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Titre de l'album : A vicious circle tome 1 Scenariste de l'album : Mattson Tomlin Dessinateur de l'album : Lee Bermejo Coloriste : Lee Bermejo Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Si Shawn Thacker vous disait ce qu'il est et d'où il vient, vous ne le croiriez pas. Car Shawn Thacker est non seulement un assassin, mais il vient surtout du futur. Depuis l'assassinat de sa famille, il cherche à se venger du seul homme à partager la même malédiction que lui : être projeté dans le temps et l'espace à chaque fois qu'ils prennent une vie humaine. Du XXIIe siècle tokyoïte à la Nouvelle-Orléans des années 1950, en passant par l'ère jurassique et au-delà, les deux rivaux s'affrontent avec violence dans l'espoir de changer le cours de l'Histoire. Critique : Deuxième sortie de Bermejo après la pseudo-histoire/artbook Cher Detective. Ici, c'est une première œuvre "autonome" de Bermejo. Une œuvre qui sort des super-héros classiques. Une oeuvre qui nous montre une histoire de voyages temporels intelligente. Une histoire qui se découvre petit à petit, ce malgré un rythme effréné d'un livre qui tient autant du film d'action que de la bande dessinée. Le choix du format BD donne énormément d'air au dessin si spécifique de Bermejo. Bermejo s'amuse aussi à changer de style en fonction des passages dans les différentes temporalités, ce qui rend la lecture étonnante. Attention tout de même, si l'album affiche 64 pages, l'histoire d'en fait que 48, le reste étant des ajouts certes intéressants mais pas indispensable. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/a-vicious-circle-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Deuxième sortie de Bermejo après la pseudo-histoire/artbook Cher Detective. Ici, c'est une première œuvre "autonome" de Bermejo. Une œuvre qui sort des super-héros classiques. Une oeuvre qui nous montre une histoire de voyages temporels intelligente. Une histoire qui se découvre petit à petit, ce malgré un rythme effréné d'un livre qui tient autant du film d'action que de la bande dessinée. Le choix du format BD donne énormément d'air au dessin si spécifique de Bermejo. Bermejo s'amuse aussi à changer de style en fonction des passages dans les différentes temporalités, ce qui rend la lecture étonnante. Attention tout de même, si l'album affiche 64 pages, l'histoire d'en fait que 48, le reste étant des ajouts certes intéressants mais pas indispensable.
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La série La bibliothèque de Daniel Clowes se poursuit pour notre plus grand plaisir avec un classique de l'auteur de comics indépendants. 20th Century Eightball représente les premiers travaux de l'auteur dont certains réalisés durant sa période à l'école d'art, avec toutes ses rencontres ou ses critiques. La plupart des histoires sont courtes et même certaines sur une seule planche. L'humour et la dérision sont bien constante dans différente mise en situation. On reconnait le style de l'auteur à venir, avec des dessins alternants des styles en couleur ou noir et blanc. Le ton est donné dès l'introduction de l'auteur en bande dessinée pour expliquer comment cet album à vue le jour. Je ne connais pas toutes les œuvres de l'auteur mais nous sommes dans un registre complétement différent des autres titres plus long et fantastique ou étrange, tout en conservant une touche particulière de Clowes bien reconnaissable. Cet album conviendra en premier pour les lecteurs suivant tous les sorties de l’auteur et pour posséder toute la collection de Daniel Clowes.
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Titre de l'album : 20th Century Eightball Scenariste de l'album : Daniel Clowes Dessinateur de l'album : Daniel Clowes Coloriste : Daniel Clowes Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : 20th Century Eightball est un recueil d'histoires courtes issues des 18 premiers fascicules des comics éponymes publiés entre 1989 et 2004, et démontrant la versatilité de l'auteur ainsi que de son talent de satire sociale. Avec ses récits plusieurs fois primés Clowes est reconnu dans le monde et notamment par Chris Ware qui considère le numéro 1 comme le plus grand comic-book de la fin du XXe siècle. Critique : La série La bibliothèque de Daniel Clowes se poursuit pour notre plus grand plaisir avec un classique de l'auteur de comics indépendants. 20th Century Eightball représente les premiers travaux de l'auteur dont certains réalisés durant sa période à l'école d'art, avec toutes ses rencontres ou ses critiques. La plupart des histoires sont courtes et même certaines sur une seule planche. L'humour et la dérision sont bien constante dans différente mise en situation. On reconnait le style de l'auteur à venir, avec des dessins alternants des styles en couleur ou noir et blanc. Le ton est donné dès l'introduction de l'auteur en bande dessinée pour expliquer comment cet album à vue le jour. Je ne connais pas toutes les œuvres de l'auteur mais nous sommes dans un registre complétement différent des autres titres plus long et fantastique ou étrange, tout en conservant une touche particulière de Clowes bien reconnaissable. Cet album conviendra en premier pour les lecteurs suivant tous les sorties de l’auteur et pour posséder toute la collection de Daniel Clowes. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-bibliotheque-de-daniel-clowes-eightball?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Étrange album que celui-ci. Etrange pour un européen car il ne parle et ne se passe qu'en inde. Une inde que l'on ne connait que peu en France. Un manque de connaissance qui fait que cet album ne me donne pas envie d'y vivre. Car cette histoire, si elle est intéressante, est dure et impitoyable. La vie de nos quatre "héros" est aussi différente qu'elle est dure pour les quatre d'entre eux. Plus pour certains que pour d'autres, mais dure dans un univers ou l'amitié est la seule ressource qu'ils ont. Une histoire étrange se déroulant dans un pays que je ne connais donc pas mais, il faut l'avouer, porté par un parti prit graphique très intéressant bien reflété par la couverture. Je laisserai aux amateurs de l'inde le plaisir de faire une critique sur le reflet que cette oeuvre est de la culture indienne actuelle.
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Titre de l'album : Grafity's wall Scenariste de l'album : Ram V. Dessinateur de l'album : Anand R.K. Coloriste : Anand R.K. Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Mumbai. La ville indienne est comme une gigantesque fourmilière, en constante croissance, en perpétuelle évolution. Dans ses rues, creusant leur chemin à travers la vie, par le biais des murs et de la peinture, quatre adolescents y cherchent leur place, et les clefs de l'âge vers l'âge adulte, dans un monde où il est de plus en plus dur de s'intégrer, de se connaître soi-même et de s'accepter. Critique : Étrange album que celui-ci. Etrange pour un européen car il ne parle et ne se passe qu'en inde. Une inde que l'on ne connait que peu en France. Un manque de connaissance qui fait que cet album ne me donne pas envie d'y vivre. Car cette histoire, si elle est intéressante, est dure et impitoyable. La vie de nos quatre "héros" est aussi différente qu'elle est dure pour les quatre d'entre eux. Plus pour certains que pour d'autres, mais dure dans un univers ou l'amitié est la seule ressource qu'ils ont. Une histoire étrange se déroulant dans un pays que je ne connais donc pas mais, il faut l'avouer, porté par un parti prit graphique très intéressant bien reflété par la couverture. Je laisserai aux amateurs de l'inde le plaisir de faire une critique sur le reflet que cette oeuvre est de la culture indienne actuelle. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/grafity-s-wall?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Dur de se prononcer sur cet ouvrage tant partie graphique que scénario sont particuliers. Ce qui est sûr c'est que si vous ne réussissez pas à vous laisser happer par ce drame Faustien sur fond de musique. Moi j'ai bizarrement accroché bien que maudissant régulièrement la partie graphique pour son manque de lisibilité. Le dénouement attendu ne m'a pas spécialement surpris ni bouleversé et pourtant, je crois bien que ce comics va rester sur mes étagères. C'est un OVNI et pour moi une réussite, car justement tout est souvent question d'ambiance. Je comprends ce que Hi Comics a décelé dans cette oeuvre, et pourtant j'aurais du mal à vous expliquer ce qu'elle a de si bien concrètement. Mais j'ai aimé cette lecture, qui m'a happé petit à petit. Une belle BD d'ambiance sur fond de musique pour les amateurs d'arts à la recherche de quelque chose d'un peu différent. Par contre attention, ouvrez là avant de la commander ou de l'acheter car graphiquement elle ne plaira pas à tout le monde.
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Titre de l'album : Blue in green Scenariste de l'album : Ram V Dessinateur de l'album : Anand RK Coloriste : John Pearson Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Eisner Awards du Meilleur Artiste MultimédiaJeune prodige du saxophone, Erik Dieter n'a jamais percé et enseigne la musique, loin de sa famille et de ses ambitions passées. De retour dans la maison de son enfance suite à la mort tragique de sa mère, il tombe sur une vieille photographie d'un musicien de jazz dans d'étranges circonstances, et sa vie bascule. Désormais, Erik n'a plus qu'une idée en tête: découvrir l'identité de ce mystérieux saxophoniste. Mais cette quête réveille en lui les démons de son ambition... De clubs de jazz en révélations sur le passé de sa mère, Erik sombre peu à peu dans la folie, obsédé par la poursuite du génie créatif et de la reconnaissance... jusqu'à y laisser son âme? Whiplash meets William Burroughs meets James Baldwin. Ram V (These Savage Shores, The Many Deaths of Laila Starr, Swamp Thing) revient en force avec Blue In Green, thriller horrifique envoûtant et somptueuse ode au jazz. Un graphic novel d'une beauté incomparable porté par le style unique d'Anand RK (Grafity's Wall). Critique : Dur de se prononcer sur cet ouvrage tant partie graphique que scénario sont particuliers. Ce qui est sûr c'est que si vous ne réussissez pas à vous laisser happer par ce drame Faustien sur fond de musique. Moi j'ai bizarrement accroché bien que maudissant régulièrement la partie graphique pour son manque de lisibilité. Le dénouement attendu ne m'a pas spécialement surpris ni bouleversé et pourtant, je crois bien que ce comics va rester sur mes étagères. C'est un OVNI et pour moi une réussite, car justement tout est souvent question d'ambiance. Je comprends ce que Hi Comics a décelé dans cette oeuvre, et pourtant j'aurais du mal à vous expliquer ce qu'elle a de si bien concrètement. Mais j'ai aimé cette lecture, qui m'a happé petit à petit. Une belle BD d'ambiance sur fond de musique pour les amateurs d'arts à la recherche de quelque chose d'un peu différent. Par contre attention, ouvrez là avant de la commander ou de l'acheter car graphiquement elle ne plaira pas à tout le monde. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blue-in-green?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Après la nouvelle édition de The Cape, l'adaptation en comics de la nouvelle fantastique de Joe Hill s'attaquant au mythe du super héros, voici la parution de la réédition du préquel de The Cape sur les origines de la nouvelle principale. On plongera avec ce récit dans l'horreur de la guerre du Vietnam et le combat du père du héros de The Cape. Récit fantastique aux relents d'Apocalypse Now et de Voyage au bout de l'enfer, The Cape est un comics qui comme son grand frère se lit d'une traite à un rythme vraiment soutenu. Reste que le côté remarquable du scénario de l'original est ici du coup un peu éventé ce qui nous retire un peu du plaisir de la découverte et de la fraicheur. Graphiquement le dessin de Nelson Daniel qui s'occupait seulement des couleurs sur The Cape est un peu moins prenant et expressif au niveau des personnages que celui de son homologue Zach Howard mais il reste dans l'ambiance et la lignée directe de The Cape donc pas d'inquiétude de ce côté là. Au final pour ceux qui ont lu et aimé The Cape je ne peux que vous conseiller cette lecture, qui si elle n'est pas un indispensable, permet de renouer sérieusement avec le plaisir du comics original. Pour ceux qui n'ont pas aimé The Cape, inutile de réessayer avec ce one shot préquel, les ingrédients sont sensiblement identiques.
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Titre de l'album : The Cape - 1969 Scenariste de l'album : Jason Ciaramella Dessinateur de l'album : Nelson Daniel Coloriste : Nelson Daniel Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Découvrez les événements fondateurs de The Cape, le comics nominé aux Eisner Awards et encensé par la critique ! 1969. La guerre du Vietnam fait rage. L'hélicoptère du capitaine Chase, pilote d'Evasan pour l'armée américaine, est abattu en territoire ennemi. Ses hommes et lui sont obligés de fuir, poursuivis par les soldats viêt-Cong... et ils découvriront vite que le mugissement des armes automatiques n'est pas le seul danger dans la jungle. Un comics viscéral aux allures de graphic novel, qui retrace le destin poignant et fantastique du père des enfants découverts dans The Cape. Tiré d'une nouvelle de Joe Hill, The Cape pulvérise le mythe du héros - et du super-héros. Critique : Après la nouvelle édition de The Cape, l'adaptation en comics de la nouvelle fantastique de Joe Hill s'attaquant au mythe du super héros, voici la parution de la réédition du préquel de The Cape sur les origines de la nouvelle principale. On plongera avec ce récit dans l'horreur de la guerre du Vietnam et le combat du père du héros de The Cape. Récit fantastique aux relents d'Apocalypse Now et de Voyage au bout de l'enfer, The Cape est un comics qui comme son grand frère se lit d'une traite à un rythme vraiment soutenu. Reste que le côté remarquable du scénario de l'original est ici du coup un peu éventé ce qui nous retire un peu du plaisir de la découverte et de la fraicheur. Graphiquement le dessin de Nelson Daniel qui s'occupait seulement des couleurs sur The Cape est un peu moins prenant et expressif au niveau des personnages que celui de son homologue Zach Howard mais il reste dans l'ambiance et la lignée directe de The Cape donc pas d'inquiétude de ce côté là. Au final pour ceux qui ont lu et aimé The Cape je ne peux que vous conseiller cette lecture, qui si elle n'est pas un indispensable, permet de renouer sérieusement avec le plaisir du comics original. Pour ceux qui n'ont pas aimé The Cape, inutile de réessayer avec ce one shot préquel, les ingrédients sont sensiblement identiques. Autres infos : D'après une nouvelle de Joe Hill Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-cape-1969-232026?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Grosse parution cet été chez Hi Comics avec ce These Savage shores qui mêle adroitement les mythes vampires européens et les mythes Indiens sur fond de colonialisme et de l'inde du 18ème siècle. Autant vous dire que c'est original comme univers, mais la vraie grande réussite c'est que ce mélange original est rendu très cohérent, passionnant même par une narration maîtrisée de bout en bout. Le seul défaut est que finalement cette histoire aurait méritée d'être plus développée je crois. C'est intense, puissant et on ressort de cette aventure avec un goût de trop peu qui ne peu que nous pousser à conclure que ce qu'on vient de lire était bon. Voir très bon. La partie graphique est complètement maîtrisée par Sumit Kumar au dessin et Vittorio Astone aux couleurs. C'est superbe, cohérent, certaines scènes dégagent une vraie puissance et les scènes d'actions sont parfaitement mises en scène. Les personnages sont suffisamment travaillés pour coller à leurs personnalités et nous faire ressentir une vraie empathie pour eux et l'on sent bien que dessin et narration sont en osmose. Ceci étant dit These Savage Shores au delà de proposer une aventure très chouette qui nous rappellera nécessairement le Dracula de Bram Stoker, These Savage shores propose également une réflexion plus poussée sur nos sociétés, notre rapport à la sauvagerie ou à la destinée, et dans une moindre mesure une évocation vu de l'Inde du colonialisme Anglais. Ce n'est certes pas cette partie qui m'a le plus marqué le récit m'ayant complètement envoûté. These Savage shores est un one shot sublime porté par une narration sans faille au service d'une histoire universelle. Une réussite à tous points de vue.
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Titre de l'album : These savage shores Scenariste de l'album : Ram V Dessinateur de l'album : Sumit Kumar Coloriste : Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Sur les rives de l'Indus, les jours sont rudes, et les nuits, déchirantes. 1766. Deux siècles après l'arrivée du premier navire européen sur les côtes de Malabar et l'implantation des colons à Calicut, la Compagnie des Indes cherche à protéger ses intérêts économiques sur la Route de la Soie. Une ancienne créature diabolique embarque sur un bateau de la Compagnie, dans l'espoir de redémarrer de zéro sur ces nouvelles terres prometteuses. Mais il comprendra vite que les rives de l'Indus abritent des démons et créatures légendaires bien plus anciennes que lui. Critique : Grosse parution cet été chez Hi Comics avec ce These Savage shores qui mêle adroitement les mythes vampires européens et les mythes Indiens sur fond de colonialisme et de l'inde du 18ème siècle. Autant vous dire que c'est original comme univers, mais la vraie grande réussite c'est que ce mélange original est rendu très cohérent, passionnant même par une narration maîtrisée de bout en bout. Le seul défaut est que finalement cette histoire aurait méritée d'être plus développée je crois. C'est intense, puissant et on ressort de cette aventure avec un goût de trop peu qui ne peu que nous pousser à conclure que ce qu'on vient de lire était bon. Voir très bon. La partie graphique est complètement maîtrisée par Sumit Kumar au dessin et Vittorio Astone aux couleurs. C'est superbe, cohérent, certaines scènes dégagent une vraie puissance et les scènes d'actions sont parfaitement mises en scène. Les personnages sont suffisamment travaillés pour coller à leurs personnalités et nous faire ressentir une vraie empathie pour eux et l'on sent bien que dessin et narration sont en osmose. Ceci étant dit These Savage Shores au delà de proposer une aventure très chouette qui nous rappellera nécessairement le Dracula de Bram Stoker, These Savage shores propose également une réflexion plus poussée sur nos sociétés, notre rapport à la sauvagerie ou à la destinée, et dans une moindre mesure une évocation vu de l'Inde du colonialisme Anglais. Ce n'est certes pas cette partie qui m'a le plus marqué le récit m'ayant complètement envoûté. These Savage shores est un one shot sublime porté par une narration sans faille au service d'une histoire universelle. Une réussite à tous points de vue. Autres infos : Quand un vampire rencontre un Rashtaka... Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/these-savage-shores?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Après 7 tomes de bonne qualité, nous faisant parcourir le monde des grands empires coloniaux et plus précisément l'Inde, voici enfin l'épilogue de cette saga d'aventure portée par une héroïne féministe soumise à de multiples épreuves. Jean Van Hamme et Alcante au scénario nous délivrent donc une conclusion qui si elle ne brille pas par son originalité, a le mérite d'être dans la lignée complète de la série et d'une grande logique. Ce dénouement, s'il est parfois prévisible n'en demeurera pas moins apprécié des fans de la première heure. Rani confirme bien être une saga historique en 8 tomes intéressante pour qui apprécie se plonger dans cette Inde coloniale. Le trait de Francis Valles aussi connu pour son travail sur les maitres de l'orge est certes très classique mais néanmoins très adapté à l'histoire, on sent également qu'au bout de 8 tomes, il maitrise complètement son sujet dans la plus belle tradition de la BD Franco Belge. A noter le joli carnet de croquis final qui aurait cependant gagné à être étoffé vu leur qualité.
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Titre de l'album : Rani - Tome 8 - Marquise Scenariste de l'album : Jean Van Hamme & Alcante Dessinateur de l'album : Francis Valles Coloriste : Christian Favrelle Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : La guerre entre la France et l'Angleterre est désormais totale. Elle a atteint les rivages de leurs lointaines colonies indiennes. Le Radjah doit choisir son camp. Et l'ignoble Valcourt complote toujours dans l'ombre. Pour Jolanne, l'heure de l'ultime confrontation est enfin venue. Critique : Après 7 tomes de bonne qualité, nous faisant parcourir le monde des grands empires coloniaux et plus précisément l'Inde, voici enfin l'épilogue de cette saga d'aventure portée par une héroïne féministe soumise à de multiples épreuves. Jean Van Hamme et Alcante au scénario nous délivrent donc une conclusion qui si elle ne brille pas par son originalité, a le mérite d'être dans la lignée complète de la série et d'une grande logique. Ce dénouement, s'il est parfois prévisible n'en demeurera pas moins apprécié des fans de la première heure. Rani confirme bien être une saga historique en 8 tomes intéressante pour qui apprécie se plonger dans cette Inde coloniale. Le trait de Francis Valles aussi connu pour son travail sur les maitres de l'orge est certes très classique mais néanmoins très adapté à l'histoire, on sent également qu'au bout de 8 tomes, il maitrise complètement son sujet dans la plus belle tradition de la BD Franco Belge. A noter le joli carnet de croquis final qui aurait cependant gagné à être étoffé vu leur qualité. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rani-tome-8-marquise?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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