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Titre de l'album : Wild strawberry tome 1 Scenariste de l'album : Ire Yonemoto Dessinateur de l'album : Ire Yonemoto Coloriste : Editeur de l'album : Crunchyroll Note : Résumé de l'album : ll y a 36 ans, une épaisse végétation a brusquement envahi Tokyo, donnant naissance à des fleurs-parasites mortelles appelées "jinka". Ces plantes monstrueuses contaminent les êtres humains grâce à leur pollen, puis se nourrissent d'eux avant de fleurir, condamnant alors leur hôte. Au coeur de la capitale nippone devenue un enfer végétal, deux orphelins, Kingo et Kayano, tentent de survivre jour après jour... Mais leur quotidien bascule lorsque la Force Funéraire Florale, dont la mission est d'éradiquer les jinka, découvre que Kayano est porteuse d'un de ces redoutables parasites... Pour Kingo, qui a juré de remuer ciel et terre pour que sa soeur adoptive redevienne humaine, un terrible combat commence ! Couverture alternative pour le 1er tome Critique : L’histoire de Wild Strawberry se déroule dans un monde post-apocalyptique où des germes de plante ont contaminé les humains les transformant en jinka, un monstre végétal se nourrissant d’humains. Les hommes ont réussi à survivre grâce à un vaccin empêchant les mutations, mais qui est hélas, trop cher pour les classes de la société les plus démunies. Une unité de police/armée appelée Force Funéraire Florale parcourt les rues pour neutraliser de façon violente et définitive tous les porteurs du parasite. Contaminée et prise pour cible, Kayano, va alors se sacrifier pour sauver son frère humain, Kingo, tué par un policier alors qu’il cherchait à la protéger. Il devient à son tour un porteur mais d’un genre particulier car non seulement il a gardé sa conscience mais il semblerait qu’il puisse contrôler son jinka. L’univers de la ville en ruine envahie par des plantes dangereuses n’est pas sans rappeler le manga Green World sans compter le côté « survival » du récit. On est vite happé par le graphisme avec sa végétation luxuriante, son monde en ruine, et la violence implacable qui peut surgir à tout moment. Au milieu, il y a un fratrie, prête à tout l’un pour l’autre, qui va braver les dangers vers un espoir incertain. Avec son graphisme saisissant et un rythme soutenu, Wild Strawberry frappe fort dès le 1er tome et nous donne envie de poursuivre l’aventure. Le second tome arrive en juin. Une série en cours avec 5 volumes pour le moment. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/wild-strawberry-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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L’histoire de Wild Strawberry se déroule dans un monde post-apocalyptique où des germes de plante ont contaminé les humains les transformant en jinka, un monstre végétal se nourrissant d’humains. Les hommes ont réussi à survivre grâce à un vaccin empêchant les mutations, mais qui est hélas, trop cher pour les classes de la société les plus démunies. Une unité de police/armée appelée Force Funéraire Florale parcourt les rues pour neutraliser de façon violente et définitive tous les porteurs du parasite. Contaminée et prise pour cible, Kayano, va alors se sacrifier pour sauver son frère humain, Kingo, tué par un policier alors qu’il cherchait à la protéger. Il devient à son tour un porteur mais d’un genre particulier car non seulement il a gardé sa conscience mais il semblerait qu’il puisse contrôler son jinka. L’univers de la ville en ruine envahie par des plantes dangereuses n’est pas sans rappeler le manga Green World sans compter le côté « survival » du récit. On est vite happé par le graphisme avec sa végétation luxuriante, son monde en ruine, et la violence implacable qui peut surgir à tout moment. Au milieu, il y a un fratrie, prête à tout l’un pour l’autre, qui va braver les dangers vers un espoir incertain. Avec son graphisme saisissant et un rythme soutenu, Wild Strawberry frappe fort dès le 1er tome et nous donne envie de poursuivre l’aventure. Le second tome arrive en juin. Une série en cours avec 5 volumes pour le moment.
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Titre de l'album : L'anneau de Gygès tome 1 Scenariste de l'album : Takahiro KATÔ Dessinateur de l'album : Takahiro KATÔ Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Le super-pouvoir ne fait pas le super-héros... Takeru, mangaka expérimenté dans le creux de la vague, cherche l'inspiration dans un sanctuaire de campagne réputé pour ses disparitions inexpliquées. Sans y croire, Takeru prie pour que son éditeur abhorré disparaisse à tout jamais afin que sa carrière retrouve enfin le chemin du succès. Mais rien ne se passe comme prévu... En plein rendez-vous professionnel avec son éditeur, et de nouveau confronté à un barrage de critiques, l'auteur craque et un pouvoir mystérieux se manifeste alors : il rend invisible son interlocuteur avant de le tuer ! Takeru dissimule son crime tant bien que mal. Lui qui a consacré sa vie à dessiner des défenseurs de la justice, serait-il passé de l'autre côté de la barrière ? Quand vos rêves se réalisent, c'est peut-être le début du cauchemar... Dans un mélange de suspense et d'humour noir, L'Anneau de Gygès nous entraîne sur les pas de héros amateurs qui ont bien mal commencé leur carrière ! Critique : Deux mangakas sont en visite dans un temple, le maitre et le disciple. Le premier n’arrive pas à faire publier ses nouvelles histoires et ne supporte plus son attaché éditorial. Le second est assistant depuis quelques années et ne parvient pas à lancer sa carrière. A force de s’entendre dire qu’il est nul, il aimerait disparaitre. C’est ce qui va arriver un beau jour, leurs souhaits se réalisent. Tandis que Yu arrive à devenir invisible, Takeru peut faire disparaitre les gens et objets de son choix. Hélas, cette information ne tombe pas dans l’oreille d’un sourd et l’attaché compte bien s’en servir pour commettre des méfaits et s’enrichir. Deux personnages principaux, deux relations à l’invisibilité. On s’est tous posé la question à un moment de savoir ce que l’on ferait si on pouvait devenir invisible. Il y a bien sûr la réponse humoriste d’aller espionner les filles/garçons dans les douches mais au-delà de ça, qu’est-ce que l’on ferait vraiment ? Est-ce que l’on utiliserait cette capacité pour soi ou pour les autres ? C’est ce que l’auteur aborde dans ce manga et il va encore plus loin en proposant une alternative avec le pouvoir de faire disparaitre des objets et/ou personne. Avec ces deux aspects, il va explorer le bien et le mal et mettre nos protagonistes en face de situation différentes : l’un maitrise son destin tandis que l’autre est pris au piège des événements. Un manga intéressant entre action et thriller qui mérite que l’on s’y attarde. Série finie en 7 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-anneau-de-gyges-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Deux mangakas sont en visite dans un temple, le maitre et le disciple. Le premier n’arrive pas à faire publier ses nouvelles histoires et ne supporte plus son attaché éditorial. Le second est assistant depuis quelques années et ne parvient pas à lancer sa carrière. A force de s’entendre dire qu’il est nul, il aimerait disparaitre. C’est ce qui va arriver un beau jour, leurs souhaits se réalisent. Tandis que Yu arrive à devenir invisible, Takeru peut faire disparaitre les gens et objets de son choix. Hélas, cette information ne tombe pas dans l’oreille d’un sourd et l’attaché compte bien s’en servir pour commettre des méfaits et s’enrichir. Deux personnages principaux, deux relations à l’invisibilité. On s’est tous posé la question à un moment de savoir ce que l’on ferait si on pouvait devenir invisible. Il y a bien sûr la réponse humoriste d’aller espionner les filles/garçons dans les douches mais au-delà de ça, qu’est-ce que l’on ferait vraiment ? Est-ce que l’on utiliserait cette capacité pour soi ou pour les autres ? C’est ce que l’auteur aborde dans ce manga et il va encore plus loin en proposant une alternative avec le pouvoir de faire disparaitre des objets et/ou personne. Avec ces deux aspects, il va explorer le bien et le mal et mettre nos protagonistes en face de situation différentes : l’un maitrise son destin tandis que l’autre est pris au piège des événements. Un manga intéressant entre action et thriller qui mérite que l’on s’y attarde. Série finie en 7 tomes.
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Titre de l'album : Dans le premier train du matin tome 1 & 2 (fin) Scenariste de l'album : Yûgo Aosaki Dessinateur de l'album : Shirohiko Yamada Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Il est censé n'y avoir personne dans le premier train du matin... Pourtant, elle est là. Une fille de ma classe d'ordinaire peu bavarde. La raison de notre présence dans ce train ? Telle est la question. Découvrez cette histoire et bien d'autres qui mettent en scène toute la complexité de l'esprit à l'adolescence ! Critique : Dans le premier train du matin est un recueil de cinq histoires courtes en deux volumes, chaque histoire étant composée de plusieurs chapitres et n’ayant rien à voir les unes avec les autres. Ce sont des bribes de vies d’adolescents comme si on lisait un chapitre au milieu d’un roman sans avoir ni le début ni la fin. Ce sont des passages importants dans l’existence de ces jeunes, des passages qui les mettent face à une réalité, à une relation. Dans le premier train du matin, on retrouve deux jeunes qui en théorie n’auraient rien à faire là à cette heure mais qui ont tous les deux une bonne raison d’y être. Le soda au melon parle d’une jeune fille qui ne peut pas distinguer certaines couleurs, cela finit par créer une distance avec ses amies mais elle ne sait pas comment leur en parler. Il y a aussi l’histoire d’un frère et d’une sœur séparé à la suite du divorce de leurs parents, une histoire d’amour à sens unique. On finira par le 4 mars, 14h30, la cellule de prison qui compare la vie scolaire d’une lycéenne à une cellule de prison pour parler de son mal-être. Dans chaque histoire, l’un des personnages se met à analyser la situation, faisant des déductions et mettant son binôme en face d’une vérité. C’est comme un raisonnement lors d’une enquête policière. Si le concept est intéressant et les comportements bien analysés, il y a un côté assez froid dans le récit, probablement dû à cet aspect analyse psychologique. Et puis, on reste sur notre faim, comme dans la première histoire où on aurait bien aimé savoir la suite. Il y a un goût d’inachevé qui n’est pas satisfaisant. Dommage car les idées sont bonnes et le graphisme est plaisant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dans-le-premier-train-du-matin-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Dans le premier train du matin est un recueil de cinq histoires courtes en deux volumes, chaque histoire étant composée de plusieurs chapitres et n’ayant rien à voir les unes avec les autres. Ce sont des bribes de vies d’adolescents comme si on lisait un chapitre au milieu d’un roman sans avoir ni le début ni la fin. Ce sont des passages importants dans l’existence de ces jeunes, des passages qui les mettent face à une réalité, à une relation. Dans le premier train du matin, on retrouve deux jeunes qui en théorie n’auraient rien à faire là à cette heure mais qui ont tous les deux une bonne raison d’y être. Le soda au melon parle d’une jeune fille qui ne peut pas distinguer certaines couleurs, cela finit par créer une distance avec ses amies mais elle ne sait pas comment leur en parler. Il y a aussi l’histoire d’un frère et d’une sœur séparé à la suite du divorce de leurs parents, une histoire d’amour à sens unique. On finira par le 4 mars, 14h30, la cellule de prison qui compare la vie scolaire d’une lycéenne à une cellule de prison pour parler de son mal-être. Dans chaque histoire, l’un des personnages se met à analyser la situation, faisant des déductions et mettant son binôme en face d’une vérité. C’est comme un raisonnement lors d’une enquête policière. Si le concept est intéressant et les comportements bien analysés, il y a un côté assez froid dans le récit, probablement dû à cet aspect analyse psychologique. Et puis, on reste sur notre faim, comme dans la première histoire où on aurait bien aimé savoir la suite. Il y a un goût d’inachevé qui n’est pas satisfaisant. Dommage car les idées sont bonnes et le graphisme est plaisant.
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Titre de l'album : Erio & the electric doll tome 1 Scenariste de l'album : Mujirushi Shimazaki Dessinateur de l'album : Kuroimori Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Un siècle plus tôt, une guerre meurtrière a éclaté entre les hommes et les IA, poussant l'humanité à renoncer à l'électricité pour mettre un terme aux combats. Découvrez les aventures steampunk d'Ange, la toute dernière androïde d'élite en état de marche, et d'Erio, la jeune fille qu'elle a élevée, dans un monde désormais privé d'électricité. Critique : On avait découvert Kuroimori, la dessinatrice avec Steam Reverie in Amber, elle revient, en collaboration avec Shimazaki Mujirushi (Dresseuses de monstres) dans une épopée post-apocalyptique où le monde se retrouve privé d’électricité comme au début de l’ère industrielle. Un contexte dans lequel, les auteurs ont pu déployer un univers proche du steam punk. La série a bénéficié également d’un très beau lancement à la Tour Eiffel, le jour de sa sortie en présence des auteurs qui ont, pour l’occasion, répondu à quelques questions. Si Shimazaki Sensei est resté très évasif sur le développement de la série, y compris sur le nombre de tomes final, ne voulant pas spoiler les lecteurs ; Kuroimori nous a confié que ses inspirations venaient en grande partie de Moebius et Jules Verne, considérant ce dernier comme son père spirituel. On apprécie toujours autant son trait fin, précis et détaillé mis en avant dans un manga grand format (A5). Erio est une jeune fille qui est capable de produire de l’électricité, elle a été recueillie et élevée par Ange, une « poupée électrique », un cyborg a l’apparence humaine qui a besoin d’électricité pour fonctionner. Ange est un reliquat de la grande guerre qui a opposé les humains à l’IA, une machine destinée à anéantir les humains. Mais ayant conscience qu’Erio grandit, les deux jeunes femmes partent vers la capitale afin qu’Erio puisse découvrir le monde. Le contexte du récit permet une aventure intéressante dans un monde où l’une n’a plus sa place et l’autre possède un pouvoir considéré comme négatif. Mais en dehors de leurs aventures, qui sont forts sympathiques, c’est la relation entre Ange et Erio qui donne tout son charme au récit : Ange semble particulièrement froide, répétant sans cesse qu’elle n’a pas de cœur mais elle veille avec bienveillance sur Erio. Cette dernière est lumineuse et apporte beaucoup de fraicheur à l’histoire. Un manga à découvrir et à savourer, de belles promesses en perspective ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/erio-the-electric-doll-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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On avait découvert Kuroimori, la dessinatrice avec Steam Reverie in Amber, elle revient, en collaboration avec Shimazaki Mujirushi (Dresseuses de monstres) dans une épopée post-apocalyptique où le monde se retrouve privé d’électricité comme au début de l’ère industrielle. Un contexte dans lequel, les auteurs ont pu déployer un univers proche du steam punk. La série a bénéficié également d’un très beau lancement à la Tour Eiffel, le jour de sa sortie en présence des auteurs qui ont, pour l’occasion, répondu à quelques questions. Si Shimazaki Sensei est resté très évasif sur le développement de la série, y compris sur le nombre de tomes final, ne voulant pas spoiler les lecteurs ; Kuroimori nous a confié que ses inspirations venaient en grande partie de Moebius et Jules Verne, considérant ce dernier comme son père spirituel. On apprécie toujours autant son trait fin, précis et détaillé mis en avant dans un manga grand format (A5). Erio est une jeune fille qui est capable de produire de l’électricité, elle a été recueillie et élevée par Ange, une « poupée électrique », un cyborg a l’apparence humaine qui a besoin d’électricité pour fonctionner. Ange est un reliquat de la grande guerre qui a opposé les humains à l’IA, une machine destinée à anéantir les humains. Mais ayant conscience qu’Erio grandit, les deux jeunes femmes partent vers la capitale afin qu’Erio puisse découvrir le monde. Le contexte du récit permet une aventure intéressante dans un monde où l’une n’a plus sa place et l’autre possède un pouvoir considéré comme négatif. Mais en dehors de leurs aventures, qui sont forts sympathiques, c’est la relation entre Ange et Erio qui donne tout son charme au récit : Ange semble particulièrement froide, répétant sans cesse qu’elle n’a pas de cœur mais elle veille avec bienveillance sur Erio. Cette dernière est lumineuse et apporte beaucoup de fraicheur à l’histoire. Un manga à découvrir et à savourer, de belles promesses en perspective !
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Titre de l'album : BOICHI SF short stories tome 1 Scenariste de l'album : BOICHI Dessinateur de l'album : BOICHI Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Quand la SF part dans huit directions différentes... Bienvenue dans ce premier volet du diptyque des SF Short Stories de Boichi ! Avec Les Voyageurs de l'espace-temps, le mangaka revient pour un recueil de huit nouvelles de science-fiction, traitant de sujets aussi variés que la dystopie, le voyage stellaire ou encore la rencontre avec d'autres créatures. Qu'il s'agisse d'un robot chargé de veiller sur les derniers éléments vivants à la suite d'une humanité condamnée, d'une mystérieuse opération ayant pour but de prolonger la vie - mais à quel prix ? - ou de la quête absolue d'un scientifique pour faire revivre une espèce malencontreusement disparue, toutes ces nouvelles se projettent dans l'avenir, mettant en avant la maestria d'un auteur hors norme. À noter que certaines nouvelles, déjà publiées dans son recueil, Hotel, sont à nouveau mises en avant, accompagnées de leur lot d'histoires inédites et d'anecdotes de création. Critique : Boichi n’est plus un auteur à présenter, il est d’ailleurs plutôt prolifique : pas moins de 13 titres parus en France en 17 ans dont Sun-ken Rock, Sanctum, Origin, Dr Stone et le prochain à paraître, le livre des multivers. Epris de fantastique et science-fiction, l’auteur a régulièrement écrit de courtes histoires qui sont regroupées ici dans un recueil en deux tomes. Les fans pourront y retrouver des histoires déjà parues dans le livre Hotel, édité en 2008 et devenu introuvable. Le livre est agrémenté de pages en couleurs et surtout des commentaires de l’auteur sur la genèse de ses œuvres. Certaines de ces histoires sont plutôt sérieuses comme Hotel – Since A.D. 2079 avec un discours écologique, d’autres sont plus farfelues, comme Rien que pour les thons ou se rapprochent plus du fantastique comme La légende de la nuit qui aurait sa place dans les Contes des mille et une nuits. Au final, on a un recueil plus ou moins intéressant, plus ou moins équilibré (dans la quantité et la teneur) qui plaira aux amateurs de science-fiction et surtout aux fans de l’auteur. On reconnaît bien la patte graphique de Boichi, qui, il faut bien le reconnaître, est particulièrement doué en la matière. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/boichi-sf-short-stories-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Boichi n’est plus un auteur à présenter, il est d’ailleurs plutôt prolifique : pas moins de 13 titres parus en France en 17 ans dont Sun-ken Rock, Sanctum, Origin, Dr Stone et le prochain à paraître, le livre des multivers. Epris de fantastique et science-fiction, l’auteur a régulièrement écrit de courtes histoires qui sont regroupées ici dans un recueil en deux tomes. Les fans pourront y retrouver des histoires déjà parues dans le livre Hotel, édité en 2008 et devenu introuvable. Le livre est agrémenté de pages en couleurs et surtout des commentaires de l’auteur sur la genèse de ses œuvres. Certaines de ces histoires sont plutôt sérieuses comme Hotel – Since A.D. 2079 avec un discours écologique, d’autres sont plus farfelues, comme Rien que pour les thons ou se rapprochent plus du fantastique comme La légende de la nuit qui aurait sa place dans les Contes des mille et une nuits. Au final, on a un recueil plus ou moins intéressant, plus ou moins équilibré (dans la quantité et la teneur) qui plaira aux amateurs de science-fiction et surtout aux fans de l’auteur. On reconnaît bien la patte graphique de Boichi, qui, il faut bien le reconnaître, est particulièrement doué en la matière.
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Titre de l'album : The irregular of the royal academy of magic tome 1 Scenariste de l'album : Yusura Kankitsu Dessinateur de l'album : Fumi Nagatsuki Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : La magie - un art réservé uniquement à ceux nés dans la noblesse, et dont seuls les membres peuvent utiliser. Un jour, Ars, un jeune garçon contraint de vivre une vie d'opprimé à cause de ses origines modestes, découvre ses origines de "sang maudit" et son don pour la magie. Recueilli par un assassin et formé comme un magicien de la pègre, Ars se voit offrir son entrée à l'Académie royale de magie l'année de ses 15 ans. Critique : La première chose qui interpelle, c’est le titre : impossible de ne pas penser à The irregular at magic high school et bien, cela n’a rien à voir ! Enfin dans le sens où les deux séries ne sont pas liées et qu’il ne s’agit pas des mêmes auteurs. Car, sinon, il y a bien quelques points communs dans la mesure où cela va se passer dans un monde de fantasy et dans une école de magie : on peut aussi dire que le héros est un jeune homme aux cheveux noirs qui a des capacités non négligeables et dont le parcours sort de l’ordinaire. Orphelin, survivant tant bien que mal dans la rue, Ars est recueilli un jour par un homme qui va faire de lui son fils mais surtout un assassin hors pair, car malgré ses origines modestes, Ars est capable d’utiliser la magie normalement réservée aux aristocrates. Il serait en effet un descendant de « la lignée maudite ». Après dix ans, son père décide de l’envoyer à l’école afin qu’il obtienne une qualification officielle de sorcier, mais il se fait remarquer dès le premier jour ! Ars est l’outsider qui va apporter un souffle nouveau à l’académie. Entre magie, lutte de classes, monde souterrain, assassins, aventures et romance, ce manga a tous les éléments pour réussir ! Le scénario est fluide et bien construit, le personnage principal est captivant et les méchants sont bien énervants, comme on les aime ! Un seinen rythmé à lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-irregular-of-the-royal-academy-of-magic-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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La première chose qui interpelle, c’est le titre : impossible de ne pas penser à The irregular at magic high school et bien, cela n’a rien à voir ! Enfin dans le sens où les deux séries ne sont pas liées et qu’il ne s’agit pas des mêmes auteurs. Car, sinon, il y a bien quelques points communs dans la mesure où cela va se passer dans un monde de fantasy et dans une école de magie : on peut aussi dire que le héros est un jeune homme aux cheveux noirs qui a des capacités non négligeables et dont le parcours sort de l’ordinaire. Orphelin, survivant tant bien que mal dans la rue, Ars est recueilli un jour par un homme qui va faire de lui son fils mais surtout un assassin hors pair, car malgré ses origines modestes, Ars est capable d’utiliser la magie normalement réservée aux aristocrates. Il serait en effet un descendant de « la lignée maudite ». Après dix ans, son père décide de l’envoyer à l’école afin qu’il obtienne une qualification officielle de sorcier, mais il se fait remarquer dès le premier jour ! Ars est l’outsider qui va apporter un souffle nouveau à l’académie. Entre magie, lutte de classes, monde souterrain, assassins, aventures et romance, ce manga a tous les éléments pour réussir ! Le scénario est fluide et bien construit, le personnage principal est captivant et les méchants sont bien énervants, comme on les aime ! Un seinen rythmé à lire.
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Titre de l'album : Jaadugar, la légende de Fatima tome 3 Scenariste de l'album : Tomato Soup Dessinateur de l'album : Tomato Soup Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : XIIIe siècle, au sein de l'Empire mongol fondé par Gengis Khan. Contre toute attente, ce n'est pas le quatrième prince Tolui qui est choisi pour monter sur le trône mais son frère, le troisième prince Ögedeï. Au même moment, Fatima, qui a été envoyée dans une autre cour en tant qu'espionne pour le compte de Sorgaqtani, l'épouse principale de Tolui, fait la rencontre de Toregene, sixième épouse du grand khagan, avec qui elle partage sa rancœur envers les Mongols... Critique : Résumé des tomes précédents : XIIIe siècle, Sitara est une jeune orpheline perse habitant la ville de Tus. Esclave, elle se retrouve au service de Fatima, une femme cultivée éprise de savoirs et de sciences. La famille de cette dernière fait partie des savants de la ville et Sitara va beaucoup apprendre à leurs côtés. Hélas, sa petite vie tranquille va prendre un autre tournant quand l’armée mongole menée par Tolui, le 4e fils de Gengis khan, part à la conquête de la Perse semant la destruction et la mort sur son passage. Les hommes âgés, les femmes et les enfants sont alors soumis à l’esclavage et partent pour un long périple, rejoindre les plaines de la Mongolie. C’est ainsi que Sitara va travailler pour Töregene la sixième épouse de l’empereur. Mais heureusement pour elle, la place des femmes n’est pas la même qu’en Perse et le savoir est un valeur reconnue ! Sitara prend alors le nom de Fatima et essaye de nouer des alliances afin de préparer sa vengeance et la chute de l’empire mongol. Tome 3 : Après la mort de Ogedeï, le 3e fils du grand Khan est le nouvel empereur. Si en apparence, la succession se passe bien, il y a un déséquilibre dans les forces et des manigances dans l’ombre. Fatima est donc envoyée en tant qu’espionne auprès d’une autre épouse. C’est là, qu’elle va trouver une alliée et pouvoir mettre en pratique certaines de ses connaissances. Notre avis : Jaadugär, la légende de Fatima est un manga à la fois intéressant et ennuyeux. Intéressant car il nous raconte des pans de l’histoire perse et mongole que l’on n’apprend pas à l’école et dont on ne parle pas souvent. Il est d’ailleurs surprenant de voir que la place de la femme en Mongolie n’était pas si mauvaise et qu’elle avait non seulement accès à la culture mais aussi à la politique (pour les épouses des dirigeants tout au moins). On apprend également beaucoup sur le mode de vie des nomades, leurs coutumes et les règles de succession. Par contre, ce qui est gênant (en ce qui me concerne), c’est le graphisme et la narration. D’un côté on a un dessin très rond, presque enfantin qui tranche avec ce qui est raconté. Si ce décalage fonctionne bien pour aborder des sujets dramatiques comme les guerres ou les génocides (on a le cas dans Peleliu), il pose un problème d’identification des personnages : on a du mal à faire la différence entre les enfants et les adultes et ils se ressemblent tous un peu. Notre attention se focalise alors sur des détails pour savoir qui est qui, d’autant plus que nous ne sommes pas habitués à ces noms propres et on s’éloigne alors de l’histoire. Concernant la narration, elle manque de dynamisme et d’étincelles qui permettraient de nous passionner. Il y a beaucoup d’éléments à digérer et sans un certain rythme, on a tendance à s’ennuyer par moment, perdus au milieu des discussions politiques…. Un livre pour les amoureux de l’Histoire qui aiment prendre leur temps. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jaadugar-la-legende-de-fatima-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Résumé des tomes précédents : XIIIe siècle, Sitara est une jeune orpheline perse habitant la ville de Tus. Esclave, elle se retrouve au service de Fatima, une femme cultivée éprise de savoirs et de sciences. La famille de cette dernière fait partie des savants de la ville et Sitara va beaucoup apprendre à leurs côtés. Hélas, sa petite vie tranquille va prendre un autre tournant quand l’armée mongole menée par Tolui, le 4e fils de Gengis khan, part à la conquête de la Perse semant la destruction et la mort sur son passage. Les hommes âgés, les femmes et les enfants sont alors soumis à l’esclavage et partent pour un long périple, rejoindre les plaines de la Mongolie. C’est ainsi que Sitara va travailler pour Töregene la sixième épouse de l’empereur. Mais heureusement pour elle, la place des femmes n’est pas la même qu’en Perse et le savoir est un valeur reconnue ! Sitara prend alors le nom de Fatima et essaye de nouer des alliances afin de préparer sa vengeance et la chute de l’empire mongol. Tome 3 : Après la mort de Ogedeï, le 3e fils du grand Khan est le nouvel empereur. Si en apparence, la succession se passe bien, il y a un déséquilibre dans les forces et des manigances dans l’ombre. Fatima est donc envoyée en tant qu’espionne auprès d’une autre épouse. C’est là, qu’elle va trouver une alliée et pouvoir mettre en pratique certaines de ses connaissances. Notre avis : Jaadugär, la légende de Fatima est un manga à la fois intéressant et ennuyeux. Intéressant car il nous raconte des pans de l’histoire perse et mongole que l’on n’apprend pas à l’école et dont on ne parle pas souvent. Il est d’ailleurs surprenant de voir que la place de la femme en Mongolie n’était pas si mauvaise et qu’elle avait non seulement accès à la culture mais aussi à la politique (pour les épouses des dirigeants tout au moins). On apprend également beaucoup sur le mode de vie des nomades, leurs coutumes et les règles de succession. Par contre, ce qui est gênant (en ce qui me concerne), c’est le graphisme et la narration. D’un côté on a un dessin très rond, presque enfantin qui tranche avec ce qui est raconté. Si ce décalage fonctionne bien pour aborder des sujets dramatiques comme les guerres ou les génocides (on a le cas dans Peleliu), il pose un problème d’identification des personnages : on a du mal à faire la différence entre les enfants et les adultes et ils se ressemblent tous un peu. Notre attention se focalise alors sur des détails pour savoir qui est qui, d’autant plus que nous ne sommes pas habitués à ces noms propres et on s’éloigne alors de l’histoire. Concernant la narration, elle manque de dynamisme et d’étincelles qui permettraient de nous passionner. Il y a beaucoup d’éléments à digérer et sans un certain rythme, on a tendance à s’ennuyer par moment, perdus au milieu des discussions politiques…. Un livre pour les amoureux de l’Histoire qui aiment prendre leur temps.
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Titre de l'album : PTSD Radio tome 2 Scenariste de l'album : Masaaki Nakayama Dessinateur de l'album : Masaaki Nakayama Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Captez-vous l'étran... vzzz... fréquence de PTSD Radio ? L'horreur rampe, glisse et se tapit dans le noir. Elle vous ti... dzzz... par les cheveux, elle vous happe comme le vide, elle se transmet comme un virus et s'infil... bip bip bip... par tous les pores de votre... vzzz... vie. Vous pouvez... shrrr... essayer de refermer le livre... mais il sera déjà trop tard. Critique : Je suis perplexe… Je l’étais déjà après le tome 1 dans lequel j’avais quand même discerné un fil conducteur mais là… je suis prise au dépourvue !!! Il y a un certain nombre de chapitres, assez courts, qui s’enchainent sans lien apparent entre eux. Des chapitres qui sont plus comme des flashs d’une histoire plus complexe dont on ne nous aurait pas donner le mode d’emploi. Ce sont des bribes de récit qui s’entrecroisent, reviennent avec un détail différent, un léger développement… On sent que l’on avance vers quelque chose sans trop savoir quoi. On a des pièces d’un puzzle qui ne s’assemblent pas encore. Entre la construction très particulière du livre et les histoires qui nous sont montrées, la tension monte peu à peu, une certaine répulsion aussi et surtout les mailles du filet se resserrent. Une chose est sûre : je n’irai pas habiter dans cette ville et j’irai même jusqu’à dire : fuyez !! Signe quelque part que ce renouveau du manga d’horreur est réussi. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ptsd-radio-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Je suis perplexe… Je l’étais déjà après le tome 1 dans lequel j’avais quand même discerné un fil conducteur mais là… je suis prise au dépourvue !!! Il y a un certain nombre de chapitres, assez courts, qui s’enchainent sans lien apparent entre eux. Des chapitres qui sont plus comme des flashs d’une histoire plus complexe dont on ne nous aurait pas donner le mode d’emploi. Ce sont des bribes de récit qui s’entrecroisent, reviennent avec un détail différent, un léger développement… On sent que l’on avance vers quelque chose sans trop savoir quoi. On a des pièces d’un puzzle qui ne s’assemblent pas encore. Entre la construction très particulière du livre et les histoires qui nous sont montrées, la tension monte peu à peu, une certaine répulsion aussi et surtout les mailles du filet se resserrent. Une chose est sûre : je n’irai pas habiter dans cette ville et j’irai même jusqu’à dire : fuyez !! Signe quelque part que ce renouveau du manga d’horreur est réussi.
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Titre de l'album : Serial killer isekai tome 1 Scenariste de l'album : Kawamoto Homura / Hiro Dessinateur de l'album : Hiro Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Un tueur en série, n'arrivant pas à étancher son envie de tuer, est finalement arrêté et ai condamné à la peine de mort... Quelle fut sa surprise lorsqu'il se réincarne dans un autre monde ! A son réveil, une déesse lui confie une mission : tuer douze autres personnes réincarnées. Lui qui voulait justement faire cesser ses pulsions meurtières, les complications commencent ! Critique : Je suis partagée sur ce titre, d’un côté il y a une très bonne idée et de l’autre, je sens que l’histoire risque de virer çà une surenchère de violences un peu comme dans The brave wish revenging. La bonne idée d’abord : après avoir invoqué plusieurs héros pour venir au bout du roi des démons, la déesse de ce monde de fantasy se retrouve bien ennuyée : les héros n’ayant plus de quête à accomplir ont tous mal tourné !! A présent ils utilisent leur pouvoir pour s’en prendre aux plus faibles ; ils s’adonnent aux meurtres, escroqueries, viols, arnaques… Il faut donc trouver quelqu’un pour les éliminer. La déesse invoque donc un ancien serial killer mais se garde bien de lui donner une compétence pour ne pas reproduire deux fois la même erreur. Le développement : Silkie, notre « héros » va donc devoir ruser pour anéantir les autres réincarnés. Action et combats sont donc au rendez-vous. Cependant, et ce sera le point à surveiller, il ne faudrait pas que le manga bascule dans une accumulation de scènes violents et ne cherche qu’à choquer le lectorat. Ce 1er tome est plutôt bien fait car il y a un aspect stratégie assez intéressant : sans pouvoir, Silkie doit établir des plans pour contrer les compétences de ses cibles ! Un début de série intrigant qui mérite d’aller voir plus loin. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/serial-killer-isekai-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Je suis partagée sur ce titre, d’un côté il y a une très bonne idée et de l’autre, je sens que l’histoire risque de virer çà une surenchère de violences un peu comme dans The brave wish revenging. La bonne idée d’abord : après avoir invoqué plusieurs héros pour venir au bout du roi des démons, la déesse de ce monde de fantasy se retrouve bien ennuyée : les héros n’ayant plus de quête à accomplir ont tous mal tourné !! A présent ils utilisent leur pouvoir pour s’en prendre aux plus faibles ; ils s’adonnent aux meurtres, escroqueries, viols, arnaques… Il faut donc trouver quelqu’un pour les éliminer. La déesse invoque donc un ancien serial killer mais se garde bien de lui donner une compétence pour ne pas reproduire deux fois la même erreur. Le développement : Silkie, notre « héros » va donc devoir ruser pour anéantir les autres réincarnés. Action et combats sont donc au rendez-vous. Cependant, et ce sera le point à surveiller, il ne faudrait pas que le manga bascule dans une accumulation de scènes violents et ne cherche qu’à choquer le lectorat. Ce 1er tome est plutôt bien fait car il y a un aspect stratégie assez intéressant : sans pouvoir, Silkie doit établir des plans pour contrer les compétences de ses cibles ! Un début de série intrigant qui mérite d’aller voir plus loin.
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Titre de l'album : Smoking behind the supermarket with you tome 1 Scenariste de l'album : Jinushi Dessinateur de l'album : Jinushi Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Sasaki est un employé de bureau de 45 ans, célibataire et usé par ses heures de travail à rallonge. Son seul rayon de soleil, c'est Yamada, la caissière de la supérette qui lui sourit toujours de son visage angélique. Un soir, alors qu'il passe par le magasin, il ne la voit pas en service. Soudain, une jeune fille lui propose de fumer une cigarette ensemble, à l'arrière de la supérette. C'est ainsi que commence entre eux, une relation des plus atypiques mais aussi des plus uniques. Critique : Mon petit coup de coeur de la rentrée manga. Petit coup de coeur, car coup de cœur très ciblé : en effet, c'est un manga pour adulte. Pas dans le sens coquin du terme mais adulte amateur de romance délicate. Car c'est de cela qu'il est question : d'une histoire d'amour qui part de rien. D'une rencontre derrière une cigarette. La rencontre d'un homme pressurisé par son travail et d'une fille qui est jugée par son apparence. L'un trouve une oreille attentive et l'autre trouve un homme vrai ne la jugeant pas. Pour rendre cette découverte des deux personnages intéressante, Jinushi nous livre des petites histoires axées autour des gentilles piques de Yamada envers Sasaki. Piques qui reflètent une affection grandissante et très touchante de notre caissière envers un Sasaki qui voit dans ces échanges sa bouée de secours à ses journées harassantes. Une romance qui parlera aux adultes à la recherche de ces petits moments hors du temps qui font rayonner nos journées. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/smoking-behind-the-supermarket-with-you-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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C'est officiel, ce manga est monté tout en haut de ma pile des mangas du moment ! Ces deux tomes sont excellents. Ils contiennent tout ce que l'on attend d'un shonen... tant est que ce manga soit un shonen. Un shonen pour adulte, on va dire au vu de la quantité d'hémoglobine présente. Le tome 3 continue notre histoire courante avec la fin du combat de Taira et de sa sœur dans leurs combats contre les sbires de l'académie. Un combat épique fait de rebondissement, d'attaques spéciales et d'émotions. Tank chair en mode combat final de Naruto ! Mais un combat qui finit aussi un premier arc nous laissant circonspect et plein d'interrogations... interrogations qui prennent encore de l'ampleur avec un tome 4 qui se passe... 3 ans apres ! Mais surtout un tome 4 qui entretient le suspens en nous livrant un tome complet ours racontant le passé de taira et de Shizuka .... de leur entrée à l'academie à ler depart. Une histoire qui, si elle est intéressante car nous fait découvrir l'académie (et donc plein d'ennemis potentiels), nous apprend surtout le pourquoi de l'état de Taira et donne donc des pistes... pour le soigner. Bref deux excellents tomes qui font avancer l'histoire autant qu'ils nous divertissent par des combats dantesques. Ma série du moment !
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Titre de l'album : Tank chair tome 3 & 4 Scenariste de l'album : Manabu Yashiro Dessinateur de l'album : Manabu Yashiro Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Nagi Taira était le meilleur des tueur à gages, mais il est plongé dans un état végétatif depuis le jour où il a reçu une balle dans la tête pour protéger sa petite soeur Shizuka. Cependant, lorsqu'il sent une pulsion meurtrière dirigée vers lui, il reprend temporairement conscience. Afin de lui faire retrouver son état normal, Shizuka va volontairement l'envoyer sur des missions suicide ou faire appel aux pires assassins pour qu'ils tentent de tuer son frère. Elle espère ainsi déclencher chez lui un stimuli assez puissant pour qu'il reprenne conscience de façon définitive... Nagi Taira était le meilleur des tueur à gages, mais il est plongé dans un état végétatif depuis le jour où il a reçu une balle dans la tête pour protéger sa petite soeur Shizuka. Cependant, lorsqu'il sent une pulsion meurtrière dirigée vers lui, il reprend temporairement conscience. Afin de lui faire retrouver son état normal, Shizuka va volontairement l'envoyer sur des missions suicide ou faire appel aux pires assassins pour qu'ils tentent de tuer son frère. Elle espère ainsi déclencher chez lui un stimuli assez puissant pour qu'il reprenne conscience de façon définitive... Critique : C'est officiel, ce manga est monté tout en haut de ma pile des mangas du moment ! Ces deux tomes sont excellents. Ils contiennent tout ce que l'on attend d'un shonen... tant est que ce manga soit un shonen. Un shonen pour adulte, on va dire au vu de la quantité d'hémoglobine présente. Le tome 3 continue notre histoire courante avec la fin du combat de Taira et de sa sœur dans leurs combats contre les sbires de l'académie. Un combat épique fait de rebondissement, d'attaques spéciales et d'émotions. Tank chair en mode combat final de Naruto ! Mais un combat qui finit aussi un premier arc nous laissant circonspect et plein d'interrogations... interrogations qui prennent encore de l'ampleur avec un tome 4 qui se passe... 3 ans apres ! Mais surtout un tome 4 qui entretient le suspens en nous livrant un tome complet ours racontant le passé de taira et de Shizuka .... de leur entrée à l'academie à ler depart. Une histoire qui, si elle est intéressante car nous fait découvrir l'académie (et donc plein d'ennemis potentiels), nous apprend surtout le pourquoi de l'état de Taira et donne donc des pistes... pour le soigner. Bref deux excellents tomes qui font avancer l'histoire autant qu'ils nous divertissent par des combats dantesques. Ma série du moment ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tank-chair-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Smile ! tome 2 Scenariste de l'album : Mitei Hattori Dessinateur de l'album : Mitei Hattori Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Pour retrouver sa femme Megumi, Yûshi Kamome a infiltré l'Église du Sourire Éternel. C'est après avoir assisté à la cérémonie de l'allégresse qu'il découvre, horrifié, les sombres secrets dissimulés derrière les sourires de cette secte. Mais que cache le passé de cet homme, dont la famille s'est retrouvée brisée du jour au lendemain ? Alors qu'aucun retour en arrière ne semble possible, Yûshi se voit proposer une alliance inattendue... Publié chez Nihon Bungeisha, Smile! est une œuvre qui plonge le lecteur dans les ténèbres d'un culte inquiétant. Hattori Mitei vous entraîne dans un thriller des plus haletants et un drame psychologique inoubliable. Critique : Ce deuxième tome revient sur le drame à l’origine de la séparation de Yuichi et de son épouse : la mort de leur fille. On apprend aussi que Yuichi était involontairement déjà proche de la secte du sourire. Journaliste, il enquêtait sur un meurtre étrange commis par un de leur membre. Il va trouver une alliée imprévue dans son enquête mais la secte a des yeux partout et semble être au courant de tout. A chaque fois qu’il semble avancer d’un pas, il y a des retournements de situation et tous ceux qui pouvaient avoir des indices disparaissent. L’étau se resserre dans ce second tome, que ce soit autour de la fausse identité de Yuichi ou de la secte, chaque mouvement risque de faire basculer la situation. Le scénario est bien mené, on ne sait jamais ce qui va se passer et on sent la tension monter. En même temps, on découvre toute la folie inhérente aux sectes. C’est particulièrement inquiétant quand on sait que les dérives ont vraiment eu lieues menant souvent à des drames. Un très bon tome entre suspens et horreur. 10 tomes en cours. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/smile-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Ce deuxième tome revient sur le drame à l’origine de la séparation de Yuichi et de son épouse : la mort de leur fille. On apprend aussi que Yuichi était involontairement déjà proche de la secte du sourire. Journaliste, il enquêtait sur un meurtre étrange commis par un de leur membre. Il va trouver une alliée imprévue dans son enquête mais la secte a des yeux partout et semble être au courant de tout. A chaque fois qu’il semble avancer d’un pas, il y a des retournements de situation et tous ceux qui pouvaient avoir des indices disparaissent. L’étau se resserre dans ce second tome, que ce soit autour de la fausse identité de Yuichi ou de la secte, chaque mouvement risque de faire basculer la situation. Le scénario est bien mené, on ne sait jamais ce qui va se passer et on sent la tension monter. En même temps, on découvre toute la folie inhérente aux sectes. C’est particulièrement inquiétant quand on sait que les dérives ont vraiment eu lieues menant souvent à des drames. Un très bon tome entre suspens et horreur. 10 tomes en cours.
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Titre de l'album : Rhapsody in red tome 1 Scenariste de l'album : Amidamuku Dessinateur de l'album : Amidamuku Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Torao, un lycéen épris de justice, ne cesse de se battre. Profondément seul, il va un jour découvrir, grâce au piano, la joie de pouvoir exprimer ses sentiments et ses émotions. Un nouveau monde s'ouvre alors à lui... Critique : Torao jouit d’une mauvaise réputation. Pour tout le monde, il est le voyou du lycéen, celui qui cause toujours de problèmes, celui que l’on doit éviter. Personne ne sait qu’au fond, c’est un garçon gentil qui n’a fait qu’aider son prochain. Sa maladresse et son manque de communication l’isolent des autres. Il aimerait se faire entendre mais ne sait pas par quel moyen y parvenir. C‘est là qu’intervient l’un de ses voisins, Jirô, pianiste de génie. Il lui propose d’utiliser la musique pour communiquer et Torao va montrer des capacités hors du commun dans ce domaine. Le titre fait référence à la vie de Torao, « rhapsody » pour son avenir, ce talent qu’il se découvre pour la musique qui va à présent faire partie de sa vie et « in red » probablement pour son passé et sa vie présente, un passé qui lui a valu de nombreuses blessures jusqu’à la dernière de ce 1er tome où il arrive au récital après avoir été percuté par une voiture. Les passages où Torao est submergé par la musique ou ses sentiments sont parfaitement bien décrits et le lecteur n’a aucun mal à s’immerger dans son état d’esprit. En même temps que l’on ressent son désarroi face aux difficultés qu’il a à se faire comprendre, on comprend également tout le génie qui l’habite quand il joue du piano. Un point essentiel quand il s’agit d’une thématique musicale dans un livre !! On a un 1er tome efficace et convaincant et on lira la suite avec plaisir. 3 tomes en cours. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rhapsody-in-red-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Stand by me Kakuemon tome 3 Scenariste de l'album : Shūhō Satō Dessinateur de l'album : Shūhō Satō Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : « De la neige fondue... Tu veux bien m'en ramener un peu ? » « On va pas se mentir... Pour les auteurs, une bonne dose de malheur est indispensable pour survivre... » Ça y est, Kakuo en est désormais sûr : Uozaru a atteint son paroxysme, et il est temps d'y mettre un terme. Mais sa maison d'édition ne partage pas cet avis, et met tout en oeuvre pour tenter en vain d'empêcher cette fin qu'elle juge prématurée. Libéré du joug de cette entreprise, Kakuo va devoir choisir un nouvel éditeur... Dans une succession de parades nuptiales pathétiques, tous espèrent s'attirer les faveurs du jeune prodige. Machiko se retrouve de son côté confrontée à la vanité du « sommet » que son art lui a permis d'atteindre, s'embourbant chaque jour un peu plus dans l'aliénation et la vacuité... Y a-t-il encore quelqu'un en ce monde capable de la sauver d'elle-même ? Et quel sera cette fois le sacrifice de Kakuo sur l'autel du manga, pour donner vie à sa prochaine histoire ? Critique : Kakuo pensait être devenu maitre de sa destinée tout comme il pensait être maitre de son œuvre et maitre de décider de sa fin. Il pensait même tout connaitre du métier, le meilleur comme le pire. Mais ce tome-ci va nous montrer qu'il est toujours possible de tomber plus bas et Kakuo ca l'apprendre à ses dépens. Sincèrement c'est peut-être le manga le plus dramatique qu'il m'ait été donné de lire. Ce tome 3 est somptueux. Très habilement écrit sous formes de pentes douces qui nous amène à un precipie. precipice que l'on voit venir mais que l'on ne peux éviter, malgré tout nos éfforts. C'est très triste mais tellement bien amené que cela en est très beau. Je n'aurais pas été surpris que la série s'arrete la mais je suis aussi content qu'elle continue... pour nous donner un peu lus d'espoir. Un sauf faute pour l'instant pour la meilleure série du catalogue de meian. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/stand-by-me-kakuemon-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement