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Titre de l'album : Gone with the wind - Tome 2 Scenariste de l'album : Pierre Alary Dessinateur de l'album : Pierre Alary Coloriste : Pierre Alary Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Suite et fin de la tourbillonnante histoire de Scarlett O'Hara, dont le caractère intrépide et la passion amoureuse avec Rhett Butler auront transporté des millions de lecteurs à travers le monde. Avec ce deuxième volume, Pierre Alary met le point final à une oeuvre prenante permettant de redécouvrir l'oeuvre de Margaret Mitchell sous son plus bel éclat. Critique : Mammamia que c'est bien. Alors ok cela redémarre en douceur, un peu longuet, pas super intéressant, mais quelle montée en puissance au fil des pages, quelle intensité dramatique dans cette conclusion. J'adore, Scarlett O'hara est vraiment l'un des personnages féminins marquant de la littérature, du cinéma, et maintenant de la bd. Quelle puissance, quelle actualité dans ses combats, quelle force, et pour autant on ne sait jamais si on l'admire ou on l'exècre. Le contexte historique, et sa relation avec son alter ego Brett est sublime. Ils sont tellement humains et en même temps tellement romanesques. Bref vous l'avez compris j'ai adoré ce second tome, que j'ai pourtant fait patienter pendant près de 3 mois sur ma table de chevet. Eh oui, il faut d'abord l'envie de s'y plonger, mais quelle récompense au fil des pages. Si on se prend à tourner les premières un brin distraitement, je vous assure que passé la moitié, vous risquez de ne plus le lâcher, surtout si vous ne connaissez ni le roman ni le film. Pierre Alary fait des merveilles sur les visages, Brett et Scarlett affichent leurs émotions, leurs regards, leurs interrogations sous nos yeux, plus vrais que nature. Pour les amoureux du film, pas de problème, il y a bien du Clark Gabble et de la Vivien Leigh dans nos deux héros. Si une grande fresque romanesque ne vous fait pas peur, foncez lire cette brillante adaptation. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gone-with-the-wind-tome-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Mammamia que c'est bien. Alors ok cela redémarre en douceur, un peu longuet, pas super intéressant, mais quelle montée en puissance au fil des pages, quelle intensité dramatique dans cette conclusion. J'adore, Scarlett O'hara est vraiment l'un des personnages féminins marquant de la littérature, du cinéma, et maintenant de la bd. Quelle puissance, quelle actualité dans ses combats, quelle force, et pour autant on ne sait jamais si on l'admire ou on l'exècre. Le contexte historique, et sa relation avec son alter ego Brett est sublime. Ils sont tellement humains et en même temps tellement romanesques. Bref vous l'avez compris j'ai adoré ce second tome, que j'ai pourtant fait patienter pendant près de 3 mois sur ma table de chevet. Eh oui, il faut d'abord l'envie de s'y plonger, mais quelle récompense au fil des pages. Si on se prend à tourner les premières un brin distraitement, je vous assure que passé la moitié, vous risquez de ne plus le lâcher, surtout si vous ne connaissez ni le roman ni le film. Pierre Alary fait des merveilles sur les visages, Brett et Scarlett affichent leurs émotions, leurs regards, leurs interrogations sous nos yeux, plus vrais que nature. Pour les amoureux du film, pas de problème, il y a bien du Clark Gabble et de la Vivien Leigh dans nos deux héros. Si une grande fresque romanesque ne vous fait pas peur, foncez lire cette brillante adaptation.
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Roman de l'été pour moi avec un récit impressionnant d'homme comme on espère ne plus avoir à en faire, n'en déplaise à l'actualité du moment. Dick Winters nous raconte sa guerre et sa façon de mener ses troupes et de les aider à traverser les différentes épreuves qu'ils rencontrent. N'ayant pas vu la série j'ai beaucoup apprécié ce récit de guerre et les "aventures" de cette compagnie qui fut des presque toutes les grandes batailles. Il est intéressant que nos auteurs nous aient donné des nouvelles des survivants, cela ancre le récit dans le réel. J'ai un peu peur que cela fasse doublon de la série par contre, au vu de la bande-annonce que je viens de voir, mais je vous laisserai juger. Pour revenir à notre cœur de critique, les illustrations de Davide Fabbri sont très belles et mérite leur pleine page.
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Titre de l'album : Beyond band of brothers (Roman) Scenariste de l'album : Dick Winters / Cole C. Kingseed Dessinateur de l'album : Davide Fabbri Coloriste : Davide Fabbri Editeur de l'album : Paquet Note : Résumé de l'album : Mondialement connu depuis la diffusion de la série à succès HBO Band of Borthers produite par Steven Spielberg et Tom Hanks, le Major Dick Winters est un officier de l'US Army et un vétéran de la Seconde Guerre mondiale. Durant ce conflit, il commande la Easy Company du 506e régiment d'infanterie parachutée de la 101e division aéroportée, les Screaming Eagles. Cette compagnie sera de tous les coups durs du front d'Europe occidentale, du débarquement de Normandie à la bataille des Ardennes en passant par l'opération Market-Garden aux Pays-Bas et finira la guerre en occupant le Nid d'aigle d'Hitler, Berchtesgaden. En 2006, accompagné par Cole C. Kingseed, il raconte son parcours militaire et livre les clés du succès d'un bon meneur d'homme. Critique : Roman de l'été pour moi avec un récit impressionnant d'homme comme on espère ne plus avoir à en faire, n'en déplaise à l'actualité du moment. Dick Winters nous raconte sa guerre et sa façon de mener ses troupes et de les aider à traverser les différentes épreuves qu'ils rencontrent. N'ayant pas vu la série j'ai beaucoup apprécié ce récit de guerre et les "aventures" de cette compagnie qui fut des presque toutes les grandes batailles. Il est intéressant que nos auteurs nous aient donné des nouvelles des survivants, cela ancre le récit dans le réel. J'ai un peu peur que cela fasse doublon de la série par contre, au vu de la bande-annonce que je viens de voir, mais je vous laisserai juger. Pour revenir à notre cœur de critique, les illustrations de Davide Fabbri sont très belles et mérite leur pleine page. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/beyond-band-of-brothers-les-memoires-de-guerre-du-major-dick-winters?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Après le succès de Moriarty, voici Arsène Lupin qui débarque aux éditions Kurokawa. Mais c'est bien le seul rapprochement que l'on peut faire entre les deux personnages du début du XXième siècle. En effet Arsène Lupin est une série déjà entièrement sortit, et ce, depuis un petit moment. De plus, Arsène Lupin est une vraie adaptation de l'œuvre de Maurice Leblanc et non pas une libre inspiration comme Moriarty. Et cela change tout à mes yeux. Ce premier tome est excellent, en partie par ce qu'il respecte l'œuvre de Maurice Leblanc mais aussi parce que chaque chapitre est conclu par une analyse de l'œuvre de Leblanc et des traits principaux de Lupin. On s'instruit autant que l'on s'amuse des aventures du plus célèbres des cambrioleurs français. Minisérie de 10 tomes dont les 2 et 3 sont deja disponibles, Arsène Lupin ravira les amateurs du Gentleman et permettra aux plus jeunes de découvrir vraiment qui est Arsène Lupin.
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Titre de l'album : Arsène Lupin , gentleman cambrioleur t1 Scenariste de l'album : Takashi Morita d'apres Maurice Leblanc Dessinateur de l'album : Takashi Morita Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : An 1899… À bord du La Provence, un transatlantique reliant la France aux États-Unis, une inquiétante dépêche est transmise par télégraphe : « Arsène Lupin à votre bord, première classe… » Lupin est un de ces héros éternels du calibre de Holmes. Voici les débuts de la légende du virtuose du déguisement et de l’insaisissable gentleman-cambrioleur. Critique : Après le succès de Moriarty, voici Arsène Lupin qui débarque aux éditions Kurokawa. Mais c'est bien le seul rapprochement que l'on peut faire entre les deux personnages du début du XXième siècle. En effet Arsène Lupin est une série déjà entièrement sortit, et ce, depuis un petit moment. De plus, Arsène Lupin est une vraie adaptation de l'œuvre de Maurice Leblanc et non pas une libre inspiration comme Moriarty. Et cela change tout à mes yeux. Ce premier tome est excellent, en partie par ce qu'il respecte l'œuvre de Maurice Leblanc mais aussi parce que chaque chapitre est conclu par une analyse de l'œuvre de Leblanc et des traits principaux de Lupin. On s'instruit autant que l'on s'amuse des aventures du plus célèbres des cambrioleurs français. Minisérie de 10 tomes dont les 2 et 3 sont deja disponibles, Arsène Lupin ravira les amateurs du Gentleman et permettra aux plus jeunes de découvrir vraiment qui est Arsène Lupin. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/arsene-lupin-tome-1-224596/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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J'aime la bd. Tomber sur le tome 3 de Melvile alors même que les deux premiers m'avaient complètement échappé est un tel pied. Se prendre ce genre de claque, découvrir un ouvrage inclassable, passionant, à la frontière du roman, de la photo, du dessin et de la bd. Il va être difficile vraiment de ne pas aimer ce Melvile. Je reprends. Melvile c'est une histoire complète par album géant de 400 pages. Servies par les illustrations sublimes de Romain Renard, l'histoire nous emmène à la découverte d'un personnage et d'un drame lié à Melvile une petite ville qui va bientôt sombrer dans l'oubli. Chaque tome se lit indépendamment des autres, mais évidemment, les destins sont croisés et entrmêlés, et ce que certains personnages ébauchent, on devine que d'autres le découvriront. C'est un polar, construit comme souvent dans les bons romans avec un héros qui revient sur les lieux de son passé, et une narration courrant sur deux époques. Rien de si original donc, les dénouements peuvent ne pas surprendre les habitués des romans de ce genre, pour autant, le tout est exécuté avec une telle maestria qu'il serait bien dommage de bouder son plaisir. Pour résumer, que ce soit pour son intrigue, ses sublimes illustrations souvent en grand format, ses personnages, sa narration, ou même pour l'oeuvre complète d'ouvrages qui se recoupent sous un angle différent, Melvile n'est à manquer sous aucun prétetxe. Et qu'un auteur seul soit capable de ce travail et de réaliser une telle oeuvre, cela va décidément me faire mettre de l'eau dans mon vin sur ma marotte de une bd, deux auteurs 🙂 Et tant mieux !
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Titre de l'album : Melvile - Tome 3 - L'histoire de Ruth Jacob Scenariste de l'album : Romain Renard Dessinateur de l'album : Romain Renard Coloriste : Romain Renard Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Avez-vous déjà connu le grand amour ? Celui qui compte pour toute une vie, celui pour qui vous seriez prêt à tout, même au pire ? Paul Rivest l'a connu. C'était durant un été à Melvile, il avait 14 ans, il est tombé amoureux de Ruth, la fille du pasteur. La passion s'est terminée dans une tragédie brûlante et Paul ne s'en est jamais remis. Aujourd'hui, il est obligé d'y revenir après plus de vingt-cinq années d'absence. Mais Melvile a de la mémoire et ses habitants aussi... Critique : J'aime la bd. Tomber sur le tome 3 de Melvile alors même que les deux premiers m'avaient complètement échappé est un tel pied. Se prendre ce genre de claque, découvrir un ouvrage inclassable, passionant, à la frontière du roman, de la photo, du dessin et de la bd. Il va être difficile vraiment de ne pas aimer ce Melvile. Je reprends. Melvile c'est une histoire complète par album géant de 400 pages. Servies par les illustrations sublimes de Romain Renard, l'histoire nous emmène à la découverte d'un personnage et d'un drame lié à Melvile une petite ville qui va bientôt sombrer dans l'oubli. Chaque tome se lit indépendamment des autres, mais évidemment, les destins sont croisés et entrmêlés, et ce que certains personnages ébauchent, on devine que d'autres le découvriront. C'est un polar, construit comme souvent dans les bons romans avec un héros qui revient sur les lieux de son passé, et une narration courrant sur deux époques. Rien de si original donc, les dénouements peuvent ne pas surprendre les habitués des romans de ce genre, pour autant, le tout est exécuté avec une telle maestria qu'il serait bien dommage de bouder son plaisir. Pour résumer, que ce soit pour son intrigue, ses sublimes illustrations souvent en grand format, ses personnages, sa narration, ou même pour l'oeuvre complète d'ouvrages qui se recoupent sous un angle différent, Melvile n'est à manquer sous aucun prétetxe. Et qu'un auteur seul soit capable de ce travail et de réaliser une telle oeuvre, cela va décidément me faire mettre de l'eau dans mon vin sur ma marotte de une bd, deux auteurs 🙂 Et tant mieux ! Autres infos : Foncez ! Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/melvile-tome-3-l-histoire-de-ruth-jacob?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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16 décembre 1953 1ere apparition de Bob Morane
Nickad a posté un évènement du calendrier dans Community Calendar
Bob Morane est avant tout un héros de romans d’Henri VERNES, apparu pour la 1ere fois dans le marabout junior n°16 en 1953. S’il était plus simple aventurier au départ, ses aventures sont devenues de plus en plus complexes, espionnage et science-fiction s’y sont mêlés. Henri Vernes a écrit 230 romans et une trentaine de nouvelles. Le personnage a été repris en 2012 par Gilles Devindilis dans les nouvelles aventures de Bob Morane. Une adaptation en bande dessinée existe également, parue d’abord dans les journaux comme Femmes d’aujourd’hui, Pilote et Tintin, on peut les trouver en intégrales. En 2015, Le lombard relance la série sous le nom de Bob Morane renaissance et une nouvelle BD, réalisé par des fans doit bientôt paraître en hommage à Henri Vernes, décédé le 25 juillet 2021.