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  1. Nickad

    Fends le vent tome 2

    Après sa course improvisée en centre-ville, Shôta Kikuzato décide de rejoindre le club d’athlétisme de son lycée. Il découvre un petit club, pas très assidu, mais avec quelques vrais passionnés qui lui prodiguent de bons conseils pour s’améliorer. A présent, il va falloir qu’il s’habitue aux prothèses sportives le temps que Chidori lui en fabrique une sur mesure. Le sport et le handicap sont deux sujets que je ne maitrise pas et je ne suis pas adepte non plus des compétitions d’athlétisme. Pourtant, Fends le vent me passionne, j’ai lu le manga d’une traite sans en perdre une miette ! Non seulement, on apprend beaucoup sur le handisport mais aussi sur la course toute simple et comment notre corps régit aux contraintes qu’on lui impose. En plus de cela, le personnage de Chidori apporte beaucoup de légèreté, voir une pointe d’humour. Non seulement ce manga nage en pleine actualité, à 4 mois des jeux paralympiques mais en plus il a une narration qui ne le catalogue pas dans un genre ou un autre et qui le rend à la fois intéressant et distrayant.
  2. Titre de l'album : Fends le vent tome 2 Scenariste de l'album : MIDORI Wataru Dessinateur de l'album : MIDORI Wataru Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Après sa rencontre avec Chidori, un orthoprothésiste spécialisé dans l'accompagnement des sportifs, Shôta est bien décidé à devenir athlète paralympique ! Mais alors qu'il tente de s'intégrer dans le club d'athlétisme de son lycée, il se heurte à plusieurs obstacles : la réaction des autres membres qui doutent de ses capacités, les inquiétudes de sa mère, mais surtout, ses retrouvailles avec Take, son ancien ami du club de foot... Critique : Après sa course improvisée en centre-ville, Shôta Kikuzato décide de rejoindre le club d’athlétisme de son lycée. Il découvre un petit club, pas très assidu, mais avec quelques vrais passionnés qui lui prodiguent de bons conseils pour s’améliorer. A présent, il va falloir qu’il s’habitue aux prothèses sportives le temps que Chidori lui en fabrique une sur mesure. Le sport et le handicap sont deux sujets que je ne maitrise pas et je ne suis pas adepte non plus des compétitions d’athlétisme. Pourtant, Fends le vent me passionne, j’ai lu le manga d’une traite sans en perdre une miette ! Non seulement, on apprend beaucoup sur le handisport mais aussi sur la course toute simple et comment notre corps régit aux contraintes qu’on lui impose. En plus de cela, le personnage de Chidori apporte beaucoup de légèreté, voir une pointe d’humour. Non seulement ce manga nage en pleine actualité, à 4 mois des jeux paralympiques mais en plus il a une narration qui ne le catalogue pas dans un genre ou un autre et qui le rend à la fois intéressant et distrayant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/fends-le-vent-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Titre de l'album : One half of a married couple tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : NATSUKAWA Yukino Dessinateur de l'album : KUROSAWA Akiyo Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Aya, 29 ans, est mariée depuis deux ans. Elle jouit d'un quotidien paisible aux côtés de son époux Kazuma, un homme honnête et séduisant que tout le monde autour d'elle lui envie. Mais un jour, Aya découvre sur le téléphone de son mari un message lourd de sens. De plus, ce dernier se met à rentrer plus tard que d'habitude... "Dois-je enquêter sur l'infidélité de mon mari ?" "Est-ce que mon mari me trompe... ?!" Ainsi commence une vie conjugale pleine de doutes... Le thriller sentimental n°1 des ventes numériques au japon ! Le manga au succès retentissant ! Critique : Dans ce manga, on découvre une jeune mariée confrontée à l’absence de plus en plus fréquente de son mari, y compris pour les moments importants et symboliques de leur vie de couple. Peu à peu Aya soupçonne que son époux a peut-être quelqu’un d’autre dans sa vie et elle va chercher à obtenir une preuve irréfutable de son adultère avant de prendre une décision. Contrairement à Corps Solitaires qui se concentre sur deux couples et qui joue plus sur la partie psychologique et mélancolie, ici on a une palette plus large de personnages avec différents points de vue notamment sur le comportement que doit adopter Aya. L’ambiance est également différente, même si le personnage principal subit la situation et le contrecoup d’un possible adultère, elle ne se renferme pas sur elle-même et cherche à aller de l’avant même si ce qu’elle apprendra risque de ne pas lui plaire. Ne vous méprenez pas, le manga parle aussi de psychologie et l’on suit tout le cheminement des pensées d’Aya et aussi de ses amies ; l’autrice va juste un peu plus vite dans la prise de décision des personnages. On est dans un style différent mais tout aussi intéressant. J’attends la suite avec impatience pour deux raisons : voir le moment du clash et voir comment son mari va se justifier ! Série finie en 8 tomes Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/one-half-of-a-married-couple-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Voici un pan d’histoire que je ne connais pas, le duché de Bretagne et la maison de Dreux. Bien sûr ce sont des noms que j’ai déjà entendus mais pas au point de savoir que ces deux domaines étaient liés ni de connaitre leur histoire. Nous voici donc au XIIIe siècle, la Bretagne est loin d’être unie et beaucoup de seigneurs ne voient pas forcément d’un bon œil la présence du Duc issu de la maison de Dreux. C’est dans ce contexte, qu’un jeune héraut doit aller chercher une épouse pour le fils du duc qui n’est encore qu’un enfant. Il doit trouver la fille d’un ami de son maître. Il découvre que l’ami a été assassiné et que sa fille Andrée se travestit en homme pour venger son père. Tous les deux vont partir en voyage pour découvrir la vérité tout en essayant de survivre. Bien que ce soit sur fond historique, les personnages principaux sont bien des personnages de fiction. Il faut souligner le travail de l’auteur, fan de l’époque médiévale européenne, qui nous offre un manga documenté autant sur les faits historiques, les dirigeants de l’époque et surtout sur le mode de vie que ce soient les costumes, les armes ou les décors. On a un graphisme soigné et détaillé qui permet une bonne immersion dans le récit. Avec un rythme dynamique et une trame « plausible » ancrée dans des faits historiques réels, le manga nous offre une aventure bien réalisée et prometteuse. A suivre.
  5. Titre de l'album : Chroniques de la mariée de Bretagne tome 1 Scenariste de l'album : TAKEHARA Junji Dessinateur de l'album : TAKEHARA Junji Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Un récit médiéval où les apparences sont parfois trompeuses... Une quête de vengeance au cœur de la Bretagne du XIIIe siècle. XIIIe siècle, Bretagne... Thomas, un héraut, arpente un champ de bataille au péril de sa vie. À la fin de la bataille, il se voit confier une nouvelle mission : trouver une épouse pour l'héritier du duc de Bretagne ! Afin de s'acquitter de sa tâche, Thomas se rend à un tournoi en quête d' André le Bleau, un ami de son seigneur... Mais il va tomber nez à nez avec Andrée, une ravissante jeune fille habillée en chevalier, qui semble vouloir attenter à la vie du duc ! Critique : Voici un pan d’histoire que je ne connais pas, le duché de Bretagne et la maison de Dreux. Bien sûr ce sont des noms que j’ai déjà entendus mais pas au point de savoir que ces deux domaines étaient liés ni de connaitre leur histoire. Nous voici donc au XIIIe siècle, la Bretagne est loin d’être unie et beaucoup de seigneurs ne voient pas forcément d’un bon œil la présence du Duc issu de la maison de Dreux. C’est dans ce contexte, qu’un jeune héraut doit aller chercher une épouse pour le fils du duc qui n’est encore qu’un enfant. Il doit trouver la fille d’un ami de son maître. Il découvre que l’ami a été assassiné et que sa fille Andrée se travestit en homme pour venger son père. Tous les deux vont partir en voyage pour découvrir la vérité tout en essayant de survivre. Bien que ce soit sur fond historique, les personnages principaux sont bien des personnages de fiction. Il faut souligner le travail de l’auteur, fan de l’époque médiévale européenne, qui nous offre un manga documenté autant sur les faits historiques, les dirigeants de l’époque et surtout sur le mode de vie que ce soient les costumes, les armes ou les décors. On a un graphisme soigné et détaillé qui permet une bonne immersion dans le récit. Avec un rythme dynamique et une trame « plausible » ancrée dans des faits historiques réels, le manga nous offre une aventure bien réalisée et prometteuse. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chroniques-de-la-mariee-de-bretagne-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Nickad

    L'auberge de la vie tome 1

    Dans un petit coin reculé du Japon, en bord de mer, le cap de Shide attire de nombreux visiteurs mais pas forcément pour des raisons touristiques. Le lieu est en effet réputé pour être un des endroits parfaits pour se suicider ! Juste à côté se tient une auberge où l’on mange bien et où on peut passer une dernière nuit avant de faire le grand saut. Cette auberge est tenue par des employés qui offrent une oreille attentive aux problèmes de ses clients et qui, à leur façon, proposent une alternative à la solution définitive. Chaque personnage de l’auberge a sa propre histoire et ses propres raisons de se trouver en ce lieu. En même temps qu’ils vont aider les clients à aller de l’avant, eux-mêmes vont apprendre de la vie et faire face à leurs problèmes. Il y a donc un récit principal où l’on voit l’évolution des employés de l’auberge et en même temps, plein de récits annexes et divers. Je ne sais pas s’il faut y voir un ouvrage psychologique pour faire comprendre au lecteur qu’il n’y a pas que du blanc ou de noir dans la vie et faire de ce manga une sorte d’outil anti-suicide. Ce qui est sûr c’est que le récit est résolument positif (aucune perte à déplorer dans ce 1er tome). La narration est posée, intimiste parfois, juste sans être extraordinaire. Une lecture plaisante où certains pourront trouver des réponses. Série finie en 2 tomes.
  7. Titre de l'album : L'auberge de la vie tome 1 Scenariste de l'album : ITOI Nozo Dessinateur de l'album : ITOI Nozo Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : À travers le quotidien d'une adolescente qui réapprend à vivre, Nozo Itoi regarde tendrement notre humanité. Le cap de Shide est aussi connu sous le nom du " cap de la mort ". C'est là que se rendent celles et ceux qui, n'ayant plus la volonté d'exister, décident de se jeter de la falaise pour mettre fin à leur existence. L'auberge Gilda se trouve à quelques minutes à pieds de là... Sumomo fait partie des personnes qui souhaitent se suicider. Mais avant de commettre l'irréparable, il lui reste une dernière chose à accomplir sur sa to do list : revoir une dernière fois la mystérieuse Yoko, qui est justement devenue la gérante de l'auberge Gilda. Mais les retrouvailles ne se dérouleront pas comme prévues... Critique : Dans un petit coin reculé du Japon, en bord de mer, le cap de Shide attire de nombreux visiteurs mais pas forcément pour des raisons touristiques. Le lieu est en effet réputé pour être un des endroits parfaits pour se suicider ! Juste à côté se tient une auberge où l’on mange bien et où on peut passer une dernière nuit avant de faire le grand saut. Cette auberge est tenue par des employés qui offrent une oreille attentive aux problèmes de ses clients et qui, à leur façon, proposent une alternative à la solution définitive. Chaque personnage de l’auberge a sa propre histoire et ses propres raisons de se trouver en ce lieu. En même temps qu’ils vont aider les clients à aller de l’avant, eux-mêmes vont apprendre de la vie et faire face à leurs problèmes. Il y a donc un récit principal où l’on voit l’évolution des employés de l’auberge et en même temps, plein de récits annexes et divers. Je ne sais pas s’il faut y voir un ouvrage psychologique pour faire comprendre au lecteur qu’il n’y a pas que du blanc ou de noir dans la vie et faire de ce manga une sorte d’outil anti-suicide. Ce qui est sûr c’est que le récit est résolument positif (aucune perte à déplorer dans ce 1er tome). La narration est posée, intimiste parfois, juste sans être extraordinaire. Une lecture plaisante où certains pourront trouver des réponses. Série finie en 2 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-auberge-de-la-vie-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Nickad

    Kotaro en solo tome 1

    Si au premier abord, je n’étais pas très attirée par la couverture du manga, finalement, j’ai plutôt été agréablement surprise par cette lecture à un détail près : le graphisme ! Au bout du 1er tome, je ne me suis toujours pas habituée à la disproportion des personnages et à ces têtes énormes. Les pupilles de Kotaro passent encore mais les têtes !! Kotaro est un garçon de 4 ans qui aménage seul dans un appartement, il dit qu’il n’a plus de parents et va saluer poliment ces nouveaux voisins : un mangaka qui se laisse aller, une hôtesse de bar et un yakuza. Kotaro est particulièrement en avance sur son âge, il parle bien, a un vocabulaire avancé, fait ses courses, cuisine… A tel point que je me suis demandée si ce n’était pas une histoire fantastique où un adulte se serait retrouvé dans un corps d’enfant ! Mais Kotaro a aussi des côtés enfantins, il aime un dessin animé qui n’a pas trop de succès et il aime faire comme son héros. Tout le long du livre, on se pose des questions et on ne sait pas sur quel pied danser. Est-ce un livre humoristique décalé ? Est-ce un drame ? Kotaro est-il surdoué ? Pourquoi est-il tout seul ?... Peu à peu la présence de Kotaro va réunir ses trois voisins qui n’ont rien en commun car aucun des trois n’est capable de le laisser tout seul et ils finissent par s’attacher et à être présent dans sa vie. Kotaro en solo est un manga surprenant qui nous prend au dépourvu et qui nous laisse dans une certaine attente ; on aimerait bien comprendre comment Kotaro en est arrivé là et qui il est vraiment. A suivre. NB : le manga a été adapté en anime, une saison est disponible pour le moment sur Netflix.
  9. Titre de l'album : Kotaro en solo tome 1 Scenariste de l'album : TSUMURA Mami Dessinateur de l'album : TSUMURA Mami Coloriste : Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : À 4 ans, Kotaro vit seul en ville, dans un modeste appartement. Où sont ses parents ? Comment s'en sort-il au quotidien ? D'où vient l'argent qui lui permet de vivre ? En tout cas, il peut compter sur ses voisins pour ne pas s'ennuyer ! Il y a Shin Karino, un mangaka un peu fainéant qui peine à rencontrer le succès. Pas très loin, une femme travaille la nuit dans un club privé. Quant à l'homme qui habite à l'étage du dessous et qui est toujours en costume, il est le parfait cliché d'un yakuza. En dépit de sa situation saugrenue, et même s'il parle comme un seigneur féodal, Kotaro semble parfois moins bizarre que ses voisins ! Critique : Si au premier abord, je n’étais pas très attirée par la couverture du manga, finalement, j’ai plutôt été agréablement surprise par cette lecture à un détail près : le graphisme ! Au bout du 1er tome, je ne me suis toujours pas habituée à la disproportion des personnages et à ces têtes énormes. Les pupilles de Kotaro passent encore mais les têtes !! Kotaro est un garçon de 4 ans qui aménage seul dans un appartement, il dit qu’il n’a plus de parents et va saluer poliment ces nouveaux voisins : un mangaka qui se laisse aller, une hôtesse de bar et un yakuza. Kotaro est particulièrement en avance sur son âge, il parle bien, a un vocabulaire avancé, fait ses courses, cuisine… A tel point que je me suis demandée si ce n’était pas une histoire fantastique où un adulte se serait retrouvé dans un corps d’enfant ! Mais Kotaro a aussi des côtés enfantins, il aime un dessin animé qui n’a pas trop de succès et il aime faire comme son héros. Tout le long du livre, on se pose des questions et on ne sait pas sur quel pied danser. Est-ce un livre humoristique décalé ? Est-ce un drame ? Kotaro est-il surdoué ? Pourquoi est-il tout seul ?... Peu à peu la présence de Kotaro va réunir ses trois voisins qui n’ont rien en commun car aucun des trois n’est capable de le laisser tout seul et ils finissent par s’attacher et à être présent dans sa vie. Kotaro en solo est un manga surprenant qui nous prend au dépourvu et qui nous laisse dans une certaine attente ; on aimerait bien comprendre comment Kotaro en est arrivé là et qui il est vraiment. A suivre. NB : le manga a été adapté en anime, une saison est disponible pour le moment sur Netflix. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kotaro-en-solo-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    Pumpkin night tome 4

    A la fin du tome 3, il y avait un événement qui m’avait fait espérer un peu plus de profondeur au manga : le fait que la jeune policière prenne le masque de pumpkin night pour sauver Kazuya. Hélas, le développement de l’histoire n’est pas à la hauteur de mes espérances ! En réalité, il n’y a pas vraiment de changement dans le concept du livre, après la mort de Naoko, Kazuya souffre d’un dédoublement de la personnalité et devient à son tour pumpkin night pour poursuivre la vengeance, il est aidé par la policière. Ensuite, ce n’est qu’une accumulation de nouvelles violences, tout aussi gores. Quant à la fin… [soupir]… On nous annonce la fin de l’acte 1 avec un retour de pumpkin night pour une nouvelle vengeance et la traque de nouveaux harceleurs. Certes le personnage pourrait servir à faire peur aux petits enfants afin qu’ils se tiennent à carreaux et surtout les terroriser assez pour qu’ils ne tombent jamais dans le harcèlement mais quel parent sensé feraient lire ce livre à son enfant ? Je crois que pour apprécier Pumpkin night à sa juste valeur, il faut juste le prendre comme un film d’horreur où les méchants finissent par être punis et où le personnage principal revient encore et encore pour hanter nos nuits. De ce côté-là, le manga est réussi. Pour le reste, l’intérêt est plus que limité. Un livre à ne pas lire avant d’aller se coucher ni avant de manger, les images sont écœurantes et surtout à ne pas mettre entre toutes les mains.
  11. Titre de l'album : Pumpkin night tome 4 Scenariste de l'album : HOKAZONO Masaya Dessinateur de l'album : TANIGUCHI Seima Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Après de longues années de silence, Kazuya ose enfin avouer ses sentiments à Naoko, alias Pumpkin Night. Malheureusement pour lui, Naoko ne survit pas au piège tendu par Tatsuo Kuroki, père de Naruto et maire de la ville, qui a voulu se débarrasser des deux adolescents. Fou de désespoir, Kazuya décide de prendre la relève de Naoko en portant à son tour le masque en forme de citrouille, créant alors son propre personnage. À présent, sa haine est entièrement dirigée contre les responsables de la mort de sa bien-aimée. Pumpkin Night, l'incarnation des ténèbres les plus profondes, reviendra sans cesse... jusqu'à ce que sa vengeance soit totale ! Critique : A la fin du tome 3, il y avait un événement qui m’avait fait espérer un peu plus de profondeur au manga : le fait que la jeune policière prenne le masque de pumpkin night pour sauver Kazuya. Hélas, le développement de l’histoire n’est pas à la hauteur de mes espérances ! En réalité, il n’y a pas vraiment de changement dans le concept du livre, après la mort de Naoko, Kazuya souffre d’un dédoublement de la personnalité et devient à son tour pumpkin night pour poursuivre la vengeance, il est aidé par la policière. Ensuite, ce n’est qu’une accumulation de nouvelles violences, tout aussi gores. Quant à la fin… [soupir]… On nous annonce la fin de l’acte 1 avec un retour de pumpkin night pour une nouvelle vengeance et la traque de nouveaux harceleurs. Certes le personnage pourrait servir à faire peur aux petits enfants afin qu’ils se tiennent à carreaux et surtout les terroriser assez pour qu’ils ne tombent jamais dans le harcèlement mais quel parent sensé feraient lire ce livre à son enfant ? Je crois que pour apprécier Pumpkin night à sa juste valeur, il faut juste le prendre comme un film d’horreur où les méchants finissent par être punis et où le personnage principal revient encore et encore pour hanter nos nuits. De ce côté-là, le manga est réussi. Pour le reste, l’intérêt est plus que limité. Un livre à ne pas lire avant d’aller se coucher ni avant de manger, les images sont écœurantes et surtout à ne pas mettre entre toutes les mains. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pumpkin-night-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Dans ce manga, on découvre une jeune mariée confrontée à l’absence de plus en plus fréquente de son mari, y compris pour les moments importants et symboliques de leur vie de couple. Peu à peu Aya soupçonne que son époux a peut-être quelqu’un d’autre dans sa vie et elle va chercher à obtenir une preuve irréfutable de son adultère avant de prendre une décision. Contrairement à Corps Solitaires qui se concentre sur deux couples et qui joue plus sur la partie psychologique et mélancolie, ici on a une palette plus large de personnages avec différents points de vue notamment sur le comportement que doit adopter Aya. L’ambiance est également différente, même si le personnage principal subit la situation et le contrecoup d’un possible adultère, elle ne se renferme pas sur elle-même et cherche à aller de l’avant même si ce qu’elle apprendra risque de ne pas lui plaire. Ne vous méprenez pas, le manga parle aussi de psychologie et l’on suit tout le cheminement des pensées d’Aya et aussi de ses amies ; l’autrice va juste un peu plus vite dans la prise de décision des personnages. On est dans un style différent mais tout aussi intéressant. J’attends la suite avec impatience pour deux raisons : voir le moment du clash et voir comment son mari va se justifier ! Série finie en 8 tomes
  13. Nickad

    Sou Bou Tei tome 1

    Titre de l'album : Sou Bou Tei tome 1 Scenariste de l'album : FUJITA Kazuhiro Dessinateur de l'album : FUJITA Kazuhiro Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Le Sou Bou Tei doit être détruit... Ce manoir légendaire se dresse avec orgueil dans le bourg de Numanakarai, à Tokyo... À l'intérieur, des ténèbres insondables attendent les visiteurs les plus imprudents... Et si par malheur vous vous y aventurez, vous risquez de disparaître à tout jamais. Quelle solution face à cette bâtisse maudite ? La détruire, à tout prix ! Critique : Sou Bou Tei est un manga de Kazuhiro Fujita (Karakuri Circus et Crescent moon) qui a été écrit à partir de 2016 et qui compte 25 tomes. Le Sou Bou Tei est le nom d’un ancien manoir, grand et mystérieux qui se situe au milieu de la ville. L’on dit de lui qu’il est hanté, beaucoup d’événements étranges s’y sont déroulés et surtout des événements dramatiques ! Tous ceux qui ont eu affaire au Sou Bou Tei ont la même ambition : le détruire ! C’est ainsi que des politiciens influents, un petit garçon qui a perdu son père, un autre garçon disparu 45 ans auparavant capable de transformer son bras en foreuse, une prêtresse shintoïste et une équipe de police spéciale « phénomènes paranormaux » se regroupent autour du manoir afin de pouvoir le neutraliser. Mais ce dernier sait se défendre, il résiste aux bombes et aux bulldozers et sait même se réparer tout seul ! Kazuhiro Fujita nous propose une nouvelle fois un univers différent qui a sa propre personnalité. Ce premier tome permet de dresser le décor et d’introduire un certain nombre de personnages dont Tsutomu TAKOHA, un aspirant mangaka malchanceux qui est le seul a avoir dessiné des parties du Sou Bou Tei. En plus de la partie fantastique et du mysticisme, l’auteur prend le temps de développer ses personnages et de créer des liens entre eux qui oscillent entre camaraderie et chamaillerie apportant un peu un peu de peps au récit. Une histoire prometteuse qui s’est déjà bonifiée entre le début et la fin du tome. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sou-bou-tei-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nickad

    Sou Bou Tei tome 1

    Sou Bou Tei est un manga de Kazuhiro Fujita (Karakuri Circus et Crescent moon) qui a été écrit à partir de 2016 et qui compte 25 tomes. Le Sou Bou Tei est le nom d’un ancien manoir, grand et mystérieux qui se situe au milieu de la ville. L’on dit de lui qu’il est hanté, beaucoup d’événements étranges s’y sont déroulés et surtout des événements dramatiques ! Tous ceux qui ont eu affaire au Sou Bou Tei ont la même ambition : le détruire ! C’est ainsi que des politiciens influents, un petit garçon qui a perdu son père, un autre garçon disparu 45 ans auparavant capable de transformer son bras en foreuse, une prêtresse shintoïste et une équipe de police spéciale « phénomènes paranormaux » se regroupent autour du manoir afin de pouvoir le neutraliser. Mais ce dernier sait se défendre, il résiste aux bombes et aux bulldozers et sait même se réparer tout seul ! Kazuhiro Fujita nous propose une nouvelle fois un univers différent qui a sa propre personnalité. Ce premier tome permet de dresser le décor et d’introduire un certain nombre de personnages dont Tsutomu TAKOHA, un aspirant mangaka malchanceux qui est le seul a avoir dessiné des parties du Sou Bou Tei. En plus de la partie fantastique et du mysticisme, l’auteur prend le temps de développer ses personnages et de créer des liens entre eux qui oscillent entre camaraderie et chamaillerie apportant un peu un peu de peps au récit. Une histoire prometteuse qui s’est déjà bonifiée entre le début et la fin du tome. A suivre.
  15. Titre de l'album : Le bateau-usine tome 3 Scenariste de l'album : Shigemitsu Harada Dessinateur de l'album : Shinjirô Coloriste : Editeur de l'album : Vega-Dupuis Note : Résumé de l'album : Pour attraper les crabes géants, rien de tel, selon cette dernière, qu'un appât humain. Luca, à la tête de la révolte sociale sur le bateau, est ainsi désigné appât volontaire. Mais une catastrophe survient, lorsqu'un des préparateurs goûte une chair de crabe empoisonnée. C'est toute la production du bateau qui risque d'être contaminée. Impitoyable, la capitaine décide de passer ce fait sous silence et de vendre la production empoisonnée. La révolte gronde à nouveau dans les cales du bateau-usine. Critique : Fiou j'ai hésité à lire ce tome trois tellement le tome deux m'a donné des haut de cœurs 😞 Et bien ce tome 3 fait redescendre l'horreur d'un cran avec un tome plus posé et plus calme. Un tome qui fait évoluer l'histoire en faisant intervenir aussi bien les "rouge" que les ennemis du royaume voisin. Notre héros voit sa haine de la capitaine de bateau se percuter avec la nécessité de s'enfuir pour survivre et enfin assouvir sa vengeance. Un tome plutôt très bon qui fait espérer une fin d'histoire (dans 2 tomes) plus décente. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-bateau-usine-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. poseidon2

    Le bateau-usine tome 3

    Fiou j'ai hésité à lire ce tome trois tellement le tome deux m'a donné des haut de cœurs 😞 Et bien ce tome 3 fait redescendre l'horreur d'un cran avec un tome plus posé et plus calme. Un tome qui fait évoluer l'histoire en faisant intervenir aussi bien les "rouge" que les ennemis du royaume voisin. Notre héros voit sa haine de la capitaine de bateau se percuter avec la nécessité de s'enfuir pour survivre et enfin assouvir sa vengeance. Un tome plutôt très bon qui fait espérer une fin d'histoire (dans 2 tomes) plus décente.
  17. Nickad

    ACCA 13 tome 1

    ACCA 13 c’est d’abord le graphisme de Natsume ONO (Gente, A vos côtés), facilement reconnaissable et un peu éloigné des standards habituels, un graphisme auquel il faut s’habituer même si on a déjà lu les œuvres de l’autrice. Et puis c’est un scénario qui commence lentement, qui ne semble pas forcément faire de vague, mais qui sème des petits éléments par-ci par-là jusqu’à devenir captivant. Car tout est là, le lecteur se fait happer par la lecture et souhaite aller plus loin. ACCA 13 se déroule dans un pays imaginaire composé de 13 cantons, une organisation mise en place il y a 99 ans après la « révolte » de 12 petits pays, le tout fut unifié et un service d’ordre a été mis en place pour préserver la paix : le ACCA. (12 cantons qui se révoltent contre un système central ? MmH, ça me rappelle quelque chose 😊… ça n’a rien à voir, enfin je crois) Et dans ce système, il y a la brigade de contre-espionnage dont fait partie notre héro Jean Ortas. Il est chargé de faire des inspections surprises dans les antennes de chaque canton pour voir si tout se passe bien et surtout repérer tout dysfonctionnement. L’ambiance est donnée dès le début : il y a de la suspicion partout ! Ortas ne fait confiance à personne et il ne semble pas non plus en inspirer : certains de ses collègues le trouvent louche à vivre au dernier étage d’une résidence de luxe et à fumer sans arrêt des cigarettes, produit devenu très luxueux au vu des taxes existantes. Et même parmi ses supérieurs le doute se fait sentir car Ortas est surveillé ! Nous avons donc un personnage principal qui semble avoir quelques secrets dans un contexte politique où un coup d’état semble se préparer. Le premier tome est prometteur et il y a une bonne intrigue en perspective. ACCA est une série datant de 2016 finie en 6 tomes, elle a également été adaptée en anime en 2017 (disponible aux éditions @anime).
  18. Nickad

    ACCA 13 tome 1

    Titre de l'album : ACCA 13 tome 1 Scenariste de l'album : ONO NATSUME Dessinateur de l'album : ONO NATSUME Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Le royaume de Dowa est divisé en 13 circonscriptions autonomes dirigées par un monarque. Depuis près de 100, l'organisation ACCA surveille le royaume et protège la paix en prévenant les éventuels coups d'état. Jean Otus, général en second au sein d'ACCA, va se retrouver peu à peu emmené au cœur d'un monde d'espionnage et d'intrigues. Critique : ACCA 13 c’est d’abord le graphisme de Natsume ONO (Gente, A vos côtés), facilement reconnaissable et un peu éloigné des standards habituels, un graphisme auquel il faut s’habituer même si on a déjà lu les œuvres de l’autrice. Et puis c’est un scénario qui commence lentement, qui ne semble pas forcément faire de vague, mais qui sème des petits éléments par-ci par-là jusqu’à devenir captivant. Car tout est là, le lecteur se fait happer par la lecture et souhaite aller plus loin. ACCA 13 se déroule dans un pays imaginaire composé de 13 cantons, une organisation mise en place il y a 99 ans après la « révolte » de 12 petits pays, le tout fut unifié et un service d’ordre a été mis en place pour préserver la paix : le ACCA. (12 cantons qui se révoltent contre un système central ? MmH, ça me rappelle quelque chose 😊… ça n’a rien à voir, enfin je crois) Et dans ce système, il y a la brigade de contre-espionnage dont fait partie notre héro Jean Ortas. Il est chargé de faire des inspections surprises dans les antennes de chaque canton pour voir si tout se passe bien et surtout repérer tout dysfonctionnement. L’ambiance est donnée dès le début : il y a de la suspicion partout ! Ortas ne fait confiance à personne et il ne semble pas non plus en inspirer : certains de ses collègues le trouvent louche à vivre au dernier étage d’une résidence de luxe et à fumer sans arrêt des cigarettes, produit devenu très luxueux au vu des taxes existantes. Et même parmi ses supérieurs le doute se fait sentir car Ortas est surveillé ! Nous avons donc un personnage principal qui semble avoir quelques secrets dans un contexte politique où un coup d’état semble se préparer. Le premier tome est prometteur et il y a une bonne intrigue en perspective. ACCA est une série datant de 2016 finie en 6 tomes, elle a également été adaptée en anime en 2017 (disponible aux éditions @anime). Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/acca-13-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    Double play tomes 1 et 2

    Une famille recomposée, un garçon et une fille, même âge, même lycée, ils ne se connaissent pas vraiment et non jamais vraiment discuté. Ran, elle est la star du club de softball et d’une manière générale, l’une des filles les plus en vue du lycée. Tamao, il est le laissé pour compte du club de baseball, celui qui était toujours sur le banc de touche malgré tous les efforts qu’il a pu fournir. Et pourtant chacun porte un intérêt à l’autre, alors maintenant qu’ils vivent ensemble et qu’ils ont surpris quelques secrets de l’autre, leur relation évolue. Sous des aspects maitre-esclave, ils se laissent aller à une certaine débauche, à l’exploration de leurs sens. Bien qu’ils ne sortent pas vraiment ensemble, il y a un lien qui existe entre eux. Comment tout cela va-t-il évoluer maintenant qu’une troisième personne entre en jeu ? C’est assez étrange d’avoir des personnages qui d’un côté sont très innocents et encore dans les prémices de l’amour et du désir et d’un autre, qui n’hésitent pas à dépasser les limites dans des petits jeux coquins. Il y a en plus la narration de Tamao qui nous indique qu’il revient sur des événements passés tout en insistant sur le fait qu’ils étaient encore ignorants de la vie. Du coup, on ne sait pas trop sur quel pied danser, impossible pour le moment de savoir si l’auteur a un message à faire passer ou s’il souhaite juste déranger légèrement le lecteur dans sa routine de lecture et de sens moral. A suivre. Pour information, l'auteur Koji Murata est déjà connu en France pour sa série Hana l'inaccessible.
  20. Titre de l'album : Double play tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : MURATA Koji Dessinateur de l'album : MURATA Koji Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Quand l'amour de jeunesse devient un double jeu... Tamao Hiroi et Ran Homura ne pourraient pas être plus opposés : lui a quitté son club de base-ball, elle est l'as du club de softball et la plus belle fille du lycée. Critique : Une famille recomposée, un garçon et une fille, même âge, même lycée, ils ne se connaissent pas vraiment et non jamais vraiment discuté. Ran, elle est la star du club de softball et d’une manière générale, l’une des filles les plus en vue du lycée. Tamao, il est le laissé pour compte du club de baseball, celui qui était toujours sur le banc de touche malgré tous les efforts qu’il a pu fournir. Et pourtant chacun porte un intérêt à l’autre, alors maintenant qu’ils vivent ensemble et qu’ils ont surpris quelques secrets de l’autre, leur relation évolue. Sous des aspects maitre-esclave, ils se laissent aller à une certaine débauche, à l’exploration de leurs sens. Bien qu’ils ne sortent pas vraiment ensemble, il y a un lien qui existe entre eux. Comment tout cela va-t-il évoluer maintenant qu’une troisième personne entre en jeu ? C’est assez étrange d’avoir des personnages qui d’un côté sont très innocents et encore dans les prémices de l’amour et du désir et d’un autre, qui n’hésitent pas à dépasser les limites dans des petits jeux coquins. Il y a en plus la narration de Tamao qui nous indique qu’il revient sur des événements passés tout en insistant sur le fait qu’ils étaient encore ignorants de la vie. Du coup, on ne sait pas trop sur quel pied danser, impossible pour le moment de savoir si l’auteur a un message à faire passer ou s’il souhaite juste déranger légèrement le lecteur dans sa routine de lecture et de sens moral. A suivre. Pour information, l'auteur Koji Murata est déjà connu en France pour sa série Hana l'inaccessible. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/double-play-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. poseidon2

    Kujô l'implacable tome 5

    Suite et fin de l'histoire de notre jeune fille "limitée mentalement" acusée du meutre de son petit amie qui était aussi son proxénète.... Voila voila. On est toujours dans le meme genre d'histoire avec Kujo l'implaccable : une histoire extremement dure. Une histoire qui nous fait nous demander si la société japonaise fonctionne vraiment comme cela. Des histoire glauques au possibles que l'on lit pour comprendre pourquoi Kujo traine dans ce milieu que les autres avocats prefère ignorer. Graphiquement sublime, ce manga reste d'une dureté jamais lu auparavent pour moi...
  22. Titre de l'album : Kujô l'implacable tome 5 Scenariste de l'album : Shohei Manabe Dessinateur de l'album : Shohei Manabe Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Shûto ne veut plus revoir Shizuku. Elle qui pensait pouvoir compter sur Mû-chan pour la réconforter, une rencontre fortuite pourrait ramener Shizuku à sa triste réalité. Alors que la jeune femme pensait avoir touché le fond, une main tendue va l'aider à reprendre espoir. L'affaire pour laquelle a été choisie Kujô approche de son dénouement. Critique : Suite et fin de l'histoire de notre jeune fille "limitée mentalement" acusée du meutre de son petit amie qui était aussi son proxénète.... Voila voila. On est toujours dans le meme genre d'histoire avec Kujo l'implaccable : une histoire extremement dure. Une histoire qui nous fait nous demander si la société japonaise fonctionne vraiment comme cela. Des histoire glauques au possibles que l'on lit pour comprendre pourquoi Kujo traine dans ce milieu que les autres avocats prefère ignorer. Graphiquement sublime, ce manga reste d'une dureté jamais lu auparavent pour moi... Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kujo-l-implacable-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Mes cents contes mortels tome 2

    C’est parti pour la deuxième vague des contes, à nouveau 10 courtes histoires horrifiques racontées par un petit garçon. Les histoires sont inégales, je dirai qu’il y en a 3 intéressantes les autres étant plutôt anecdotiques, le problème surtout c’est qu’il n’y a pas vraiment de conclusion, on reste souvent sur notre faim. Du coup, même s’il y a parfois de bonnes idées, ce format très court n’est pas toujours convaincant. En ce qui concerne le petit garçon, on voit dans ces quelques pages de début et fin de chapitres, un peu de son quotidien et on commence à comprendre que sa volonté d’aller au bout des cent contes pour provoquer une catastrophe est motivée par un contexte social difficile. Pour ceux qui aime sentir monter la tension des histoires d’horreur, cette série n’est pas faite pour vous. Pour les autres, pourquoi pas pour mettre de l’ambiance et passer le temps ; et encore on n’est pas vraiment terrifié bien que certains passages soient en peu dégoutants…
  24. Titre de l'album : Mes cents contes mortels tome 2 Scenariste de l'album : MATONO Anji Dessinateur de l'album : MATONO Anji Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Convoquant les plus grands maîtres du genre, Anji Matono livre une anthologie d'horreur particulièrement efficace. Sans plus attendre, laissez-vous contaminer par les ambiances uniques qui suintent à travers les pages de ce manga... "Tic tac, tic tac'... C'est le bruit de l'horloge et du temps qui passe. Et plus Yûma lit ses contes mortels, plus il prend le risque de s'exposer à un funeste destin. Mais la tentation est trop grande pour ce garçon aux idées suicidaires... Après tout, mourir, n'est-ce pas ce qu'il recherche dans le fond ? Critique : C’est parti pour la deuxième vague des contes, à nouveau 10 courtes histoires horrifiques racontées par un petit garçon. Les histoires sont inégales, je dirai qu’il y en a 3 intéressantes les autres étant plutôt anecdotiques, le problème surtout c’est qu’il n’y a pas vraiment de conclusion, on reste souvent sur notre faim. Du coup, même s’il y a parfois de bonnes idées, ce format très court n’est pas toujours convaincant. En ce qui concerne le petit garçon, on voit dans ces quelques pages de début et fin de chapitres, un peu de son quotidien et on commence à comprendre que sa volonté d’aller au bout des cent contes pour provoquer une catastrophe est motivée par un contexte social difficile. Pour ceux qui aime sentir monter la tension des histoires d’horreur, cette série n’est pas faite pour vous. Pour les autres, pourquoi pas pour mettre de l’ambiance et passer le temps ; et encore on n’est pas vraiment terrifié bien que certains passages soient en peu dégoutants… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mes-cents-contes-mortels-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Titre de l'album : No longer allowed in another world tome 1 Scenariste de l'album : NODA Hiroshi Dessinateur de l'album : WAKAMATSU Takahiro Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Cette nuit-là, un homme et sa bien-aimée se rendent sur l’aqueduc de la rivière Tamagawa afin de mettre fin à leur vie. Mais un camion surgit de nulle part… C’est à ce moment-là que cet homme, écrivain de métier, qui souhaite mourir va commencer à vivre une aventure fantastique dans un autre monde… Critique : Un nouvel isekai, oui mais pas n’importe lequel ! Ici la personne qui se réincarne ne souhaite pas vivre une nouvelle vie, son objectif c’est de réussir sa mort et surtout de se suicider en compagnie de son âme sœur ! Alors les belles paroles de la prêtresse, les compétences spéciales, Sensei (il n’a pas de nom) s’en moque. Il n’a qu’un seul but, savoir si sa bien-aimée s’est aussi réincarnée, la retrouver et mourir ; et tant pis s’il meurt avant. Pour ceux qui ont un peu de culture, il est assez simple de voir de qui le personnage principal est inspiré, un célèbre écrivain obsédé par le suicide, Osamu Dazai, un auteur qui inspire beaucoup les mangakas puisqu’on le retrouve également dans Bungo Stray Dogs et surtout les adaptations de La déchéance d’un homme. Le manga nous entraine dans un voyage inédit car Sensei n’a pas les réactions habituelles des réincarnés et surtout il accueille la Mort à bras ouverts ce qui déstabilise son entourage. Malgré lui, il va attirer du monde qui va l’accompagner dans son périple car sa présence bouscule l’ordre établi et la routine. On apprécie le parti pris de l’auteur d’introduire un anti-héros, un homme nonchalant qui n’est pas attaché à grand-chose et qui n’attend rien de la vie hormis une belle mort. En dehors de ça, il faudra aller un peu plus loin dans le récit pour vraiment s’en faire une idée, est-ce que finalement on aura une trame principale ou est-ce que ce sera un enchainement de saynètes humoristiques ? La série est toujours en cours avec 10 tomes pour le moment et fait l’objet d’une adaptation en anime. NB : Sensei signifie le professeur, le maitre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/no-longer-allowed-in-another-world-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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