Aller au contenu
  • S’inscrire

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'enquete'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Catégories

  • Articles

Catégories

  • Critiques

Forums

  • Les forums BD
    • Toute la BD
    • Projets participatifs
    • Petites Annonces BD
    • Liens BD vers ailleurs
  • Et si on parlait d'autre chose que la bande dessinée ?
    • Améliorons 1001BD
    • Films et séries TV
    • 1001 Jeux Video
    • Livres - Musique - Spectacles - Théatre - Musées
    • 1001 choses à dire
  • TEAM

Calendriers

  • Community Calendar

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui contiennent…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


  1. Titre de l'album : Tokyo mystery café tome 2 - Les ombres de Jimbocho Scenariste de l'album : Atelier Sentō Dessinateur de l'album : Atelier Sentō Coloriste : Atelier Sentō Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : L'automne s'annonce difficile pour le Mystery Café. Nahel, Soba et le Patron sont contactés en urgence par le PDG d'un célèbre magazine de mangas : les pages du Weekly Moon ont été falsifiées et les héros de ses séries à succès... assassinés. L'enquête des trois amis les entraîne rapidement dans le quartier littéraire de Jimbocho, un lieu emblématique rempli de librairies et de bouquinistes, sur les traces d'une mystérieuse tueuse aux cheveux blancs. Ils doivent résoudre cette affaire au plus vite, car le temps est compté avant la publication du prochain numéro. Chaque minute compte, et les obstacles se multiplient. Mais les secrets du passé de l'un des membres du Mystery Café pourraient tous les mettre en danger. Entre révélations surprenantes et courses contre la montre, Nahel, Soba et le Patron devront faire preuve de courage et d'ingéniosité pour déjouer les pièges qui se dressent sur leur chemin et découvrir la vérité. Critique : Deuxième tome de Tokyo Mystery qui voit l'atelier Sendo nous décrire des enquêtes autour de l'univers de mangaka au Japon. Le premier avait été un de mes coups de coeurs de l'année dernière. Un coup de cœur issu de l'étonnant mélange / hommage de la BD au manga. Si on retrouve ce côté bd sur le manga (encore plus en rentrant d'un voyage au Japon), la surprise est un peu moins présente sur ce tome deux. Pour compenser, nos auteurs ont tenté de pousser plus loin le concept avec une "shonen-isation" de la BD. Mort, ninja, secret, "pouvoirs cachés", et retour d'un passé oublié... les ressort d'évolution du manga sont condensés dans notre bd de.....80 pages. Et c'est là que le bât blesse, je trouve. Il est un peu illusoire de se dire que l'on peut condenser l'équivalent de 4 à 10 tomes de mangas dans une seule BD. Si les amateurs s'amuseront de cette comparaison, les lecteurs moins avertis trouveront le scenario trop rapide et surtout complément alambiqué. 🙂 Une BD moins tout public que la précédente. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien Partenaire : https://www.bdfugue.com/tokyo-mystery-cafe-tome-2-les-ombres-de-jimbocho?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Deuxième tome de Tokyo Mystery qui voit l'atelier Sendo nous décrire des enquêtes autour de l'univers de mangaka au Japon. Le premier avait été un de mes coups de coeurs de l'année dernière. Un coup de cœur issu de l'étonnant mélange / hommage de la BD au manga. Si on retrouve ce côté bd sur le manga (encore plus en rentrant d'un voyage au Japon), la surprise est un peu moins présente sur ce tome deux. Pour compenser, nos auteurs ont tenté de pousser plus loin le concept avec une "shonen-isation" de la BD. Mort, ninja, secret, "pouvoirs cachés", et retour d'un passé oublié... les ressort d'évolution du manga sont condensés dans notre bd de.....80 pages. Et c'est là que le bât blesse, je trouve. Il est un peu illusoire de se dire que l'on peut condenser l'équivalent de 4 à 10 tomes de mangas dans une seule BD. Si les amateurs s'amuseront de cette comparaison, les lecteurs moins avertis trouveront le scenario trop rapide et surtout complément alambiqué. 🙂 Une BD moins tout public que la précédente.
  3. Titre de l'album : La brigade des cauchemars tome 9 Scenariste de l'album : Franck Thilliez Dessinateur de l'album : Yomgui Dumont Coloriste : Drac Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : La Brigade des cauchemars fait une découverte choc : Mordicus se servait d'Elisa à son insu pour obtenir des informations sur la clinique. Quel odieux stratagème va-t-il encore utiliser pour nuire à la Brigade ? Il faut l'arrêter au plus vite. Elisa, bien décidée à reprendre le contrôle de son esprit, autorise la Brigade à plonger dans ses souvenirs afin de remonter jusqu'à leur ennemi juré. Mais c'est sans compter sur les précautions prises par Mordicus et la puissance du subconscient d'Elisa... Critique : La plus célèbre des brigades du 9ème art revient, et une fois de plus la couverture est remarquable ! Vous l'aurez compris, dans ce nouvel opus l'ambiance sera nordique ! Mais ne brûlons pas les étapes, vous vous souvenez au tome précédent nous découvrions l'antagoniste Mordicus mais aussi qu'il se servait d'Elisa en guise de "taupe" au sein de la brigade pour obtenir des informations. Le retrait de l'implant a été effectué mais il s'agit de savoir comment a t'il été posé et depuis quand ? Elisa a perdu de nombreux souvenirs, aussi l'équipe se jette dans les méandres de son passé afin de découvrir les circonstances de cet événement. Ses origines nordiques laissent entrevoir un univers de mers, de drakkars et de villages en guerre. Au coeur de cette mythologie dominant l'esprit d'Elisa, l'équipe fait front et même séparée, s'emploie à percer les secrets de ce passé bien trouble. On navigue dans le subconscient et entre les pare-feux de Mordicus, il faut s'accrocher car les explications sont parfois difficiles à intégrer ! C'est un album transitoire, peu de grandes révélations et des retours tels que celui de Léonard qui viennent compliquer un peu plus un récit déjà nébuleux. On sent que Franck Thilliez s'amuse à faire évoluer ses personnages mais il ne devrait pas oublier que cela s'adresse à un public jeune ! On a aussi envie d'en savoir un peu plus sur ce mystérieux Mordicus et les raisons qui l'animent, ce sera pour le prochain tome espérons le 🙂 Yomgui Dumont reste dans son style graphique bien à lui, avec ces grands yeux ronds et expressifs, des planches chargées de cases suivant les nombreux dialogues et de très belles séquences "marines" colorisées avec talent. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien Partenaire : https://www.bdfugue.com/la-brigade-des-cauchemars-tome-9/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. La plus célèbre des brigades du 9ème art revient, et une fois de plus la couverture est remarquable ! Vous l'aurez compris, dans ce nouvel opus l'ambiance sera nordique ! Mais ne brûlons pas les étapes, vous vous souvenez au tome précédent nous découvrions l'antagoniste Mordicus mais aussi qu'il se servait d'Elisa en guise de "taupe" au sein de la brigade pour obtenir des informations. Le retrait de l'implant a été effectué mais il s'agit de savoir comment a t'il été posé et depuis quand ? Elisa a perdu de nombreux souvenirs, aussi l'équipe se jette dans les méandres de son passé afin de découvrir les circonstances de cet événement. Ses origines nordiques laissent entrevoir un univers de mers, de drakkars et de villages en guerre. Au coeur de cette mythologie dominant l'esprit d'Elisa, l'équipe fait front et même séparée, s'emploie à percer les secrets de ce passé bien trouble. On navigue dans le subconscient et entre les pare-feux de Mordicus, il faut s'accrocher car les explications sont parfois difficiles à intégrer ! C'est un album transitoire, peu de grandes révélations et des retours tels que celui de Léonard qui viennent compliquer un peu plus un récit déjà nébuleux. On sent que Franck Thilliez s'amuse à faire évoluer ses personnages mais il ne devrait pas oublier que cela s'adresse à un public jeune ! On a aussi envie d'en savoir un peu plus sur ce mystérieux Mordicus et les raisons qui l'animent, ce sera pour le prochain tome espérons le 🙂 Yomgui Dumont reste dans son style graphique bien à lui, avec ces grands yeux ronds et expressifs, des planches chargées de cases suivant les nombreux dialogues et de très belles séquences "marines" colorisées avec talent.
  5. Titre de l'album : Nos pères, nos frères, nos amis Scenariste de l'album : Mathieu Palain Dessinateur de l'album : Valentin Maréchal Coloriste : Carmen Peinado Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : Adapté de l'essai de Mathieu Palain. Si les monstres ça n'existe pas, qui sont les auteurs de violence ? C'est la question que se pose Mathieu, journaliste, lorsqu'il rencontre Cécile. Cette jeune femme, victime de violence conjugale, essaie de comprendre ce qui lui est arrivé. Entre Mathieu et elle, un lien se noue. Mathieu débute son enquête au sein de groupes de parole d'hommes condamnés pour violence conjugale. Mais pour questionner les hommes et leur violence, il faut aller plus loin, auprès des chercheurs, d'associatifs, de psychiatres. Avec Cécile, Mathieu regarde aussi sa propre histoire et tente de comprendre cette violence qui traverse la société. Car pour s'attaquer à la violence des hommes, il faut accepter de la regarder en face. Critique : Une adaptation prenante et poignante du livre du même nom parue aux Arènes il y a deux ans pour le journaliste Mathieu Palain ! On plonge littéralement avec lui dans cette enquête passionnante qui nous interroge et nous bouscule. De ses échanges avec les victimes et ses observations prises lors de groupes de paroles, il commence par élaborer un portrait type de l'agresseur. Mais il se rend compte qu'il a négligé la sphère sociale, composante essentielle dans cette recherche. Commence alors une nouvelle investigation sur les origines et le passé des hommes violents, mais aussi des femmes victimes de ces sévices. Tout s'éclaire d'avantage et les entretiens réalisés en début d'album nous apportent un nouvel angle, on comprend mieux les discours et les convictions des acteurs de ces drames. Tout au long, il se questionne sur ses propres valeurs, est-il un homme bien, l'a t'il toujours été ? Cela se répercute sur le lecteur mais peu aussi aider une lectrice ayant été victime ou témoin de tels actes. On pense évidemment aux coups physiques portés, mais d'autres formes d'agressions sont hélas constatées et fortement préjudiciables aussi. Dans cet univers sombre, le fil conducteur illustré par les échanges avec Cécile, se pose en motif d'espoir. La partie graphique repose essentiellement sur les visages, le port des corps, les regards, Valentin Maréchal centre vraiment le récit sur les personnages avec un trait assez rond. Il rend vivant les échanges avec un découpage type caméra à l'épaule. On passe d'un interlocuteur à l'autre dans un ballet de questions-réponses très immersif. Une vraie mine d'informations à lire et à faire lire au plus grand nombre ! Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien Partenaire : https://www.bdfugue.com/nos-peres-nos-freres-nos-amis/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Une adaptation prenante et poignante du livre du même nom parue aux Arènes il y a deux ans pour le journaliste Mathieu Palain ! On plonge littéralement avec lui dans cette enquête passionnante qui nous interroge et nous bouscule. De ses échanges avec les victimes et ses observations prises lors de groupes de paroles, il commence par élaborer un portrait type de l'agresseur. Mais il se rend compte qu'il a négligé la sphère sociale, composante essentielle dans cette recherche. Commence alors une nouvelle investigation sur les origines et le passé des hommes violents, mais aussi des femmes victimes de ces sévices. Tout s'éclaire d'avantage et les entretiens réalisés en début d'album nous apportent un nouvel angle, on comprend mieux les discours et les convictions des acteurs de ces drames. Tout au long, il se questionne sur ses propres valeurs, est-il un homme bien, l'a t'il toujours été ? Cela se répercute sur le lecteur mais peu aussi aider une lectrice ayant été victime ou témoin de tels actes. On pense évidemment aux coups physiques portés, mais d'autres formes d'agressions sont hélas constatées et fortement préjudiciables aussi. Dans cet univers sombre, le fil conducteur illustré par les échanges avec Cécile, se pose en motif d'espoir. La partie graphique repose essentiellement sur les visages, le port des corps, les regards, Valentin Maréchal centre vraiment le récit sur les personnages avec un trait assez rond. Il rend vivant les échanges avec un découpage type caméra à l'épaule. On passe d'un interlocuteur à l'autre dans un ballet de questions-réponses très immersif. Une vraie mine d'informations à lire et à faire lire au plus grand nombre !
  7. Titre de l'album : Dred Scott - Tome 1 - New York 1893 Scenariste de l'album : Tom Graffin & Jérôme Ropert Dessinateur de l'album : Thibault Descamps Coloriste : Sébastien Bouet Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Qui a volé le collier de la liberté de Benjamin Franklin ? 1893. Dred Scott se voit offrir la chance de sa vie par le chef de la police de New York,Ungus Byrnes. Devenant l'homme de main de ce détective controversé, l'Afro-Américain s'arrache à sa condition de descendant d'esclaves et gravit peu à peu l'échelle sociale. Jusqu'au jour où l'assassinat d'un ancien général de l'Union vient réveiller les fantômes de la guerre de Sécession. Trente ans aprèscette terrible guerre civile, les plaies du passé se rouvrent. Byrnes veut classer cette affaire au plus vite. Mais Dred, lui, entrevoit un chemin vers ses origines et décide de mener sa propre enquête, en dépit des avertissements de son chef et protecteur... Critique : Dred Scott a tout de la bonne idée. D'abord un thème peu exploité, à part gangs of new york, je n'ai pas en tête beaucoup d'oeuvres connues de ce côté de l'atlantique pour avoir exploré le New York du XIXème siècle. Ici on se situe après la fin de la guerre de secession, et c'est la seconde bonne idée. Nous proposer un récit tout en nuances de gris, absolument pas manichéens, ou le lecteur doit rester constamment éveillé pour ne pas se faire avoir par les scénaristes. Bravo donc au duo d'auteurs Tom Graffin et Jérôme Ropert qui nous offrent un second chouette récit ce mois-ci à New York après la sortie du tome 2 de Ange Lecca. Seul bémol sur ce Dred Scott, je trouve le dessin un cran en dessous des dernières sorties chez Grand Angle. Attention c'est propre et loin d'être mauvais, mais que ce soit le dessin ou la colorisation je trouve qu'il y manque le petit supplément de charme et d'âme qui donne envie, probablement par manque de temps car le talent est bien là. Dommage car je trouvais la couv' très réussie et pleine de promesses... C'est tout de même avant tout une question une nouvelle fois de goûts et de couleurs. Ceci dit ce Dred Scoot est vraiment agréable à lire et cache de jolis rebondissements qui nous feront en attendre la suite avec impatience. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dred-scott-tome-1-new-york-1893/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Dred Scott a tout de la bonne idée. D'abord un thème peu exploité, à part gangs of new york, je n'ai pas en tête beaucoup d'oeuvres connues de ce côté de l'atlantique pour avoir exploré le New York du XIXème siècle. Ici on se situe après la fin de la guerre de secession, et c'est la seconde bonne idée. Nous proposer un récit tout en nuances de gris, absolument pas manichéens, ou le lecteur doit rester constamment éveillé pour ne pas se faire avoir par les scénaristes. Bravo donc au duo d'auteurs Tom Graffin et Jérôme Ropert qui nous offrent un second chouette récit ce mois-ci à New York après la sortie du tome 2 de Ange Lecca. Seul bémol sur ce Dred Scott, je trouve le dessin un cran en dessous des dernières sorties chez Grand Angle. Attention c'est propre et loin d'être mauvais, mais que ce soit le dessin ou la colorisation je trouve qu'il y manque le petit supplément de charme et d'âme qui donne envie, probablement par manque de temps car le talent est bien là. Dommage car je trouvais la couv' très réussie et pleine de promesses... C'est tout de même avant tout une question une nouvelle fois de goûts et de couleurs. Ceci dit ce Dred Scoot est vraiment agréable à lire et cache de jolis rebondissements qui nous feront en attendre la suite avec impatience.
  9. Titre de l'album : Ange Leca - Monstres américains Scenariste de l'album : Tom Graffin & Jérôme Ropert Dessinateur de l'album : Victor Lapointe Coloriste : Victor Lapointe Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : New York suffoque, et les femmes s'évaporent... Été 1911. Ange Leca débarque à New York sous une chaleur accablante. Il n'a qu'une seule idée en tête : retrouver la trace d'Emma, sa passion inextinguible. Accueilli par César Capponi, détective embourbé dans sa dernière affaire, le Frenchie se voit malgré lui entraîné dans une enquête bientôt labyrinthique. Assisté par Ray, fils de César et étonnant newsboy, Ange n'oublie pas pour autant celle qu'il est venue chercher, et s'efforce de progresser sur tous les fronts. Un défi plus risqué qu'il n'y paraît... Critique : Voici une très belle sortie que je vous invite à ne pas manquer. J'étais moi même passé à côté du premier tome, et je vais rattraper ce manquement sans faute. D'abord parce que le scénario nous emmène entre la corse et New York au début du vingtième siècle pour des enquêtes policières qui vont nous mettre aux prises avec des faits divers et des faits de société réels de cette époque là. C'est fait intelligemment et si au début on se sent un poil déboussolé, surtout sans avoir lu le premier tome, on se retrouve finalement vite happé et conquis par ces enquêtes. Ce sont bien des one shots mais qui s'inscrivent dans une forme de continuité, un peu dans ce qu'à pu faire Thorgal par exemple. J'aime ce modèle car il permet d'avoir des histoires complètes sans pour autant sacrifier une trame plus ambitieuse. Surtout que rien n'interdira de faire un petit cycle en dérogeant pour quelques tomes à la règle du one shot. Venons en au second point fort de cette sortie : les dessins de Victor Lepointe sont exquis. Ces couleurs sont sublimes et renforcent les ambiances fortement. On se sent transportés avec nos personnages et j'ai aimé cela. Les décors sont soignés et parfois merveilleux, les personnages sont nets et vivants, j'en redemande. Il y a la un véritable style, et une vraie patte graphique. Merci car cette bd a du demander un travail considérable, alors chapeau bas. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ange-leca-tome-2-monstres-americains/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. The_PoP

    Ange Leca - Monstres américains

    Voici une très belle sortie que je vous invite à ne pas manquer. J'étais moi même passé à côté du premier tome, et je vais rattraper ce manquement sans faute. D'abord parce que le scénario nous emmène entre la corse et New York au début du vingtième siècle pour des enquêtes policières qui vont nous mettre aux prises avec des faits divers et des faits de société réels de cette époque là. C'est fait intelligemment et si au début on se sent un poil déboussolé, surtout sans avoir lu le premier tome, on se retrouve finalement vite happé et conquis par ces enquêtes. Ce sont bien des one shots mais qui s'inscrivent dans une forme de continuité, un peu dans ce qu'à pu faire Thorgal par exemple. J'aime ce modèle car il permet d'avoir des histoires complètes sans pour autant sacrifier une trame plus ambitieuse. Surtout que rien n'interdira de faire un petit cycle en dérogeant pour quelques tomes à la règle du one shot. Venons en au second point fort de cette sortie : les dessins de Victor Lepointe sont exquis. Ces couleurs sont sublimes et renforcent les ambiances fortement. On se sent transportés avec nos personnages et j'ai aimé cela. Les décors sont soignés et parfois merveilleux, les personnages sont nets et vivants, j'en redemande. Il y a la un véritable style, et une vraie patte graphique. Merci car cette bd a du demander un travail considérable, alors chapeau bas.
  11. Kevin Nivek

    Ommegang 1930

    A l'occasion des futures commémorations de l'Ommegang les 2 et 4 juillet prochain, l'éditeur belge Anspach propose une nouvelle aventure historique liée à cet événement. Suite à de nombreuses "occupations", la Belgique se retrouve enfin libre et indépendante en 1830, Patrick Weber en scénariste attitré et surtout historien, choisi de placer cette aventure en 1930. Un centenaire qui doit être célébré en véritable hommage à l'histoire du pays et son lien étroit avec Charles Quint; mais les préparatifs sont perturbés par une série de sabotages et surtout d'un meurtre ! Le temps presse et les organisateurs ne peuvent annuler les cérémonies prévues, aussi, bien aidés par un jeune journaliste avide de scoops et passionnés de romans policiers, ils mènent l'enquête. Patrick Weber réalise une nouvelle fois un scénario efficace en mêlant grande histoire et fiction avec un "whodunit" réservant bien des surprises ! On apprend au fil des anecdotes dévoilées tout du long et on cherche réellement à comprendre qui, pourquoi, comment ? Un suspens savamment distillé et mis en images par la ligne claire de Thomas Liera. Ce dernier délaisse la BD documentaire au profit de la fiction et son trait s'inscrit parfaitement dans la ligne éditoriale de la section "histoire" d'Anspach. Son dessin manque parfois un peu de finesse par rapport à celui de Baudouin Deville sur la saga Kathleen, mais il restitue parfaitement les décors d'époque ainsi que les costumes. Pour avoir visité il y a peu Bruxelles et sa grand place, j'ai été ravi d'y retourner sous son crayon 🙂 . Si la grande histoire vous intéresse, les annexes sur l'Ommegang en fin d'album sont assez complètes et bien documentées. Plus d'infos ici : https://ommegang.be/
  12. Kevin Nivek

    Ommegang 1930

    Titre de l'album : Ommegang 1930 Scenariste de l'album : Patrick Weber Dessinateur de l'album : Thomas Liera Coloriste : Thomas Liera Editeur de l'album : Anspach editions Note : Résumé de l'album : Bruxelles, 1930. Après 145 ans d'absence, des passionnés s'efforcent de ressusciter la parade de l'Ommegang, symbole de l'histoire belge. Mais alors que les derniers préparatifs battent leur plein, un participant est assassiné d'un carreau d'arbalète en pleine répétition. Stan Stanislas, journaliste au Patriote belge, s'empare immédiatement de l'affaire. Tandis qu'il tente d'élucider le meurtre, les sabotages se multiplient. Il devient progressivement clair qu'un groupe de conspirateurs cherche à perturber l'Ommegang, et qui sait, peut-être même à déstabiliser la Belgique. Qui tire les ficelles de ce complot ? Pourquoi cette innocente célébration historique déclenche-t-elle une telle violence ? Stan et ses amis vont devoir affronter une menace sournoise dont l'objectif pourrait être bien plus grand que la simple annulation d'une parade. Critique : A l'occasion des futures commémorations de l'Ommegang les 2 et 4 juillet prochain, l'éditeur belge Anspach propose une nouvelle aventure historique liée à cet événement. Suite à de nombreuses "occupations", la Belgique se retrouve enfin libre et indépendante en 1830, Patrick Weber en scénariste attitré et surtout historien, choisi de placer cette aventure en 1930. Un centenaire qui doit être célébré en véritable hommage à l'histoire du pays et son lien étroit avec Charles Quint; mais les préparatifs sont perturbés par une série de sabotages et surtout d'un meurtre ! Le temps presse et les organisateurs ne peuvent annuler les cérémonies prévues, aussi, bien aidés par un jeune journaliste avide de scoops et passionnés de romans policiers, ils mènent l'enquête. Patrick Weber réalise une nouvelle fois un scénario efficace en mêlant grande histoire et fiction avec un "whodunit" réservant bien des surprises ! On apprend au fil des anecdotes dévoilées tout du long et on cherche réellement à comprendre qui, pourquoi, comment ? Un suspens savamment distillé et mis en images par la ligne claire de Thomas Liera. Ce dernier délaisse la BD documentaire au profit de la fiction et son trait s'inscrit parfaitement dans la ligne éditoriale de la section "histoire" d'Anspach. Son dessin manque parfois un peu de finesse par rapport à celui de Baudouin Deville sur la saga Kathleen, mais il restitue parfaitement les décors d'époque ainsi que les costumes. Pour avoir visité il y a peu Bruxelles et sa grand place, j'ai été ravi d'y retourner sous son crayon 🙂 . Si la grande histoire vous intéresse, les annexes sur l'Ommegang en fin d'album sont assez complètes et bien documentées. Plus d'infos ici : https://ommegang.be/ Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ommegang-1930/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Titre de l'album : Sherlock Holmes contre Arsène Lupin - Tome 1 - La quête d'éternité Scenariste de l'album : Denis-Pierre Filippi Dessinateur de l'album : Roger Vidal Coloriste : Roger Vidal et Léa Chrétien Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Deux génies, deux méthodes, une confrontation explosive. Sherlock Holmes, le détective logique et implacable, et Arsène Lupin, le gentleman cambrioleur audacieux, se retrouvent face à face dans une course effrénée. À travers mystères et trahisons, les deux rivaux sont contraints de s'allier pour suivre la trace d'une organisation se réclamant de Moriarty. Entre l'intelligence froide de Holmes et l'ingéniosité flamboyante de Lupin, qui sortira vainqueur de ce duel où chaque geste, chaque mot, chaque coup est un défi lancé à l'autre ? Critique : Elle fait plaisir cette BD. D'abord parce que j'ai été un très très grand amateur de M. Lupin dans ma jeunesse, puis j'ai aimé Sherlock Holmes aussi. Ensuite parce qu'elle est fun. Une intrigue relativement simple avec un peu de mysticisme, un duo qui fonctionne très bien avec deux gros egos en rivalité, de l'action, de l'aventure, des adversaires plus qu'au niveau et surtout des dialogues réussis. Par contre que cela soit entendu le titre aurait plutôt du être Arsène Lupin Et Sherlock Holmes 🙂 mais c'est moins accrocheur. Toujours est-il que cette intrigue menée tambour battante m'a réjoui et certes cela ne suffira peut être pas à tenir dans le temps, mais pour un début c'est largement plus qu'il ne m'en faut côté histoire. Et quand le dessin se met au diapason pour nous livrer de belles planches, de beaux héros et adversaires, et des décors variés, et bien, il n'y a plus qu'à profiter. Petit bémol, je trouve l'intérieur plus réussi graphiquement que la couverture... Mais il vaut mieux ça que l'inverse ! Ce Arsène Lupin et Sherlock Holmes n'est peut être pas la bd de l'année, mais moi j'ai pris énormément de plaisir à lire cette aventure et j'attendrais la suite avec bonheur ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sherlock-holmes-contre-arsene-lupin-tome-1-la-quete-d-eternite/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Elle fait plaisir cette BD. D'abord parce que j'ai été un très très grand amateur de M. Lupin dans ma jeunesse, puis j'ai aimé Sherlock Holmes aussi. Ensuite parce qu'elle est fun. Une intrigue relativement simple avec un peu de mysticisme, un duo qui fonctionne très bien avec deux gros egos en rivalité, de l'action, de l'aventure, des adversaires plus qu'au niveau et surtout des dialogues réussis. Par contre que cela soit entendu le titre aurait plutôt du être Arsène Lupin Et Sherlock Holmes 🙂 mais c'est moins accrocheur. Toujours est-il que cette intrigue menée tambour battante m'a réjoui et certes cela ne suffira peut être pas à tenir dans le temps, mais pour un début c'est largement plus qu'il ne m'en faut côté histoire. Et quand le dessin se met au diapason pour nous livrer de belles planches, de beaux héros et adversaires, et des décors variés, et bien, il n'y a plus qu'à profiter. Petit bémol, je trouve l'intérieur plus réussi graphiquement que la couverture... Mais il vaut mieux ça que l'inverse ! Ce Arsène Lupin et Sherlock Holmes n'est peut être pas la bd de l'année, mais moi j'ai pris énormément de plaisir à lire cette aventure et j'attendrais la suite avec bonheur !
  15. Titre de l'album : Batman dark patterns tome 1 - L'homme blessé Scenariste de l'album : Dan Watters Dessinateur de l'album : Hayden Sherman Coloriste : Hayden Sherman Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Affaire #1 : Une série de meurtres effroyables a provoqué une onde de choc à Gotham. La piste mène tout droit vers un sinistre tueur en série, au corps percé d'innombrables clous et baptisé l'écorché. Mais s'agit-il des agissements d'un seul désaxé, ou y a-t-il quelque chose d'encore plus sinistre en jeu ? Contenu vo : Batman: Dark Patterns #1-3 Critique : L'univers DC est en plain chamboulement post Absoute avec deux séries de comics sur deux branches différentes qui début bientôt. De quoi s'y perdre et ne plus savoir quoi lire me direz-vous ? Et bien les gens de DC ont pensé à tous le monde en sortant aussi une minisérie nommé Dark patterns, pour les amateurs du chevalier noir qui en ont un peu marre des conflits extra dimensionnels. Dark patterns, c'est quoi : des enquêtes qui mettent au cœur de l'histoire la réflexion et le talent d'enquêteurs de Batman. Ses gadgets ne lui servent presque pas et tout est tourné autour d'une enquête "simple" et du travail de "super policier" de Gotham de Batman. Un retour aux sources appréciable et superbement mis en image pour le premier des quatre tomes attendue. Le seul souci de ce tome 1 c'est... son prix. Le retour des minitomes à 16 euros pour 80 pages de lecture. Quand on voit que les gros volumes de 232 pages sont souvent à 22.50....on hésitera forcément à se pencher sur ces cas, aussi intéressant qu'ils soient. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-dark-patterns-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. L'univers DC est en plain chamboulement post Absoute avec deux séries de comics sur deux branches différentes qui début bientôt. De quoi s'y perdre et ne plus savoir quoi lire me direz-vous ? Et bien les gens de DC ont pensé à tous le monde en sortant aussi une minisérie nommé Dark patterns, pour les amateurs du chevalier noir qui en ont un peu marre des conflits extra dimensionnels. Dark patterns, c'est quoi : des enquêtes qui mettent au cœur de l'histoire la réflexion et le talent d'enquêteurs de Batman. Ses gadgets ne lui servent presque pas et tout est tourné autour d'une enquête "simple" et du travail de "super policier" de Gotham de Batman. Un retour aux sources appréciable et superbement mis en image pour le premier des quatre tomes attendue. Le seul souci de ce tome 1 c'est... son prix. Le retour des minitomes à 16 euros pour 80 pages de lecture. Quand on voit que les gros volumes de 232 pages sont souvent à 22.50....on hésitera forcément à se pencher sur ces cas, aussi intéressant qu'ils soient.
  17. Titre de l'album : Les sœurs Grémillet tome 7 - Le dragon d'or Scenariste de l'album : Giovanni Di Gregorio Dessinateur de l'album : Alessandro Barbucci Coloriste : Alessandro Barbucci Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : On a volé le Dragon d'or, la petite statue du parc devant laquelle s'est formé le Club des 3 sœurs ! La famille Grémillet lance donc l'enquête, malgré des journées très remplies ! Car Cassiopée participe à un concours de nouvelles - dont elle va profiter pour raconter sa recherche du Dragon d'or dans un récit médiéval - pendant que Sarah se consacre à un tournoi de hockey et que Lucille veut adopter un adorable chiot. Ces quêtes seront-elles couronnées de succès ? Pas sûr... Mais n'est-ce pas de l'échec que naît souvent l'apprentissage de la vie ? Di Gregorio et Barbucci reviennent avec un album parlant subtilement des concepts d'échec et de résilience, mais avec une narration résolument novatrice, entre vie réelle et récit médiéval ! Critique : J'aime quand les auteurs de séries rectifient le tir et apprennent de leurs "erreurs". Après un tome 5 un peu décevant, le tome 6 était déjà "mieux", par là j'entends plus orienté famille et relation entre les sœurs que sur une enquête fantastique. Et bien ce tome 7 renoue complètement avec le charme des premiers tomes des sœurs Gremillets. On retrouve une véritable complicité entre les sœurs. Une relation familiale qui sert de carcan à l'histoire qu'écrit Cassiopée. Histoire qui nous montre le regard qu'elle porte sur ces sœurs, héroïnes de son univers. La dualité graphique entre la vie réelle et le récit de Cassiopée donne un souffle d'aventure étonnant à ce tome et permet à Alessandro Barbucci de faire étage de toute sa classe dans un univers différent. Un tome 7 quasi parfait pour l'une des séries majeures du renouveau de la BD jeunesse Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-soeurs-gremillet-tome-7-le-dragon-d-or?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. J'aime quand les auteurs de séries rectifient le tir et apprennent de leurs "erreurs". Après un tome 5 un peu décevant, le tome 6 était déjà "mieux", par là j'entends plus orienté famille et relation entre les sœurs que sur une enquête fantastique. Et bien ce tome 7 renoue complètement avec le charme des premiers tomes des sœurs Gremillets. On retrouve une véritable complicité entre les sœurs. Une relation familiale qui sert de carcan à l'histoire qu'écrit Cassiopée. Histoire qui nous montre le regard qu'elle porte sur ces sœurs, héroïnes de son univers. La dualité graphique entre la vie réelle et le récit de Cassiopée donne un souffle d'aventure étonnant à ce tome et permet à Alessandro Barbucci de faire étage de toute sa classe dans un univers différent. Un tome 7 quasi parfait pour l'une des séries majeures du renouveau de la BD jeunesse
  19. Titre de l'album : Moriarty the remains tome 2 Scenariste de l'album : Yosuke Saita Dessinateur de l'album : Hikaru Miyoshi Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : William se trouve dans un grand magasin de luxe quand les clients et le personnel sont pris en otage. À ses côtés : une très jeune fille du nom d'Helena, qui semble «voir» les voix «en couleur ». Le «plan» du chef des preneurs d'otages, un certain Jake Voorhees, est d'une telle intelligence et d'une telle cruauté qu'il enflamme rapidement l'esprit de William !! La solution du mystère se trouve dans la «voix»... Critique : Bon alors ca y est j'arrête. Ce n'est pas pour moi. C'est encore très verbeux, les gentils sont encore des méchants à la morale douteuse et le déroulé est sans surprise aucune. La plus grosse problématique est la lourdeur de lecture. C'est vraiment trop verbeux pour moi. Ça plaira surement à d'autres.... je passe 😞 Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/moriarty-the-remains-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    Moriarty the remains tome 2

    Bon alors ca y est j'arrête. Ce n'est pas pour moi. C'est encore très verbeux, les gentils sont encore des méchants à la morale douteuse et le déroulé est sans surprise aucune. La plus grosse problématique est la lourdeur de lecture. C'est vraiment trop verbeux pour moi. Ça plaira surement à d'autres.... je passe 😞
  21. The_PoP

    Sector 5

    Titre de l'album : Sector 5 Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Christian Pacurariu Coloriste : Alex Guimaraes Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : L'inspecteur Marian Ferentari enquête sur le crime d'un avocat assassiné devant ses deux enfants. Dans l'ordinateur de la victime sont trouvées des milliers de photos pornographiques de femmes de tous âges. Quelques jours après, c'est un jeune entrepreneur lié à la mafia qui est retrouvé empalé sur un chantier, puis un chauffeur de taxi immolé sur des docks. Ces crimes sont-ils tous liés ? Critique : Bon attention ce Sector 5 n'est pas à mettre entre toutes les mains, car c'est un polar très sombre qui se déroule dans le milieu des travailleuse du sexe en roumanie. Christophe Bec est très attaché à la Roumanie comme il l'explique en préambule et en conclusion du livre, son épouse étant roumaine. il a donc bien connu le Sector 5 dont il parle puisqu'il y a séjournée à plusieurs reprises. C'est son envie de nous faire découvrir cette société roumaine, avec toute sa noirceur mais aussi pour démonter quelques clichés qui nous permet de découvrir aujourd'hui ce sector 5. Sachez tout d'abord qu'on aura bien du mal à ressentir la moindre empathie pour notre brillant mais désabusé inspecteur. Il fallait un personnage sombre pour plonger dans ces abîmes de Noirceur, et bien Christophe Bec à la gentillesse de nous en construire un, qui semble terriblement humain. L'intrigue est plutôt classique ceci étant dit, même si certains dénouements sont bien vus. Le dessin lui est dans un style que j'ai plus eu l'habitude de voir en comics US indépendant qu'en BD, mais il est assez réussi, colle bien aux atmosphères poisseuses et mafieuses et nous livre pas mal de détails. J'aurais peut être juste souhaité une coloration plus fine, mais je fais la fine bouche. L'ensemble se lit très bien sous la forme d'un one shot de 109 pages. Avis aux amateurs de polar Dark ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sector-5/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. The_PoP

    Sector 5

    Bon attention ce Sector 5 n'est pas à mettre entre toutes les mains, car c'est un polar très sombre qui se déroule dans le milieu des travailleuse du sexe en roumanie. Christophe Bec est très attaché à la Roumanie comme il l'explique en préambule et en conclusion du livre, son épouse étant roumaine. il a donc bien connu le Sector 5 dont il parle puisqu'il y a séjournée à plusieurs reprises. C'est son envie de nous faire découvrir cette société roumaine, avec toute sa noirceur mais aussi pour démonter quelques clichés qui nous permet de découvrir aujourd'hui ce sector 5. Sachez tout d'abord qu'on aura bien du mal à ressentir la moindre empathie pour notre brillant mais désabusé inspecteur. Il fallait un personnage sombre pour plonger dans ces abîmes de Noirceur, et bien Christophe Bec à la gentillesse de nous en construire un, qui semble terriblement humain. L'intrigue est plutôt classique ceci étant dit, même si certains dénouements sont bien vus. Le dessin lui est dans un style que j'ai plus eu l'habitude de voir en comics US indépendant qu'en BD, mais il est assez réussi, colle bien aux atmosphères poisseuses et mafieuses et nous livre pas mal de détails. J'aurais peut être juste souhaité une coloration plus fine, mais je fais la fine bouche. L'ensemble se lit très bien sous la forme d'un one shot de 109 pages. Avis aux amateurs de polar Dark !
  23. Titre de l'album : Julie Wood - saison 2 tome 1 - Mortel rodéo Scenariste de l'album : Philippe Pelaez Dessinateur de l'album : Claudio Stassi Coloriste : Claudio Stassi Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : ^La jeune Julie Wood vit avec ses deux frères, Indy et Phil, chez leur oncle Chris, garagiste les ayant recueillis depuis la mort de leurs parents. Addict au Flat Track ? discipline de moto cross par laquelle elle espère percer sur les circuits pro ? Julie traîne avec ses potes motards, mais aussi sur les réseaux sociaux, où elle poste des vidéos à l'adresse de sa communauté. Mais ce quotidien plein de rêves et de runs se trouve soudain chahuté par la visite de deux policiers. Car un certain Mason Green, motard assassiné au cours d'un rodéo urbain à Los Angeles, avait sur son portable un étrange message, où il était question de la famille Wood. Peut-être de quoi éclairer la disparition des parents de Julie sous un jour nouveau... Retrouvez Julie Wood, la mythique motarde de Jean Graton, pour un nouveau tour de piste, dans un reboot aussi moderne que respectueux ! Pelaez, à l'aise dans tous les registres, conjugue le background codifié par Jean Graton à un polar moderne. Le réputé Claudio Stassi donne, lui, une tonicité graphique impeccable à ce reboot ! Critique : Avec les générations d'auteurs qui s'en vont, viennent les tentations très "marvelienne" de rebooter des séries à succès, avec le risque que l'histoire ne soit plus vraiment actuelle. C'est le cas avec les séries de Jean Graton. Après Michel Vaillant qui "survit" à son créateur, c'est au tour de Julie Wood de voir ses aventures redémarrer et nous fournir une saison 2 qui n'est rien de plus qu'un reboot. Et si le nouveau Michel Vaillant a trouvé son public, j'ai un peu plus peur pour ce Julie Wood. En effet le scenario est assez convenu et l'histoire a tendance à courir deux chevaux en même temps. Deux chevaux radicalement différents ! Et je trouve que les deux histoires en parallèle ne match pas très bien. J'aurais largement préféré que l'o se concentre soit sur les courses, soit sur l'enquête... Enfin non surtout sur les courses. Je n'ai jamais trouvé crédibles les justifications de la volonté d'implication dans une enquête criminelle. Cela colle moyennement au personnage la ou par contre les courses de voitures, dans le monde machiste des "engins à moteurs" et des réseaux sociaux, est plutôt bien fait. Bref un début de série qui s'éparpille un peu trop pour me passionner. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/julie-wood-saison-2-tome-1-mortel-rodeo?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Avec les générations d'auteurs qui s'en vont, viennent les tentations très "marvelienne" de rebooter des séries à succès, avec le risque que l'histoire ne soit plus vraiment actuelle. C'est le cas avec les séries de Jean Graton. Après Michel Vaillant qui "survit" à son créateur, c'est au tour de Julie Wood de voir ses aventures redémarrer et nous fournir une saison 2 qui n'est rien de plus qu'un reboot. Et si le nouveau Michel Vaillant a trouvé son public, j'ai un peu plus peur pour ce Julie Wood. En effet le scenario est assez convenu et l'histoire a tendance à courir deux chevaux en même temps. Deux chevaux radicalement différents ! Et je trouve que les deux histoires en parallèle ne match pas très bien. J'aurais largement préféré que l'o se concentre soit sur les courses, soit sur l'enquête... Enfin non surtout sur les courses. Je n'ai jamais trouvé crédibles les justifications de la volonté d'implication dans une enquête criminelle. Cela colle moyennement au personnage la ou par contre les courses de voitures, dans le monde machiste des "engins à moteurs" et des réseaux sociaux, est plutôt bien fait. Bref un début de série qui s'éparpille un peu trop pour me passionner.
  25. poseidon2

    Marcie - Le point de bascule

    En voila une belle BD pour commencer l'année. Une bd feel good qui nous montre qu'il n'y a pas d'age pour croire en ses rêves. Pas d'age pour changer. Alors oui c'est plus dure. Oui il faut souvent un coup du destin. Mais cela peut parfois amener à un véritable en termes d’estime de soi et de plaisir de vie. Quand en plus ce métier et celui qui vous fait rêver depuis petit.... Et cette "crise" de la cinquantaine est supportée par une enquête plutôt bien ficelée portée par une Marcie aussi drôle que maligne. Une lecture qui ne sera pas la plus marquante de l'année mais qui permet de commencer celle-ci avec un sourire aux lèvres ce qui est déjà une très bonne chose. Une mention toute particulière à la fille de Marcie, succulente dans ses remarques et son amour pour sa mère.
×
×
  • Créer...