Rechercher dans la communauté
Affichage des résultats pour les étiquettes 'netflix'.
6 résultats trouvés
-
Avant d'entrer dans la critique a proprement parler, autant être clair tout de suite : Cette histoire n'a rien (ou quasiment rien) à voir avec Sandman. Pas de Morphée, pas de Dream, pas de Gaiman non plus. Un léger soupçon de "Death" et des personnages issus d'une histoire parallèle d'une histoire parallèle de Sandman... N'espérez rien de ce côté-là. On pourrait même dire que ce one shot s'adresse quasiment plus aux fans de Fables. Graphiquement déjà, c'est avec plaisir que l'on retrouve Mark Buckingham pour la deuxième fois ce mois-ci après le spin off de Fables. Si l'univers n'est pas exactement le même, son trait correspond parfaitement à nos fantômes et à leur univers fantastique. Coté histoire, on a ici plusieurs histoires servant à présenter nos héros, mais aussi Crystal, qui sert de personnage central de cet album. Des histoires sympathiques qui ont le bon gout de toutes converger pour faire de ce one shot une véritable histoire finie, oscillant entre passé et présent, mais aussi entre royaume des morts et des vivants. Toby Litt manie bien deux niveaux de lectures permettant une lecture enfantine tout autant qu'une vision adultes de ce recit. Une lecture très sympa pour les vacances ! Attention, pour ceux qui auraient vu la saison 1 de la série, les personnages du comics sont ... des enfants. Ca n'enlève rien à l'histoire mais change par rapport aux jeunes adultes de la série.
-
Titre de l'album : Sandman - Dead boy detectives Scenariste de l'album : Toby Litt Dessinateur de l'album : Mark Buckingham Coloriste : Mark Buckingham Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Edwin Paine et Charles Roland ont beaucoup en commun : ce sont tous deux des écoliers anglais qui adorent les romans policiers, et ils ont eux-mêmes été amenés à résoudre des énigmes. Ils sont également tous les deux morts, une condition qui s'est avérée moins gênante qu'on ne pourrait le croire. Les deux garçons retournent à l'internat de St. Hilarions, pour percer les mystères de cet internat tyrannique et y font la rencontre de Crystal, une limier technophile. Critique : Avant d'entrer dans la critique a proprement parler, autant être clair tout de suite : Cette histoire n'a rien (ou quasiment rien) à voir avec Sandman. Pas de Morphée, pas de Dream, pas de Gaiman non plus. Un léger soupçon de "Death" et des personnages issus d'une histoire parallèle d'une histoire parallèle de Sandman... N'espérez rien de ce côté-là. On pourrait même dire que ce one shot s'adresse quasiment plus aux fans de Fables. Graphiquement déjà, c'est avec plaisir que l'on retrouve Mark Buckingham pour la deuxième fois ce mois-ci après le spin off de Fables. Si l'univers n'est pas exactement le même, son trait correspond parfaitement à nos fantômes et à leur univers fantastique. Coté histoire, on a ici plusieurs histoires servant à présenter nos héros, mais aussi Crystal, qui sert de personnage central de cet album. Des histoires sympathiques qui ont le bon gout de toutes converger pour faire de ce one shot une véritable histoire finie, oscillant entre passé et présent, mais aussi entre royaume des morts et des vivants. Toby Litt manie bien deux niveaux de lectures permettant une lecture enfantine tout autant qu'une vision adultes de ce recit. Une lecture très sympa pour les vacances ! Attention, pour ceux qui auraient vu la saison 1 de la série, les personnages du comics sont ... des enfants. Ca n'enlève rien à l'histoire mais change par rapport aux jeunes adultes de la série. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sandman-dead-boy-detectives?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
J'avais vraiment très peur de cette adaptation. Même si c'est de mieux en mieux, avec The boys ou encore Umbrella Academy, les adaptations des comics en séries firent souvent des bides (Ohhhh Locke and Key :() chez les fans de comics, étant trop éloignés des idées originales ou dévoyé pour plaire au plus grand nombre. Alors quand j'ai vu que Sandman, la fresque la plus ambitieuse de l'histoire du Comics remplie de métaphores et de poésies, allait être adapté en série, j'ai pris peur. En suivant de moins, j'avais vu que Gaiman était impliqué dans le projet, ce qui m'a donné envie d'essayer. Juste pour voir. Et je dois avouer que, pour un fan de Sandman comme moi, ce fut une excellente surprise. Une fois accepté les transformations de certains personnages pour cocher les cases des rageux des réseaux sociaux (Lucien qui devient Lucienne et est Black. Lucifer qui est une femme aussi tout comme John Constantine qui devient Johana...), j'ai été conquis et charmé par la fidélité et le sérieux de cette adaptation. Je n'ai pas fini la série, mais rien que l'épisode 24H sur le Rubis, le "dine in" et le fils (pas transformé en femme le salaud par contre :D) Burgess est d'une fidélité à toute épreuve, tout comme l'épisode avec la sœur de Dream. Cette fidélité est appréciable, mais elle montre surtout que la trame du comics se suffit à elle-même et est suffisamment complexe pour qu'il ne faille pas y toucher. Et ça, les scénaristes l'ont heureusement compris. Si coté scénario, on a tout bon, Sandman tient pour beaucoup à l'incarnation du Rêve lui-même. Et dans ce registre, Tom Sturridge fait des miracles. Son incarnation frise le parfait entre poker face, incompréhension et l'humanisation continue du mythe. Je n'ai qu'une envie, c'est d'y retourner et ensuite de relire la série en entier. J'encourage toutes les personnes qui ont essayé Sandman mais ont été bloqués par les changements de dessinateurs ou par le type de narration, à se plonger dans cette série pour découvrir la beauté de l'univers et retrouver un peu de motivation pour approfondir l'univers !
-
Titre de l'album : Sandman, la série Scenariste de l'album : Gaiman Dessinateur de l'album : NA Coloriste : NA Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Morpheus, le seigneur des rêves, a été emprisonné en 1916, par un groupe occulte. Après avoir fomenté son évasion pendant presqu’un siècle, il réussit à s’échapper et se lance dans une quête pour redevenir le Maître des songes. Hantant les cauchemars et les désirs des hommes, il ira jusqu’en enfer retrouver son dû. Critique : J'avais vraiment très peur de cette adaptation. Même si c'est de mieux en mieux, avec The boys ou encore Umbrella Academy, les adaptations des comics en séries firent souvent des bides (Ohhhh Locke and Key :() chez les fans de comics, étant trop éloignés des idées originales ou dévoyé pour plaire au plus grand nombre. Alors quand j'ai vu que Sandman, la fresque la plus ambitieuse de l'histoire du Comics remplie de métaphores et de poésies, allait être adapté en série, j'ai pris peur. En suivant de moins, j'avais vu que Gaiman était impliqué dans le projet, ce qui m'a donné envie d'essayer. Juste pour voir. Et je dois avouer que, pour un fan de Sandman comme moi, ce fut une excellente surprise. Une fois accepté les transformations de certains personnages pour cocher les cases des rageux des réseaux sociaux (Lucien qui devient Lucienne et est Black. Lucifer qui est une femme aussi tout comme John Constantine qui devient Johana...), j'ai été conquis et charmé par la fidélité et le sérieux de cette adaptation. Je n'ai pas fini la série, mais rien que l'épisode 24H sur le Rubis, le "dine in" et le fils (pas transformé en femme le salaud par contre :D) Burgess est d'une fidélité à toute épreuve, tout comme l'épisode avec la sœur de Dream. Cette fidélité est appréciable, mais elle montre surtout que la trame du comics se suffit à elle-même et est suffisamment complexe pour qu'il ne faille pas y toucher. Et ça, les scénaristes l'ont heureusement compris. Si coté scénario, on a tout bon, Sandman tient pour beaucoup à l'incarnation du Rêve lui-même. Et dans ce registre, Tom Sturridge fait des miracles. Son incarnation frise le parfait entre poker face, incompréhension et l'humanisation continue du mythe. Je n'ai qu'une envie, c'est d'y retourner et ensuite de relire la série en entier. J'encourage toutes les personnes qui ont essayé Sandman mais ont été bloqués par les changements de dessinateurs ou par le type de narration, à se plonger dans cette série pour découvrir la beauté de l'univers et retrouver un peu de motivation pour approfondir l'univers ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sandman-le-maitre-de-reves-t-1-livre-du-professeureludes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
La dernière création de chez Millarworld. Création destinée, depuis le rachat par Netflix des studios Mark Millar, à être transformé en série dans les années à venir. Voir même quasiment conçue pour être une série avant même d'être un comic. Ça se retranscrit un peu dans le comic. Mais pas de façon péjorative. Ça amène une gestion du suspens plutôt positive. Car si Mark Millar se sert du succès de Punk Rock Jésus et de Preacher pour lancer lui aussi sa série sur le christianisme et le retour de jésus, il y met la patte Millar avec un découpage et une gestion du suspens très proche d'un film ou d'une série. On utilise la voie off qui raconte des événements passés pour pouvoir inclure le lecteur dans l'histoire. On gère le suspens chapitre par chapitre, chaque chapitre correspondant bien à un futur épisode de série. Niveau histoire cela serait cruel de vous en dire trop. Je vous dirais juste que les dessins de Peter Gross (Fables entre autres) correspondent bien au style souhaité. Millar réussi à ne pas tomber dans l'apologie d'une religion plus qu'une autre et réussi la transposition de Jésus dans le corps d'un ado ! C'est aussi prenant qu’intéressant. Je ne saurais que vous conseillez de prendre les deux tomes en même temps. Deux tomes qui nous présentent le fils de dieu pour l'un et celui du diable pour l'autre. Le troisième tome qui marquera la confrontation entre les deux promet d’être....biblique 🙂
-
Titre de l'album : American jesus t1&2 Scenariste de l'album : Mark Millar Dessinateur de l'album : Peter Gross Coloriste : Peter Gross Editeur de l'album : Panini Comics Note : Résumé de l'album : Il faut admettre l'évidence : cet enfant de 12 ans, capable de transformer l'eau en vin et de guérir les infirmes est l'élu, le nouveau Jésus Christ. Mais comment peut-on si jeune, endosser une telle destinée ? Critique : La dernière création de chez Millarworld. Création destinée, depuis le rachat par Netflix des studios Mark Millar, à être transformé en série dans les années à venir. Voir même quasiment conçue pour être une série avant même d'être un comic. Ça se retranscrit un peu dans le comic. Mais pas de façon péjorative. Ça amène une gestion du suspens plutôt positive. Car si Mark Millar se sert du succès de Punk Rock Jésus et de Preacher pour lancer lui aussi sa série sur le christianisme et le retour de jésus, il y met la patte Millar avec un découpage et une gestion du suspens très proche d'un film ou d'une série. On utilise la voie off qui raconte des événements passés pour pouvoir inclure le lecteur dans l'histoire. On gère le suspens chapitre par chapitre, chaque chapitre correspondant bien à un futur épisode de série. Niveau histoire cela serait cruel de vous en dire trop. Je vous dirais juste que les dessins de Peter Gross (Fables entre autres) correspondent bien au style souhaité. Millar réussi à ne pas tomber dans l'apologie d'une religion plus qu'une autre et réussi la transposition de Jésus dans le corps d'un ado ! C'est aussi prenant qu’intéressant. Je ne saurais que vous conseillez de prendre les deux tomes en même temps. Deux tomes qui nous présentent le fils de dieu pour l'un et celui du diable pour l'autre. Le troisième tome qui marquera la confrontation entre les deux promet d’être....biblique 🙂 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/american-jesus-l-elu?ref=44 Voir la totalité de enregistrement