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Jacopo Paliaga, l'auteur de la saga The frontier parue au Lombard, propose une nouvelle aventure mêlant méchas et humains dans un futur proche. On y découvre Dakota et son amie April dans leurs turpitudes d'adolescentes, famille, lycée, amitiés, jalousies, bref le quotidien des jeunes de cet âge. Un évènement va venir bouleverser leur quotidien : la venue d'un mécha non répertorié semblant attiré par Dakota et ses origines indiennes. Ensemble, elles vont tenter de percer son secret, mais elles ne sont pas seules ! Car dans l'ombre, le puissant dirigeant d'une entreprise hightech qui s'avère être aussi le père d'une camarade de classe assez teigneuse, se montre plus qu'intéressé par ce curieux mécha au look et aux pouvoirs différents. Une aventure menée tambours battants, au style "manga" avec des couleurs vives. On y décèle de nombreuses influences de "culture pop" avec ces méchas et autres robots dirigés par un humain, la grosse société cachant ses véritables intentions, et l'entourage familial de l'héroïne dissimulant ses secrets. Une lecture adressée aux ados, on est pleinement dans le public ciblé de l'éditeur Jungle. La fin, nimbée de mystères annonce un second tome "révélateur" ! A suivre donc 🙂
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Titre de l'album : Dakota - Héritage mécanique Scenariste de l'album : Jacopo Paliaga Dessinateur de l'album : Maurizia Rubino Coloriste : Maurizia Rubino Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Il y a trois cents ans, un chaman mis au monde une créature hors du commun : un mécha. Aujourd'hui, ces objets mécaniques font pleinement partie du quotidien des humains. Lorsqu'un jour, en sortant de son école, Dakota tombe nez à nez avec Woody, le tout premier mécha. Ce qu'elle ignore au moment de cette rencontre, c'est qu'elle deviendra la nouvelle cible d'hommes souhaitant s'emparer de Woody. Une véritable chasse à l'homme ou plutôt au mécha est lancée. Mais qui des deux clans s'en sortira ? Critique : Jacopo Paliaga, l'auteur de la saga The frontier parue au Lombard, propose une nouvelle aventure mêlant méchas et humains dans un futur proche. On y découvre Dakota et son amie April dans leurs turpitudes d'adolescentes, famille, lycée, amitiés, jalousies, bref le quotidien des jeunes de cet âge. Un évènement va venir bouleverser leur quotidien : la venue d'un mécha non répertorié semblant attiré par Dakota et ses origines indiennes. Ensemble, elles vont tenter de percer son secret, mais elles ne sont pas seules ! Car dans l'ombre, le puissant dirigeant d'une entreprise hightech qui s'avère être aussi le père d'une camarade de classe assez teigneuse, se montre plus qu'intéressé par ce curieux mécha au look et aux pouvoirs différents. Une aventure menée tambours battants, au style "manga" avec des couleurs vives. On y décèle de nombreuses influences de "culture pop" avec ces méchas et autres robots dirigés par un humain, la grosse société cachant ses véritables intentions, et l'entourage familial de l'héroïne dissimulant ses secrets. Une lecture adressée aux ados, on est pleinement dans le public ciblé de l'éditeur Jungle. La fin, nimbée de mystères annonce un second tome "révélateur" ! A suivre donc 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dakota/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Feldrik Rivat revient sous le pseudonyme Hirodjee avec cette nouvelle parution aux Humanos : Okanikaa . Après le réussi Naissance du tigre , il réalise un nouveau scénario aux accents mystiques prenant place dans les immenses forêts canadiennes au XVIIème siècle . Mais l'histoire débute en France au cours d'une cérémonie occulte entre François et son père le Baron . Le jeune homme , effrayé , quitte en catastrophe le château pour s'exiler au nouveau monde . Son père finit par retrouver sa trace 10 ans plus tard , la traque peut commencer ! L'auteur revisite les croyances indiennes et les incorpore au récit avec une bonne dose d'épouvante . Le Wendigo chasse sa proie et rien ne pourra entraver sa quête , de nombreuses victimes collatérales en feront les frais . Il est nécessaire de s'accrocher car le scénariste multiplie les bonds dans le passé , afin de distiller les révélations et tenir le lecteur en haleine . Par ailleurs , une grande galerie de personnages compose cette chasse à l'homme où colons français cohabitent avec les indiens dans une grande méfiance . L'artiste brésilien Magenta King réalise la partie graphique avec un dessin numérique simple mais efficace . Les personnages sont reconnaissables , il met de la profondeur dans ses paysages et le bestiaire est inquiétant à souhait . Au final c'est un one-shot réussi mais auquel il manque un peu de personnalité , le scénariste intègre une complexité avec des flashbacks , mais on comprend très vite les enjeux et qui se cache derrière le Wendigo .
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- bd
- fantastique
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(et 3 en plus)
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Titre de l'album : Okanikaa Scenariste de l'album : Hirodjee Dessinateur de l'album : Magenta King Coloriste : Lucie Firoud Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Au XVIIe siècle, le mystérieux Baron vient d'arriver au Nouveau Monde. Il cherche son fils François, qui a pris le nom d'Okanikaa et a fondé sa famille parmi les Amérindiens. Mais au cours de cette expédition, les compagnons du Baron disparaissent un à un : un wendigo semble suivre la même piste. Pour protéger sa famille de son père et de la bête, Okanikaa devra faire face à ses propres démons. Critique : Feldrik Rivat revient sous le pseudonyme Hirodjee avec cette nouvelle parution aux Humanos : Okanikaa . Après le réussi Naissance du tigre , il réalise un nouveau scénario aux accents mystiques prenant place dans les immenses forêts canadiennes au XVIIème siècle . Mais l'histoire débute en France au cours d'une cérémonie occulte entre François et son père le Baron . Le jeune homme , effrayé , quitte en catastrophe le château pour s'exiler au nouveau monde . Son père finit par retrouver sa trace 10 ans plus tard , la traque peut commencer ! L'auteur revisite les croyances indiennes et les incorpore au récit avec une bonne dose d'épouvante . Le Wendigo chasse sa proie et rien ne pourra entraver sa quête , de nombreuses victimes collatérales en feront les frais . Il est nécessaire de s'accrocher car le scénariste multiplie les bonds dans le passé , afin de distiller les révélations et tenir le lecteur en haleine . Par ailleurs , une grande galerie de personnages compose cette chasse à l'homme où colons français cohabitent avec les indiens dans une grande méfiance . L'artiste brésilien Magenta King réalise la partie graphique avec un dessin numérique simple mais efficace . Les personnages sont reconnaissables , il met de la profondeur dans ses paysages et le bestiaire est inquiétant à souhait . Au final c'est un one-shot réussi mais auquel il manque un peu de personnalité , le scénariste intègre une complexité avec des flashbacks , mais on comprend très vite les enjeux et qui se cache derrière le Wendigo . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/okanikaa/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Golden west Scenariste de l'album : Christian Rossi Dessinateur de l'album : Christian Rossi Coloriste : Christian Rossi Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : Banni de son peuple pour conjurer une malédiction, le novice apache Woan doit apprendre à survivre. Après avoir affronté, seul, à la frontière nord-ouest du Mexique, les épreuves des éléments naturels et des passions humaines, le jeune homme croise la route d'un guerrier dont les faits d'armes et la spiritualité ont marqué l'Histoire des Etats-Unis et la légende dorée de l'Ouest : Geronimo ! En nous faisant revivre l'ultime élan de résistance d'une civilisation en péril, Christian Rossi donne à lire son oeuvre la plus personnelle et la plus inspirée Critique : Bercé par les westerns vus dans son enfance , notamment ceux de John Ford , Christian Rossi a été marqué par cette époque , ces gueules , cette société et ces paysages hors du temps . Les indiens y tenaient bien souvent les mauvais rôles , aussi il a décidé de leur donner leurs lettres de noblesse à travers cette histoire magnifiquement illustrée . Sur les vastes étendues désertiques , aux canyons et autres formations rocheuses monolithiques du Colorado et du Nouveau-Mexique , il nous offre les ultimes soubresauts des apaches et du contingent indien en général . Son trait lumineux aux couleurs chaudes , sublime cette ambiance crépusculaire . Car oui , Geronimo incarne le résistant en chef d'une "nation" indienne bousculée sur ses propres terres et invitée à aller voir ailleurs , dans des réserves dépourvues de sols fertiles . Il dépeint une société indienne en phase avec la nature , et respectueuse de son environnement . On y découvre des apaches pris en tenaille entre mexicains au sud et tuniques bleues au nord-est . Il alterne avec brio les phases d'action et celles plus intimistes où les indiens se livrent pleinement entre eux ou à leur dieu Ussen . La notion de dialogue est omniprésente , ils seraient presque les parents d'une forme de psychanalyse ! Le parcours de Woan qui est le héros de cette histoire est un formidable écho à cette civilisation . Banni de son peuple , il se recrée dans la solitude en communiant avec l'environnement sauvage et naturel . Ses monologues impriment cette notion de dialogue tellement culturelle chez les indiens . Cela permet aussi à Christian Rossi de nous offrir sa palette graphique somptueuse . Chaque page tournée est une ode aux grand espaces et à l'art du dessin . A ce niveau , c'est de l'Art , incontestablement . Si vous désirez chevaucher aux côtés de Woan et Geronimo au beau milieu de Monument Valley , cette remarquable aventure est faite pour vous ! Mais il serait réducteur de la conseiller uniquement aux amateurs de western tant l'histoire est belle , au diapason avec ce dessin subtil et lumineux . Bravo Monsieur Rossi ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/golden-west/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Bercé par les westerns vus dans son enfance , notamment ceux de John Ford , Christian Rossi a été marqué par cette époque , ces gueules , cette société et ces paysages hors du temps . Les indiens y tenaient bien souvent les mauvais rôles , aussi il a décidé de leur donner leurs lettres de noblesse à travers cette histoire magnifiquement illustrée . Sur les vastes étendues désertiques , aux canyons et autres formations rocheuses monolithiques du Colorado et du Nouveau-Mexique , il nous offre les ultimes soubresauts des apaches et du contingent indien en général . Son trait lumineux aux couleurs chaudes , sublime cette ambiance crépusculaire . Car oui , Geronimo incarne le résistant en chef d'une "nation" indienne bousculée sur ses propres terres et invitée à aller voir ailleurs , dans des réserves dépourvues de sols fertiles . Il dépeint une société indienne en phase avec la nature , et respectueuse de son environnement . On y découvre des apaches pris en tenaille entre mexicains au sud et tuniques bleues au nord-est . Il alterne avec brio les phases d'action et celles plus intimistes où les indiens se livrent pleinement entre eux ou à leur dieu Ussen . La notion de dialogue est omniprésente , ils seraient presque les parents d'une forme de psychanalyse ! Le parcours de Woan qui est le héros de cette histoire est un formidable écho à cette civilisation . Banni de son peuple , il se recrée dans la solitude en communiant avec l'environnement sauvage et naturel . Ses monologues impriment cette notion de dialogue tellement culturelle chez les indiens . Cela permet aussi à Christian Rossi de nous offrir sa palette graphique somptueuse . Chaque page tournée est une ode aux grand espaces et à l'art du dessin . A ce niveau , c'est de l'Art , incontestablement . Si vous désirez chevaucher aux côtés de Woan et Geronimo au beau milieu de Monument Valley , cette remarquable aventure est faite pour vous ! Mais il serait réducteur de la conseiller uniquement aux amateurs de western tant l'histoire est belle , au diapason avec ce dessin subtil et lumineux . Bravo Monsieur Rossi !
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Avant dernier tome de cette biographie de Jeremiah Johnson, toujours marquée par sa guerre sanglante contre les Crows. On voit enfin le héros évoluer et une forme de réflexion sur les cycles infinis de sauvagerie et de violence pointer le bout de son nez. Au niveau dessin, je suis toujours un peu désappointé par cette série car si certaines planches m'ont beaucoup plu, j'ai eu du mal sur d'autres, notamment sur les visages et certains fonds/décors. Le tome 5 viendra clôturer cette série et la vie remarquable de Jeremiah Johnson qui nous aura permis de nous immerger dans la vie des trappeurs de la conquête de l'Ouest mais pour laquelle j'ai eu du mal à me passionner, le point de vue sur Jeremiah suscitant pour le personnage peu d'empathie jusqu'ici et le traitement graphique étant un peu inégal.
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Titre de l'album : Jeremiah Johnson - Chapitre IV Scenariste de l'album : Fred Duval & Jean Pierre Pecau Dessinateur de l'album : Jack Jadson Coloriste : Nuria Sayago Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Après la mort de femme folle, Jeremiah réunit une bande de trappeurs sanguinaires pour se venger de ses assassins. Les bandidos vont écumer la plaine sans faire de prisonniers, collectionnant les scalps dans un déchaînement de violence. Critique : Avant dernier tome de cette biographie de Jeremiah Johnson, toujours marquée par sa guerre sanglante contre les Crows. On voit enfin le héros évoluer et une forme de réflexion sur les cycles infinis de sauvagerie et de violence pointer le bout de son nez. Au niveau dessin, je suis toujours un peu désappointé par cette série car si certaines planches m'ont beaucoup plu, j'ai eu du mal sur d'autres, notamment sur les visages et certains fonds/décors. Le tome 5 viendra clôturer cette série et la vie remarquable de Jeremiah Johnson qui nous aura permis de nous immerger dans la vie des trappeurs de la conquête de l'Ouest mais pour laquelle j'ai eu du mal à me passionner, le point de vue sur Jeremiah suscitant pour le personnage peu d'empathie jusqu'ici et le traitement graphique étant un peu inégal. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jeremiah-johnson-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Cela faisait très longtemps que je n'avais pas ouvert un Yakari. Il ne m'a pas fallut 2 minutes pour y replonger avec délice, en grand enfant que je suis. L'amateur de bd lui, n'a pu que constater avec plaisir ce qui différencie certaines productions jeunesse des autres tant le dessin de Derib est uné réussite à tous les niveaux, illustrant sans caricaturer, proposant des variétés de décors, de personnages, d'animaux et de situations allant du simple au détaillé avec plaisir. Côté scénario, si Xavier Giacometti à pris la relève de Job depuis le tome 41, il est toutefois dans la continuité de ce qui a fait le succès de Yakari : des histoires simples mais cohérentes, délivrant un message positif et permettant de mettre en scène une grande variété de personnages. J'en redemande, Yakari semble éternel.
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Titre de l'album : Yakari - Tome 42 - La colère de Thathanka Scenariste de l'album : Xavier Giacometti Dessinateur de l'album : Derib Coloriste : Rebekah Paulovitch Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Un peu trop désireux de prouver sa valeur à ses amis, Graine-de-Bison a pris des risques inconsidérés, et fait une très mauvaise chute. Pour sauver son esprit, Yakari décide de demander de l'aide à l'animal-totem de son ami. Le seul problème, c'est qu'il s'agit de Thathanka, le terrible bison ! Et, tout comme Graine-de-Bison, il est impétueux et têtu. Yakari parviendra-t-il à convaincre le fougueux animal de pardonner ses défauts à ce jeune papoose qui lui ressemble un peu trop…? Critique : Cela faisait très longtemps que je n'avais pas ouvert un Yakari. Il ne m'a pas fallut 2 minutes pour y replonger avec délice, en grand enfant que je suis. L'amateur de bd lui, n'a pu que constater avec plaisir ce qui différencie certaines productions jeunesse des autres tant le dessin de Derib est uné réussite à tous les niveaux, illustrant sans caricaturer, proposant des variétés de décors, de personnages, d'animaux et de situations allant du simple au détaillé avec plaisir. Côté scénario, si Xavier Giacometti à pris la relève de Job depuis le tome 41, il est toutefois dans la continuité de ce qui a fait le succès de Yakari : des histoires simples mais cohérentes, délivrant un message positif et permettant de mettre en scène une grande variété de personnages. J'en redemande, Yakari semble éternel. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/yakari-tome-42-la-colere-de-thathanka/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement