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  1. Ce Caledonia nous propose une série sur la Rome antique confrontée en Angleterre à de terrifiantes divinités. Mais Rome est un empire qui ne compte pas se laisser abattre du moment que l'adversaire peut saigner. On avait laissé nos deux héros mal en point à l'issue du tome 1. Ce tome 2 reprend directement à l'issue de la fin du tome 1 et nous amène quelques révélations de taille. On plonge définitivement dans le fantastique et c'est plutôt réussi. Seuls bémols, je trouve les personnages un peu trop fades à mon goût et leur relation un peu trop téléphonée. Bon, cela ne nous empêche pas de découvrir ce nouvel univers avec plaisir. J'ai par ailleurs eu du mal avec le dessin, malgré une jolie colorisation. J'ai eu du mal avec le dessin d'Emmanuel Despujol que j'avais pourtant plutôt apprécié sur Side Show. Ici j'ai trouvé que cela manquait un peu de peps, de vitalité, de mouvements, et que les visages me semblaient un peu lisses et pas si expressifs au final. C'est sûr que je suis un peu dur en disant cela, c'est loin d'être mauvais et je ne veux manquer de respect à personne car l'on sent qu'il y a du travail derrière, mais les goûts et les couleurs ne se commandent pas bien et cela m'a un peu refroidit dans ma lecture de ce Caledonia. Alors allez le feuilleter et faites vous votre idée !
  2. Titre de l'album : Calédonia - Tome 2 - Le mur d'hadrien Scenariste de l'album : Éric Corbeyran Dessinateur de l'album : Emmanuel Despujol Coloriste : Juliette Despujol Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Face à des sénateurs n'ayant jamais vu un champ de bataille, Lucius a bien du mal à convaincre que leurs adversaires, les redoutables guerriers caledonii, se sont alliés à d'invincibles géants qui ne redoutent nullement ses légionnaires. Démis de ses fonctions et renvoyé en Caledonia, il est chargé de l'édification d'un mur censé assurer la défense des légions romaines en territoires conquis. Critique : Ce Caledonia nous propose une série sur la Rome antique confrontée en Angleterre à de terrifiantes divinités. Mais Rome est un empire qui ne compte pas se laisser abattre du moment que l'adversaire peut saigner. On avait laissé nos deux héros mal en point à l'issue du tome 1. Ce tome 2 reprend directement à l'issue de la fin du tome 1 et nous amène quelques révélations de taille. On plonge définitivement dans le fantastique et c'est plutôt réussi. Seuls bémols, je trouve les personnages un peu trop fades à mon goût et leur relation un peu trop téléphonée. Bon, cela ne nous empêche pas de découvrir ce nouvel univers avec plaisir. J'ai par ailleurs eu du mal avec le dessin, malgré une jolie colorisation. J'ai eu du mal avec le dessin d'Emmanuel Despujol que j'avais pourtant plutôt apprécié sur Side Show. Ici j'ai trouvé que cela manquait un peu de peps, de vitalité, de mouvements, et que les visages me semblaient un peu lisses et pas si expressifs au final. C'est sûr que je suis un peu dur en disant cela, c'est loin d'être mauvais et je ne veux manquer de respect à personne car l'on sent qu'il y a du travail derrière, mais les goûts et les couleurs ne se commandent pas bien et cela m'a un peu refroidit dans ma lecture de ce Caledonia. Alors allez le feuilleter et faites vous votre idée ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/caledonia-tome-2-le-sacre-d-adrien/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. poseidon2

    Épouvantail

    Titre de l'album : Épouvantail Scenariste de l'album : Philippe Pelaez Dessinateur de l'album : Stéphane Sénégas Coloriste : Stéphane Sénégas Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Dans une ferme isolée, Lily, une petite fille au caractère bien affirmé, vit avec son père et sa belle-mère. Elle partage son quotidien entre ses animaux, l'école et un épouvantail planté en haut d'un champ, de l'autre côté de la route. Un épouvantail qui, un jour, se met à lui parler. Les échanges sont houleux, car l'épouvantail se montre vulgaire : il n'a pas besoin d'amis, contrairement à Lily. Le mannequin de paille et de bois lui révèle qu'il a été le témoin d'un tragique accident de voiture sur la route, en bas du champ. Depuis, il a mal au ventre. Le père de Lily a lui aussi été un témoin capital de ce drame : il a pu sauver le passager mais pas la conductrice de la voiture, lorsque la voiture a dévalé le talus pour finir dans l'étang du bois qui jouxte la ferme. Le même étang que celui où est morte la mère de Lily. Tandis qu'une enquête est ouverte pour déterminer les circonstances exactes de l'accident, tous les protagonistes commencent à faire d'étranges cauchemars hantés par la présence singulière... de l'épouvantail. Cette bande dessinée, fruit de la collaboration entre Philippe Pelaez et Stéphane Sénégas, mêle drame et fantastique dans un univers à la Tim Burton. Les illustrations en noir et blanc subliment un récit où la frontière entre rêve et réalité vacille, créant une atmosphère aussi fascinante qu'inquiétante. Critique : En voilà une BD pas comme les autres. Graphiquement, c'est même radicalement différent de ce que l'on peut lire d'habitude. On est ici très proche de l'étrange Noël de Monsieur Jack, mais en noir et blanc et avec un coté plus anguleux et plus effrayant dans le dessin. Et pourtant… cette histoire qui a tout pour être effrayante se trouve être adoucie par notre personnage central : Lily. Car dans cet univers noir et blanc, plein de légende et de méchant épouvantail qui parle, on a Lily. Lily pleine de vie, d'envie et qui, malgré la disparition de sa mère, nous apporte un rayon de bonne humeur dans une histoire qui en a besoin. Non pas que l'histoire soit glauque. Elle est juste un peu effrayante, le lecteur ne sachant jamais si cet épouvantail est du côté de Lily ou non. Philippe Pelaez nous livre ici une superbe histoire, réussissant à entremêler une enquête policière et un récit d'angoisse, de bien belle façon, faisant osciller le lecteur entre peur et envie de savoir ce qu'il est vraiment arrivé à la mère de Lily, le tout saupoudrer de la joie d'une petite fille pleine de vie. Une lecture marquante Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/epouvantail?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. poseidon2

    Épouvantail

    En voilà une BD pas comme les autres. Graphiquement, c'est même radicalement différent de ce que l'on peut lire d'habitude. On est ici très proche de l'étrange Noël de Monsieur Jack, mais en noir et blanc et avec un coté plus anguleux et plus effrayant dans le dessin. Et pourtant… cette histoire qui a tout pour être effrayante se trouve être adoucie par notre personnage central : Lily. Car dans cet univers noir et blanc, plein de légende et de méchant épouvantail qui parle, on a Lily. Lily pleine de vie, d'envie et qui, malgré la disparition de sa mère, nous apporte un rayon de bonne humeur dans une histoire qui en a besoin. Non pas que l'histoire soit glauque. Elle est juste un peu effrayante, le lecteur ne sachant jamais si cet épouvantail est du côté de Lily ou non. Philippe Pelaez nous livre ici une superbe histoire, réussissant à entremêler une enquête policière et un récit d'angoisse, de bien belle façon, faisant osciller le lecteur entre peur et envie de savoir ce qu'il est vraiment arrivé à la mère de Lily, le tout saupoudrer de la joie d'une petite fille pleine de vie. Une lecture marquante
  5. poseidon2

    Helck tome 10

    Titre de l'album : Helck tome 10 Scenariste de l'album : Nanaki Nanao Dessinateur de l'album : Nanaki Nanao Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Un mystérieux héros qui dit vouloir exterminer tous ses semblables ?! Attention, voici l'incroyable Helck ! "Je te sauverai, petit frère", cria le héros.Alors qu'ils sont presque parvenus jusqu'au Roi, Helck et sa troupe doivent affronter un ennemi de taille : Cless le héros, qui reste manipulé comme un pantin par le pouvoir de contrôle ! Pour la première fois de sa vie, Helck va devoir se disputer réellement avec son petit frère... Critique : Et bien ! J'ai beau etre un grand fan de cette série et j'avais beau penser avoir compris l'histoire... je dois bien reconnaitre que je ne m'attendais pas du tout à ca.... Et je ne suis pas encore bien sur si cela va me plaire. Ce tome 10, deux tomes avant la fin, remet encore une pièce dans la case "surprise" en nous dévoilant qui est le roi. Et ce n'est pas une petite surprise qui nous attend. Mais plutôt un "game changing"... au tome 10... Et si cela est quand même intéressant et logique pour l'instant, j'ai un peu peur que cette fin, qui promettait d'être si bien, ne se transforme en usine à gaz pour pas grand-chose... Alors on va faire confiance à notre auteur sur les deux derniers tomes..... mais j'avoue que j'ai un peu peur 😞 Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/helck-tome-10?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. poseidon2

    Helck tome 10

    Et bien ! J'ai beau etre un grand fan de cette série et j'avais beau penser avoir compris l'histoire... je dois bien reconnaitre que je ne m'attendais pas du tout à ca.... Et je ne suis pas encore bien sur si cela va me plaire. Ce tome 10, deux tomes avant la fin, remet encore une pièce dans la case "surprise" en nous dévoilant qui est le roi. Et ce n'est pas une petite surprise qui nous attend. Mais plutôt un "game changing"... au tome 10... Et si cela est quand même intéressant et logique pour l'instant, j'ai un peu peur que cette fin, qui promettait d'être si bien, ne se transforme en usine à gaz pour pas grand-chose... Alors on va faire confiance à notre auteur sur les deux derniers tomes..... mais j'avoue que j'ai un peu peur 😞
  7. Les tortues ninja n'en finissent plus chez Hi Graphics, et pour le plus grand plaisir de leurs fans. Il faut dire que leur univers s'est considérablement étendu au fil des runs. Difficile désormais de se lancer la dedans sans être un petit peu paumé par la multitude de personnages et de trames. Mais pour les fans c'est du plaisir assuré. Ce spin off qui peut se lire en one shot vient compléter et étendre encore un peu plus cet univers. On va y suivre la quête du clan foot pour revenir aux sommets depuis la disparition de Shredder. C'est l'occasion de redécouvrir sous un angle moins antipathique certains de nos méchants habituels. Si d'habitude je ne suis pas un grand fan de ce genre de spin off centrés sur des vilains, l'univers des tortues est suffisamment gentil pour que cela ne m'ai pas créé particulièrement de malaise, au contraire, revoir Bebop et Rocksteady reste un plaisir coupable. Côté dessin en plus on retrouve le sens de la mise en scène de Mateus Santolouco qui nous livre un run bien lisible, dynamique, et nerveux. On n'en demande pas plus ! Ce spin off ravira les fans de la première heure, en leur proposant un contenu certes dispensable mais au final bien équilibré, cohérent, dynamique et avec une histoire complète et intéressante. Merci Hi Graphics !
  8. Titre de l'album : Teenage Mutant Ninja Turtles - Karaï - La destinée secrète du clan de foot Scenariste de l'album : Erik Burnham Dessinateur de l'album : Mateus Santolouco & Santos Coloriste : Marco Lesko Editeur de l'album : Hi-Graphics Note : Résumé de l'album : Oroku Karai est devenue la cheffe du clan Foot après la disparition du Shredder. Mais elle a encore fort à faire afin de pouvoir s'affirmer comme une vraie leader, d'autant plus après avoir vécu dans l'ombre de son père et de son grand-père. Rapidement, elle doit faire face à un nouveau clan ennemi, dont le chef assure être le véritable descendant d'Oroku Saki (le Shredder), et par conséquent le dirigeant légitime du Clan Foot. Karai va devoir découvrir la vérité sur les origines de sa famille pour pouvoir défaire ce formidable adversaire. Critique : Les tortues ninja n'en finissent plus chez Hi Graphics, et pour le plus grand plaisir de leurs fans. Il faut dire que leur univers s'est considérablement étendu au fil des runs. Difficile désormais de se lancer la dedans sans être un petit peu paumé par la multitude de personnages et de trames. Mais pour les fans c'est du plaisir assuré. Ce spin off qui peut se lire en one shot vient compléter et étendre encore un peu plus cet univers. On va y suivre la quête du clan foot pour revenir aux sommets depuis la disparition de Shredder. C'est l'occasion de redécouvrir sous un angle moins antipathique certains de nos méchants habituels. Si d'habitude je ne suis pas un grand fan de ce genre de spin off centrés sur des vilains, l'univers des tortues est suffisamment gentil pour que cela ne m'ai pas créé particulièrement de malaise, au contraire, revoir Bebop et Rocksteady reste un plaisir coupable. Côté dessin en plus on retrouve le sens de la mise en scène de Mateus Santolouco qui nous livre un run bien lisible, dynamique, et nerveux. On n'en demande pas plus ! Ce spin off ravira les fans de la première heure, en leur proposant un contenu certes dispensable mais au final bien équilibré, cohérent, dynamique et avec une histoire complète et intéressante. Merci Hi Graphics ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-tortues-ninja-tmnt-karai-la-destinee-secrete-du-clan-foot/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Inexistents

    Titre de l'album : Inexistents Scenariste de l'album : Miki Makasu Dessinateur de l'album : Takeliongawa Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Vouée à écrire pour ne pas disparaître... L'Univers commet aussi des erreurs, car certains humains, appelés Inexistents, ne sont pas censés exister. C'est le cas de Tsugumi, autrice taiwanaise à succès du manga "Demon Smile". Lorsqu'elle découvre la vérité sur sa nature, son monde s'effondre. Seulement, Sof, la créature chargée de corriger l'univers, est aussi un fan absolu du manga "Demon Smile" et se refuse à voir disparaître Tsugumi avant de connaître la fin de l'histoire. Tous deux s'allient alors pour tenter d'empêcher l'effacement... Critique : On ne va pas se mentir, le début du livre est assez compliqué à comprendre : on arrive directement dans un chapitre qui ne semble rien à voir avec la suite. De plus, le dessin est assez chargé et l’organisation des vignettes, qui se veut innovante et dynamique, ont tendance à créer plus de confusion que d’explication. En ce qui concerne la partie fantastique du scénario où des personnes sont effacées car elles n’étaient pas censées exister (les Inexistents), il y a du potentiel mais on regrette qu’il n’y ait pas d’explications. Concernant notre héroïne, elle est l’ainée d’une famille composée de ses deux parents et d’une petite sœur et on ne voit pas très bien en quoi elle serait une erreur de création de l’univers… Ensuite, il y a le contexte et surtout le métier de Tsugumi qui est une mangaka. Cela permet aux auteurs de parler de leur métier et surtout de mettre en avant certains aspects comme la pression liée au développement de la série, les relations avec leurs assistants, avec les autres auteurs, le contact avec les fans… En conclusion, je dirai qu’il y a de bonnes idées, un peu trop pour être exploitées complètement dans un one shot. C’est prometteur pour la suite des carrières des auteurs. Ce manga est d’ailleurs la première œuvre de la dessinatrice, Takeliongawa. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/inexistents?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    Inexistents

    On ne va pas se mentir, le début du livre est assez compliqué à comprendre : on arrive directement dans un chapitre qui ne semble rien à voir avec la suite. De plus, le dessin est assez chargé et l’organisation des vignettes, qui se veut innovante et dynamique, ont tendance à créer plus de confusion que d’explication. En ce qui concerne la partie fantastique du scénario où des personnes sont effacées car elles n’étaient pas censées exister (les Inexistents), il y a du potentiel mais on regrette qu’il n’y ait pas d’explications. Concernant notre héroïne, elle est l’ainée d’une famille composée de ses deux parents et d’une petite sœur et on ne voit pas très bien en quoi elle serait une erreur de création de l’univers… Ensuite, il y a le contexte et surtout le métier de Tsugumi qui est une mangaka. Cela permet aux auteurs de parler de leur métier et surtout de mettre en avant certains aspects comme la pression liée au développement de la série, les relations avec leurs assistants, avec les autres auteurs, le contact avec les fans… En conclusion, je dirai qu’il y a de bonnes idées, un peu trop pour être exploitées complètement dans un one shot. C’est prometteur pour la suite des carrières des auteurs. Ce manga est d’ailleurs la première œuvre de la dessinatrice, Takeliongawa.
  11. Titre de l'album : Don Juan des flots - Acte 1 - L'abuseur Scenariste de l'album : Isabelle Bauthian Dessinateur de l'album : Rebecca Morse Coloriste : Nicolas Vial Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Une tragi-comédie en 3 actes, avec des superhéros ! « Bon crépuscule, habitants de Flot ! » Dans la ville de Flot, îlot libertaire entouré d'océans déchaînés et peuplé de magiciens, vous pouvez faire ce que vous voulez, être qui vous souhaitez, vivre comme vous l'entendez. Les artistes, les scientifiques, les penseurs y furent un jour tout-puissants mais, les années passant, la belle utopie s'est effondrée, ne laissant qu'une cité sans foi ni loi. N'existe-t-il plus de grands esprits ? N'y a-t-il plus de héros ?On dirait bien que si. Car un justicier parcourt les rues. Un justicier pas très regardant, qui n'hésite pas à poignarder les contrevenants dans le dos et à séduire les victimes, mais un justicier tout de même, et que les gens adorent... DON JUAN ! Critique : Et hop on retrouve les auteures de Dragon & Poisons déjà chez Drakoo pour une nouvelle trilogie de fantasy centrée cette fois-ci sur une interprétation du personnage de Don Juan. Et cette entrée en matière est plutôt très réussie car si j'ai crains un petit peu au début que le style graphique soit un peu trop gentil pour la fantasy, il gagne vite en profondeur. Certes il manque encore un soupçon de régularité je trouve entre les planches notamment sur le traitement d visage de don juan, mais vraiment je pinaille, c'est plutôt réussi ET charmeur. L'histoire nous joue elle aussi le même tour pendable, elle donne l'impression de partir dans tous les sens pour nous livrer un univers riche, mais pauvre en explications, pour finalement nous amener vers une fin, et quelques réponses, qui nous tiennent plus qu'en haleine ! On a hâte d'en lire la suite et on est surpris, et ça ce n'est pas rien pour le lecteur goinfré de Fantasy que je suis. J'espère vivement que le tome 2 saura trouver son équilibre avant de nous apporter une conclusion maitrisée ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/don-juan-des-flots-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Et hop on retrouve les auteures de Dragon & Poisons déjà chez Drakoo pour une nouvelle trilogie de fantasy centrée cette fois-ci sur une interprétation du personnage de Don Juan. Et cette entrée en matière est plutôt très réussie car si j'ai crains un petit peu au début que le style graphique soit un peu trop gentil pour la fantasy, il gagne vite en profondeur. Certes il manque encore un soupçon de régularité je trouve entre les planches notamment sur le traitement d visage de don juan, mais vraiment je pinaille, c'est plutôt réussi ET charmeur. L'histoire nous joue elle aussi le même tour pendable, elle donne l'impression de partir dans tous les sens pour nous livrer un univers riche, mais pauvre en explications, pour finalement nous amener vers une fin, et quelques réponses, qui nous tiennent plus qu'en haleine ! On a hâte d'en lire la suite et on est surpris, et ça ce n'est pas rien pour le lecteur goinfré de Fantasy que je suis. J'espère vivement que le tome 2 saura trouver son équilibre avant de nous apporter une conclusion maitrisée !
  13. Presque qu’un an et demi avant d’avoir ce nouveau volume… C’est certes lent mais on devrait s’estimer heureux que la série se poursuive et ne soit pas interrompue prématurément comme cela arrive souvent. Rappelons que l’éditeur peut arrêter un titre dès que ce dernier ne fait plus suffisamment de vente. On avait laissé Kei dépité, face à la mort présumée de son frère mais n’y croyant pas. De retour au Japon avec son grand-père, il tient à découvrir la vérité entre ce qu’il connaissait de Michitaka et ce que le policier lui a dit. Pour cela, il n’a qu’une solution : partir à la découverte de son frère, reprendre son parcours, aller voir les personnes qui l’ont connu et entendre leur vision de son frère. Son ami d’enfance, Kiyoshi, l’accompagne et lui fait aussi comprendre que Michitaka est peut-être un meurtrier. Ce 7e tome s’ouvre sur une galerie graphique autour de Lilja, la jolie musicienne, et se referme aussi sur elle, nous ramenant dans les vastes paysages sauvages de l’Islande et nous ramenant surtout vers l’ambiance de la série qui manque un peu dans ce tome. Car oui, on est dans une partie du récit plus terre-à-terre avec une enquête dans une ville japonaise avec des rencontres de lycéens et des cours de cuisine de gyozas ! Mais au fur et à mesure des témoignages et des plongées dans leur passé, on voit que Kei se rapproche d’une vérité que nous, lecteurs, connaissons déjà. On attend le moment où il comprendra que son frère possède lui aussi certains pouvoirs. Ce volume est certes un peu moins envoûtant que les précédents mais on apprécie toujours autant le trait de l’autrice, fin et précis ainsi que le scénario qui nous emmène dans des contrées inconnues.
  14. Titre de l'album : Dans le sens du vent, nord nord-ouest tome 7 Scenariste de l'album : Aki Irie Dessinateur de l'album : Aki Irie Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Kei Miyama, détective indépendant de 17 ans, vit avec son grand-père français en Islande. Il possède le pouvoir communiquer avec les appareils électriques et les automobiles. Sa vie bascule soudainement lorsqu'un détective japonais en congés sur l'île lui annonce l'assassinat de son oncle et sa tante par son propre frère. Qui croire ? Convaincu de l'innocence de ce dernier, il va mener l'enquête. Critique : Presque qu’un an et demi avant d’avoir ce nouveau volume… C’est certes lent mais on devrait s’estimer heureux que la série se poursuive et ne soit pas interrompue prématurément comme cela arrive souvent. Rappelons que l’éditeur peut arrêter un titre dès que ce dernier ne fait plus suffisamment de vente. On avait laissé Kei dépité, face à la mort présumée de son frère mais n’y croyant pas. De retour au Japon avec son grand-père, il tient à découvrir la vérité entre ce qu’il connaissait de Michitaka et ce que le policier lui a dit. Pour cela, il n’a qu’une solution : partir à la découverte de son frère, reprendre son parcours, aller voir les personnes qui l’ont connu et entendre leur vision de son frère. Son ami d’enfance, Kiyoshi, l’accompagne et lui fait aussi comprendre que Michitaka est peut-être un meurtrier. Ce 7e tome s’ouvre sur une galerie graphique autour de Lilja, la jolie musicienne, et se referme aussi sur elle, nous ramenant dans les vastes paysages sauvages de l’Islande et nous ramenant surtout vers l’ambiance de la série qui manque un peu dans ce tome. Car oui, on est dans une partie du récit plus terre-à-terre avec une enquête dans une ville japonaise avec des rencontres de lycéens et des cours de cuisine de gyozas ! Mais au fur et à mesure des témoignages et des plongées dans leur passé, on voit que Kei se rapproche d’une vérité que nous, lecteurs, connaissons déjà. On attend le moment où il comprendra que son frère possède lui aussi certains pouvoirs. Ce volume est certes un peu moins envoûtant que les précédents mais on apprécie toujours autant le trait de l’autrice, fin et précis ainsi que le scénario qui nous emmène dans des contrées inconnues. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dans-le-sens-du-vent-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Le succès de Elles a décidément donné des idées au Lombard car on retrouve cette année une multitude de série bd jeunesse multipliant les héroïnes dans des univers fantastiques et sur des formats à mi chemin entre comics et bd franco belge, idéal pour lire dans son lit. Mais attention, sur ce Aylin, Ricardo Serrazina nous a concocté un sacré univers et un scénario pas si simple. Evidemment cela ne manquera pas de nous faire penser très très vite à Harry Potter car l'adolescente qui se retrouve en lutte magique et fantastique tout en devant mener de front sa vie scolaire et amoureuse, c'est désormais devenu un classique. Mais c'est fait ici avec suffisamment d'originalité pour que l'on soit intrigué. Cependant j'ai tendance à avoir trouvé l'ensemble un peu trop bavard, ce qui a nuit un peu à la fluidité de l'aventure je trouve. Les enjeux amoureux sont aussi un poil grossier et caricaturaux je trouve pour ce qui concerne Aylin, et l'humour un peu noyé dans des dialogues un peu trop nombreux ou longs. Les dessins de Madie La Cerda sont fins, dans un style qui ne manquera pas de rappeler Elles, mais avec une vraie touche personnelle sur les visages notamment. Sa colorisation rend le tout assez séduisant je pense, surtout pour un public jeunesse. Il faudra suivre cette nouvelle série de près, mais j'attends pour la suite un peu plus du scénario et des dialogues pour m'emballer vraiment.
  16. Titre de l'album : Aylin - Tome 1 - Le secret des elfes Scenariste de l'album : Ricardo Serrazina Dessinateur de l'album : Madie La Cerda Coloriste : Madie La Cerda Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Aylin n'est pas très à l'aise avec ses compagnons de classe. Elle se sent un peu différente : parfois, elle a l'impression d'entendre les pensées des autres. Pas étonnant donc, qu'elle laisse son imagination s'exprimer sur le papier. À travers ses dessins, elle rêve d'un monde elfique fantastique, de magie et d'aventure. Enfin, c'est ce qu'elle croyait jusqu'à ce que la réalité et ses fictions se percutent... Critique : Le succès de Elles a décidément donné des idées au Lombard car on retrouve cette année une multitude de série bd jeunesse multipliant les héroïnes dans des univers fantastiques et sur des formats à mi chemin entre comics et bd franco belge, idéal pour lire dans son lit. Mais attention, sur ce Aylin, Ricardo Serrazina nous a concocté un sacré univers et un scénario pas si simple. Evidemment cela ne manquera pas de nous faire penser très très vite à Harry Potter car l'adolescente qui se retrouve en lutte magique et fantastique tout en devant mener de front sa vie scolaire et amoureuse, c'est désormais devenu un classique. Mais c'est fait ici avec suffisamment d'originalité pour que l'on soit intrigué. Cependant j'ai tendance à avoir trouvé l'ensemble un peu trop bavard, ce qui a nuit un peu à la fluidité de l'aventure je trouve. Les enjeux amoureux sont aussi un poil grossier et caricaturaux je trouve pour ce qui concerne Aylin, et l'humour un peu noyé dans des dialogues un peu trop nombreux ou longs. Les dessins de Madie La Cerda sont fins, dans un style qui ne manquera pas de rappeler Elles, mais avec une vraie touche personnelle sur les visages notamment. Sa colorisation rend le tout assez séduisant je pense, surtout pour un public jeunesse. Il faudra suivre cette nouvelle série de près, mais j'attends pour la suite un peu plus du scénario et des dialogues pour m'emballer vraiment. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/aylin-tome-1-le-secret-des-elfes/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. The_PoP

    Soeur Calvaire

    Titre de l'album : Soeur Calvaire Scenariste de l'album : Raule Dessinateur de l'album : Fran Carmona Coloriste : Werner Sanchez Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Si le Mal ne dort jamais, c'est parce que Soeur Calvaire est son pire cauchemar. Soeur Justine, religieuse dans un monastère espagnol, mène une double vie en tant qu'exorciste sous le nom de Soeur Calvaire, combattant les forces du mal avec l'aide de sa chienne Natas. Lors d'une mission, Justine rencontre Salomon Saba, un charismatique exorciste musulman. Bien que méfiants l'un envers l'autre, ils collaborent pour vaincre un puissant démon.C'est alors que Justine découvre un grand pouvoir en elle, qui suscite inquiétude et mystère. Capable de faire le bien, il pourrait aussi être la clé du déclenchement de l'Armageddon sur Terre. Confrontée à ses propres doutes et à la désapprobation de ses supérieurs, Justine doit choisir entre cacher son don aux forces obscures ou prendre le risque de l'utiliser pour continuer à protéger l'Humanité. Critique : Une jolie nonne futée qui massacre des démons à tout bout de champ, forcément si vous aimez le fantastique un brin iconoclaste, cela va vous aguicher. Attention ce Soeur Calvaire est un format entre comics et bd, avec ses soixante pages, une couverture rigide mais un format un peu plus étroit que dans la bd franco belge traditionnelle. Il s'agit bien d'un one shot, même si on imagine aisément que les auteurs avaient plusieurs tomes sous le coude et qu'en cas de succès on risque de revoir Soeur Calvaire. En effet tous les éléments sont mis en place pour une série plus longue, ce qui nuit un petit peu à ce tome car il y a pas mal d'introduction à un Univers qui s'il n'est pas le plus original au monde, mérite quand même quelques développements. En dehors de ça l'aventure se déroule à 100 à l'heure, bien servie par un graphisme simple mais efficace et lisible. Le rendu est assez proche de nos dessins animés habituels, si ce n'est que l'univers est peut être plus sanglant. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/soeur-calvaire-9782382331804?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Titre de l'album : Exsangue - Tome 1 - La marque Scenariste de l'album : Éric Corbeyran Dessinateur de l'album : Alex Shibao Coloriste : Natalia Marques Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Marko Gregorian est chasseur de vampires. Il fait partie d'une organisation dont le but est leur éradication. Sa soeur a été transformée en vampire et il veut la retrouver et mettre fin à ses souffrances. Lorsque démarre notre récit, une nouvelle mission l'amène sur le sol américain. Sa cible se nomme Thania... mais les choses vont prendre une tournure des plus inattendues. Critique : Et bien voici une bonne surprise chez Soleil ! Parce que très sincèrement je n'étais pas hyper optimiste, Soleil ne m'ayant pas toujours rassuré sur son traitement des thèmes "en vogue". Alors une enième histoire de vampires mêlée à une histoire d'amour bon. Comment vous dire ? ça a du mal à nous faire frétiller, même avec M. Corbeyran aux manettes. Et pourtant, tout ici est bien réalisé. Tout d'abord nous avons un dessinateur talentueux, qui sait nous livrer de belles planches, de beaux découpages bien dynamiques, et des belles tronches de personnages, c'est agréable, le tout en ayant presque l'illusion de voir les coups de crayon malgré l'utilisation du numérique. Certes il reste sur l'essentiel et ne perd guère de temps en fioritures mais ne chipotons pas. J'aime. Ensuite le scénario, Corbeyran réussit le miracle de recycler tout ou presque ce qui a été fait ou dit ou filmé sur les vampires, pour le rendre à sa sauce le temps de ce diptyque vitaminé et pourtant assez clair et lisible. Les personnages sont réussis, les enjeux sont clairs, place à l'aventure. Exsangue est une lecture pop culture donc, sans trop de prise de tête, pour ceux qui n'en n'ont pas assez des vampires et des histoires d'amour, et qui ne veulent pas s'engager plus loin qu'un bon diptyque. Réussi ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/exsangues-tome-1-la-marque/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Titre de l'album : Duncross - Contre les créatures du mal Scenariste de l'album : Derek Laufman Dessinateur de l'album : Derek Laufman Coloriste : Derek Laufman Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Fun et action dans la Dark Fantasy ! Le père McKellen est l'assistant de Sir Duncross, un chevalier qui ne craint pas la peur. Il est témoin de toutes ses missions ayant pour but de purifier le monde des créatures du mal. Que ce soit dans une chapelle abandonnée ou en haut d'une tour près du rivage, Duncross est là pour les éliminer. Des monstres et des combats pour une aventure 100% fun. Critique : C'est un ovni assez particulier que celui-ci car il se présente tout d'abord comme une série d'action humoristique. Hors il n'en n'est pas grand chose du côté de l'humour hormis le trait de Derek Laufman car sur le fond c'est une quête bien sombre que poursuivent nos deux héros. Certes ça castagne et il y a bien quelques punchlines, mais comme toujours quand il s'agit de débusquer le mal, on ne tombe pas toujours sur ce que l'on imagine au départ. C'est bien un one shot, même si on imagine que l'auteur aurait eu bien d'autres aventures de ses deux personnages à nous raconter, et pour tout vous dire, cela a un parfum un peu d'inachevé ou de trop peu car le potentiel était là. Reste donc le charme de ces deux compères un peu désuets et à l'ancienne dans leur chasse aux démons 🙂 Et c'est déjà bien. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/duncross-contre-les-creatures-du-mal/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. C'est un ovni assez particulier que celui-ci car il se présente tout d'abord comme une série d'action humoristique. Hors il n'en n'est pas grand chose du côté de l'humour hormis le trait de Derek Laufman car sur le fond c'est une quête bien sombre que poursuivent nos deux héros. Certes ça castagne et il y a bien quelques punchlines, mais comme toujours quand il s'agit de débusquer le mal, on ne tombe pas toujours sur ce que l'on imagine au départ. C'est bien un one shot, même si on imagine que l'auteur aurait eu bien d'autres aventures de ses deux personnages à nous raconter, et pour tout vous dire, cela a un parfum un peu d'inachevé ou de trop peu car le potentiel était là. Reste donc le charme de ces deux compères un peu désuets et à l'ancienne dans leur chasse aux démons 🙂 Et c'est déjà bien.
  21. Titre de l'album : Didi - Tome 2 - Métamorphose Scenariste de l'album : Christian Galli Dessinateur de l'album : Christian Galli Coloriste : Christian Galli Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Aidé par les incroyables pouvoirs de Didi, Simon cherche à percer le mystère de la disparition de son grand-père. Dans leur quête, lui et ses amis découvrent bientôt d'autres animaux évolués, aux capacités uniques ! Mais ces derniers sont en fait manipulés par un mystérieux Léonard, un redoutable ennemi qui veut s'approprier le pouvoir de Didi. Notre groupe de héros devra déjouer ses plans et libérer les grenouilles captives, avant qu'elles ne deviennent des armes malgré elles ! Critique : Le tome 1 de Didi avait été une bonne surprise car je l'avoue je n'en attendais pas grand chose tant le pitch me semblait étrange. Force était de constater que l'ensemble fonctionnait bien, mais ce second tome est cette fois-ci plus attendu alors qu'en est-il ? Si la surprise ne fonctionne plus autant, et que la trame de l'histoire devient finalement plus classique, cette série n'en perd pas ses qualités intrinsèques pour autant : un scénario bien construit autour d'une narration dynamique et efficace, des personnages bien pensés, et un dessin plutôt agréable. Didi est une série qui fonctionne bien, et que mes neveux ont beaucoup apprécié. On n'est certes pas sur le très haut de la bd jeunesse, mais c'est une lecture très agréable, le découpage hyper dynamique et visuel des pages rendant le tout vraiment fluide. Les jeunes amateurs de fantastique seront ravis. A noter que je trouve la couverture un peu trop tendre par rapport au contenu graphique de l'album, bien plus mordant, notamment au niveau de la colorisation. Christian Galli réussit là un beau début de série en tant qu'auteur complet. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/didi-tome-2-metamorphose/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. The_PoP

    Didi - Tome 2 - Métamorphose

    Le tome 1 de Didi avait été une bonne surprise car je l'avoue je n'en attendais pas grand chose tant le pitch me semblait étrange. Force était de constater que l'ensemble fonctionnait bien, mais ce second tome est cette fois-ci plus attendu alors qu'en est-il ? Si la surprise ne fonctionne plus autant, et que la trame de l'histoire devient finalement plus classique, cette série n'en perd pas ses qualités intrinsèques pour autant : un scénario bien construit autour d'une narration dynamique et efficace, des personnages bien pensés, et un dessin plutôt agréable. Didi est une série qui fonctionne bien, et que mes neveux ont beaucoup apprécié. On n'est certes pas sur le très haut de la bd jeunesse, mais c'est une lecture très agréable, le découpage hyper dynamique et visuel des pages rendant le tout vraiment fluide. Les jeunes amateurs de fantastique seront ravis. A noter que je trouve la couverture un peu trop tendre par rapport au contenu graphique de l'album, bien plus mordant, notamment au niveau de la colorisation. Christian Galli réussit là un beau début de série en tant qu'auteur complet.
  23. Et dire que j'avais eu peur. Pardon monsieur James Tyrion IV ! J'avais eu peur en voyant que le tome suivant n'était pas "libellé" comme la suite directe des deux premiers. J'avais eu peur qu'on tombe dans une histoire qui se délaye juste parce que les deux premiers avaient super bien marché. ET bien j'ai eu tort de douter. En effet ce Nice house by the sea est la suite directe des deux premiers tomes. Et quelle suite ! C'est tout simplement parfait. James Tyrion IV nous livre une suite qui coche toutes les cases : on continue à élargir un peu le contexte tout en nous expliquant de plus en plus les motivations et les règles que se posent les extra terrestres. Il réussit surtout à introduire la deuxième maison, mais sans trop s'appesantir sur ces nouveaux arrivants pour très rapidement faire un lien intelligent entre les deux et ajouter un objectif à nos "survivants" oisifs. C'est le troisième tome parfait ! Vivement le quatrième !
  24. Titre de l'album : The nice house by the sea tome 1 Scenariste de l'album : James Tynion IV Dessinateur de l'album : Álvaro Mártinez Bueno Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Aucun des douze convives de cette belle demeure en bord de Méditerranée ne connaissait Max. Elle connaissait pourtant chacun d'entre eux. Experts dans leur domaine, géants de l'industrie et du savoir moderne, chacun d'entre eux est l'excellence personnifiée. Pour échapper à la fin du monde et incarner l'avenir de l'Humanité, tous ont accepté en leur âme et conscience de se réunir dans ce petit paradis créé rien que pour eux, abandonnant vie et proches à leur triste sort. Survivre à la mort programmée de l'humanité ? Vivre éternellement ? Que pourrait-il y avoir de mal à ça ? Contenu vo : The Nice House by the Sea (#1-6). Critique : Et dire que j'avais eu peur. Pardon monsieur James Tyrion IV ! J'avais eu peur en voyant que le tome suivant n'était pas "libellé" comme la suite directe des deux premiers. J'avais eu peur qu'on tombe dans une histoire qui se délaye juste parce que les deux premiers avaient super bien marché. ET bien j'ai eu tort de douter. En effet ce Nice house by the sea est la suite directe des deux premiers tomes. Et quelle suite ! C'est tout simplement parfait. James Tyrion IV nous livre une suite qui coche toutes les cases : on continue à élargir un peu le contexte tout en nous expliquant de plus en plus les motivations et les règles que se posent les extra terrestres. Il réussit surtout à introduire la deuxième maison, mais sans trop s'appesantir sur ces nouveaux arrivants pour très rapidement faire un lien intelligent entre les deux et ajouter un objectif à nos "survivants" oisifs. C'est le troisième tome parfait ! Vivement le quatrième ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-nice-house-by-the-sea-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Le lombard nous propose son troisième tome de sa série jeunesse plutôt destinée à nos jeunes filles je pense par les thématiques abordées. Le scénario de Kid Toussaint me déçoit un petit peu pour le moment car l'ensemble reste assez simple, et les interactions entre les personnages peu riches. Certes cela laisse la place aux péripéties mais je trouve que par rapport aux autre séries jeunesse du Lombard, Les héricornes manque un petit peu d'ambition. Comme si l'on ne pouvait pas aimer les licornes et les histoires un peu plus étayées. Dommage donc, d'autant que si les dessins de Verónica Álvarez sont propres, il leur manque aussi le petit supplément d'âme qui rendrait cette bd plus remarquable. L'ensemble est bien mais je le trouve trop limité pour le conseiller à quelqu'un d'autre qu'à une jeune personne fan de licornes.
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