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Titre de l'album : Tokyo, ces jours-ci tome 1 Scenariste de l'album : Taiyou Matsumoto Dessinateur de l'album : Taiyou Matsumoto Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Ce jour-là, Shiozawa, éditeur de mangas, a démissionné de son poste pour raison personnelle après trente années passées au sein de la même maison d'édition. Mais cet homme, qui vit seul dans un petit appartement loin de l'agitation de Tokyo et qui parle à son moineau de Java, ne parvient pas à laisser tomber les mangas. Le voilà qui part retrouver les dessinateurs dont il s'est occupé par le passé. Critique : Voici un beau et complexe manga pour adulte. Un manga qui nous raconte l'histoire d'un homme qui n'est plus bien dans son métier d'éditeur et qui, après un échec, a envie de tout envoyer balader en commençant par son travail duquel il démissionne. S'en suis une réflexion de fond sur le monde de l'édition, le métier d'éditeur, mais aussi celui de mangaka. Une réflexion sur la vie en générale et sur les remises en question que peuvent amener l'age. Si le trait pourra sembler difficile de prime abord, la lecture est étrangement captivante tout comme la vie des différents protagonistes. Le bon premier tome d'une minisérie prévue en 3. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tokyo-ces-jours-ci-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Voici un beau et complexe manga pour adulte. Un manga qui nous raconte l'histoire d'un homme qui n'est plus bien dans son métier d'éditeur et qui, après un échec, a envie de tout envoyer balader en commençant par son travail duquel il démissionne. S'en suis une réflexion de fond sur le monde de l'édition, le métier d'éditeur, mais aussi celui de mangaka. Une réflexion sur la vie en générale et sur les remises en question que peuvent amener l'age. Si le trait pourra sembler difficile de prime abord, la lecture est étrangement captivante tout comme la vie des différents protagonistes. Le bon premier tome d'une minisérie prévue en 3.
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Titre de l'album : Serial killer land tome 1 Scenariste de l'album : Nokuto Koike Dessinateur de l'album : Nokuto Koike Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Le monde horrifique des tueurs en série ! NOKUTO KOIKE fait son retour chez Komikku ! Tragédie dans un lotissement en plein jour : meurtre et blessure d'une mère et de son fils. Dix ans ont passé depuis. La tête de la mère n'a toujours pas été retrouvée. Sô Erimine, seul survivant du drame, s'efforce de faire son deuil en étudiant les tueurs en série du passé et en rédigeant des ouvrages sur le sujet pour essayer de les comprendre. Il reçoit un jour une lettre à son nom qui bouleverse son destin... Critique : Quand il était enfant, Erimine a été gravement blessé lors d’une intrusion d’un meurtrier dans son domicile, meurtrier qui a décapité sa mère en emportant sa tête. Dix ans après, Erimine s’est plongé dans l’écriture de romans policiers, il espère ainsi dépasser son traumatisme en comprenant la psychologie des serial killer. Un jour il reçoit une drôle d’enveloppe noire contenant une lettre originale de Jack l’éventreur. A partir de ce moment, il entend une voix dans sa tête, une voix qui le pousse à commettre l’irréparable. On avait déjà vu dans Pétales de réincarnation, des phénomènes de possession d’un être humain par un personnage célèbre. Ici, si le phénomène semble proche, on sent qu’il va y avoir des différences, notamment dans l’être qui vient posséder. Sans en être sûr pour le moment, on a l’impression qu’il ne va s’agir que de grands criminels. Cela va permettre au scénario de développer deux points : l’étude de la psychologie des criminels (on en a déjà un bel aperçu quand Erimine ressent certaines pulsions) et les modes opératoires des serial killer. Attention, cet aspect contient des scènes violentes, morbides et choquantes pouvant heurter la sensibilité. En plus de cela, il y a aussi un côté thriller car on se demande pourquoi Erimine, qui est une victime et a priori quelqu’un d’innocent, a été choisi. La fin du volume donne déjà une piste qu’il faudra confirmer par la suite. Serial killer land est un manga d’action violent rythmé qui est suffisamment intrigant pour avoir envie de lire la suite. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/serial-killer-land-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Quand il était enfant, Erimine a été gravement blessé lors d’une intrusion d’un meurtrier dans son domicile, meurtrier qui a décapité sa mère en emportant sa tête. Dix ans après, Erimine s’est plongé dans l’écriture de romans policiers, il espère ainsi dépasser son traumatisme en comprenant la psychologie des serial killer. Un jour il reçoit une drôle d’enveloppe noire contenant une lettre originale de Jack l’éventreur. A partir de ce moment, il entend une voix dans sa tête, une voix qui le pousse à commettre l’irréparable. On avait déjà vu dans Pétales de réincarnation, des phénomènes de possession d’un être humain par un personnage célèbre. Ici, si le phénomène semble proche, on sent qu’il va y avoir des différences, notamment dans l’être qui vient posséder. Sans en être sûr pour le moment, on a l’impression qu’il ne va s’agir que de grands criminels. Cela va permettre au scénario de développer deux points : l’étude de la psychologie des criminels (on en a déjà un bel aperçu quand Erimine ressent certaines pulsions) et les modes opératoires des serial killer. Attention, cet aspect contient des scènes violentes, morbides et choquantes pouvant heurter la sensibilité. En plus de cela, il y a aussi un côté thriller car on se demande pourquoi Erimine, qui est une victime et a priori quelqu’un d’innocent, a été choisi. La fin du volume donne déjà une piste qu’il faudra confirmer par la suite. Serial killer land est un manga d’action violent rythmé qui est suffisamment intrigant pour avoir envie de lire la suite.
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Titre de l'album : Lili-men tome 1 Scenariste de l'album : Takuma Tokashiki Dessinateur de l'album : Takuma Tokashiki Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Humains vs succubes : le combat millénaire ! Nito a vécu en laboratoire toute sa vie. Comme des dizaines de ses congénères, il est soumis à de terribles tests qui finissent dans le sang et la douleur, voire la mort. Il dort dans un hangar, est nourri grâce à un tube et ses journées sont organisées par des soi-disant docteurs qui promettent la liberté aux sujets répondant à leurs exigences. Face à la dureté de son quotidien, Nito rêve de la vie décrite dans les livres : manger un repas en famille, caresser un chat, tomber amoureux... Il partage ses espoirs avec ses camarades, toujours moins nombreux. Quand certains survivants développent des capacités surhumaines, ils l'invitent à s'enfuir ensemble... mais ils sont transférés avant d'y parvenir, et Nito les retrouve dans un énorme cocon, réduits à la condition de nutriments pour des enfants de succubes ! Ces créatures surpuissantes contrôlent le laboratoire et se servent des humains comme hôtes pour se reproduire. Repéré, Nito est sur le point de se faire dévorer lui aussi, mais ses amis utilisent leurs dernières forces pour le sauver. Loin de succomber, il aspire les pouvoirs des monstres en gestation ! Même transformé, il n'a qu'une obsession : réaliser le rêve qu'il partageait avec ses compagnons sacrifiés. Seulement, comment mener une vie normale quand on est mi-homme mi-succube, craint et détesté des deux camps ? La guerre fait rage entre l'humanité et les enfants terribles de Lilith ! Critique : Pour débuter cette nouvelle année, Ki-oon nous propose de découvrir le manga Lili-men qui revisite le mythe des succubes. Pour ceux qui ne seraient pas calés sur le sujet, les succubes sont des démons qui séduisent les humains afin de leur voler leur énergie vitale pendant l’acte sexuel en général (cela peut aussi arriver pendant leur sommeil). Le terme succube désigne généralement des démons féminins et incubes de démons masculins. Ici, le concept reste globalement le même en dehors qu’il n’est pas relié à la sexualité. Les succubes, habitant au milieu des humains, ont des fermes clandestines où ils élèvent des humains en leur faisant subir de nombreux tests afin qu’ils deviennent puissants. Leur seul objectif est d’obtenir des êtres forts avec des pouvoirs pour donner une nourriture de qualité à leur progéniture. Les succubes ne peuvent féconder leurs œufs sans cette énergie. Pour protéger l’humanité, une organisation humaine a été créée l’organisation Marsa , ses membres peuvent se servir des même pouvoirs que les succubes. Le personnage principal, Nito, a réussi à s’enfuir d’un élevage après avoir absorbé l’énergie de ses défunts amis mais aussi l’énergie d’un œuf de succube. A présent, il n’est ni-humain ni-succube et compte bien réaliser les rêves de tous ses camarades avant de disparaitre. Hélas, sa nature unique fait de lui la cible des succubes et de Marsa. L’auteur Takuma Tokashiki a mis du temps à percer en tant que mangaka, entre-temps, il s’est formé à Vancouver en tant que modeleur 3D dans des studios de cinéma, cette expérience lui a permis de diversifier ses techniques cela se ressent dans ses mises en scène d’action et dans l’arrivée des événements. Lili-men s’annonce comme une bonne série d’action avec un premier tome dynamique et surprenant servi par un graphisme précis et détaillé. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lili-men-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Pour débuter cette nouvelle année, Ki-oon nous propose de découvrir le manga Lili-men qui revisite le mythe des succubes. Pour ceux qui ne seraient pas calés sur le sujet, les succubes sont des démons qui séduisent les humains afin de leur voler leur énergie vitale pendant l’acte sexuel en général (cela peut aussi arriver pendant leur sommeil). Le terme succube désigne généralement des démons féminins et incubes de démons masculins. Ici, le concept reste globalement le même en dehors qu’il n’est pas relié à la sexualité. Les succubes, habitant au milieu des humains, ont des fermes clandestines où ils élèvent des humains en leur faisant subir de nombreux tests afin qu’ils deviennent puissants. Leur seul objectif est d’obtenir des êtres forts avec des pouvoirs pour donner une nourriture de qualité à leur progéniture. Les succubes ne peuvent féconder leurs œufs sans cette énergie. Pour protéger l’humanité, une organisation humaine a été créée l’organisation Marsa , ses membres peuvent se servir des même pouvoirs que les succubes. Le personnage principal, Nito, a réussi à s’enfuir d’un élevage après avoir absorbé l’énergie de ses défunts amis mais aussi l’énergie d’un œuf de succube. A présent, il n’est ni-humain ni-succube et compte bien réaliser les rêves de tous ses camarades avant de disparaitre. Hélas, sa nature unique fait de lui la cible des succubes et de Marsa. L’auteur Takuma Tokashiki a mis du temps à percer en tant que mangaka, entre-temps, il s’est formé à Vancouver en tant que modeleur 3D dans des studios de cinéma, cette expérience lui a permis de diversifier ses techniques cela se ressent dans ses mises en scène d’action et dans l’arrivée des événements. Lili-men s’annonce comme une bonne série d’action avec un premier tome dynamique et surprenant servi par un graphisme précis et détaillé. A suivre.
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Titre de l'album : Dragon hunt tribe tomes 1 & 2 Scenariste de l'album : Shiro Kuroi Dessinateur de l'album : Shiro Kuroi Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Rudora est un chasseur de dragons expérimenté qui n'hésite pas à s'aventurer seul au cœur de leurs nids pour récupérer de précieuses parties de leurs corps. Lors d'une mission, il fait une découverte inédite : une jeune fille élevée par ces terrifiantes créatures ! Elle ne parle pas la langue des humains et, quand Rudora tente de la ramener avec lui, elle le mord avec une telle férocité qu'il n'a pas d'autre option que de la ligoter... Mais les jeunes sauriens le repèrent et l'attaquent ! Il en tue plusieurs, avant de réussir tant bien que mal à en capturer un. La fillette est embarquée avec son frère adoptif dans le vaisseau du chasseur, qui décolle en urgence, direction le village de sa tribu, où l'enfant sauvage va devoir commencer sa nouvelle vie... Critique : Au cours d’une chasse aux dragons, le chasseur Rudora trouve une petite fille au fond de leur nid. Pensant tout d’abord qu’elle est une proie, il découvre plus tard qu’elle a été élevée par les dragons. La ramenant à la civilisation, cette petite, dénommée à présent Nato, doit s’adapter à la vie humaine. Mais c’est d’autant plus difficile pour elle quand elle découvre le sort qui a été réservé à son frère dragon. Elle décide alors de le libérer sans se douter des conséquences dramatiques qui s’en suivront. On retrouve une version de l’enfant sauvage mais au pays des dragons avec une bonne description de la difficulté pour Nato de choisir entre les deux camps. Plus elle va grandir et se faire des amis, plus il lui sera difficile de protéger son frère. En dehors de cet aspect, le reste de la société humaine décrite n’est pas très reluisante : on est dans un univers où « tous les moyens sont bons » pour atteindre son objectif, que ce soit en pratiquant des expériences sur les dragons ou en sacrifiant la moitié des aspirants chasseurs lors d’une épreuve de passage. Shiro Kuroi, l’auteur du remarqué manga de science-fiction Leviathan revient dans un univers plus fantasy mais toujours aussi intense, il ne fait pas de concession et malmène ses personnages. Il décrit un monde rude et s’y tient. On a donc un scénario marquant servit par sa patte graphique facilement reconnaissable et particulièrement remarquable. Les évènements s’enchainent et les sentiments des personnages sont saisissants. Une série à découvrir si vous ne l’avez pas encore fait. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dragon-hunt-tribe-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Au cours d’une chasse aux dragons, le chasseur Rudora trouve une petite fille au fond de leur nid. Pensant tout d’abord qu’elle est une proie, il découvre plus tard qu’elle a été élevée par les dragons. La ramenant à la civilisation, cette petite, dénommée à présent Nato, doit s’adapter à la vie humaine. Mais c’est d’autant plus difficile pour elle quand elle découvre le sort qui a été réservé à son frère dragon. Elle décide alors de le libérer sans se douter des conséquences dramatiques qui s’en suivront. On retrouve une version de l’enfant sauvage mais au pays des dragons avec une bonne description de la difficulté pour Nato de choisir entre les deux camps. Plus elle va grandir et se faire des amis, plus il lui sera difficile de protéger son frère. En dehors de cet aspect, le reste de la société humaine décrite n’est pas très reluisante : on est dans un univers où « tous les moyens sont bons » pour atteindre son objectif, que ce soit en pratiquant des expériences sur les dragons ou en sacrifiant la moitié des aspirants chasseurs lors d’une épreuve de passage. Shiro Kuroi, l’auteur du remarqué manga de science-fiction Leviathan revient dans un univers plus fantasy mais toujours aussi intense, il ne fait pas de concession et malmène ses personnages. Il décrit un monde rude et s’y tient. On a donc un scénario marquant servit par sa patte graphique facilement reconnaissable et particulièrement remarquable. Les évènements s’enchainent et les sentiments des personnages sont saisissants. Une série à découvrir si vous ne l’avez pas encore fait.
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Bienvenue dans le nouvel survival mais attention les règles sont bien particulières et inédites : pour survivre vous devez obtenir des points et pour cela, il faut commettre des délits et des crimes !! Pour le moment, on ne sait pas trop pourquoi ni comment les personnages principaux sont là, est-ce que cela sera comme dans Alice in borderland, une allégorie du purgatoire ? Ou bien est-ce que c’est un phénomène plus fantastique comme dans king’s game ? Ce qui est sûr c’est que les protagonistes n’ont pas le choix, il faut récolter un maximum de points pour passer à la suite, cela peut aller du petit délit (vol) au meurtre, voir au massacre de masse. Ce 1er tome ne permet pas encore de comprendre le véritable objectif de l’histoire, le lecteur est finalement jeté dans l’arène comme le personnage principal et ne peut que suivre le flot. Le rythme est dynamique et nous entraine facilement. Le seul aspect qui peut interpeller c’est la répartition des points en fonction des délits. Après ce début innovant, on se retrouve dans une série d’événements et/ou de jeux où il faut risquer sa vie pour obtenir des points. Ce premier tome est prometteur, on espère que les idées et situations surprendront encore le lecteur en nous présentant de l’inédit. A suivre.
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Titre de l'album : Crime game tome 1 Scenariste de l'album : Okushou Dessinateur de l'album : Ena Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Tous les crimes sont permis ! Homura Amagoe, un lycéen comme es autres, se réveille en plein milieu du quartier dévasté de Shibuya. C'est alors qu'un mystérieux personnage appelé "Inconnu" révèle à tous les participants que les crimes sont permis dans ce monde. Pire encore, ils sont obligés de concourir à un jeu de survie. Il s'agit en réalité d'une compétition où les joueurs doivent commettre les crimes les plus abominables possibles pour obtenir des années d'emprisonnement. Comment les gens vont-ils alors se comporter dans un monde où les lois, les règles sociétales et de bonne conduite ont disparu ? Critique : Bienvenue dans le nouvel survival mais attention les règles sont bien particulières et inédites : pour survivre vous devez obtenir des points et pour cela, il faut commettre des délits et des crimes !! Pour le moment, on ne sait pas trop pourquoi ni comment les personnages principaux sont là, est-ce que cela sera comme dans Alice in borderland, une allégorie du purgatoire ? Ou bien est-ce que c’est un phénomène plus fantastique comme dans king’s game ? Ce qui est sûr c’est que les protagonistes n’ont pas le choix, il faut récolter un maximum de points pour passer à la suite, cela peut aller du petit délit (vol) au meurtre, voir au massacre de masse. Ce 1er tome ne permet pas encore de comprendre le véritable objectif de l’histoire, le lecteur est finalement jeté dans l’arène comme le personnage principal et ne peut que suivre le flot. Le rythme est dynamique et nous entraine facilement. Le seul aspect qui peut interpeller c’est la répartition des points en fonction des délits. Après ce début innovant, on se retrouve dans une série d’événements et/ou de jeux où il faut risquer sa vie pour obtenir des points. Ce premier tome est prometteur, on espère que les idées et situations surprendront encore le lecteur en nous présentant de l’inédit. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/crime-game-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Leviathan deep water tome 4 Scenariste de l'album : LEE Gyungtak Dessinateur de l'album : NOH Miyoung Coloriste : Editeur de l'album : Kmics Note : Résumé de l'album : « Une mer sans léviathans, ça n'existe pas ! » Dans les ruines sous-marines, la patrouille de Jacko Cousteau a fait une découverte des plus macabre. Attaqués par Guenod, l'un des sept démons des mers, Bota et Sonia peinent à regagner la surface. Mais le danger les précède et Port Oasis n'est plus le havre de paix qui semblait leur être promis. Rita, Kana et Bota parviendront-ils à protéger ce qu'ils ont de plus cher ? - Prix « Dynamic Bridge » 2018, du Festival international du webtoon de Busan - Prix de la bande-dessinée d'aujourd'hui 2018 - Prix Science-Fiction 2018 : Grand Prix dans la catégorie dessin animé et webtoon - Prix de la « créativité du contenu » 2019, du Ministère de la culture, des sports et du tourisme de Corée du Sud Critique : La mission de reconnaissance menée par Jacko a viré au drame, ils sont tombés dans un piège mené par le maire de la communauté, il envoie régulièrement des hommes dans le nid de Guenod l’un des grands Leviathan afin de servir de nourriture. Cela lui permet ainsi de maintenir la paix dans la colonie. Seulement Bota et Sonia ont réussi à s’échapper et Guenod est en colère ! Le havre de paix disparait vite sous les attaques du monstre qui est bien décidé à garnir son garde-manger pour nourrir ses petits. Nul ne sait jamais ce qui se cache au fond de l’océan dans les ruines formées par nos anciennes villes. Si l’on sait que les leviathans sont prêts à attaquer à tout moment, on se méfie moins des humains, c’est de cette façon que l’on obtient de bons rebondissements dans un scénario : de la surprise et de la nouveauté. Car ici, les auteurs sont prolifiques, ils ont champ libre pour inventer les monstres les plus effrayants, que ce soit dans leurs aspects ou dans leur mode de vie. Ajouté à cela une très belle représentation de ces abris de fortune faits de tôles ondulées et de bouts de bateaux ainsi que des scènes d’action qui font ressortir toute la violence de la situation, Leviathan Deep Water n’a pas fini de nous tenir en haleine. C’est encore un tome réussi, vivement la suite ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/leviathan-deep-water-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Si vous êtes dépressif, passez ce titre ! En effet, l’histoire s’articule autour de deux personnages, il y a d’abord Chihiro, un jeune homme enfermé dans un passé où son premier amour s’est fini de façon dramatique et qui est toujours sous son influence et puis Ruka, une jeune fille en mal d’affection qui compense en recherchant des liens éphémères via la prostitution. Le début du récit est un peu confus, il y a la réalité et il y a le film que le héros regarde, est-ce une façon de montrer des événements passés ou non ? Et puis on s’enfonce dans le quotidien des deux personnages et surtout dans le gouffre de leurs émotions où leurs sentiments, très bien décrits au demeurant, nous laissent en arrière-gout amer et un certain malaise. Si la fin de ce tome pourrait laisser pointer une vague lueur d’espoir et encore, on se demande si la situation est sincère ou si c’est juste un placebo, le reste du récit est très sombre, dépressif même et il n’est pas à mettre entre toutes les mains vu l’impact psychologique qu’il pourrait y avoir.
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Titre de l'album : Ce vide au fond de moi tome 1 Scenariste de l'album : KANZAKI iori Dessinateur de l'album : TAKETOMI Tomo Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Un jour d'été, une lycéenne du nom de Ruka tue une camarade qui la harcelait. L'envie de mourir à la gorge, elle prend la fuite et entraîne Chihiro avec elle. Mais ils sont vite rattrapés par la police. Ruka décide alors de mettre fin à ses jours. 13 ans plus tard, Chihiro n'a jamais oublié son amie Ruka. Il mène une vie monotone jusqu'au jour où la réplique vivante de Ruka apparait devant lui. Critique : Si vous êtes dépressif, passez ce titre ! En effet, l’histoire s’articule autour de deux personnages, il y a d’abord Chihiro, un jeune homme enfermé dans un passé où son premier amour s’est fini de façon dramatique et qui est toujours sous son influence et puis Ruka, une jeune fille en mal d’affection qui compense en recherchant des liens éphémères via la prostitution. Le début du récit est un peu confus, il y a la réalité et il y a le film que le héros regarde, est-ce une façon de montrer des événements passés ou non ? Et puis on s’enfonce dans le quotidien des deux personnages et surtout dans le gouffre de leurs émotions où leurs sentiments, très bien décrits au demeurant, nous laissent en arrière-gout amer et un certain malaise. Si la fin de ce tome pourrait laisser pointer une vague lueur d’espoir et encore, on se demande si la situation est sincère ou si c’est juste un placebo, le reste du récit est très sombre, dépressif même et il n’est pas à mettre entre toutes les mains vu l’impact psychologique qu’il pourrait y avoir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ce-vide-au-fond-de-moi-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Starving Revelation tome 1 Scenariste de l'album : Yuu Kuraishi Dessinateur de l'album : Kazu Inabe Coloriste : Editeur de l'album : Pika Note : Résumé de l'album : Après avoir frôlé l'extinction, le monde semble vivre dans une paix toute relative. Désormais, les Humains vouent un culte sans limite à des êtres sacrés, les Grands Amahito, pour lesquels ils se sacrifient de leur plein gré ! C'est dans ce contexte que Hiroki, lycéen timide et sans histoire, prend soudainement conscience de la mauvaise tournure que sont en train de prendre les événements, alors que sa meilleure amie, Yuzu, a été choisie pour servir de pitance aux Grands Amahito... L'heure du réveil a sonné ! Critique : Avez-vous lu Starving anonymous ? Si oui, Starving Revelation en est une suite lointaine qui reprend certains éléments contextuels. Si non, ce n’est pas grave, cette nouvelle série du duo Kazu Inabe (dessin) et Kengo Mizutani (scénario) peut se lire indépendamment. Une nouvelle fois les auteurs nous emmènent vers l’inconnu et encore une fois, il faut s’attendre à du fantastique horrifique qui peut naviguer facilement entre grotesque et gore. Ce qui est certain c’est que l’œuvre ne laisse pas de marbre ! Nous voici donc sur Terre à une époque moderne où les humains se sont soumis à des déités appelées « les grands Amahito » et pour qui ils sont prêts à s’offrir en sacrifice ! Et « prêts » est un piètre mot, non, il n’y a pas d’honneur plus important que de se faire dévorer par ces divinités et chacun fait ce qu’il faut pour être « ramassé ». Ceux qui craignent la mort sont considérés comme anormaux et ceux qui se posent des questions à propos de ces rites sont traités comme des parias. Mais le plus intéressant dans cette histoire, c’est la façon dont l’être humain peut devenir fanatique et sans merci quand il s’agit d’agir au nom d’un « être supérieur ». Cette façon de tout donner et de tout excuser quand il s’agit de religion. Tout cela n’est pas sans rappeler certaines sectes… Il y a donc matière à penser et à discuter sur ce sujet. Mais vous pouvez aussi vous en tenir au premier niveau de lecture, celui de jeunes qui vont essayer de survivre dans ce monde absurde et horrifique (on parle quand même de sacrifices humains). A lire pour les amateurs du genre. Pour public averti. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/starving-revelation-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Avez-vous lu Starving anonymous ? Si oui, Starving Revelation en est une suite lointaine qui reprend certains éléments contextuels. Si non, ce n’est pas grave, cette nouvelle série du duo Kazu Inabe (dessin) et Kengo Mizutani (scénario) peut se lire indépendamment. Une nouvelle fois les auteurs nous emmènent vers l’inconnu et encore une fois, il faut s’attendre à du fantastique horrifique qui peut naviguer facilement entre grotesque et gore. Ce qui est certain c’est que l’œuvre ne laisse pas de marbre ! Nous voici donc sur Terre à une époque moderne où les humains se sont soumis à des déités appelées « les grands Amahito » et pour qui ils sont prêts à s’offrir en sacrifice ! Et « prêts » est un piètre mot, non, il n’y a pas d’honneur plus important que de se faire dévorer par ces divinités et chacun fait ce qu’il faut pour être « ramassé ». Ceux qui craignent la mort sont considérés comme anormaux et ceux qui se posent des questions à propos de ces rites sont traités comme des parias. Mais le plus intéressant dans cette histoire, c’est la façon dont l’être humain peut devenir fanatique et sans merci quand il s’agit d’agir au nom d’un « être supérieur ». Cette façon de tout donner et de tout excuser quand il s’agit de religion. Tout cela n’est pas sans rappeler certaines sectes… Il y a donc matière à penser et à discuter sur ce sujet. Mais vous pouvez aussi vous en tenir au premier niveau de lecture, celui de jeunes qui vont essayer de survivre dans ce monde absurde et horrifique (on parle quand même de sacrifices humains). A lire pour les amateurs du genre. Pour public averti.
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Titre de l'album : Défigurée tome 1 Scenariste de l'album : KANTETSU Dessinateur de l'album : Yu Satomi Coloriste : Editeur de l'album : Omaké Note : Résumé de l'album : Bien qu'elle porte un cache-oeil, Shina est une lycéenne joyeuse et aimée de tous ses camarades. Mais elle cache une part très sombre en elle. Un jour, un garçon de sa classe nommé Kaname découvre le journal intime de Shina, dans lequel elle écrit se préparer « au plus beau suicide du monde ! ». Pris d'empathie, Kaname décide de l'aider, mais lorsqu'il est guidé vers une école abandonnée qui empeste la mort, il découvre un autre de ses lugubres secrets. Une romance sombre et gore, avec une héroïne qui côtoie déjà la folie... Critique : Si vous regardez bien la couverture de ce titre vous verrez toute sa particularité : un décalage étonnant entre l’apparence toute souriante de Shiina, notre héroïne et ses envies morbides. A première vue, Shiina est une élève toute joyeuse très sociable qui n’hésite pas à se rapprocher du nouvel élève que tout le monde trouve glauque. Pourtant ce n’est pas dans une ambiance romantique bucolique qu’elle va entrainer Kaname mais un voyage vers les ténèbres de son âme, une attirance vers l’expérience de la mort. Quant à Kaname, rien ne semble le retenir sur Terre alors, il n’a pas de difficulté à suivre Shiina dans ses délires et semble être même prêt à aller plus loin. Ce fut une expérience étrange de lecture, à un moment on se trouve dans un récit scolaire plutôt classique et à un autre au beau milieu d’Aime ton prochain, où la folie s’insinue dans les moindres détails. On a des personnages très ronds, très shojo avec de grands yeux et à côté de scènes très sombres qui nous remettent les pieds sur terre voir nous entraine un peu plus profond. Défigurée est une série finie en 4 tomes dont le premier volume est assez déroutant, assez pour aller voir plus loin. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/defiguree-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Si vous regardez bien la couverture de ce titre vous verrez toute sa particularité : un décalage étonnant entre l’apparence toute souriante de Shiina, notre héroïne et ses envies morbides. A première vue, Shiina est une élève toute joyeuse très sociable qui n’hésite pas à se rapprocher du nouvel élève que tout le monde trouve glauque. Pourtant ce n’est pas dans une ambiance romantique bucolique qu’elle va entrainer Kaname mais un voyage vers les ténèbres de son âme, une attirance vers l’expérience de la mort. Quant à Kaname, rien ne semble le retenir sur Terre alors, il n’a pas de difficulté à suivre Shiina dans ses délires et semble être même prêt à aller plus loin. Ce fut une expérience étrange de lecture, à un moment on se trouve dans un récit scolaire plutôt classique et à un autre au beau milieu d’Aime ton prochain, où la folie s’insinue dans les moindres détails. On a des personnages très ronds, très shojo avec de grands yeux et à côté de scènes très sombres qui nous remettent les pieds sur terre voir nous entraine un peu plus profond. Défigurée est une série finie en 4 tomes dont le premier volume est assez déroutant, assez pour aller voir plus loin.
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Titre de l'album : Tombes Scenariste de l'album : ITO Junji Dessinateur de l'album : ITO Junji Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Une vieille bâtisse abandonnée habitée par un passé sanglant, une étrange femme recluse qui trouble le sommeil de son jeune voisin, un monstre marin tout droit surgi des abysses, un tunnel maudit qui plonge ses visiteurs dans d'hypnotisantes ténèbres, des sculptures qui prennent vie dans une sinistre fonderie, un village sombre et isolé dont les habitants semblent tous exsangues... Critique : Dernier recueil d’histoires courtes de Junji Ito sorti aux éditions Mangetsu. Si les livres de cette collection sont toujours très soignés avec une préface et un épilogue des plus intéressants, on regrettera de ne pas avoir que des nouvelles histoires. Certaines ont déjà été publiées dans d’autres recueils, on a un peu l’impression de se faire avoir sur le contenu… Heureusement, il y en a aussi de nouvelles à commencer par la première : La ville funéraire qui nous entraine autour de rites funéraires dans une petite ville, rites qu’il vaut mieux suivre au risque d’être maudit ! Parmi les autres, on appréciera Le Tunnel avec sa portée métaphysique, Idées noires et Sculptures en bronze qui mettent en avant les vils sentiments qui peuvent animer l’être humain. Cependant, certaines nouvelles n’ont pas vraiment de fin et se finissent en « eau de boudin » comme le dit l’expression. Je ne suis pas contre les histoires courtes, certaines sont très efficaces mais un peu plus de structure ne serait pas mal venu sur certaines comme Le QG, il n’y a rien de plus frustrant que d’être laissé en plan !! Comme dans chaque recueil du maitre, certains récits sont plus intéressants que d’autres. Tombes n’aborde pas seulement le thème de la mort mais plutôt de la sépulture ou de ce qui arrive après la fin. Sur ce point le choix des histoires est réussi. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tombes-9782382815274?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Dernier recueil d’histoires courtes de Junji Ito sorti aux éditions Mangetsu. Si les livres de cette collection sont toujours très soignés avec une préface et un épilogue des plus intéressants, on regrettera de ne pas avoir que des nouvelles histoires. Certaines ont déjà été publiées dans d’autres recueils, on a un peu l’impression de se faire avoir sur le contenu… Heureusement, il y en a aussi de nouvelles à commencer par la première : La ville funéraire qui nous entraine autour de rites funéraires dans une petite ville, rites qu’il vaut mieux suivre au risque d’être maudit ! Parmi les autres, on appréciera Le Tunnel avec sa portée métaphysique, Idées noires et Sculptures en bronze qui mettent en avant les vils sentiments qui peuvent animer l’être humain. Cependant, certaines nouvelles n’ont pas vraiment de fin et se finissent en « eau de boudin » comme le dit l’expression. Je ne suis pas contre les histoires courtes, certaines sont très efficaces mais un peu plus de structure ne serait pas mal venu sur certaines comme Le QG, il n’y a rien de plus frustrant que d’être laissé en plan !! Comme dans chaque recueil du maitre, certains récits sont plus intéressants que d’autres. Tombes n’aborde pas seulement le thème de la mort mais plutôt de la sépulture ou de ce qui arrive après la fin. Sur ce point le choix des histoires est réussi.
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Voici le manga annoncé comme étant un renouveau du genre horreur. PTSD radio concerne une fréquence particulière, celle du surnaturel sur laquelle trottent les esprits, fantômes et autres créatures étranges. La construction du livre est assez déroutante au début, on a une succession de courts chapitres qui ont tous un aspect fantastique, plus ou moins inquiétants et qui ne semblent pas avoir de chute. Puis des personnages récurrents reviennent et s’entrecroisent avec d’autres et semblent parfois complétement indépendants. Ce qui est sûr c’est qu’il y a quelque chose, une sorte de dieu qui intervient si on le dérange, si on ne suit pas les coutumes ou si on les dérange. Un dieu « qui n’a que faire du bien ou du mal » et qui n’est animé que par la soif des sacrifices. Ces chapitres sont comme des indices nous permettant d’en savoir plus et de comprendre certains fonctionnements. Pourtant les enchainements semblent encore chaotiques ; on ne sait pas si ce sont les pièces d’un seul puzzle ou si ce sera juste des bribes d’histoires liées à une seule cause. PTSD radio a donc une narration assez étrange, on ne sait pas trop où l’on va. Quant à la partie horreur, on a quelques dessins inquiétants mais pas assez pour nous faire ressentir de l’effroi ni nous dégoûter. Il faudra attendre le 2eme tome pour se faire une opinion plus détaillée.
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Titre de l'album : PTSD Radio tome 1 Scenariste de l'album : Masaaki Nakayama Dessinateur de l'album : Masaaki Nakayama Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Captez-vous l'étrange fréquence de PTSD Radio ? L'horreur rampe, glisse et se tapit dans le noir. Elle vous tire par les cheveux, elle vous happe comme le vide, elle se transmet comme un virus et s'infiltre par tous les pores de votre vie. Vous pouvez toujours refermer le livre... mais il sera déjà trop tard Critique : Voici le manga annoncé comme étant un renouveau du genre horreur. PTSD radio concerne une fréquence particulière, celle du surnaturel sur laquelle trottent les esprits, fantômes et autres créatures étranges. La construction du livre est assez déroutante au début, on a une succession de courts chapitres qui ont tous un aspect fantastique, plus ou moins inquiétants et qui ne semblent pas avoir de chute. Puis des personnages récurrents reviennent et s’entrecroisent avec d’autres et semblent parfois complétement indépendants. Ce qui est sûr c’est qu’il y a quelque chose, une sorte de dieu qui intervient si on le dérange, si on ne suit pas les coutumes ou si on les dérange. Un dieu « qui n’a que faire du bien ou du mal » et qui n’est animé que par la soif des sacrifices. Ces chapitres sont comme des indices nous permettant d’en savoir plus et de comprendre certains fonctionnements. Pourtant les enchainements semblent encore chaotiques ; on ne sait pas si ce sont les pièces d’un seul puzzle ou si ce sera juste des bribes d’histoires liées à une seule cause. PTSD radio a donc une narration assez étrange, on ne sait pas trop où l’on va. Quant à la partie horreur, on a quelques dessins inquiétants mais pas assez pour nous faire ressentir de l’effroi ni nous dégoûter. Il faudra attendre le 2eme tome pour se faire une opinion plus détaillée. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ptsd-radio-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Sweet home tomes 6 et 7 Scenariste de l'album : KIM Carnby Dessinateur de l'album : HWANG Youngchan Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Alors qu'ils progressent dans la cage d'escalier, Hyeon-Su et Sang-Wook tombent à nouveau sur le monstre aux tentacules... Ils essaient de l'abattre, mais leur adversaire mute et devient encore plus dangereux ! Ils sont sauvés in extremis par Yu-Ri et le vieux Gil-Seop, deux résidents qui avaient trouvé refuge au dixième étage et qui décident de les accompagner pour aller chercher Du-Shik. Hélas, sur le chemin qui mène à son appartement, une autre créature fait obstacle : debout, tête contre le mur, elle semble assoupie. Hyeon-Su et Gil-Seop parviennent à passer sans la réveiller. Critique : Et oui j’ai un peu de retard sur cette série mais comme le tome 9 vient de sortir, il est temps d’aller voir ce qui s’est passé. On avait laissé Hyeon-Su en plein cheminements dans les étages pour aller sauver les deux enfants. Après bien des péripéties (des montres et des combats), le groupe arrive enfin à l’appartement et afin de faciliter les transports, un petit groupe redescend au rez-de-chaussée pour remettre en route les ascenseurs mais une surprise les attend et elle n’est pas bonne. Les jours se suivent et se ressemblent pour les habitants de l’immeuble, la question du ravitaillement commence à se poser, il va falloir sortir de la résidence. Mais l’aventure n’est pas le facteur le plus intéressant du récit et plus j’avance dans la lecture plus je me dis qu’il y a un message de la part de l’auteur. Si on regarde de plus près les raisons qui transforment les humains en monstres et les discours des survivants on ne peut s’empêcher de penser que Sweet Home serait comme une métaphore de la dépression. Ceux qui se transforment se laissent aller aux sentiments qu’ils refoulent depuis longtemps, que ce soit des ambitions ratées, des rancœurs ou des regrets. Il n’y a que des aspects plutôt négatifs. A côté de ça, le discours pour combattre les montres se rapproche d’encouragements et de positivité. Ce n’est que mon analyse mais Sweet Home est plus un thriller psychologique imagé qu’un réel livre d’horreur. La preuve est que Hyeon-Su arrive à contrôler le monstre qui est en lui en faisant sa propre introspection. Et comme le rythme du récit est plutôt lent, cela laisse tout le temps au lecteur d’aller chercher ce 2eme niveau de lecture. Une lecture à suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sweet-home-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Et oui j’ai un peu de retard sur cette série mais comme le tome 9 vient de sortir, il est temps d’aller voir ce qui s’est passé. On avait laissé Hyeon-Su en plein cheminements dans les étages pour aller sauver les deux enfants. Après bien des péripéties (des montres et des combats), le groupe arrive enfin à l’appartement et afin de faciliter les transports, un petit groupe redescend au rez-de-chaussée pour remettre en route les ascenseurs mais une surprise les attend et elle n’est pas bonne. Les jours se suivent et se ressemblent pour les habitants de l’immeuble, la question du ravitaillement commence à se poser, il va falloir sortir de la résidence. Mais l’aventure n’est pas le facteur le plus intéressant du récit et plus j’avance dans la lecture plus je me dis qu’il y a un message de la part de l’auteur. Si on regarde de plus près les raisons qui transforment les humains en monstres et les discours des survivants on ne peut s’empêcher de penser que Sweet Home serait comme une métaphore de la dépression. Ceux qui se transforment se laissent aller aux sentiments qu’ils refoulent depuis longtemps, que ce soit des ambitions ratées, des rancœurs ou des regrets. Il n’y a que des aspects plutôt négatifs. A côté de ça, le discours pour combattre les montres se rapproche d’encouragements et de positivité. Ce n’est que mon analyse mais Sweet Home est plus un thriller psychologique imagé qu’un réel livre d’horreur. La preuve est que Hyeon-Su arrive à contrôler le monstre qui est en lui en faisant sa propre introspection. Et comme le rythme du récit est plutôt lent, cela laisse tout le temps au lecteur d’aller chercher ce 2eme niveau de lecture. Une lecture à suivre.
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Après la lecture de ces deux tomes, j’ai ressenti comme un grand moment de solitude, comment allais-je bien pouvoir formuler cette critique ? Car voilà, après un 1er tome intrigant et excessivement beau, j’ai basculé dans un foutoir pas possible, un grand sac mélangeant des références à la culture pop américaine, du folklore traditionnel autour des vampires, du féminisme victorien, des quotas multiethniques comme on voit dans les productions américaines, de la sexualité variée… jusqu’à aller utiliser l’image du Père Noël sur son traineau !! En plus de cela, si tout le monde reconnaît que l’œuvre est graphiquement très intéressante et recherchée, il faudrait presque une analyse de chaque planche pour en comprendre toute la subtilité. C’est métaphorique au possible ! Bon d’accord on est dans une revisite, mais Shin’ichi Sakamoto va loin quand même, trop loin même. On peine par moment à comprendre ce qu’il a essayé de faire, on se lamente qu’il se laisse aller à vouloir faire des personnages variés pour couvrir le plus de cas possible (la double personnalité homme/femme, l’homme de couleur homosexuel, la féministe intelligente qui fait du catch, le japonais 1er de la classe menant des expériences douteuses) Aucun des personnages n’est normal ! Si on ajoute à cela un Dracula aux allures de Michael Jackson (et/ou Prince par moment) et des scènes où l’érotisme est à peine dissimulé, on ne sait plus trop où l’on va et cela frôle parfois le ridicule. Comment ne pas rire devant notre Père-Noël ou ne pas s’exclamer « ben voyons » quand Dracula se transforme en dragon ? On en perd la dimension inquiétante du début et c’est dommage. Peut-être que la suite sera plus carrée, enfin c’est que laisse supposer les derniers chapitres où les élèves sont bien décidés à affronter la menace.
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Titre de l'album : #DRCL Midnight children tomes 2 & 3 Scenariste de l'album : SAKAMOTO Shin'ichi Dessinateur de l'album : SAKAMOTO Shin'ichi Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Le mythe de Dracula revisité par un orfèvre du manga ! Depuis l'arrivée du Demeter dans le port de Whitby, d'étranges événements se produisent dans les environs... À la faveur de la nuit, un énorme chien noir apparaît, avant de fondre sur Lucy pour la dévorer ! Déterminée à sauver celle qu'elle aime, Wilhelmina Murray n'hésite pas une seconde et met en fuite l'animal, qui se transforme en une gigantesque chauve-souris... Peu de temps après, la jeune fille rencontre le professeur Van Helsing, un homme venu traquer la terrible créature répondant au nom de Dracula. Cette dernière serait tapie au sein du prestigieux établissement scolaire... Critique : Après la lecture de ces deux tomes, j’ai ressenti comme un grand moment de solitude, comment allais-je bien pouvoir formuler cette critique ? Car voilà, après un 1er tome intrigant et excessivement beau, j’ai basculé dans un foutoir pas possible, un grand sac mélangeant des références à la culture pop américaine, du folklore traditionnel autour des vampires, du féminisme victorien, des quotas multiethniques comme on voit dans les productions américaines, de la sexualité variée… jusqu’à aller utiliser l’image du Père Noël sur son traineau !! En plus de cela, si tout le monde reconnaît que l’œuvre est graphiquement très intéressante et recherchée, il faudrait presque une analyse de chaque planche pour en comprendre toute la subtilité. C’est métaphorique au possible ! Bon d’accord on est dans une revisite, mais Shin’ichi Sakamoto va loin quand même, trop loin même. On peine par moment à comprendre ce qu’il a essayé de faire, on se lamente qu’il se laisse aller à vouloir faire des personnages variés pour couvrir le plus de cas possible (la double personnalité homme/femme, l’homme de couleur homosexuel, la féministe intelligente qui fait du catch, le japonais 1er de la classe menant des expériences douteuses) Aucun des personnages n’est normal ! Si on ajoute à cela un Dracula aux allures de Michael Jackson (et/ou Prince par moment) et des scènes où l’érotisme est à peine dissimulé, on ne sait plus trop où l’on va et cela frôle parfois le ridicule. Comment ne pas rire devant notre Père-Noël ou ne pas s’exclamer « ben voyons » quand Dracula se transforme en dragon ? On en perd la dimension inquiétante du début et c’est dommage. Peut-être que la suite sera plus carrée, enfin c’est que laisse supposer les derniers chapitres où les élèves sont bien décidés à affronter la menace. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/drcl-midnight-children-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement