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  1. Titre de l'album : Mushoku tensei tome 19 Scenariste de l'album : Rifujin Na Magonote Dessinateur de l'album : Yuka Fujikawa Coloriste : Yuka Fujikawa Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : On pardonne encore moins facilement une faute lorsqu'elle est commise par un membre de sa famille. "Je me suis donné du mal ! Pourquoi c'est Norn qui est récompensée ?" Louiseld a accompagné les petites soeurs Greyrat jusqu'à la nouvelle demeure de Rudeus et de Sylphy. Les retrouvailles sont enjouées, mais il est déçu d'apprendre qu'Eris et Rudeus se sont séparés.Aisha et Norn commencent leur nouvelle vie chez leur frère, qui cherche à leur assurer le meilleur avenir possible. Il leur propose de passer l'examen d'entrée à l'Académie de Lanoa, mais... Critique : Grrr décidément cet arc tout pourri sur les problèmes d'érections de notre héros a vraiment gâché la série. A un tel point que même ce bon tome peine à nous redonner le sourire. Car ce tome est bon. Il repart sur notre trame principale, nous montrant les progrès D'Erin, nous reparlant de notre méchant surpuissant et faisant intervenir les sœurs de Rudeus. Sœurs qui dynamisent la vie de couple de notre héros, mais mettent surtout l'accent sur la famille de Rudeus dont la recherche est le centre de notre histoire. En gros un bon tome qui, après le précédent, continue de tenter de relancer une intrigue que les 7 tomes précédents ont mise à mal. Le chemin risque d'être long mais au moins, on le prend dans le bon sens. Ceux qui auront résisté à la traversée du désert seront content. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mushoku-tensei-tome-19?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Titre de l'album : Heart program tome 1 Scenariste de l'album : NAKAMURA Hinata Dessinateur de l'album : NAKAMURA Hinata Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Kyû USAMI vit seul avec sa mère. Un jour d'été, il voit débarquer chez lui un robot qui ressemble à s'y méprendre à une jeune fille. Cette créature est venue étudier l'âme humaine, et le jeune Kyû va rapidement se rendre compte qu'on peut facilement tomber amoureux d'un être pourtant dépourvu de coeur... Critique : La collection Moonlight nous propose toujours des histoires pleines d’émotions avec des graphismes délicats. Hinata Nakamura, découverte avec son titre De l’autre côté de l’horizon, revient avec Heart program, une série en 4 volumes. Dans un japon moderne mais pas très éloigné de notre époque, arrive dans les foyers des androïdes, afin qu’ils puissent s’adapter au mieux aux humains, ils doivent passer plusieurs années dans une famille d’accueil pour développer leurs sentiments. C’est ainsi que Ichiko, un robot jeune fille, débarque chez Kyû, un adolescent vivant seul avec sa mère. Ce dernier est très réticent quant à l’arrivée d’un robot chez lui mais peu à peu, il la laisse entrer dans sa vie. L’histoire est un peu classique, des sentiments se développent chez Kyû, mais également chez Ichiko qui ne sait pas encore bien identifier ce qu’elle ressent. Il y a aussi l’amie d’enfance, amoureuse, qui va commencer à être jalouse et tout un tas de préjugés sur les androïdes « ce n’est qu’un robot, elle ne ressent rien… ». Bref le développement semble être couru d’avance. Cependant, la narration est plutôt bien faite et le dessin est très rond et empli de douceur. On sent une légère mélancolie ambiante ainsi que le bourgeonnement des premiers émois. Un premier tome sympathique. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/heart-program-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Heart program tome 1

    La collection Moonlight nous propose toujours des histoires pleines d’émotions avec des graphismes délicats. Hinata Nakamura, découverte avec son titre De l’autre côté de l’horizon, revient avec Heart program, une série en 4 volumes. Dans un japon moderne mais pas très éloigné de notre époque, arrive dans les foyers des androïdes, afin qu’ils puissent s’adapter au mieux aux humains, ils doivent passer plusieurs années dans une famille d’accueil pour développer leurs sentiments. C’est ainsi que Ichiko, un robot jeune fille, débarque chez Kyû, un adolescent vivant seul avec sa mère. Ce dernier est très réticent quant à l’arrivée d’un robot chez lui mais peu à peu, il la laisse entrer dans sa vie. L’histoire est un peu classique, des sentiments se développent chez Kyû, mais également chez Ichiko qui ne sait pas encore bien identifier ce qu’elle ressent. Il y a aussi l’amie d’enfance, amoureuse, qui va commencer à être jalouse et tout un tas de préjugés sur les androïdes « ce n’est qu’un robot, elle ne ressent rien… ». Bref le développement semble être couru d’avance. Cependant, la narration est plutôt bien faite et le dessin est très rond et empli de douceur. On sent une légère mélancolie ambiante ainsi que le bourgeonnement des premiers émois. Un premier tome sympathique. Extrait
  4. Ca y est c'est fini. Snif snif. Fini les aventures de Narumi, Masaru et Shirogane 😞 Mais une vraie belle fin. Une fin qui était encore indécise à la fin du tome 24 qui aurait très bien pu ne pas être aussi belle qu'elle ne l'est. Car Kazuhiro Fujita a réussi une très belle fin. Une fin qui traite bien tous les aspects qui ont été lancés durant l'histoire, que ce soit l'enfance de Masaru, le passé de Faceless ou l'amour entre Masaru et Shirogane. Et cela en gardant un rythme et une tension de tous les instants. En gardant de la dramaturgie, des retournements de situation et même de surprises. La fin d'une grande et belle aventure, innovante et émouvante, comme on aimerait en lire plus souvent. À lire pour tous amateurs de shonen, et peu importe leurs ages.
  5. Titre de l'album : Karakuri circus - perfect edition tome 25 et 26 (fin) Scenariste de l'album : Kazuhiro Fujita Dessinateur de l'album : Kazuhiro Fujita Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Le final grandiose d'une épopée enflammée, bourrée d'action et d'automates ! Poursuivis par les automates, le cirque Nakamachi n'a pas d'autre choix que de se battre contre eux ! Grâce à leur protection, nos héros se rapprochent petit à petit du train dans lequel se trouvent Éléonore et Narumi... Porté par l'amour de ses proches, Masaru se dirige quant à lui vers le lieu de l'affrontement final, bien décidé à mettre un terme aux agissements de Faceless ! La plus enflammée des épopées opposant humains et machines touche enfin à sa fin ! Critique : Ca y est c'est fini. Snif snif. Fini les aventures de Narumi, Masaru et Shirogane 😞 Mais une vraie belle fin. Une fin qui était encore indécise à la fin du tome 24 qui aurait très bien pu ne pas être aussi belle qu'elle ne l'est. Car Kazuhiro Fujita a réussi une très belle fin. Une fin qui traite bien tous les aspects qui ont été lancés durant l'histoire, que ce soit l'enfance de Masaru, le passé de Faceless ou l'amour entre Masaru et Shirogane. Et cela en gardant un rythme et une tension de tous les instants. En gardant de la dramaturgie, des retournements de situation et même de surprises. La fin d'une grande et belle aventure, innovante et émouvante, comme on aimerait en lire plus souvent. À lire pour tous amateurs de shonen, et peu importe leurs ages. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/karakuri-circus-tome-26-perfect-edition?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Titre de l'album : Le retour du Clan Hwasan tomes 1 & 2 Scenariste de l'album : BIGA Dessinateur de l'album : Studio LICO Coloriste : Editeur de l'album : Michel Lafon Note : Résumé de l'album : Partez à l'aventure avec un épéiste légendaire ! Cheongmyeong, légendaire maître épéiste de l'illustre clan Hwasan, perd ses alliés et la vie dans un combat contre le chef suprême du culte démoniaque, Cheonma. Il se réveille cent ans plus tard, dans le corps affaibli d'un enfant mendiant. Alors que sa mémoire est intacte, sa force physique n'est plus celle de l'épéiste qu'il était, et son clan a perdu sa renommée. Afin de retrouver ses pouvoirs, Cheongmyeong s'embarque dans une quête épique et périlleuse... Critique : L’histoire se passe dans l’univers des arts martiaux coréens, le Murim (article ici pour en savoir plus). Le clan Hwasan, l’un des 10 grands clans de martialistes, est parti affronté le grand maitre du culte démoniaque Cheonma. Hélas, trois générations viennent à périr, le dernier, Cheongmyeong le maitre épéiste de la fleur d’abricotier rend son dernier souffle après avoir éliminé Cheonma. Il se réincarne 100 ans plus tard dans la peau d’un jeune mendiant et découvre que le clan Hwasan a périclité. Il décide alors d’y retourner pour le faire revivre ; mais à son arrivée, il découvre un clan ruiné, les trésors ont été vendus et les techniques du clan Hwasan ont été perdues en grande majorité ! On en avait déjà parlé mais entrer dans l’univers des arts martiaux n’est pas toujours aisé car il y a beaucoup de vocabulaire particulier, heureusement Le retour du clan Hwasan fait partie des plus accessible, les mots typiques y sont expliqués et il n’y a pas trop d’informations d’un coup. Le personnage de Cheonmyeong est assez drôle, d’abord parce qu’il n’était pas forcément le meilleur de disciples : il était très fort mais aussi très indiscipliné ! Du coup, il a tendance à faire un peu ce qu’il veut et finit par mener tout le monde à la baguette. Les personnages du clan Hwasan sont vite attachants et même s’ils doivent s’entrainer durement, il règne toujours une certaine légèreté ainsi que de la bonne humeur. On ne se trouve pas dans une histoire où un personnage meurt toutes les deux pages comme c’est le cas dans certains livres du genre. Le retour du clan Hwasan fait un bon début, l’histoire est sympathique et accessible à tous, l’univers n’est pas dramatique bien que sérieux de temps en temps et on a une panoplie de personnages intéressants. C’est un bon shonen d’arts martiaux. Pour information, la série est toujours en cours, 92 chapitres disponibles gratuitement sur WEBTOON et 109 chapitres en VO actuellement (saison 2). Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/retour-du-clan-hwasan-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. L’histoire se passe dans l’univers des arts martiaux coréens, le Murim (article ici pour en savoir plus). Le clan Hwasan, l’un des 10 grands clans de martialistes, est parti affronté le grand maitre du culte démoniaque Cheonma. Hélas, trois générations viennent à périr, le dernier, Cheongmyeong le maitre épéiste de la fleur d’abricotier rend son dernier souffle après avoir éliminé Cheonma. Il se réincarne 100 ans plus tard dans la peau d’un jeune mendiant et découvre que le clan Hwasan a périclité. Il décide alors d’y retourner pour le faire revivre ; mais à son arrivée, il découvre un clan ruiné, les trésors ont été vendus et les techniques du clan Hwasan ont été perdues en grande majorité ! On en avait déjà parlé mais entrer dans l’univers des arts martiaux n’est pas toujours aisé car il y a beaucoup de vocabulaire particulier, heureusement Le retour du clan Hwasan fait partie des plus accessible, les mots typiques y sont expliqués et il n’y a pas trop d’informations d’un coup. Le personnage de Cheonmyeong est assez drôle, d’abord parce qu’il n’était pas forcément le meilleur de disciples : il était très fort mais aussi très indiscipliné ! Du coup, il a tendance à faire un peu ce qu’il veut et finit par mener tout le monde à la baguette. Les personnages du clan Hwasan sont vite attachants et même s’ils doivent s’entrainer durement, il règne toujours une certaine légèreté ainsi que de la bonne humeur. On ne se trouve pas dans une histoire où un personnage meurt toutes les deux pages comme c’est le cas dans certains livres du genre. Le retour du clan Hwasan fait un bon début, l’histoire est sympathique et accessible à tous, l’univers n’est pas dramatique bien que sérieux de temps en temps et on a une panoplie de personnages intéressants. C’est un bon shonen d’arts martiaux. Pour information, la série est toujours en cours, 92 chapitres disponibles gratuitement sur WEBTOON et 109 chapitres en VO actuellement (saison 2).
  8. Nickad

    Dark Gathering tomes 1 et 2

    Dark Gathering est d’abord arrivé en France via son anime (saison 1, 25 épisodes, disponible sur ADN) ; la série est en cours et compte 14 volumes actuellement. Dark gathering est un manga qui parle de phénomènes paranormaux, de fantômes, d’esprits malfaisants, de malédictions mais aussi d’amitié et d’entraide. Keitaro vient de rentrer à l’université en compagnie de son amie d’enfance Eiko, il est le major de promo mais n’a aucun ami. La raison de sa solitude provient de sa capacité à sentir les esprits mais surtout à les attirer et comme ils ne sont pas tous bienveillants, loin de là même, il a reçu une malédiction par le passé en s’en approchant trop près. Il est resté longtemps reclus à cause de ça et commence à peine à reprendre une vie normale. Dans cette optique, il décroche un job de professeur particulier, c’est là qu’il rencontre Yayoi, une jeune surdouée très étrange. En plus d’avoir un QI de 160, elle chasse les esprits et les emprisonne dans des poupées, elle espère ainsi retrouver l’esprit qui a pris l’âme de sa mère. Souvent dans ce genre d’histoire, le lecteur est confronté à tout un tas de monstre plus dégoutants les uns que les autres et l’accent est mis sur l’horreur et le visuel. Bien sûr il y a des situations effrayantes mais c’est plutôt la personnalité de Yayoi et sa façon d’être et d’agir qui provoquent une sensation de mal-être. De ce côté-là, Eiko fait aussi parfois peur mais dans un autre domaine, le seul être qui semble normal bien qu’il se traine des capacités dont il se serait bien passé, c’est Keitaro. L’histoire est bien équilibrée et tout en avançant dans la trame principale (se débarrasser de la malédiction et retrouver la mère de Yayoi), on assiste à plusieurs histoires fantastiques bien construites et intéressantes. Le graphisme est soigné, bourré de détails et sait mettre l’ambiance qu’il faut quand il le faut. Dark Gathering est un manga fantastique inquiétant qui sait susciter l’intérêt. Un bon début de série ! TRAILER DARK GATHERING
  9. Titre de l'album : Dark Gathering tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : KONDÔ Kenichi Dessinateur de l'album : KONDÔ Kenichi Coloriste : Editeur de l'album : Mana Books Note : Résumé de l'album : Il fuit les esprits, elle les traque ! Keitaro est étudiant à l'université. Par le passé, sa capacité à attirer les esprits a causé des ennuis à sa meilleure amie. Malgré cela, il accepte un emploi à temps partiel en tant que professeur particulier, mais son élève, une jeune surdouée du nom de Yayoi, devine son pouvoir au premier coup d'œil. Elle l'invite à l'accompagner dans un lieu hanté... C'est le début d'une palpitante chasse aux esprits maléfiques ! Critique : Dark Gathering est d’abord arrivé en France via son anime (saison 1, 25 épisodes, disponible sur ADN) ; la série est en cours et compte 14 volumes actuellement. Dark gathering est un manga qui parle de phénomènes paranormaux, de fantômes, d’esprits malfaisants, de malédictions mais aussi d’amitié et d’entraide. Keitaro vient de rentrer à l’université en compagnie de son amie d’enfance Eiko, il est le major de promo mais n’a aucun ami. La raison de sa solitude provient de sa capacité à sentir les esprits mais surtout à les attirer et comme ils ne sont pas tous bienveillants, loin de là même, il a reçu une malédiction par le passé en s’en approchant trop près. Il est resté longtemps reclus à cause de ça et commence à peine à reprendre une vie normale. Dans cette optique, il décroche un job de professeur particulier, c’est là qu’il rencontre Yayoi, une jeune surdouée très étrange. En plus d’avoir un QI de 160, elle chasse les esprits et les emprisonne dans des poupées, elle espère ainsi retrouver l’esprit qui a pris l’âme de sa mère. Souvent dans ce genre d’histoire, le lecteur est confronté à tout un tas de monstre plus dégoutants les uns que les autres et l’accent est mis sur l’horreur et le visuel. Bien sûr il y a des situations effrayantes mais c’est plutôt la personnalité de Yayoi et sa façon d’être et d’agir qui provoquent une sensation de mal-être. De ce côté-là, Eiko fait aussi parfois peur mais dans un autre domaine, le seul être qui semble normal bien qu’il se traine des capacités dont il se serait bien passé, c’est Keitaro. L’histoire est bien équilibrée et tout en avançant dans la trame principale (se débarrasser de la malédiction et retrouver la mère de Yayoi), on assiste à plusieurs histoires fantastiques bien construites et intéressantes. Le graphisme est soigné, bourré de détails et sait mettre l’ambiance qu’il faut quand il le faut. Dark Gathering est un manga fantastique inquiétant qui sait susciter l’intérêt. Un bon début de série ! TRAILER DARK GATHERING Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dark-gathering-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Bien que la série soit un enchainement de saynètes avec une suite logique, c’est-à-dire qu’il y a quand même une évolution entre les personnages et événements de l’histoire, elle ne lasse pas du tout et je suis même surprise de voir à quel point elle se lit bien. Souvent dans ce genre de format, les gags ont du mal à se renouveler et au fur et à mesure, il devient difficile d’en trouver qui fasse franchement rire. C’est un peu le cas comme dans le voie du tablier où il est difficile d’avoir plus d’1 ou 2 chapitres intéressants. Il se peut que Sleepy princess s’essouffle mais pour le moment ce n’est pas le cas. La trame reste le même dans chacun des chapitres, la princesse cherche à trouver le meilleur moyen de bien dormir, on parcourt donc tous les éléments indispensables à son bien-être : le moelleux du lit, la douceur des draps, le confort de l’oreiller… mais aussi tout l’environnement ambiant (courant d’air, bruit…). Sauf que dans le château du roi démon, les us et coutumes ne sont pas les mêmes alors la princesse recycle, dépiaute des monstres… bref quand il s’agit de dormir, elle est prête à tout et ne manque pas d’ingéniosité ! Ainsi on appréciera dans le tome 3 la vile influence du Kotetsu (table basse chauffante japonaise), la fête du père Fouettard (et oui chez les démons, le Père Noël ne passe pas) avec la princesse comme personne la moins sage de toute l’année ! Dans le tome 4, on voit l’arrivée d’Hades, le rival du roi démon qui va se faire piquer ses vêtements de façon drôlissime et aussi l’apparition de Morphée (le dieu du sommeil) qui la princesse va considérer comme son maitre, les deux ayant une passion commune. Sleepy Princess in the Demon Castle est plein de petites trouvailles, de personnages attachants et décalés et l’humour est présent partout et raisonnablement. Le manga est un pur moment de distraction propageant la bonne humeur.
  11. Titre de l'album : Sleepy Princess in the Demon Castle tomes 3 & 4 Scenariste de l'album : Kagiji Kumanomata Dessinateur de l'album : Kagiji Kumanomata Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : N'empêche... Est-ce qu'on n'aurait pas kidnappé la mauvaise princesse ?? La princesse Syalis a été kidnappée par le Roi Démon... ! Le peuple se lamente, s'indigne, et certains héros courageux décident d'aller la sauver. Pendant ce temps, au château, l'hiver est là... Enfermée dans sa prison, la princesse Syalis n'aspire qu'à une chose : dormir bien au chaud ! Pour y réussir, elle aura besoin d'un bon lit bien moelleux... et de sous-vêtements en laine !! Le troisième volume de la grande épopée fantasy comique de la princesse Syalis et de sa quête du Bon Gros Dodo ! Critique : Bien que la série soit un enchainement de saynètes avec une suite logique, c’est-à-dire qu’il y a quand même une évolution entre les personnages et événements de l’histoire, elle ne lasse pas du tout et je suis même surprise de voir à quel point elle se lit bien. Souvent dans ce genre de format, les gags ont du mal à se renouveler et au fur et à mesure, il devient difficile d’en trouver qui fasse franchement rire. C’est un peu le cas comme dans le voie du tablier où il est difficile d’avoir plus d’1 ou 2 chapitres intéressants. Il se peut que Sleepy princess s’essouffle mais pour le moment ce n’est pas le cas. La trame reste le même dans chacun des chapitres, la princesse cherche à trouver le meilleur moyen de bien dormir, on parcourt donc tous les éléments indispensables à son bien-être : le moelleux du lit, la douceur des draps, le confort de l’oreiller… mais aussi tout l’environnement ambiant (courant d’air, bruit…). Sauf que dans le château du roi démon, les us et coutumes ne sont pas les mêmes alors la princesse recycle, dépiaute des monstres… bref quand il s’agit de dormir, elle est prête à tout et ne manque pas d’ingéniosité ! Ainsi on appréciera dans le tome 3 la vile influence du Kotetsu (table basse chauffante japonaise), la fête du père Fouettard (et oui chez les démons, le Père Noël ne passe pas) avec la princesse comme personne la moins sage de toute l’année ! Dans le tome 4, on voit l’arrivée d’Hades, le rival du roi démon qui va se faire piquer ses vêtements de façon drôlissime et aussi l’apparition de Morphée (le dieu du sommeil) qui la princesse va considérer comme son maitre, les deux ayant une passion commune. Sleepy Princess in the Demon Castle est plein de petites trouvailles, de personnages attachants et décalés et l’humour est présent partout et raisonnablement. Le manga est un pur moment de distraction propageant la bonne humeur. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sleepy-princess-in-the-demon-castle-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Ah, de toute la 1èere saison de l’anime, il y avait un passage que j’attendais de lire, c’est sans doute le moment le plus coquin et subjectif de l’histoire, enfin, là où j’en suis rendue !! Il se trouve dans le 6e tome au moment où Diablo doit insuffler sa magie à Rem afin de pouvoir séparer l’âme du roi-démon… Je ne vous en dis pas plus pour que vous savouriez l’instant ! Pour en revenir au tome 5, l’affrontement avec les elfes prend fin et Diablo se rend compte que dans ce monde, il s’agit de tuer ou d’être tué. Pour le moment, il n’a pas franchi le pas et a laissé la vie sauve au gouverneur Galford, mais est-ce que cette gentillesse ne le perdra pas ? Les personnages secondaires ont tous de l’importance et un rôle assez conséquent pour la suite des événements. Il y a Alicia, la chevalière qui semble vouloir l’anéantissement des humains ; Saddler, le paladin plus méchant qu’un boss de fin, Edelgard, la démone dévouée au roi démon et enfin le roi-démon ressuscité qui réserve bien des surprises. L’ensemble est harmonieux, le manga parle d’aventures, de magie, de combats mais laisse aussi une part à l’humour et à un peu d’érotisme mais sans jamais tomber dans le vulgaire. L’histoire se lit bien et elle est distrayante, fidèle à l’anime pour ceux qui l’auraient vu, c’est un bon moment de lecture et de détente. Nota : 22 tomes en cours
  13. Titre de l'album : How not to summon a demon lord tomes 5 et 6 Scenariste de l'album : MURASAKI Yukiya Dessinateur de l'album : FUKUDA Naoto Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Si tu viens me défier à nouveau, je te ferai l'honneur de t'affronter ! Keera, le prince de Greenwood, qui avait manipulé Shera grâce à un objet magique, est abattu par le gouverneur Galford et le conflit entre Elfes et Humains prend fin... Mais Galford ne s'arrête pas là et déclare à Diablo que sa grande puissance magique représente une menace qu'il doit éliminer ! Critique : Ah, de toute la 1èere saison de l’anime, il y avait un passage que j’attendais de lire, c’est sans doute le moment le plus coquin et subjectif de l’histoire, enfin, là où j’en suis rendue !! Il se trouve dans le 6e tome au moment où Diablo doit insuffler sa magie à Rem afin de pouvoir séparer l’âme du roi-démon… Je ne vous en dis pas plus pour que vous savouriez l’instant ! Pour en revenir au tome 5, l’affrontement avec les elfes prend fin et Diablo se rend compte que dans ce monde, il s’agit de tuer ou d’être tué. Pour le moment, il n’a pas franchi le pas et a laissé la vie sauve au gouverneur Galford, mais est-ce que cette gentillesse ne le perdra pas ? Les personnages secondaires ont tous de l’importance et un rôle assez conséquent pour la suite des événements. Il y a Alicia, la chevalière qui semble vouloir l’anéantissement des humains ; Saddler, le paladin plus méchant qu’un boss de fin, Edelgard, la démone dévouée au roi démon et enfin le roi-démon ressuscité qui réserve bien des surprises. L’ensemble est harmonieux, le manga parle d’aventures, de magie, de combats mais laisse aussi une part à l’humour et à un peu d’érotisme mais sans jamais tomber dans le vulgaire. L’histoire se lit bien et elle est distrayante, fidèle à l’anime pour ceux qui l’auraient vu, c’est un bon moment de lecture et de détente. Nota : 22 tomes en cours Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/how-not-to-summon-a-demon-lord-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Bon cette fois, j’arrête la série ! L’arrivée du 2e membre du harem ne change pas grand-chose à la trame du manga : en journée l’équipe parcourt les donjons avec moult détails sur les techniques, les monstres, les récompenses… des passages que j’ai tendance à survoler car je m’y ennuie. Le soir, c’est la partie coquine et comme Monsieur a maintenant une classe de séducteur, deux fois avec chacune est loin de le satisfaire… les demoiselles rougissent et gémissent de façon à contenter le lectorat. La seule véritable avancée est l’entente entre les deux filles, que l’une ne se sente pas lésée par rapport à l’autre et qu’elles puissent apprendre à se connaître et s’accepter. Le harem va peut-être se développer plus vite car Michio pense déjà à la 3eme. Globalement, le rythme reste le même au fur et à mesure des volumes et l’histoire ne propose pas un développement scénaristique intéressant, on reste sur la même lancée et c’est dommage.
  15. Titre de l'album : Harem in the fantasy world dungeon tome 8 Scenariste de l'album : SOGANO Shachi Dessinateur de l'album : HYOUJU Issei , SHIKI Dôji Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Grâce à leur travail d'équipe, Michio et Roxanne réussissent enfin à acculer le boss du septième étage ! Et maintenant qu'ils ont un peu de marge, Roxanne aimerait bien essayer de se servir de son skill offensif... Quand vient le soir, Michio profite de son intimité avec ses deux amies pour... tester un autre skill ? Encore ?! Critique : Bon cette fois, j’arrête la série ! L’arrivée du 2e membre du harem ne change pas grand-chose à la trame du manga : en journée l’équipe parcourt les donjons avec moult détails sur les techniques, les monstres, les récompenses… des passages que j’ai tendance à survoler car je m’y ennuie. Le soir, c’est la partie coquine et comme Monsieur a maintenant une classe de séducteur, deux fois avec chacune est loin de le satisfaire… les demoiselles rougissent et gémissent de façon à contenter le lectorat. La seule véritable avancée est l’entente entre les deux filles, que l’une ne se sente pas lésée par rapport à l’autre et qu’elles puissent apprendre à se connaître et s’accepter. Le harem va peut-être se développer plus vite car Michio pense déjà à la 3eme. Globalement, le rythme reste le même au fur et à mesure des volumes et l’histoire ne propose pas un développement scénaristique intéressant, on reste sur la même lancée et c’est dommage. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/harem-in-the-fantasy-world-dungeon-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    Failure frame tome 6

    Tôka a trouvé quelqu’un qui saurait où se trouve la sorcière des Tabous afin de pouvoir déchiffrer son livre. Pour arriver à ses fins, il faut qu’il convainc Eve, une femme léopard gladiatrice. Heureusement pour lui, il a les moyens de l’aider dans ses déboires personnels. Ce 6eme tome présente une coupure dans le dynamisme de l’action, un moyen de prendre le temps d’introduire les nouveaux personnages Eve, la gladiatrice et Liz, une jeune elfe noire qui vont sans doute faire un bout de chemin avec nos deux héros. Si le début est un peu lent, la fin annonce une suite prometteuse avec des combats intéressants d’autant plus que la personne qui les poursuit sans être un bon stratège. La série reste globalement assez sombre sans pour autant entrer dans l’horrifique ou le gore (quoique quand Tôka utilise ses compétences d’empoisonnement ce n’est pas très joyeux). On attend impatiemment le moment où les préparatifs seront prêts pour aller affronter la déesse Vicius mais en attendant, l’histoire est bien menée, ne s’essouffle pas et donne envie d’aller plus loin.
  17. Titre de l'album : Failure frame tome 6 Scenariste de l'album : SHINOZAKI Kaoru , UCHIUCHI Keyaki Dessinateur de l'album : UYOSHI Shô , KWKM Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Dans son périple pour éliminer la déesse Vicius, Tôka se procure un "masque du Seigneur des Mouches" afin de dissimuler son visage. Sous cette nouvelle identité, il espère rallier des "mercenaires" pour l'assister dans son projet. Or, selon certaines rumeurs, la plus puissante gladiatrice de la capitale, une femme-léopard du nom d'Eve Speed, connaîtrait justement la cachette de la Sorcière des Tabous. Après quelques recherches, Tôka découvre qu'Eve n'a qu'un seul objectif : secourir Liz, une jeune esclave maltraitée par sa maîtresse... Critique : Tôka a trouvé quelqu’un qui saurait où se trouve la sorcière des Tabous afin de pouvoir déchiffrer son livre. Pour arriver à ses fins, il faut qu’il convainc Eve, une femme léopard gladiatrice. Heureusement pour lui, il a les moyens de l’aider dans ses déboires personnels. Ce 6eme tome présente une coupure dans le dynamisme de l’action, un moyen de prendre le temps d’introduire les nouveaux personnages Eve, la gladiatrice et Liz, une jeune elfe noire qui vont sans doute faire un bout de chemin avec nos deux héros. Si le début est un peu lent, la fin annonce une suite prometteuse avec des combats intéressants d’autant plus que la personne qui les poursuit sans être un bon stratège. La série reste globalement assez sombre sans pour autant entrer dans l’horrifique ou le gore (quoique quand Tôka utilise ses compétences d’empoisonnement ce n’est pas très joyeux). On attend impatiemment le moment où les préparatifs seront prêts pour aller affronter la déesse Vicius mais en attendant, l’histoire est bien menée, ne s’essouffle pas et donne envie d’aller plus loin. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/failure-frame-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Les éditions Mana books ont annoncé une diversification de leur catalogue manga avec la création de 5 collections (plus d'info ici). Après Les carnets de l'apothicaire, enquêtes à la cour, voici le 2e titre de la collection XOXO dédiée aux tranches de vie. How to make a delicoius coffee est un manga entièrement colorisée fini en 12 tomes qui est une collaboration entre 4 artistes dont Yuka MURAYAMA une romancière célèbre au Japon. Si l'on a l'impression au début de l'histoire de se trouver dans une cohabitation forcée entre jeunes où il risque peu à peu de se produire certains déroulements classiques (scènes où on surprend l'autre dans son intimité , relations interdites qui se développe...) on se rend compte vers la fin que la thématique sera sans doute plus complexe et s'éloignera d'une romance habituelle. Bien que les sentiments de Katsutoshi Izumi commencent à changer face à Karen, c'est bien cette dernière qui fera tout le mystère du récit. Pour le moment, on n'en sait pas plus. Le café, thématique annoncée dans le titre, serait plus un élément autour duquel les personnages vont se retrouver et échanger, un peu comme les clients qui se confient à leur coiffeur ou à un barman. Le gérant du café semble être à la fois le liant entre les autres personnages mais aussi celui qui lance des impulsions. Ce 1er tome est donc agréable et très fluide, on a un graphisme très doux dans les tons pastels. Côté scénario, on sent que la volonté sera de mettre en avant une palette de sentiments et d'émotions avec justesse et retenue. Il faudra donc attendre la suite pour savoir où l'on se situe véritablement. TRAILER
  19. Titre de l'album : How to make a delicious coffee tome 1 Scenariste de l'album : MURAYAMA Yuka Dessinateur de l'album : AONUMA Yûki , Yuu (結布) , SUZUMEMURA Ao Coloriste : Editeur de l'album : Mana Books Note : Résumé de l'album : Une histoire plus tendre que corsée... Au printemps de son année de terminale, Katsutoshi Izumi emménage avec ses cousins après que son père a été muté loin de chez lui. Avec son cousin Joe, tout se passe à merveille, mais lorsqu'il voit Karen, sa cousine, Katsutoshi ne peut cacher son étonnement. En effet, la Karen dont il se souvenait est devenue une beauté indicible... Série terminée en 12 tomes, avec pages intérieures colorisées Critique : Les éditions Mana books ont annoncé une diversification de leur catalogue manga avec la création de 5 collections (plus d'info ici). Après Les carnets de l'apothicaire, enquêtes à la cour, voici le 2e titre de la collection XOXO dédiée aux tranches de vie. How to make a delicoius coffee est un manga entièrement colorisée fini en 12 tomes qui est une collaboration entre 4 artistes dont Yuka MURAYAMA une romancière célèbre au Japon. Si l'on a l'impression au début de l'histoire de se trouver dans une cohabitation forcée entre jeunes où il risque peu à peu de se produire certains déroulements classiques (scènes où on surprend l'autre dans son intimité , relations interdites qui se développe...) on se rend compte vers la fin que la thématique sera sans doute plus complexe et s'éloignera d'une romance habituelle. Bien que les sentiments de Katsutoshi Izumi commencent à changer face à Karen, c'est bien cette dernière qui fera tout le mystère du récit. Pour le moment, on n'en sait pas plus. Le café, thématique annoncée dans le titre, serait plus un élément autour duquel les personnages vont se retrouver et échanger, un peu comme les clients qui se confient à leur coiffeur ou à un barman. Le gérant du café semble être à la fois le liant entre les autres personnages mais aussi celui qui lance des impulsions. Ce 1er tome est donc agréable et très fluide, on a un graphisme très doux dans les tons pastels. Côté scénario, on sent que la volonté sera de mettre en avant une palette de sentiments et d'émotions avec justesse et retenue. Il faudra donc attendre la suite pour savoir où l'on se situe véritablement. TRAILER Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/how-to-make-delicious-coffee-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    Party boy Kongming ! tome 1

    Après la légende de Lü Bu, nous voici en présence d’un autre héros de l’histoire des 3 royaumes : Zhuge Liang Kongming, un stratège hors pair du royaume de Su ! Seulement l’histoire ne se déroule pas du temps de son vivant mais plus de 1800 ans après sa mort. Kongmin se réveille à notre époque dans un Japon où l’industrie musicale bat son plein. Il rencontre Eiko, une jeune chanteuse et décide de l’accompagner pour l’aider à réaliser son rêve : devenir une star. Kongmin s’adapte assez vite à ce qui l’entoure, cela provient probablement qu’il était un cerveau brillant, un génie en son genre. Il observe, analyse, pose des questions mais surtout il connaît bien le caractère humain et sait repérer les véritables intentions derrière les paroles. Il va donc mettre ses stratégies à exécution dans un univers où la concurrence est impitoyable. La lecture est fluide, le dessin agréable, de temps en temps la narration parle de faits historiques des 3 royaumes mais sans trop s’étaler. De l’autre côté, on plonge dans l’univers indé / rock japonais, on est loin de l’univers des idoles que l’on trouve dans Oshi no Ko. Ici, il s’agit de partir du bas, de faire ses preuves et ensuite de se faire connaître pour atteindre des sommets. On voit bien que seul c’est impossible et qu’avoir un bon manager est indispensable ! Le fait d’utiliser un stratège historique est judicieux car dans la faune artistique, il faut aussi se montrer malin, déjouer les pièges et avoir un plan, le talent seul ne suffit pas toujours. Party Boy Kongmin est une bonne surprise et possède un scénario qui fonctionne et qui plait au vu des 16 tomes en cours. En plus de ça les personnages sont sympathiques, attachants et le tout forme un joyeux mélange distrayant et bien équilibré. Un manga à découvrir. PS : un anime existe mais il n’est pas encore arrivé en France, Opening Ici
  21. Titre de l'album : Party boy Kongming ! tome 1 Scenariste de l'album : YOTSUBA Yûto Dessinateur de l'album : OGAWA Ryo Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Célèbre stratège chinois, Kongming meurt d'un âge avancé, las d'une vie de batailles au coeur des 3 Royaumes... et se réveille rajeuni, en costume de son époque, au cœur du Shibuya contemporain et en pleine nuit d'Halloween ! Se croyant en enfer, il est «sauvé» par la voix d'Eiko Tsukimi, chanteuse débutante. La jeune femme rêve de devenir une star mais n'arrive pas à percer. Convaincu de son talent, le stratège déploiera tout son génie pour aider Eiko à accomplir son rêve et triompher du monde impitoyable du divertissement japonais moderne ! Critique : Après la légende de Lü Bu, nous voici en présence d’un autre héros de l’histoire des 3 royaumes : Zhuge Liang Kongming, un stratège hors pair du royaume de Su ! Seulement l’histoire ne se déroule pas du temps de son vivant mais plus de 1800 ans après sa mort. Kongmin se réveille à notre époque dans un Japon où l’industrie musicale bat son plein. Il rencontre Eiko, une jeune chanteuse et décide de l’accompagner pour l’aider à réaliser son rêve : devenir une star. Kongmin s’adapte assez vite à ce qui l’entoure, cela provient probablement qu’il était un cerveau brillant, un génie en son genre. Il observe, analyse, pose des questions mais surtout il connaît bien le caractère humain et sait repérer les véritables intentions derrière les paroles. Il va donc mettre ses stratégies à exécution dans un univers où la concurrence est impitoyable. La lecture est fluide, le dessin agréable, de temps en temps la narration parle de faits historiques des 3 royaumes mais sans trop s’étaler. De l’autre côté, on plonge dans l’univers indé / rock japonais, on est loin de l’univers des idoles que l’on trouve dans Oshi no Ko. Ici, il s’agit de partir du bas, de faire ses preuves et ensuite de se faire connaître pour atteindre des sommets. On voit bien que seul c’est impossible et qu’avoir un bon manager est indispensable ! Le fait d’utiliser un stratège historique est judicieux car dans la faune artistique, il faut aussi se montrer malin, déjouer les pièges et avoir un plan, le talent seul ne suffit pas toujours. Party Boy Kongmin est une bonne surprise et possède un scénario qui fonctionne et qui plait au vu des 16 tomes en cours. En plus de ça les personnages sont sympathiques, attachants et le tout forme un joyeux mélange distrayant et bien équilibré. Un manga à découvrir. PS : un anime existe mais il n’est pas encore arrivé en France, Opening Ici Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/party-boy-kongming-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Titre de l'album : Fends le vent tome 1 Scenariste de l'album : MIDORI Wataru Dessinateur de l'album : MIDORI Wataru Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Avec Fends le vent !, suivez le parcours d'un lycéen qui, suite à une amputation de sa jambe, va se lancer dans une course contre la montre pour tenter de participer aux Jeux Paralympiques de Tokyo ! Quand il était collégien, Shôta était la star de son club de foot. Mais depuis qu'il a perdu sa jambe gauche, il n'a plus jamais retouché un ballon. Aujourd'hui lycéen, il prend la vie comme elle vient sans vraiment réussir à se projeter dans l'avenir... jusqu'à ce qu'il croise la route d'un certain Chidori. Ce dernier, orthoprothésiste, lui propose d'essayer une lame de compétition... Et si c'était l'occasion pour Shôta de se lancer dans un nouveau sport ? Critique : Shôta rêvait de devenir un footballeur professionnel mais à présent, il a une prothèse à la place de sa jambe gauche, il n’a plus essayé de courir depuis ni même touché un ballon. Il rencontre par hasard un drôle de gars Chidori dont l’ambition est de se faire un nom comme orthoprothésiste en fabriquant des prothèses pour le handisport. Il propose à Shôta de devenir son collaborateur, une occasion que ce dernier hésite à saisir. Quand j’étais à l’école (et ça remonte) l’un de mes camarades avait une jambe artificielle, je me souviens qu’on évitait d’en parler comme une sorte de sujet tabou ou plutôt par peur de faire une maladresse. On n’entendait beaucoup moins parler d’handisport ou de jeux paralympiques (qui remontent à 1948 pour information). Aujourd’hui, parler du handicap est plus fréquent bien qu’on ne mesure pas toutes les contraintes et implications que cela engendre. Donc l’arrivée de Fends le vent sur le marché du manga est une bonne nouvelle ! Le handicap est abordé de façon simple, sans s’apitoyer sur le sort de Shôta. On découvre le quotidien, les difficultés mais aussi toutes les possibilités qui existent pour aller de l’avant, le handisport notamment et forcément la mise en lumière d’un métier peu répandu : orthoprothésiste. L’histoire mélange intelligemment plusieurs thématiques sans en léser une par rapport à une autre, il y a un équilibre juste, une narration agréable et un graphisme convaincant. Un premier tome réussi qui, sans pour autant être passionné de sport, donne envie d’en savoir plus. La série est finie en 5 tomes. EXTRAIT Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/fends-le-vent-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Mynoghra, annonciateur de l’apocalypse est à l’origine un lightnovel disponible aux éditions Mahô. L’adaptation en manga a commencé un an après le début du roman et compte 4 volumes en cours. Si Mynoghra est un isekai, Takuto, le héros est en effet mort de maladie à l’âge de 18 ans, il propose deux particularités intéressantes. La première est que Takuto se réincarne dans le jeu vidéo auquel il jouait mais que l’univers du jeu se déroule lui-même dans un autre monde qui ressemble à celui du jeu sans être pourtant exactement le même. Si certaines de ses compétences et actions peuvent être faites de la même façon que dans le jeu, il y a un certain nombre d’éléments qui n’en faisaient pas parties. Le deuxième point est que Takuto n’arrive pas seul dans ce nouveau monde, il se retrouve avec Ato, un des personnages du jeu, qui semble avoir pris vie et qui se rappelle de toutes les parties que Takuto a jouées. C’est un concept innovant mais un peu étrange auquel il faut s’habituer. Un autre facteur intéressant mais qui n’est pas propre à Mynoghra, c’est que les habitants de ce nouveau monde ne perçoivent Takuto qu’à travers l’énergie qu’il dégage et comme il est d’ascendance maléfique, ils le voient comme une entité noire qui a une forme approximative. On ignore par contre comment Ato le voit. Il y a encore d’autres particularités sur le monde de Mynoghra mais je vous laisse les découvrir. L’histoire a donc des caractéristiques intéressantes pourtant le déroulé des événements n’est pas spécialement révolutionnaire : Takuto et Ato vont faire leur possible pour reconstruire le royaume de Mynoghra dans ce monde afin de pouvoir y vivre en paix. Sauf que les pays voisins ne vont pas forcément les laisser tranquille car ils sont d’ascendance maléfique et donc considérés comme des ennemis. De son côté, Takuto va découvrir qu’il y a déjà des ennemis définis dans ce monde mais on ne sait pas encore comment il va les considérer. Il y a donc des éléments prometteurs dans le scénario, qui ne sont pas, pour le moment, complètement mis en valeur. L’aventure est sympathique mais sans plus, il faudra donc aller plus loin (manga ou light novel) pour s’en faire une idée plus nette. EXTRAIT
  24. Titre de l'album : Mynoghra, annonciateur de l'apocalypse tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : KAZUNO Fehu Dessinateur de l'album : GOMI Hidekazu - MIDORIHANA Yasaiko Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Takuto Ira est le joueur n°1 d'Eternal Nations, un jeu de stratégie très populaire. Il meurt soudainement d'une maladie incurable, mais par le heureux hasard, il se réveille réincarné dans un univers semblable à celui de son jeu vidéo préféré. Face à lui, il découvre Atô, l'héroïne de la nation de Mynoghra avec laquelle il jouait à chaque partie. Ils décident de s'unir pour créer un nouveau royaume. Critique : Mynoghra, annonciateur de l’apocalypse est à l’origine un lightnovel disponible aux éditions Mahô. L’adaptation en manga a commencé un an après le début du roman et compte 4 volumes en cours. Si Mynoghra est un isekai, Takuto, le héros est en effet mort de maladie à l’âge de 18 ans, il propose deux particularités intéressantes. La première est que Takuto se réincarne dans le jeu vidéo auquel il jouait mais que l’univers du jeu se déroule lui-même dans un autre monde qui ressemble à celui du jeu sans être pourtant exactement le même. Si certaines de ses compétences et actions peuvent être faites de la même façon que dans le jeu, il y a un certain nombre d’éléments qui n’en faisaient pas parties. Le deuxième point est que Takuto n’arrive pas seul dans ce nouveau monde, il se retrouve avec Ato, un des personnages du jeu, qui semble avoir pris vie et qui se rappelle de toutes les parties que Takuto a jouées. C’est un concept innovant mais un peu étrange auquel il faut s’habituer. Un autre facteur intéressant mais qui n’est pas propre à Mynoghra, c’est que les habitants de ce nouveau monde ne perçoivent Takuto qu’à travers l’énergie qu’il dégage et comme il est d’ascendance maléfique, ils le voient comme une entité noire qui a une forme approximative. On ignore par contre comment Ato le voit. Il y a encore d’autres particularités sur le monde de Mynoghra mais je vous laisse les découvrir. L’histoire a donc des caractéristiques intéressantes pourtant le déroulé des événements n’est pas spécialement révolutionnaire : Takuto et Ato vont faire leur possible pour reconstruire le royaume de Mynoghra dans ce monde afin de pouvoir y vivre en paix. Sauf que les pays voisins ne vont pas forcément les laisser tranquille car ils sont d’ascendance maléfique et donc considérés comme des ennemis. De son côté, Takuto va découvrir qu’il y a déjà des ennemis définis dans ce monde mais on ne sait pas encore comment il va les considérer. Il y a donc des éléments prometteurs dans le scénario, qui ne sont pas, pour le moment, complètement mis en valeur. L’aventure est sympathique mais sans plus, il faudra donc aller plus loin (manga ou light novel) pour s’en faire une idée plus nette. EXTRAIT Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mynoghra-annonciateur-de-l-apocalypse-tome-1-9782413049630?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Fends le vent tome 1

    Shôta rêvait de devenir un footballeur professionnel mais à présent, il a une prothèse à la place de sa jambe gauche, il n’a plus essayé de courir depuis ni même touché un ballon. Il rencontre par hasard un drôle de gars Chidori dont l’ambition est de se faire un nom comme orthoprothésiste en fabriquant des prothèses pour le handisport. Il propose à Shôta de devenir son collaborateur, une occasion que ce dernier hésite à saisir. Quand j’étais à l’école (et ça remonte) l’un de mes camarades avait une jambe artificielle, je me souviens qu’on évitait d’en parler comme une sorte de sujet tabou ou plutôt par peur de faire une maladresse. On n’entendait beaucoup moins parler d’handisport ou de jeux paralympiques (qui remontent à 1948 pour information). Aujourd’hui, parler du handicap est plus fréquent bien qu’on ne mesure pas toutes les contraintes et implications que cela engendre. Donc l’arrivée de Fends le vent sur le marché du manga est une bonne nouvelle ! Le handicap est abordé de façon simple, sans s’apitoyer sur le sort de Shôta. On découvre le quotidien, les difficultés mais aussi toutes les possibilités qui existent pour aller de l’avant, le handisport notamment et forcément la mise en lumière d’un métier peu répandu : orthoprothésiste. L’histoire mélange intelligemment plusieurs thématiques sans en léser une par rapport à une autre, il y a un équilibre juste, une narration agréable et un graphisme convaincant. Un premier tome réussi qui, sans pour autant être passionné de sport, donne envie d’en savoir plus. La série est finie en 5 tomes. EXTRAIT
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