages, Christophe Bec se débrouille pour laisser d'immenses zones d'ombres et certains personnages très très très obscurs. Alors si j'aime bien quand le scénariste ne nous pose pas tout tout cuit sous les yeux, là c'est un péché de gourmandise, cela n'apporte rien, et quand il faut aller lire le résumé au dos pour en apprendre plus sur l'un des personnages principaux, cela fait quand même bizarre... Les dessins ne sont pas ce qui se fait de mieux en bd, mais ils rendent à merveille la brutalité et la sauvagerie de cet univers carcéral. Ce tome 2 réhausse mon intérêt pour cette série de one shot et je ne peux que vous le conseiller si vous n'êtes pas allergiques à l'ultra violence.
  2. Titre de l'album : Survival - Aparecida Prison Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Mirko Colak puis Diego Bonesso Coloriste : Simon Champelovier Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Bienvenue dans la prison la plus violente du Brésil où sont enfermés les criminels les plus dangereux du pays. Affrontements entre bandes rivales sont le quotidien des matons qui tentent d'y faire régner un semblant de loi. Des membres de la commission humanitaire vont se retrouver piégés et menacés par des émeutiers assoiffés de sa ng, que seul un flic infiltré pourra peut-être contrer... Critique : Bon il faut le dire d'emblée pour évacuer le sujet : oui il y a bien deux dessinateurs différents sur ce tome : Mirko Colak sur les 33 premières pages puis Diego Bonesso sur la fin. Mais la transition entre les deux est bien faite, et si l'on remarque bien quelques différences, elles ne sont pas gênantes et pas forcément visible au premier lecteur. Pas de soucis de ce côté là donc. Survival c'est la nouvelle série de one shot sans lien les uns avec les autres, basé sur le principe de survie en milieu hostile et scénarisés par Christophe Bec. Si le premier nous avait emmené en forêt puis en haute montagne, celui-ci nous emmènera dans les bas fonds d'une prison brésilienne. Soyons factuels, ces deux premiers épisodes tournent vite au jeu de massacre, celui-ci venant dans la droite ligne du précédent comme on peut s'y attendre en prison. La bd n'est clairement pas à mettre entre toutes les mains, la violence y étant sur représentée, gore à souhait, et parfois franchement un brin dérangeante. Ceci étant dit, c'est en partie lié au sujet donc ce n'est pas hors de propos. Si le scénario de Christophe Bec était un peu linéaire et simpliste sur le premier tome malgré un joli twist final, ce tome-ci est plus complexe, et pour tout dire plus intéressant. Seul bémol, et c'est mon dada du moment, en 64 pages, Christophe Bec se débrouille pour laisser d'immenses zones d'ombres et certains personnages très très très obscurs. Alors si j'aime bien quand le scénariste ne nous pose pas tout tout cuit sous les yeux, là c'est un péché de gourmandise, cela n'apporte rien, et quand il faut aller lire le résumé au dos pour en apprendre plus sur l'un des personnages principaux, cela fait quand même bizarre... Les dessins ne sont pas ce qui se fait de mieux en bd, mais ils rendent à merveille la brutalité et la sauvagerie de cet univers carcéral. Ce tome 2 réhausse mon intérêt pour cette série de one shot et je ne peux que vous le conseiller si vous n'êtes pas allergiques à l'ultra violence. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/survival-aparecida-prison/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Titre de l'album : Ivo a mis les voiles Scenariste de l'album : Nicolaï Pinheiro Dessinateur de l'album : Nicolaï Pinheiro Coloriste : Nicolaï Pinheiro Editeur de l'album : Sarbacane Note : Résumé de l'album : Fin des années 80. Un quinquagénaire qui porte sur son visage brun les stigmates d'une vie sans concession, gare sa vieille coccinelle sur le bord d'une route poussiéreuse. Il pousse la porte d'un bar miteux et commande une cachaça. On entend à peine ce qu'il dit : Ivo, mécanicien de métier, fumeur invétéré et alcoolique, souffre d'un cancer de la gorge. Mais son plus grand vice, c'est la route : sa vie durant, il n'a jamais pu se poser, toujours en perpétuel mouvement. Que quitte-il ? Où va-t-il ? Cette fois, plus que toutes les autres, seul Ivo le sait. Pedro, un jeune Carioca, beau garçon taiseux, apprend la mort d'Ivo et se lance alors sur la trace de son dernier périple, sur les routes du Nordeste. Allant d'indice en indice, l'amour et l'amitié s'invitent bientôt au voyage. Pedro embarque dans sa voiture des compagnons improvisés, pour quelques kilomètres, parfois quelques jours : la jolie Vania qui a fui sa famille, Valdo, un surfeur à la recherche de son fils, ou encore Gabriel et Kadu, jeunes chercheurs scientifiques à l'âme poétique. Mais qui est Ivo pour Pedro ? Et qui est Pedro pour Ivo ? Le savent-ils eux-mêmes ? Critique : C'est un road-trip délicieux et prenant que nous livre ce jeune auteur franco-brésilien de grand talent ! Nous suivons en parallèle tout au long du récit , Ivo le mécanicien et Pedro un jeune homme, sur les voies côtières brésiliennes du sud au nord . L'un chasse le temps , pendant que l'autre le remonte . Le certificat de décès d'Ivo en main , Pedro va parcourir le même chemin que le défunt sur fond de quête initiatique . Un véritable pèlerinage jalonné de surprises , de personnages en fuite ou en recherche de passé , ou de futur . Cette galerie de rencontres est à la fois émouvante et rafraichissante tant les histoires de chacun nous prennent aux tripes . L'empathie fonctionne à merveille et il faut féliciter l'auteur pour cela . Les pages se tournent et passent d'un protagoniste à l'autre sans que le lecteur ne se perde en route . Il faut dire que le dessin aide énormément , son trait semi-réaliste aux couleurs chatoyantes est un régal pour les pupilles . La couverture donne le ton , on y aperçoit 4 jeunes gens marchant sur le fil de l'eau entre ciel et mer ,une ligne séparant le passé et les promesses d'un futur . L'auteur insiste sur le "jeu des acteurs" , on s'attarde parfois sur une seule personne dans 2 ou 3 cases afin de mieux cerner ses réactions et suivre cette histoire comme un film . Je mettrais un léger bémol sur la grande quantité de personnages , pas toujours évidente à ingérer , mais cela peut inviter à une seconde lecture des plus agréable , tant l'histoire est belle et graphiquement de grande qualité . Une aventure humaine émouvante et prenante à la façon d'un polar . On en redemande monsieur Pinheiro , et merci pour le voyage 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ivo-a-mis-les-voiles/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Kevin Nivek

    Ivo a mis les voiles

    C'est un road-trip délicieux et prenant que nous livre ce jeune auteur franco-brésilien de grand talent ! Nous suivons en parallèle tout au long du récit , Ivo le mécanicien et Pedro un jeune homme, sur les voies côtières brésiliennes du sud au nord . L'un chasse le temps , pendant que l'autre le remonte . Le certificat de décès d'Ivo en main , Pedro va parcourir le même chemin que le défunt sur fond de quête initiatique . Un véritable pèlerinage jalonné de surprises , de personnages en fuite ou en recherche de passé , ou de futur . Cette galerie de rencontres est à la fois émouvante et rafraichissante tant les histoires de chacun nous prennent aux tripes . L'empathie fonctionne à merveille et il faut féliciter l'auteur pour cela . Les pages se tournent et passent d'un protagoniste à l'autre sans que le lecteur ne se perde en route . Il faut dire que le dessin aide énormément , son trait semi-réaliste aux couleurs chatoyantes est un régal pour les pupilles . La couverture donne le ton , on y aperçoit 4 jeunes gens marchant sur le fil de l'eau entre ciel et mer ,une ligne séparant le passé et les promesses d'un futur . L'auteur insiste sur le "jeu des acteurs" , on s'attarde parfois sur une seule personne dans 2 ou 3 cases afin de mieux cerner ses réactions et suivre cette histoire comme un film . Je mettrais un léger bémol sur la grande quantité de personnages , pas toujours évidente à ingérer , mais cela peut inviter à une seconde lecture des plus agréable , tant l'histoire est belle et graphiquement de grande qualité . Une aventure humaine émouvante et prenante à la façon d'un polar . On en redemande monsieur Pinheiro , et merci pour le voyage 🙂
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