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Nouveau reboot made in Urban Link avec la belle histoire de Cassandra Cain. Belle non pas pdans le fond mais belle car bien raconté. On a la, encore une fois, une belle histoire sur fond de super héroïsme. La prise de partie de présenter une Cassandra Cain quasiment muette et analphabète est intéressant. Cela demande au lecteur de vraiment se plonger dans le personnage mais une fois ceci fait on se retrouve à mieux comprendre les doutes et les hésitations de Cassandra. L'aspect Batgirl est presenté avec finesse et la rencontre avec Barbara en fauteil est bien amenée. Ce dernier personnage est aussi bien traité, ne prenant pas trop de place et étant surtout la en tant que conseillère dans son role d'Oracle . Le choix de ne pas du tout mettre cet histoire dans l'univers de batman, au point de ne même pas parler de Batman lui meme dans Gotham, pourra paraitre étrange aux lecteurs assidus de la franchise mais cela permet aussi de se concentrer sur l'histoire de Cassandra. C'est donc plutot positif de mon point de vue. Urban Link nous propose donc, encore une fois, un bien beau reboot et une très belle histoire.
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Titre de l'album : Shadow of the batgirl Scenariste de l'album : Sarah Kuhn Dessinateur de l'album : Nicole Goux Coloriste : Nicole Goux Editeur de l'album : Urban Link Note : Résumé de l'album : Difficile de balayer d'un revers de main tout ce qui nous a été enseigné depuis l'enfance. C'est pourtant l'épreuve difficile à laquelle va devoir se confronter Cassandra Cain, fille d'assassin formée depuis son plus jeune âge à embrasser la même voie que son père. Mutique depuis sa dernière mission, la jeune femme fuit, se renferme sur elle-même et s'interroge sur le sens qu'elle souhaite désormais donner à sa vie. Une petite voix dans sa tête lui répète qu'elle ne sera jamais quelqu'un de bien - à l'image de l'héroïne Batgirl, qu'elle admire tant, mais que personne n'a vu depuis plusieurs années. Fort heureusement, certaines rencontres peuvent tout changer. Grâce à deux femmes de caractère, courageuses et indépendantes qui la prennent sous leurs ailes, le destin de Cassandra ne sera plus jamais le même. Critique : Nouveau reboot made in Urban Link avec la belle histoire de Cassandra Cain. Belle non pas pdans le fond mais belle car bien raconté. On a la, encore une fois, une belle histoire sur fond de super héroïsme. La prise de partie de présenter une Cassandra Cain quasiment muette et analphabète est intéressant. Cela demande au lecteur de vraiment se plonger dans le personnage mais une fois ceci fait on se retrouve à mieux comprendre les doutes et les hésitations de Cassandra. L'aspect Batgirl est presenté avec finesse et la rencontre avec Barbara en fauteil est bien amenée. Ce dernier personnage est aussi bien traité, ne prenant pas trop de place et étant surtout la en tant que conseillère dans son role d'Oracle . Le choix de ne pas du tout mettre cet histoire dans l'univers de batman, au point de ne même pas parler de Batman lui meme dans Gotham, pourra paraitre étrange aux lecteurs assidus de la franchise mais cela permet aussi de se concentrer sur l'histoire de Cassandra. C'est donc plutot positif de mon point de vue. Urban Link nous propose donc, encore une fois, un bien beau reboot et une très belle histoire. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/shadow-of-the-batgirl?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Ça y est on est à la fin. La fin de rien de moins 17 volumes formant un une des histoires les plus dantesques de l'univers DC. Et encore je ne parle pas d’histoire annexe sur le multivers noir ou la League de justice Dark. Juste le cœur de l'histoire. Alors forcément une fin d'une aussi grande et démentiel histoire ne peut pas être parfaite. Il y a trop en jeux pour que la fin ne soit pas "Mystico-esoterico-mythologique". Mais pas plus que dans la plus part des crises DC. Mais ce qui rend ce tous globalement bon c'est bien le découpage et le basculement du désespoir vers l'espoir de chaque team. En effet nos auteurs choisissent de réunir les teams sur le champ de bataille. Que dire team. On parle bien ici de famille. Car il y a autant les gentils que les méchants. Chaque famille se sert les coude et lutte autant par habitude que par soutiens pour le reste de sa famille. Une lutte à la vie à la mort entre l'espérance de jour meilleur et le recherche de noirceur absolu. Donc si ce tome aura du mal à briller par sa simplicité (Apres 17 volumes aussi épais même Hickman ne saurais s'en sortir avec une fin logique et compréhensible) il n'en reste pas moins une fin émouvante qui clôture un arc aussi long que diffèrent de tout ce que l'on a pu voir. Un arc tellement long qu'on ne sait vraiment pas ce qui va nous attendre au tournant avec le Future State annoncé par DC. Si ce n'est qu'il y aura forcément du changement.
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Titre de l'album : Batman Death Metal T4 Scenariste de l'album : Scott Snyder / James Tynion IV Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Malgré les agissements de Lex Luthor, Lobo et de la Ligue de Nightwing, le plan de la Trinité - Superman, Batman et Wonder Woman- pour contrer Perpetua a échoué. Désormais, le Darkest Knight possède l'énergie d'anti-crise à même de remodeler l'existence en Multivers qui rit. Pour les héros : il ne reste plus qu'une issue : restaurer toutes les continuités passées ou périr. Critique : Ça y est on est à la fin. La fin de rien de moins 17 volumes formant un une des histoires les plus dantesques de l'univers DC. Et encore je ne parle pas d’histoire annexe sur le multivers noir ou la League de justice Dark. Juste le cœur de l'histoire. Alors forcément une fin d'une aussi grande et démentiel histoire ne peut pas être parfaite. Il y a trop en jeux pour que la fin ne soit pas "Mystico-esoterico-mythologique". Mais pas plus que dans la plus part des crises DC. Mais ce qui rend ce tous globalement bon c'est bien le découpage et le basculement du désespoir vers l'espoir de chaque team. En effet nos auteurs choisissent de réunir les teams sur le champ de bataille. Que dire team. On parle bien ici de famille. Car il y a autant les gentils que les méchants. Chaque famille se sert les coude et lutte autant par habitude que par soutiens pour le reste de sa famille. Une lutte à la vie à la mort entre l'espérance de jour meilleur et le recherche de noirceur absolu. Donc si ce tome aura du mal à briller par sa simplicité (Apres 17 volumes aussi épais même Hickman ne saurais s'en sortir avec une fin logique et compréhensible) il n'en reste pas moins une fin émouvante qui clôture un arc aussi long que diffèrent de tout ce que l'on a pu voir. Un arc tellement long qu'on ne sait vraiment pas ce qui va nous attendre au tournant avec le Future State annoncé par DC. Si ce n'est qu'il y aura forcément du changement. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-death-metal-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Nouveau one shot dans l'univers de Batman chez Urban Link. Et cette fois un album qui reprend un des hits des 4 des derniers années : l'apparition de Jack Napier, alias le Joker. En effet très longtemps la vraie identité du Joker n'a pas été connue. Elle n'a été mise en avant que par l'excellent Bamtan White Night de Sean Murphy. Comme d'habitude dans les Urban Link, on n'est pas du tout ici dans un comics de super héros mais un comics qui essaye de retranscrire les traits de nos super héros dans une vie "normale". Et s'il y a plein de réussite depuis les débuts d'Urban Link, je ne pourrais dire que celui ci en est une. En effet graphiquement c'est c'est correct mais pas fantastique. Mais c'est surtout scenaristiquement que ce n'est pas à la hauteur des autres titres : Le personnage de Jack Napier ne prend pas. Il sert uniquement de faire valoir. Faire valoir à une Sélina Kyle plutot bien pensée mais trop versatile pour être crédible. Faire valoir à un Bruce Wayne en très petite forme qui se laisse mener par le bout du nez par tout le monde. L'histoire avance sans que ce trio ne se forme vraiment. Les manipulations sont grossières mais nos personnages principaux tomebent dedans sans réfléchir ce qui ne ressemble en rien aux personnages réels. Bref un album un peu vite lu et surement très vite oublié. Un album qui aura peut etre plus de succes avec un publique jeune et n'ayant aucune connaissance des personnages.
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Titre de l'album : Gotham high Scenariste de l'album : Melissa de la Cruz Dessinateur de l'album : Thomas Pitilli Coloriste : Thomas Pitilli Editeur de l'album : Urban Link Note : Résumé de l'album : Pas facile de se faire des amis quand vos fringues valent plus que le revenu annuel d'une famille de travailleurs de Gotham. C'est l'amer constat que doit faire Bruce Wayne à son retour au lycée public de la ville, lui qui, jusqu'à son renvoi pour coups et blessures, côtoyait les élites de demain à la prestigieuse école privée Arkham. Ce retour à sa vie « d'avant le drame » est douloureux et solitaire. Enfin... jusqu'à ses retrouvailles avec son amie d'enfance, Selina Garcia Kyle, qui lui présente aussi un certain Jack Napier, joueur invétéré de poker. Tous deux ont des vies aux antipodes de celle de Bruce. À défaut de paillettes et de gros titres dans les journaux, Selina et Jack côtoient plutôt la maladie, les soucis financiers et la petite délinquance. Lorsque l'un des élèves du lycée se fait kidnapper, Bruce se lance à la recherche d'indices, mais les apparences sont bien souvent trompeuses, particulièrement à Gotham High, où les fêtes étudiantes, les romances et les manipulations sont légions, et où chacun devient un suspect potentiel Critique : Nouveau one shot dans l'univers de Batman chez Urban Link. Et cette fois un album qui reprend un des hits des 4 des derniers années : l'apparition de Jack Napier, alias le Joker. En effet très longtemps la vraie identité du Joker n'a pas été connue. Elle n'a été mise en avant que par l'excellent Bamtan White Night de Sean Murphy. Comme d'habitude dans les Urban Link, on n'est pas du tout ici dans un comics de super héros mais un comics qui essaye de retranscrire les traits de nos super héros dans une vie "normale". Et s'il y a plein de réussite depuis les débuts d'Urban Link, je ne pourrais dire que celui ci en est une. En effet graphiquement c'est c'est correct mais pas fantastique. Mais c'est surtout scenaristiquement que ce n'est pas à la hauteur des autres titres : Le personnage de Jack Napier ne prend pas. Il sert uniquement de faire valoir. Faire valoir à une Sélina Kyle plutot bien pensée mais trop versatile pour être crédible. Faire valoir à un Bruce Wayne en très petite forme qui se laisse mener par le bout du nez par tout le monde. L'histoire avance sans que ce trio ne se forme vraiment. Les manipulations sont grossières mais nos personnages principaux tomebent dedans sans réfléchir ce qui ne ressemble en rien aux personnages réels. Bref un album un peu vite lu et surement très vite oublié. Un album qui aura peut etre plus de succes avec un publique jeune et n'ayant aucune connaissance des personnages. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gotham-high?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Le retour des deux auteurs de l'excellent Batwoman, under the moon. Ils nous reviennent aux édition Urban Link avec un nouveau roman graphique dans l'univers de Batman : Victor et Nora. Et oui n'en déplaise aux histoires déjà lue et au graphisme habituel du personnage, on voit bien sur la couverture Victor Fries alias Freezer. Mais ici il n'est pas question de Freezer. Il est bien question de l'histoire d'amour qui a enfanté du méchant le plus froid de l'univers DC. Et quelle histoire d'amour. Une histoire à faire verser une larme à n'importe quel coeur de glace. Et on retrouve encore une fois le talent de Lauren Myracle pour nous parler des sentiments de ses personnages. Si on n'atteint pas ici la dramaturgie de Catwoman Under the moon (avec une narration alternée par toujours facile à suivre) c'est surement parce que la fin est connue et immmuable. Il n'empche que l'on s'attache quand meme énormement à ces deux ames perdues qui se rencontrent trop tard. L'influence d'un personnage sur l'autre est bien faite à tel point que la "transformation" en Freezer nous semble naturelle et que l'on se demande si on aurait pas fait la meme chose à sa place. Bref encore une réussite pour Urban Link qui commence à avoir un catalogue aussi dense qu'intéressant.
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Titre de l'album : Victor et Nora - a gotham love story Scenariste de l'album : Lauren Myracle Dessinateur de l'album : Isaac Goodhart Coloriste : Isaac Goodhart Editeur de l'album : Urban Link Note : Résumé de l'album : Victor Fries a un coeur de pierre. À la mort de son frère, sa vie s'est littéralement figée. Ses parents se sont renfermés sur eux-mêmes, et lui n'a trouvé d'autre solution que de noyer sa culpabilité et son chagrin dans ses études scientifiques. À contrario, Nora Faria est pleine de vie. Elle souffre pourtant d'une maladie incurable qui la consume peu à peu de l'intérieur mais, pour elle, hors de question de se laisser abattre. Sa décision est prise : il ne lui reste que peu de temps à vivre, aussi elle compte bien profiter de ce dernier été à Gotham jusqu'au jour de son anniversaire, où elle se donnera la mort. Sa rencontre avec Victor ensoleillera encore davantage ses derniers moments de bonheur intense. Lui-même se surprendra à ressentir à nouveau des émotions qu'il croyait à tout jamais disparues. Les plus belles rencontres sont celles que l'on n'attendait plus, c'est pourquoi le jeune homme va tout faire pour sauver celle qui l'aime, peu importe le prix. Critique : Le retour des deux auteurs de l'excellent Batwoman, under the moon. Ils nous reviennent aux édition Urban Link avec un nouveau roman graphique dans l'univers de Batman : Victor et Nora. Et oui n'en déplaise aux histoires déjà lue et au graphisme habituel du personnage, on voit bien sur la couverture Victor Fries alias Freezer. Mais ici il n'est pas question de Freezer. Il est bien question de l'histoire d'amour qui a enfanté du méchant le plus froid de l'univers DC. Et quelle histoire d'amour. Une histoire à faire verser une larme à n'importe quel coeur de glace. Et on retrouve encore une fois le talent de Lauren Myracle pour nous parler des sentiments de ses personnages. Si on n'atteint pas ici la dramaturgie de Catwoman Under the moon (avec une narration alternée par toujours facile à suivre) c'est surement parce que la fin est connue et immmuable. Il n'empche que l'on s'attache quand meme énormement à ces deux ames perdues qui se rencontrent trop tard. L'influence d'un personnage sur l'autre est bien faite à tel point que la "transformation" en Freezer nous semble naturelle et que l'on se demande si on aurait pas fait la meme chose à sa place. Bref encore une réussite pour Urban Link qui commence à avoir un catalogue aussi dense qu'intéressant. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/victor-nora-a-gotham-love-story?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Urban continu de nous proposer des récits inédit de Dc sous forme de recueil. Comme les précédents on retrouve ici des histoires provenant de toutes les époques. Et si celles-ci sont particulièrement intéressantes avec un classement autour des différents aspects de la personnalité de Bruce Wayne, elles n’en restent pas moins très éclectiques. Il sera difficile, pour le lecteur non avertit, de ne pas être perdu par les sauts temporels et les changements graphiques en fonction des époques de parution. On pourra regretter aussi l'absence de parutions vraiment récentes dans ce recueil ci. Je l'interpréterais comme une bonne couverture de la part d'Urban des parutions concernant Bruce Wayne mais je préfère vous prévenir. Ne pas s'attendre à un graphisme des années 2010. Bref comme les autres ce recueil restera un récit que les fans voudront absolument mais que les nouveaux lecteurs auront du mal à appréhender.
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Titre de l'album : Batman Mythology : Bruce Wayne Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Le célibataire le plus en vue de Gotham City est également son célèbre protecteur : Batman. Mais quels sont les secrets qui entourent ce playboy milliardaire, dirigeant d'une des entreprises les plus florissantes des États-Unis. De son serment fait à ses parents à sa vie de businessman philanthrope, découvrez tous les reflets d'une vie déchirée par un drame il y a des années. Contenu : Secret Origins (1987) #6 ; Batman Chronicles #5 ; Detective Comics #155, 226, 614, 678 ; Batman #250, 383, 561 ; Legends of the Dark Knight #79 ; Legends of the Dark Knight 100-page Spectacular #2 ; Gotham Knights #32 ; Batman: Shadow of the Bat #45. Critique : Urban continu de nous proposer des récits inédit de Dc sous forme de recueil. Comme les précédents on retrouve ici des histoires provenant de toutes les époques. Et si celles-ci sont particulièrement intéressantes avec un classement autour des différents aspects de la personnalité de Bruce Wayne, elles n’en restent pas moins très éclectiques. Il sera difficile, pour le lecteur non avertit, de ne pas être perdu par les sauts temporels et les changements graphiques en fonction des époques de parution. On pourra regretter aussi l'absence de parutions vraiment récentes dans ce recueil ci. Je l'interpréterais comme une bonne couverture de la part d'Urban des parutions concernant Bruce Wayne mais je préfère vous prévenir. Ne pas s'attendre à un graphisme des années 2010. Bref comme les autres ce recueil restera un récit que les fans voudront absolument mais que les nouveaux lecteurs auront du mal à appréhender. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-mythology-bruce-wayne?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Je ne m'épancherais pas sur l'affaire Warren Ellis aux US. Pour tout dire je n'étais pas au courant avec de faire mes devoirs sur cet album. Je parlerais de l'album lui-même qui est un vrai Warren Ellis. Peut-être un peu trop. EN effet on retrouve le style Ellis avec de multiple page qui mettent en avant les scènes d'actions. Des pages sans paroles qui donnent la part belle au dessin de Bryan Hiltch. Si le dessin est très sympa et que l'on apprécie les premières scènes, cela tranche quand même pas mal avec le personnage de Batman lui-même qui est au final un personnage très réfléchit. On a donc forcément un Batman plus intuitif que réfléchit sur cette histoire. Cela change, cela cadre avec le scénariste, cela fait une bonne lecture avec une histoire intéressante, mais cela manque un poil de profondeur qui fait qu’on n’a pas forcément envie de le relire. Bref du Ellis......
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Titre de l'album : The Batman's Grave Scenariste de l'album : Warren Ellis Dessinateur de l'album : Bryan Hiltch Coloriste : Bryan Hiltch Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Quand Batman découvre le lien caché entre l'assassinat d'un ancien inspecteur de la criminelle et celui d'un avocat véreux, c'est le début pour lui d'une traque sans relâche qui le mène vers un nouvel ennemi : Scorn. Ce dernier monte une armée de tueurs implacable à même de vaincre le Chevalier Noir, qui se trouve de son côté de plus en plus isolé. Bruce Wayne a peut-être enfin atteint sa limite. Critique : Je ne m'épancherais pas sur l'affaire Warren Ellis aux US. Pour tout dire je n'étais pas au courant avec de faire mes devoirs sur cet album. Je parlerais de l'album lui-même qui est un vrai Warren Ellis. Peut-être un peu trop. EN effet on retrouve le style Ellis avec de multiple page qui mettent en avant les scènes d'actions. Des pages sans paroles qui donnent la part belle au dessin de Bryan Hiltch. Si le dessin est très sympa et que l'on apprécie les premières scènes, cela tranche quand même pas mal avec le personnage de Batman lui-même qui est au final un personnage très réfléchit. On a donc forcément un Batman plus intuitif que réfléchit sur cette histoire. Cela change, cela cadre avec le scénariste, cela fait une bonne lecture avec une histoire intéressante, mais cela manque un poil de profondeur qui fait qu’on n’a pas forcément envie de le relire. Bref du Ellis...... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-s-grave?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Urban continu a nous proposer des recueils d'histoires centrées sur les habitués de l'asile d'Arkham. Au tour, cette fois ci, de Posoin Ivy qui est une méchante habituelle de Batman, avant sa pseudo rédemption actuelle aux cotés de Harley Quinn. Cet album est meilleur que le précédent sur Double face. En effet il nous livre beaucoup plus de récit inédit en France dont une histoore de Stephan Sejic, l'auteur de Harleen. Ces anthology restent cependant des oeuvres réalisées pour les fans et non le grand publique. En effet les récits sont vraiment de différentes époques et donc offrent des dessins tous differents et une histoire sans fil rouge. On explore vraiment toutes les années d'existence de Poison Ivy y compris les plus vieilles. Cela risque donc de ne parler qu'aux fans de l'univers DC.
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Titre de l'album : Batman Arkham : Poison ivy Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Pamela Lillian Isley était une jeune étudiante fascinée par la botanique et la toxicologie lorsque le professeur Jason Woodrue a expérimenté sur elle des produits interdits. Devenue Poison Ivy, elle s'est lancée dans une lutte incessante contre Batman et les autorités, notamment les grands pollueurs qui mettent à mal l'équilibre écologique de la planète, et tente d'instaurer le règne incontesté du monde des plantes. Contenu vo : Batman #181, Secret Origins #36, Legends of the Dark Knight #42-43, Batman: Shadow of the Bat Annual #3, Batman/Poison Ivy #1, Batman Chronicles #9, Batman: Gotham Knights #14-15, Batman/Poison Ivy: Cast Shadows, Joker's Asylum: Poison Ivy #1, Secret Origins V2 #10. Critique : Urban continu a nous proposer des recueils d'histoires centrées sur les habitués de l'asile d'Arkham. Au tour, cette fois ci, de Posoin Ivy qui est une méchante habituelle de Batman, avant sa pseudo rédemption actuelle aux cotés de Harley Quinn. Cet album est meilleur que le précédent sur Double face. En effet il nous livre beaucoup plus de récit inédit en France dont une histoore de Stephan Sejic, l'auteur de Harleen. Ces anthology restent cependant des oeuvres réalisées pour les fans et non le grand publique. En effet les récits sont vraiment de différentes époques et donc offrent des dessins tous differents et une histoire sans fil rouge. On explore vraiment toutes les années d'existence de Poison Ivy y compris les plus vieilles. Cela risque donc de ne parler qu'aux fans de l'univers DC. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-arkham-poison-ivy?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Fin du premier arc de la Justice League dark et c'est, pour moi, le meilleur et d'assez loin. Le meilleur car il donne la part belle aux magiciens. Aussi étrange que cela puisse paraitre avant on avait Wonder Woman en tête de prou et les autres faisaient un peu de figuration. Là on a vraiment en personnage principale Zatana mais aussi notre amis John Constantine et les autres "seconds couteaux". Et ça fait du bien. Car on a des sortilèges, des contre sort, des magouilles de Constantine, une belle renaissance de la créature du marais et un Nabu plus humain que jamais. Bien enrobé par un contexte magique bien pensé, cette histoire est une vraie aventure de la Justice league Dark et non pas une aventure de Wonder Woman et ses sorciers. Le combat final contre l'homme inversé est dantesque et le bilan permet d'en rester là et de clôturer une renaissance de la Justice League Dark globalement bien faite. On regrettera jusque l'absence de vraie cohérence globale avec le Run Metal. En effet on parlait du Joker qui rit sous l'influence de Luthor, on a même vu dans le ciel le symbole de la totalité.... et la pouffe plus rien alors même que les personnages sont partis prenante du tome 3 de Death metal. Etrange mais pas dérangeant.
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Titre de l'album : Justice league dark t4 : sort tragique Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : La Ligue des Ténèbres a remporté une victoire décisive face au Docteur Fate mais n'est pas pour autant partie pour se reposer sur ses lauriers. En effet, le chaos qui a chamboulé les différentes forces mystiques qui président à l'univers est toujours présent et tout aussi violent. Les forces de la Sève et du Sang sont sens dessus dessous et le groupe de Wonder Woman n'a d'autre choix que de faire appel à Animal Man, lui aussi dépassé par les événements. Contenu vo : Justice League Dark #20-28. Critique : Fin du premier arc de la Justice League dark et c'est, pour moi, le meilleur et d'assez loin. Le meilleur car il donne la part belle aux magiciens. Aussi étrange que cela puisse paraitre avant on avait Wonder Woman en tête de prou et les autres faisaient un peu de figuration. Là on a vraiment en personnage principale Zatana mais aussi notre amis John Constantine et les autres "seconds couteaux". Et ça fait du bien. Car on a des sortilèges, des contre sort, des magouilles de Constantine, une belle renaissance de la créature du marais et un Nabu plus humain que jamais. Bien enrobé par un contexte magique bien pensé, cette histoire est une vraie aventure de la Justice league Dark et non pas une aventure de Wonder Woman et ses sorciers. Le combat final contre l'homme inversé est dantesque et le bilan permet d'en rester là et de clôturer une renaissance de la Justice League Dark globalement bien faite. On regrettera jusque l'absence de vraie cohérence globale avec le Run Metal. En effet on parlait du Joker qui rit sous l'influence de Luthor, on a même vu dans le ciel le symbole de la totalité.... et la pouffe plus rien alors même que les personnages sont partis prenante du tome 3 de Death metal. Etrange mais pas dérangeant. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/justice-league-dark-rebirth-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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En voila un cross over à l'ancienne. Le genre que je ne pensais plus voir et..... que ca ne m'aurait pas derangé de ne plus lire en fait. Non pas que ce ne soit pas divertissant. Ca plairait à un ado sur la route des vacances. Mais ce crossover est globalement... vide. Oui Vide. On y retrouve une histoire assez abracabrantesque, plein de personnages secondaires à peine presentés qu'ils sont partsi sans faire grand chose si ce n'est coucou et un méchant très méchant mais venu de nul part et envoyé vers le "on ne te revera jamais" en 3 coup de cuillere à pot sans intervention d'aucun des vrais héros d'ailleurs. En gros un one shot sans grand intérêt ni impact mais surtout presque pas creusé par sa faible pagination. Aucun des points de vue présentés ne sont vraiment poussés, (batman a un joli manteau c'est suffisant non ?) les héros font à peine leur showroom et on a oublié cette histoire 3h apres l'avoir lue. Bref un crossover que j'appreciais quand j'avais 10 quand je ne cherchais pas de vrai scénario. Malheureusement ca a changé depuis et je vais me replonger de ce pas dans DCeased ou la saga Metal....
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Titre de l'album : Justice league Endless winter Scenariste de l'album : Ron Marz / Andy Lanning Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Il y a un millier d'années, un dieu nordique répondant au nom de Frost King a menacé le monde et ses habitants. À l'époque, une équipe de héros composée de Black Adam, la Créature du Marais, Hippolyte et Viking Prince s'était rassemblée pour s'opposer à cette ancienne divinité capable de contrôler des écosystèmes entiers. Le combat s'était alors soldée par une victoire... mais à quel prix ? Aujourd'hui, le géant de glace est de retour de son exil, et un blizzard mortel l'accompagne... Critique : En voila un cross over à l'ancienne. Le genre que je ne pensais plus voir et..... que ca ne m'aurait pas derangé de ne plus lire en fait. Non pas que ce ne soit pas divertissant. Ca plairait à un ado sur la route des vacances. Mais ce crossover est globalement... vide. Oui Vide. On y retrouve une histoire assez abracabrantesque, plein de personnages secondaires à peine presentés qu'ils sont partsi sans faire grand chose si ce n'est coucou et un méchant très méchant mais venu de nul part et envoyé vers le "on ne te revera jamais" en 3 coup de cuillere à pot sans intervention d'aucun des vrais héros d'ailleurs. En gros un one shot sans grand intérêt ni impact mais surtout presque pas creusé par sa faible pagination. Aucun des points de vue présentés ne sont vraiment poussés, (batman a un joli manteau c'est suffisant non ?) les héros font à peine leur showroom et on a oublié cette histoire 3h apres l'avoir lue. Bref un crossover que j'appreciais quand j'avais 10 quand je ne cherchais pas de vrai scénario. Malheureusement ca a changé depuis et je vais me replonger de ce pas dans DCeased ou la saga Metal.... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/justice-league-endless-winter?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Troisième et avant dernier tome du giga crossover Death Metal et sans surprise un tome de transition. Un tome qui nous prépare donc à la grosse bataille finale qui aura lieux dans le prochain tome. Ce tome nous fait donc nous poser plus de question qu'il n'apporte de réponses. Il nous fait surtout nous poser la question d'un hypothétique retour en arrière..... via le Death Metal justement. Mais ne nous gâchons pas la "surprise". En attendant Snyder nous propose des aventures de seconds couteaux plutôt rafraichissantes. Un lien aussi avec la ligue de justice Sombre intéressant via Chimp et pleins de petits trucs sympathiques. Heureusement pour ce tome trois on est surtout toujours portés par le dessin de Greg Capullo et par le personne du Roi Robin, vrai trublion intéressant de ce cross over. Il ne manque donc plus que la conclusion qui arrive dans un mois !
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Titre de l'album : Batman Death Metal T3 Scenariste de l'album : Scott Snyder / James Tynion IV Dessinateur de l'album : Greg Capullo Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Projetés au milieu des Crises qui ont maintes fois refondé leur Multivers, les héros de la Trinité, Batman, Superman et Wonder Woman ont trouvé un allié inattendu en la personne de Superboy-Prime. Mais cet ajout de poids leur permettra-t-il de renverser le Batman qui rit devenu omnipotent ? De son côté, la Ligue de Justice se reforme, commandée par Nightwing ! Critique : Troisième et avant dernier tome du giga crossover Death Metal et sans surprise un tome de transition. Un tome qui nous prépare donc à la grosse bataille finale qui aura lieux dans le prochain tome. Ce tome nous fait donc nous poser plus de question qu'il n'apporte de réponses. Il nous fait surtout nous poser la question d'un hypothétique retour en arrière..... via le Death Metal justement. Mais ne nous gâchons pas la "surprise". En attendant Snyder nous propose des aventures de seconds couteaux plutôt rafraichissantes. Un lien aussi avec la ligue de justice Sombre intéressant via Chimp et pleins de petits trucs sympathiques. Heureusement pour ce tome trois on est surtout toujours portés par le dessin de Greg Capullo et par le personne du Roi Robin, vrai trublion intéressant de ce cross over. Il ne manque donc plus que la conclusion qui arrive dans un mois ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-death-metal-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Hop hop. Bon pas de note sur celui car c'est un pur objet collector pour les fans. En effet cette histoire est "juste" le volume un de Death Metal que l'on a deja lu. Mais vraiment. La seule difference c'est la couverture exclusive ainsi que l'intro du leader du groupe. Pour le reste, on a exactement la version de base de l'histoire. A quoi cette édition sert elle me direz vous ? Et bien comme on dit souvent : si ca ne sert à rien c'est que c'est indispensable. C'est un objet de collection. Un tirage mensuel des 7 numéros de death metal avec 7 couvertures uniques portant sur 7 groupes de métal dont une couverture à venir de matthieu Lauffrey lui meme. Bref je vous laisserais jugez de l'intérêt de ce genre d'objet collector. Moi ma tendance completiste me ferait pencher pour le : c'est indispensable 🙂 A vous de voir
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Titre de l'album : Death metal, megadeth edition T1 Scenariste de l'album : Scott Snyder Dessinateur de l'album : Greg Capullo Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Après sa défaite douloureuse contre la Légion Fatale de Perpetua et Lex Luthor, la Ligue de Justice a disparu de la surface de la Terre. De son côté, le Batman Qui Rit, toujours en liberté, a infecté plusieurs super-héros ainsi que le Commissaire Gordon qu'il garde comme sbire personnel. La confrontation entre Luthor et le Batman Qui Rit va conduire le monde dans un nouvel abîme de folie où des versions déformées des plus grands héros ne vont pas tarder à se soulever. Critique : Hop hop. Bon pas de note sur celui car c'est un pur objet collector pour les fans. En effet cette histoire est "juste" le volume un de Death Metal que l'on a deja lu. Mais vraiment. La seule difference c'est la couverture exclusive ainsi que l'intro du leader du groupe. Pour le reste, on a exactement la version de base de l'histoire. A quoi cette édition sert elle me direz vous ? Et bien comme on dit souvent : si ca ne sert à rien c'est que c'est indispensable. C'est un objet de collection. Un tirage mensuel des 7 numéros de death metal avec 7 couvertures uniques portant sur 7 groupes de métal dont une couverture à venir de matthieu Lauffrey lui meme. Bref je vous laisserais jugez de l'intérêt de ce genre d'objet collector. Moi ma tendance completiste me ferait pencher pour le : c'est indispensable 🙂 A vous de voir Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-death-metal-edition-speciale-megadeth-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Le retour de l'équipe de Teen Titan Raven paru l'année dernière chez Urban Link avec cette fois Beast Boy en tant que personnage principale, avant un tome commun de "rencontre" entre les deux personnages. ET pas de surprise sur ce tome 2. On est dans la droite ligne du tome précèdent avec une histoire vraiment tourné vers un publique ado. Mais j'ai quand même trouvé ce beast boy un peu plus intéressant que le Raven. Mais ça tient surement juste au personnage de Beast Boy qui est vachement plus dynamique. On reste dans un univers scolaire avec des ados avec des problèmes d'ados américains de lycées américains. Ce qui explique le succès aux US. Pour un Français je pense que cette série Teen Titans prendra plus de corps avec le prochain tome qui verra se rejoindre les deux héros pour partir dans des aventures en dehors de leur lycée. Cela reste une bonne lecture pour ado ou apparait quand même Wade Wilson !
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Titre de l'album : Teen Titans - beast boy Scenariste de l'album : Kami Garcia Dessinateur de l'album : Gabriel Picolo Coloriste : Gabriel Picolo Editeur de l'album : Urban Link Note : Résumé de l'album : Garfield Logan est en terminal. C'est sa dernière année de lycée, et il est bien loin d'avoir rempli les objectifs qu'il s'était fixé. Les régimes protéinés l'ont à peine remplumé de quelques kilos, sa croissance est au point mort et sa voix n'a toujours pas mué. En bref, Gar complexe. Tous les autres étudiants semblent avoir trouvé leur place, ont l'air de savoir avec précision ce qu'ils aiment, ce qu'ils veulent et surtout ce qu'ils sont mais, à dix-sept ans, Gar est encore bien loin de tout ça. Il est celui que personne ne remarque, et son crush, Alana, ne fait pas exception. Ses amis, Stella et Tank, ont du mal à comprendre ses obsessions et cette volonté tenace de devenir le prochain M. Populaire. Á trop se soucier du regard des autres, ne risque-t-il pas de se perdre en chemin ? Critique : Le retour de l'équipe de Teen Titan Raven paru l'année dernière chez Urban Link avec cette fois Beast Boy en tant que personnage principale, avant un tome commun de "rencontre" entre les deux personnages. ET pas de surprise sur ce tome 2. On est dans la droite ligne du tome précèdent avec une histoire vraiment tourné vers un publique ado. Mais j'ai quand même trouvé ce beast boy un peu plus intéressant que le Raven. Mais ça tient surement juste au personnage de Beast Boy qui est vachement plus dynamique. On reste dans un univers scolaire avec des ados avec des problèmes d'ados américains de lycées américains. Ce qui explique le succès aux US. Pour un Français je pense que cette série Teen Titans prendra plus de corps avec le prochain tome qui verra se rejoindre les deux héros pour partir dans des aventures en dehors de leur lycée. Cela reste une bonne lecture pour ado ou apparait quand même Wade Wilson ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/teen-titans-beast-boy?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Fan de Mignola (@Alx23 tu est la ?) je viens de tomber sur un pièce pour vous : une campagne kickstarter de financement participatif pour vous procurez le blue ray reportage sur le travail de réalisation du maitre. Sur plus de 3h (minimum) de films, reportage, et démonstration, vous assisterez à la création de main du maitre des comics indépendant. Alors certes ce n'est pas donné avec 60$ plus frais de ports pour le double blue ray. Mais comme dans chaque kickstarter, la campagne marche bien et des goodies et heures supplémentaires viennent amoindrir la douloureuse. Et avoir son non sur un DV d'Hellboy ca n'a pas de prix non ? Ca se passe la : et dure encore 9 jours !