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Pour les vacances d'été, Doki doki nous sort un nouveau seinen prometteur nous présentant un battle royale mettant en jeu rien de moins que la survie de tous les habitants d'un pays entier". En effet la planète n'en peu tellement plus que la seule solution pour permettre à l'Humanité de survivre c'est de décimer arbitrairement une partie de ses habitants… c'est tout du moins le point de vue de l'IA nommée Gaia. Pour choisir quelle nation sera éradiquée, un battle royale est organisé entre tout les champions des 16 nations du monde. Ce que j'ai bien aimé dans cette nouvelle série, c'est que, hormis le battle royale et les combats globalement très bien fait, les humains remettent entièrement leurs décisions à une IA sans remettre sont choix en question, même si celui-ci condamne une partie de la planète. C'est le véritable point qui change dans ce premier tome. Les dirigeants de la terre se débarrassent de leur responsabilité au profit de Gaia...Sans véritablement se demander si cette IA n'a pas une volonté propre. Dessin efficace, combat intriguant plein de pouvoir étrange, IA qui semble hors de contrôle et humains perfides aux commandes. Un bon manga d'été donc on regrette juste de devoir attendre septembre pour avoir le tome 2
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Titre de l'album : Doomsday war - Rekkyô sensen tome 1 Scenariste de l'album : Natsuko Uruma Dessinateur de l'album : Natsuko Uruma Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : 16 combattants. 16 nations. Une seule vaincra. An 2206 de notre ère. La Terre est en proie aux pires catastrophes climatiques : la température du globe et le niveau des eaux ont drastiquement monté, le monde suffoque et une grande partie des animaux est éteinte. Selon Gaïa, l'intelligence artificielle aux prédictions incontestées, il ne reste plus que cent ans avant que la surpopulation n'entraîne la fin de l'humanité... Les 16 nations survivantes concluent alors un accord désespéré. Chacune d'entre elles sera représentée par un champion dans un grand tournoi. Et malheur aux pays vaincus... Ils disparaîtront de la surface terrestre, prolongeant ainsi un peu plus l'espérance de survie de la race humaine ! C'est le début d'un affrontement mondial démesuré, où tous les coups surnaturels sont permis, pour l'honneur et la survie de sa patrie ! Critique : Pour les vacances d'été, Doki doki nous sort un nouveau seinen prometteur nous présentant un battle royale mettant en jeu rien de moins que la survie de tous les habitants d'un pays entier". En effet la planète n'en peu tellement plus que la seule solution pour permettre à l'Humanité de survivre c'est de décimer arbitrairement une partie de ses habitants… c'est tout du moins le point de vue de l'IA nommée Gaia. Pour choisir quelle nation sera éradiquée, un battle royale est organisé entre tout les champions des 16 nations du monde. Ce que j'ai bien aimé dans cette nouvelle série, c'est que, hormis le battle royale et les combats globalement très bien fait, les humains remettent entièrement leurs décisions à une IA sans remettre sont choix en question, même si celui-ci condamne une partie de la planète. C'est le véritable point qui change dans ce premier tome. Les dirigeants de la terre se débarrassent de leur responsabilité au profit de Gaia...Sans véritablement se demander si cette IA n'a pas une volonté propre. Dessin efficace, combat intriguant plein de pouvoir étrange, IA qui semble hors de contrôle et humains perfides aux commandes. Un bon manga d'été donc on regrette juste de devoir attendre septembre pour avoir le tome 2 Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/doomsday-war-rekkyo-sensen-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Young ladies don't play fighting games tome 1 Scenariste de l'album : Eri Ejima Dessinateur de l'album : Eri Ejima Coloriste : Editeur de l'album : Vega-Dupuis Note : Résumé de l'album : June élève de première année, Aya étudie dans une école pour filles prestigieuse malgré sa condition modeste grâce à une bourse d'étude. Elle admire et rêve de devenir celle qu'on surnomme le « Lys blanc », la fille la plus populaire de l'institut en devenant elle-même une lady malgré son manque d'éducation. Un jour, elle surprend le « Lys blanc » jouer avec passion à un jeu de combat en cachette alors qu'ils sont interdits à l'école. Cette dernière prie Aya de garder son secret, mais reviendra vers elle pour lui demander...une partie ! Aya, qui est une ancienne joueuse accepte malgré les convenances de jouer avec elle. Cette rencontre marquera entre les deux filles le début d'une drôle de relation... Critique : Le concept du manga est simple : montrer que les filles ont aussi le droit de jouer à des jeux de combat et d’être passionnées par eux. Qu’elles peuvent être aussi geeks que des garçons en quelque sorte !! Le plus du scénario c’est d’avoir choisi comme héroïnes des jeunes filles qui vont dans un lycée huppé, un établissement pour demoiselles de bonnes famille aux manières impeccables qui feront la fierté de la société ! Cela aurait pu être bien si les deux personnages principaux étaient vraiment issus de la haute société, cela aurait une sorte de transgression des règles établies… Mais ici, la petite brunette est une boursière, elle a grandi au milieu des jeux vidéo ! Et celle aux cheveux argentés, surnommée « le lys blanc », est une gameuse dans l’âme qui se répand en injures quand elle joue. On tombe un peu dans la facilité je trouve. Mais ce n’est pas le plus dérangeant : car au final, on a des pages et des pages de jeu avec des techniques de combat… Le côté intéressant vient du fait qu’elles sont obligées de se cacher pour jouer mais sinon, les parties de combat trainent en longueur et le scénario est limité. On voit cependant que l’on a évolué, avant le fan service c’était des filles et des guns, maintenant ce sera des filles et des jeux vidéo !! Bref, je passe mon tour. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/young-ladies-don-t-play-fighting-games-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Le concept du manga est simple : montrer que les filles ont aussi le droit de jouer à des jeux de combat et d’être passionnées par eux. Qu’elles peuvent être aussi geeks que des garçons en quelque sorte !! Le plus du scénario c’est d’avoir choisi comme héroïnes des jeunes filles qui vont dans un lycée huppé, un établissement pour demoiselles de bonnes famille aux manières impeccables qui feront la fierté de la société ! Cela aurait pu être bien si les deux personnages principaux étaient vraiment issus de la haute société, cela aurait une sorte de transgression des règles établies… Mais ici, la petite brunette est une boursière, elle a grandi au milieu des jeux vidéo ! Et celle aux cheveux argentés, surnommée « le lys blanc », est une gameuse dans l’âme qui se répand en injures quand elle joue. On tombe un peu dans la facilité je trouve. Mais ce n’est pas le plus dérangeant : car au final, on a des pages et des pages de jeu avec des techniques de combat… Le côté intéressant vient du fait qu’elles sont obligées de se cacher pour jouer mais sinon, les parties de combat trainent en longueur et le scénario est limité. On voit cependant que l’on a évolué, avant le fan service c’était des filles et des guns, maintenant ce sera des filles et des jeux vidéo !! Bref, je passe mon tour.
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Titre de l'album : No-Go Zone X tome 1 Scenariste de l'album : Romy Oishi Dessinateur de l'album : Meshe Coloriste : Editeur de l'album : Omaké Note : Résumé de l'album : Ryoka, une lycéenne, se réveille un beau matin et comprend rapidement qu'elle est seule, bloquée à l'intérieur de son immeuble dont tous les accès ont été fermés. D'après un message de sa mère se trouvant à l'extérieur, une mystérieuse créature appelée « X » se trouve dans leur appartement... Comment va-t-elle pouvoir s'enfuir ? Quelqu'un peut-il l'aider ? Et surtout, pourquoi Ryoka est-elle la seule à être restée enfermée dans cet immeuble ? Critique : Vous aimez Sweet Home ? Vous aimerez ce manga, enfin sauf si vous voulez un scénario original car les deux se ressemblent quand même beaucoup. Quand Ryôka se réveille de sa sieste, elle est seule dans son appartement mais pas dans son immeuble ! Un monstre géant s’est accolé au bâtiment, un monstre terrifiant qui attaque dès qu’il vous voit. Et c’est ainsi qu’elle mourut. Quand elle se réveille la seconde fois, elle est revenue au point de départ (son premier réveil) avec les souvenirs de la journée passée. Même si elle a du mal à y croire, elle essaye d’anticiper les événements et surtout échapper au monstre. Heureusement elle n’est pas seule dans l’immeuble et Shûhei, un camarade de classe et ami d’enfance, est aussi présent. Mais hélas, cette régression est accompagnée d’un changement important : ce n’est plus le même monstre ! Et c’est ainsi qu‘ils moururent ! Dans chaque boucle, de petits changements se produisent qui amèneront peut-être Ryôka vers le salut. On est dans une ambiance assez sombre où très peu d’informations sont données, ce qui fait que l’on ne sait jamais à quoi s’attendre. La série est finie en 3 tomes et ça c’est une bonne nouvelle car certains mangas ont tendance à trainer en longueur pour pas grand-chose. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/no-go-zone-x-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Vous aimez Sweet Home ? Vous aimerez ce manga, enfin sauf si vous voulez un scénario original car les deux se ressemblent quand même beaucoup. Quand Ryôka se réveille de sa sieste, elle est seule dans son appartement mais pas dans son immeuble ! Un monstre géant s’est accolé au bâtiment, un monstre terrifiant qui attaque dès qu’il vous voit. Et c’est ainsi qu’elle mourut. Quand elle se réveille la seconde fois, elle est revenue au point de départ (son premier réveil) avec les souvenirs de la journée passée. Même si elle a du mal à y croire, elle essaye d’anticiper les événements et surtout échapper au monstre. Heureusement elle n’est pas seule dans l’immeuble et Shûhei, un camarade de classe et ami d’enfance, est aussi présent. Mais hélas, cette régression est accompagnée d’un changement important : ce n’est plus le même monstre ! Et c’est ainsi qu‘ils moururent ! Dans chaque boucle, de petits changements se produisent qui amèneront peut-être Ryôka vers le salut. On est dans une ambiance assez sombre où très peu d’informations sont données, ce qui fait que l’on ne sait jamais à quoi s’attendre. La série est finie en 3 tomes et ça c’est une bonne nouvelle car certains mangas ont tendance à trainer en longueur pour pas grand-chose. A suivre.
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Titre de l'album : Blood-crawling princess tome 1 Scenariste de l'album : Yuki Azuma Dessinateur de l'album : Yuki Azuma Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Ils l'ont traînée dans la boue, elle va faire couler leur sang. La princesse Evita menait une vie modeste mais heureuse dans son petit royaume jusqu'au jour où le pays voisin attaque sans préavis. Elle assiste, impuissante, au sac de ses terres et au massacre de sa famille. Seule survivante, Evita est vendue à une maison close, où elle devient la prostituée Priscilla. Alors qu'elle semble condamnée à une vie de torture aux mains du troisième fils du souverain, les cloches de la révolte sonnent enfin. Critique : Un grand empire désireux de conquêtes et de pouvoir envahit un jour le petit royaume paisible de Batalia, exterminant la population. Par miracle Evita, la princesse du royaume arrive à s’échapper et n’a pas d’autre choix que de vendre son corps pour survivre. Elle est donc devenue, sous le nom de Priscilla, l’une des courtisanes les plus prisées de la ville de San Missa, un endroit dédié au plaisir composé de maisons closes où les femmes y sont retenues contre leur gré jusqu’à leur mort. Mais Priscilla n’est pas la gentille idiote qu’elle laisse paraitre et elle fomente sa vengeance contre l’empire en entrainant dans son sillage toutes les femmes de la cité. Il est temps de lancer la contre-attaque ! Si dans The brave wish revenging, on a Raoul, le héros trahi, qui prend sa revanche de façon extrême, Evita est son pendant féminin. Une héroïne forte qui va frapper un grand coup (plusieurs même !) que ce soit contre l’empire mais surtout contre les hommes. Pour dire, Kurokawa a accompagné l’envoi du service de presse d’un casse-noix, je vous laisse deviner son utilisation :) ! C’est antitotalitarisme et anti-patriarcal à souhait !! Par contre, le manga est violent et à réserver à un public averti. Reste à voir si le scénario va tomber dans une accumulation de scènes choquantes (comme son pendant) ou s’il va proposer une trame plus constructive et intéressante. À suivre Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blood-crawling-princess-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Un grand empire désireux de conquêtes et de pouvoir envahit un jour le petit royaume paisible de Batalia, exterminant la population. Par miracle Evita, la princesse du royaume arrive à s’échapper et n’a pas d’autre choix que de vendre son corps pour survivre. Elle est donc devenue, sous le nom de Priscilla, l’une des courtisanes les plus prisées de la ville de San Missa, un endroit dédié au plaisir composé de maisons closes où les femmes y sont retenues contre leur gré jusqu’à leur mort. Mais Priscilla n’est pas la gentille idiote qu’elle laisse paraitre et elle fomente sa vengeance contre l’empire en entrainant dans son sillage toutes les femmes de la cité. Il est temps de lancer la contre-attaque ! Si dans The brave wish revenging, on a Raoul, le héros trahi, qui prend sa revanche de façon extrême, Evita est son pendant féminin. Une héroïne forte qui va frapper un grand coup (plusieurs même !) que ce soit contre l’empire mais surtout contre les hommes. Pour dire, Kurokawa a accompagné l’envoi du service de presse d’un casse-noix, je vous laisse deviner son utilisation :) ! C’est antitotalitarisme et anti-patriarcal à souhait !! Par contre, le manga est violent et à réserver à un public averti. Reste à voir si le scénario va tomber dans une accumulation de scènes choquantes (comme son pendant) ou s’il va proposer une trame plus constructive et intéressante. À suivre
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Bon allez je l'avoue d'entrée : le coup de cœur est peut-être un peu de trop. Mais je pense qu'il faut pousser les lecteurs vers les bonnes sorties et pour se démarquer des autres isekai souvent moyen, je me permets d'utiliser ce cœur pour vous pousser à vous pencher sur un Isekai pour adulte qui se trouve être bien plus intéressant que ne laisse présager la couverture. En effet, on est ici absolument pas dans une isekai pour jeune. La preuve, notre héroïne réincarnée est une meurtrière. Et elle tombe dans un monde où les invoqués ne semblent ne pas être considéré comme dans les autres mangas du genre. Ici c'est violent, c'est très dure et aucun des personnages en question ne semblent vraiment être ce qu'il prétend. Porté par un dessin vraiment chiadé, avec une gestion du noir et blanc de haut niveau, cette histoire est intrigante par son sérieux, mais aussi par la dureté du monde qui amplifie les sentiments cachés de notre "héroïne". Bref deux tomes super intéressants pour lesquels j'encourage tout lecteur adulte à franchir le pas d'une couverture un peu trop "jeunesse" à mon gout. Vivement la suite (7 tomes en cours aux japons)
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Titre de l'album : Sister and giant tome 1 & 2 Scenariste de l'album : Be-con Dessinateur de l'album : Be-con Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Essuie tes larmes car je serai désormais ta soeur... La Renaissance d'une jeune femme dans un autre monde ! Après avoir conclu un pacte, Hinako, une humaine réincarnée, et Eilis, une géante esseulée, décident de devenir soeurs. Surnommée "la plus petite des géantes", Hinako est à la recherche de sa soeur aînée de sa vie antérieure, elle aussi réincarnée. Quant à Eilis, elle souhaite retrouver son clan qui l'a abandonnée. C'est donc ensemble qu'elles parcourent un nouveau monde à la recherche des familles qu'elles ont perdues. Cependant, au cours de leurs aventures, Hinako attire par mégarde l'attention d'un chevalier de l'Église sainte... "Un pouvoir ? Ah... j'ai poliment refusé. " Leurs races et leurs vies sont différentes, mais toutes deux sont à la recherche de leurs familles. C'est le début d'une aventure fantastique dans un monde gouverné par les liens du sang et du coeur. Un lien encore plus fort que le sang ! Critique : Bon allez je l'avoue d'entrée : le coup de cœur est peut-être un peu de trop. Mais je pense qu'il faut pousser les lecteurs vers les bonnes sorties et pour se démarquer des autres isekai souvent moyen, je me permets d'utiliser ce cœur pour vous pousser à vous pencher sur un Isekai pour adulte qui se trouve être bien plus intéressant que ne laisse présager la couverture. En effet, on est ici absolument pas dans une isekai pour jeune. La preuve, notre héroïne réincarnée est une meurtrière. Et elle tombe dans un monde où les invoqués ne semblent ne pas être considéré comme dans les autres mangas du genre. Ici c'est violent, c'est très dure et aucun des personnages en question ne semblent vraiment être ce qu'il prétend. Porté par un dessin vraiment chiadé, avec une gestion du noir et blanc de haut niveau, cette histoire est intrigante par son sérieux, mais aussi par la dureté du monde qui amplifie les sentiments cachés de notre "héroïne". Bref deux tomes super intéressants pour lesquels j'encourage tout lecteur adulte à franchir le pas d'une couverture un peu trop "jeunesse" à mon gout. Vivement la suite (7 tomes en cours aux japons) Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sister-and-giant-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Iwamoto Senpai tome 1 Scenariste de l'album : Hiroshi Shibashi Dessinateur de l'album : Hiroshi Shibashi Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Années 1910, Kodô Iwamoto est élève au collège Seihô, un établissement sous tutelle de l'armée. Sur ordre de sa hiérarchie, il se rend aux quatre coins du Japon pour enquêter sur des phénomènes surnaturels. Dans un village où tombe une étrange neige noire , il fait la connaissance de Shizuma, un adolescent aux aptitudes mystérieuses. Le jeune homme considère ses dons comme une malédiction et ignore leur véritable potentiel, mais Iwamoto lui révèle alors qu'ils partagent tous deux un lien particulier, avant de lui remettre une lettre de recommandation pour le collège Seihô. Partout où Iwamoto est envoyé, le paranomal rôde... Plongez dans les mystères d'une époque avec ce récit d'aventures où les rêves de la jeunesse se conjuguent à l'étrange ! Critique : Ah ce manga a assurément un certain charme, un peu comme dans My Happy Marriage ou Devil’s Lost Soul où les personnages naviguent entre tradition et fantastique. Mais pas dans une ambiance hyper dynamique avec de l’action dans tous les sens, non un fantastique subtil, à dénicher au fond d’une grotte ou au détour d’un sentier. Un fantastique mêlé à une certaine mélancolie puisque le récit revient sur les événements liés à la vie d’Iwamoto et cite aussi ses mémoires. Iwamoto, le personnage principal, est présenté comme le héros de l’ombre dont les agissements méconnus ont eu une influence notable sur la guerre. La lecture oscille entre aventure action et conte fantastique. Le scénario est équilibré, plein de trouvaille et le graphisme est très élégant. Un manga à suivre ! (10 tomes en cours) Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/iwamoto-senpai-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Ah ce manga a assurément un certain charme, un peu comme dans My Happy Marriage ou Devil’s Lost Soul où les personnages naviguent entre tradition et fantastique. Mais pas dans une ambiance hyper dynamique avec de l’action dans tous les sens, non un fantastique subtil, à dénicher au fond d’une grotte ou au détour d’un sentier. Un fantastique mêlé à une certaine mélancolie puisque le récit revient sur les événements liés à la vie d’Iwamoto et cite aussi ses mémoires. Iwamoto, le personnage principal, est présenté comme le héros de l’ombre dont les agissements méconnus ont eu une influence notable sur la guerre. La lecture oscille entre aventure action et conte fantastique. Le scénario est équilibré, plein de trouvaille et le graphisme est très élégant. Un manga à suivre ! (10 tomes en cours)
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Titre de l'album : Les lueurs de l'outre-monde Scenariste de l'album : Yamakujira Dessinateur de l'album : Yamakujira Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Dans le Japon du XIXe siècle, un médium et des petits démons s'allient pour délivrer les âmes des fantômes errants sur terre. An 19 de l'ère Meiji, la chaleur estivale s'est installée et le chant des cigales résonne dans l'air... Torasuke, un enfant démon et son partenaire Ushimatsu sont chargés de collecter les âmes des humains dont l'heure a sonné, tout en restant invisibles aux yeux des mortels. Quelle n'est pas leur surprise lorsqu'un nommé Sôma les interpelle ! À la demande de cet homme hors du commun, Torasuke, qui n'avait jamais eu de contact avec les gens de " ce monde ", s'embarque dans une grande aventure pour... chasser les fantômes ! Critique : C’est une bien jolie histoire que voilà. La présentation de ce one shot comme un conte onirique est particulièrement adéquate car si l’histoire commence comme un récit fantastique avec une « chasse » aux fantômes, la fin nous emmène plus dans le conte. Deux petits démons parcourent la ville afin de conduire les âmes des défunts vers l’au-delà. L’un d’eux croise Sôma, un homme sensible aux phénomènes paranormaux dont les services sont souvent demandés pour chasser les fantômes. Il découvre ainsi que l’on peut aider les fantômes à aller aussi de l’autre côté. Cet exploit va lui permettre de se faire bien voir dans son travail. En plus, avec l’aide de Sôma, il peut aussi gouter la nourriture réelle. Je ne sais pas s’il y a une morale à l’histoire, s’il y a un message à comprendre. Je crois qu’il faut juste se laisser porter par le récit, suivre les personnages dans leur activité positive ; accompagner les âmes dans leur dernier voyage, leur apporter la paix éternelle. Et puis, vous aurez une belle conclusion qui donne une nouvelle saveur au livre. Un ouvrage à lire et à regarder. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-lueurs-de-l-outre-monde?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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C’est une bien jolie histoire que voilà. La présentation de ce one shot comme un conte onirique est particulièrement adéquate car si l’histoire commence comme un récit fantastique avec une « chasse » aux fantômes, la fin nous emmène plus dans le conte. Deux petits démons parcourent la ville afin de conduire les âmes des défunts vers l’au-delà. L’un d’eux croise Sôma, un homme sensible aux phénomènes paranormaux dont les services sont souvent demandés pour chasser les fantômes. Il découvre ainsi que l’on peut aider les fantômes à aller aussi de l’autre côté. Cet exploit va lui permettre de se faire bien voir dans son travail. En plus, avec l’aide de Sôma, il peut aussi gouter la nourriture réelle. Je ne sais pas s’il y a une morale à l’histoire, s’il y a un message à comprendre. Je crois qu’il faut juste se laisser porter par le récit, suivre les personnages dans leur activité positive ; accompagner les âmes dans leur dernier voyage, leur apporter la paix éternelle. Et puis, vous aurez une belle conclusion qui donne une nouvelle saveur au livre. Un ouvrage à lire et à regarder.
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Titre de l'album : Inexistents Scenariste de l'album : Miki Makasu Dessinateur de l'album : Takeliongawa Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Vouée à écrire pour ne pas disparaître... L'Univers commet aussi des erreurs, car certains humains, appelés Inexistents, ne sont pas censés exister. C'est le cas de Tsugumi, autrice taiwanaise à succès du manga "Demon Smile". Lorsqu'elle découvre la vérité sur sa nature, son monde s'effondre. Seulement, Sof, la créature chargée de corriger l'univers, est aussi un fan absolu du manga "Demon Smile" et se refuse à voir disparaître Tsugumi avant de connaître la fin de l'histoire. Tous deux s'allient alors pour tenter d'empêcher l'effacement... Critique : On ne va pas se mentir, le début du livre est assez compliqué à comprendre : on arrive directement dans un chapitre qui ne semble rien à voir avec la suite. De plus, le dessin est assez chargé et l’organisation des vignettes, qui se veut innovante et dynamique, ont tendance à créer plus de confusion que d’explication. En ce qui concerne la partie fantastique du scénario où des personnes sont effacées car elles n’étaient pas censées exister (les Inexistents), il y a du potentiel mais on regrette qu’il n’y ait pas d’explications. Concernant notre héroïne, elle est l’ainée d’une famille composée de ses deux parents et d’une petite sœur et on ne voit pas très bien en quoi elle serait une erreur de création de l’univers… Ensuite, il y a le contexte et surtout le métier de Tsugumi qui est une mangaka. Cela permet aux auteurs de parler de leur métier et surtout de mettre en avant certains aspects comme la pression liée au développement de la série, les relations avec leurs assistants, avec les autres auteurs, le contact avec les fans… En conclusion, je dirai qu’il y a de bonnes idées, un peu trop pour être exploitées complètement dans un one shot. C’est prometteur pour la suite des carrières des auteurs. Ce manga est d’ailleurs la première œuvre de la dessinatrice, Takeliongawa. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/inexistents?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Great Kaiju - Gaea-Tima tome 1 Scenariste de l'album : Kent Dessinateur de l'album : Kent Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Gaea-Tima, ennemi de l'humanité ou dernier rempart contre les kaiju ? Il y a de cela 10 ans, la ville côtière de Sukuba a été à moitié détruite à cause d'un tsunami provoqué par un monstre géant sorti de la mer. Celui-ci a été abattu avant de se dissoudre dans l'eau sous les yeux de la petite Miyako... La fillette s'en est sortie et est aujourd'hui une spécialiste de la création de figurines de la créature, baptisée Gaea-Tima. Le port a été reconstruit grâce à la manne d'argent issue du tourisme et, surtout, de la pêche. En se dissolvant, le cadavre du monstre a fertilisé la mer, au point que sa venue est considérée par certains comme une bénédiction... Miyako, elle, le voit comme un cataclysme, rien de plus. Alors quand un nouvel être gigantesque fait son apparition, elle imagine déjà le cauchemar se répéter. Mais, au moment où tout semble perdu, elle crache sans le vouloir une bille, d'où émerge... Gaea-Tima ! Et cette fois, c'est lui qui abat la créature marine ! Faut-il en déduire qu'il souhaite à présent protéger Miyako et sa ville ? Et si Godzilla tenait dans votre poche ? Dans un hommage aux kaiju, Kent offre sa propre version du monstre géant, avec ses combats XXL terrifiants mais aussi une créature étonnamment attachante ! Critique : Je reste mitigée sur ce premier tome dans le sens où j’attends la suite pour vraiment me prononcer. Le manga n’a pas de problème de réalisation : le graphisme est détaillé, le trait est précis, la lecture est fluide, il y a une bonne répartition entre narration et action et le rythme est bon. Il n’y a pas vraiment de défaut. Cependant, c’est sur le contenu que j’ai des attentes. Un kaiju qui serait du côté des hommes et prêt à combattre d’autres kaiju ou créatures gigantesques, c’est un aspect qui m’a forcément fait penser à un épisode de Godzilla. En plus de cela, on a quand même eu plusieurs titres récemment sur les Kaijus, du coup, j’attends de voir comment l’histoire va tourner et ce qu’elle va amener d’innovant ou d’original au genre. Le point original et positif concerne le changement d’apparence du Great Kaiju et sa façon d’être plus ou moins grand en fonction de la quantité d’eau à laquelle il a accès. C’est un aspect du livre qui apporte un peu de légèreté et un peu d’humour à la série. Du coup, rendez-vous au tome 2 pour en savoir plus. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/great-kaiju-gaea-tima-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Je reste mitigée sur ce premier tome dans le sens où j’attends la suite pour vraiment me prononcer. Le manga n’a pas de problème de réalisation : le graphisme est détaillé, le trait est précis, la lecture est fluide, il y a une bonne répartition entre narration et action et le rythme est bon. Il n’y a pas vraiment de défaut. Cependant, c’est sur le contenu que j’ai des attentes. Un kaiju qui serait du côté des hommes et prêt à combattre d’autres kaiju ou créatures gigantesques, c’est un aspect qui m’a forcément fait penser à un épisode de Godzilla. En plus de cela, on a quand même eu plusieurs titres récemment sur les Kaijus, du coup, j’attends de voir comment l’histoire va tourner et ce qu’elle va amener d’innovant ou d’original au genre. Le point original et positif concerne le changement d’apparence du Great Kaiju et sa façon d’être plus ou moins grand en fonction de la quantité d’eau à laquelle il a accès. C’est un aspect du livre qui apporte un peu de légèreté et un peu d’humour à la série. Du coup, rendez-vous au tome 2 pour en savoir plus.
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On ne va pas se mentir, le début du livre est assez compliqué à comprendre : on arrive directement dans un chapitre qui ne semble rien à voir avec la suite. De plus, le dessin est assez chargé et l’organisation des vignettes, qui se veut innovante et dynamique, ont tendance à créer plus de confusion que d’explication. En ce qui concerne la partie fantastique du scénario où des personnes sont effacées car elles n’étaient pas censées exister (les Inexistents), il y a du potentiel mais on regrette qu’il n’y ait pas d’explications. Concernant notre héroïne, elle est l’ainée d’une famille composée de ses deux parents et d’une petite sœur et on ne voit pas très bien en quoi elle serait une erreur de création de l’univers… Ensuite, il y a le contexte et surtout le métier de Tsugumi qui est une mangaka. Cela permet aux auteurs de parler de leur métier et surtout de mettre en avant certains aspects comme la pression liée au développement de la série, les relations avec leurs assistants, avec les autres auteurs, le contact avec les fans… En conclusion, je dirai qu’il y a de bonnes idées, un peu trop pour être exploitées complètement dans un one shot. C’est prometteur pour la suite des carrières des auteurs. Ce manga est d’ailleurs la première œuvre de la dessinatrice, Takeliongawa.
- 1 commentaire
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Voici un scénario que l’on voit beaucoup dans les webtoons : une jeune fille se réincarne en tant que méchante du jeu otome game auquel elle jouait. Elle décide donc de changer son destin !! C’est là qu’arrive l’originalité de l’histoire : elle n’y arrive que partiellement ! Certes, elle échappe à la peine capitale mais son fiancé (le prince évidemment) rompt leurs fiançailles, part avec l’héroïne du jeu et en plus, organise son agression afin de légitimer la rupture sous prétexte qu’elle est devenue « impure ». Heureusement, le prince maudit apparaît, vient à son secours et tombe amoureux !! Forcément à la lecture, on trouve plein d’éléments que l’on a déjà vus ici et là… Ce manga ne révolutionne pas le genre, en tout cas dans ce premier tome, il y aura peut-être des surprises par la suite. Cependant, il est bien fait : le graphisme est réussi et les personnages principaux sont beaux et intéressants. Du coup, même si on n’a pas vraiment de surprises scénaristiques, quand un livre est bien fait et donc agréable à lire et à regarder, il faut le dire. A suivre donc.
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Titre de l'album : The second chance of the villainess tome 1 Scenariste de l'album : Mitsuki HAYAMA Dessinateur de l'album : Yû IBUKI Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Eri Aikawa meurt dans un accident de la circulation après avoir joué toute la nuit à son otome game préféré. Elle se réincarne en Eris, la méchante du jeu... Afin d'éviter la mauvaise fin, elle fait de son mieux pour changer l'histoire. Et si c'était le prince mal aimé qui parvenait finalement à transformer son malheureux destin ? Critique : Voici un scénario que l’on voit beaucoup dans les webtoons : une jeune fille se réincarne en tant que méchante du jeu otome game auquel elle jouait. Elle décide donc de changer son destin !! C’est là qu’arrive l’originalité de l’histoire : elle n’y arrive que partiellement ! Certes, elle échappe à la peine capitale mais son fiancé (le prince évidemment) rompt leurs fiançailles, part avec l’héroïne du jeu et en plus, organise son agression afin de légitimer la rupture sous prétexte qu’elle est devenue « impure ». Heureusement, le prince maudit apparaît, vient à son secours et tombe amoureux !! Forcément à la lecture, on trouve plein d’éléments que l’on a déjà vus ici et là… Ce manga ne révolutionne pas le genre, en tout cas dans ce premier tome, il y aura peut-être des surprises par la suite. Cependant, il est bien fait : le graphisme est réussi et les personnages principaux sont beaux et intéressants. Du coup, même si on n’a pas vraiment de surprises scénaristiques, quand un livre est bien fait et donc agréable à lire et à regarder, il faut le dire. A suivre donc. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-second-chance-of-the-villainess-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Wild strawberry tome 1 Scenariste de l'album : Ire Yonemoto Dessinateur de l'album : Ire Yonemoto Coloriste : Editeur de l'album : Crunchyroll Note : Résumé de l'album : ll y a 36 ans, une épaisse végétation a brusquement envahi Tokyo, donnant naissance à des fleurs-parasites mortelles appelées "jinka". Ces plantes monstrueuses contaminent les êtres humains grâce à leur pollen, puis se nourrissent d'eux avant de fleurir, condamnant alors leur hôte. Au coeur de la capitale nippone devenue un enfer végétal, deux orphelins, Kingo et Kayano, tentent de survivre jour après jour... Mais leur quotidien bascule lorsque la Force Funéraire Florale, dont la mission est d'éradiquer les jinka, découvre que Kayano est porteuse d'un de ces redoutables parasites... Pour Kingo, qui a juré de remuer ciel et terre pour que sa soeur adoptive redevienne humaine, un terrible combat commence ! Couverture alternative pour le 1er tome Critique : L’histoire de Wild Strawberry se déroule dans un monde post-apocalyptique où des germes de plante ont contaminé les humains les transformant en jinka, un monstre végétal se nourrissant d’humains. Les hommes ont réussi à survivre grâce à un vaccin empêchant les mutations, mais qui est hélas, trop cher pour les classes de la société les plus démunies. Une unité de police/armée appelée Force Funéraire Florale parcourt les rues pour neutraliser de façon violente et définitive tous les porteurs du parasite. Contaminée et prise pour cible, Kayano, va alors se sacrifier pour sauver son frère humain, Kingo, tué par un policier alors qu’il cherchait à la protéger. Il devient à son tour un porteur mais d’un genre particulier car non seulement il a gardé sa conscience mais il semblerait qu’il puisse contrôler son jinka. L’univers de la ville en ruine envahie par des plantes dangereuses n’est pas sans rappeler le manga Green World sans compter le côté « survival » du récit. On est vite happé par le graphisme avec sa végétation luxuriante, son monde en ruine, et la violence implacable qui peut surgir à tout moment. Au milieu, il y a un fratrie, prête à tout l’un pour l’autre, qui va braver les dangers vers un espoir incertain. Avec son graphisme saisissant et un rythme soutenu, Wild Strawberry frappe fort dès le 1er tome et nous donne envie de poursuivre l’aventure. Le second tome arrive en juin. Une série en cours avec 5 volumes pour le moment. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/wild-strawberry-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Baby tome 1 Scenariste de l'album : Chang-Sheng Dessinateur de l'album : Chang-Sheng Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : 50% femme. 50% machine. 100% badass ! 1er décembre 2043... Le "Jour du Jugement" est proche. Dans les rues délabrées de Taïwan un parasite inconnu, Baby transforme les êtres humains en monstres mécaniques, provoquant un véritable carnage et poussant l'humanité au bord de l'extinction. Attaquée par l'un de ces mutants, Élisa survit, mais un Baby réussit à s'introduire dans sa main gauche, sans pour autant la transformer en un hybride mécanique ! Un an plus tard, Élisa décide de quitter la ville pour faire toute la lumière sur cette affaire. Alors qu'elle est gravement blessée, elle croise sous terre une équipe de chercheurs en mission secrète : ils doivent ramener une mystérieuse jeune fille nommée Alice au sanctuaire des humains. Alors qu'ils sont cernés par les mutants et se demandent si leur dernière heure a sonné, Alice pourrait bien être la clé de l'énigme... Quelle est la véritable origine de Baby ? Le mystère qui se cache derrière tout ce chaos sera élucidé au moment même où l'identité d'Alice sera révélée... Après Yan, Chang Sheng revisite le récit postapocalyptique et le survival dans une trilogie d'action survitaminée, entre Parasite et The Walking Dead ! Critique : Baby est un manga d’anticipation où l’humanité a presque disparue suite à la propagation d’un parasite nommé « baby » transformant les hommes en cyborg/machine. Les personnes touchées se laissent dominer par leurs instincts et deviennent hyper violentes. Au cours d’un combat contre un mutant, Eli, une jeune femme se fait contaminée. Accompagnée d’un robot médical qui semble être son seul ami, elle se retrouve par hasard avec un groupe de rescapés se dirigeant vers un abri sûr. Si la trame de fond semble un peu classique : un personnage principal pouvant utiliser des capacités de l’ennemi, se trouvant entre les deux espèces et représentant l’espoir de l’humanité ; certains développements sont innovants et l’enchainement des événements est efficace. Baby est publié en grand format mettant en avant un graphisme futuriste intéressant à la fois très net (lisible facilement sans surcharge) et détaillé quand il le faut. Cela rend une lecture très agréable et fluide. Au final, on obtient un premier tome convaincant et bien construit donnant envie de lire la suite. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/baby-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Le palais des assassins tomes 2 & 3 Scenariste de l'album : Tabasa Iori Dessinateur de l'album : Tabasa Iori Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Malgré ses bons et loyaux services, Karin est reléguée à l'entretien du palais du froid, un endroit lugubre où séjournent les épouses qui ont perdu la faveur de l'empereur ou commis quelque faute. La servante a pour ordre de n'adresser la parole à personne, au risque de créer de graves problèmes... mais elle rencontre par hasard une jeune femme étrangère au corps émacié, qu'elle ne peut s'empêcher de prendre en pitié. Critique : Quelle bonne surprise ! J’avais quelques doutes sur le 1er tome, trouvant certains côtés exagérés limitant un peu la fluidité du récit. Ces deux tomes m’ont fait changer d’avis et je trouve que la série se bonifie ! La jeune Karin essaye tant bien que mal de se faire des amies à la Cour intérieure mais c’est compliqué avec son air renfrogné, ses gros cernes et surtout la réputation de sa famille ! Alors quand Reiko ? la seule qui lui parle, a des ennuis, Karin n’hésite pas à se lancer dans l’action et entraîne le jeune empereur dans son sillage ! Le récit a trouvé un équilibre entre l’action due principalement aux complots à déjouer, la vie à la cour et les histoires personnelles de Karin vis-à-vis de ses « amis » et sa famille. Si le rythme du tome 2 peut paraître un peu lent, les tensions montent dans le 3e volume et on comprend mieux qui sont les ennemis du jeune souverain. Et puis on appréciera que le côté surdoué de notre héroïne soit justifié ! Au final, on a une série d’aventure saupoudrée d’humour, une recette qui fonctionne ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-palais-des-assassins-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : The last elf, le salut des esprits tome 1 Scenariste de l'album : Akira SAWANO Dessinateur de l'album : Akira SAWANO Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : La seule survivante d'un massacre part en quête du monde !! La science a énormément progressé et l'existence des "esprits' se fait peu à peu oublier. Ahal, seule survivante du peuple elfe, voyage à travers le monde pour apporter le "salut' à ces créatures. Au contraire, une famille ancienne agit dans l'ombre pour les détruire. C'est le cas de Shien qui risque sa vie pour les pourfendre. Par un heureux hasard ou une terrible fatalité, Ahal et Shien vont finir par se croiser ! Critique : Pendant la longue guerre qui opposa le Saint Empire de Shamar à l’empire de Darum, les elfes ont eu recours aux Esprits. Après la victoire, l’empereur craignant qu’ils deviennent trop puissants les exterminât et brulât tous les documents les concernant. Deux cents ans plus tard, Ahal, la dernière elfe, parcourt le pays pour libérer les esprits encore liés par un pacte, les renvoyant dans leur monde. Si son rôle de passeuse d’esprit est pacifique, ce n’est pas le cas des pourfendeurs d’esprit, qui les anéantissent définitivement. The last elf possède un petit côté Frieren avec les voyages d’Ahal, ses relations et son métier hors du temps. Son périple accentue l’aspect mystique du récit avec une ambiance légèrement onirique. Et puis, il y a le côté aventure avec une branche de l’armée qui pourchassent les esprits mais aussi les personnes capables de les vaincre. Il y a donc de l’action, des combats mais aussi plein de moments « paisibles ». Ce premier tome pose donc les bases de l’histoire avec un rythme qui s’intensifie progressivement. Il est encore un peu tôt pour se faire un avis mais pour le moment, ce n’est pas inintéressant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-last-elf-le-salut-des-esprits-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Remède Impérial - L'étrange médecin de la cour tomes 1 & 2 Scenariste de l'album : Tohru Himuka Dessinateur de l'album : Tohru Himuka Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Dans l'empire des Fleurs de lune, on soigne les maux et les blessures avec des prières et des décoctions aux résultats plutôt aléatoires. Lorsque le prince héritier Keiun part à la recherche d'un médecin réputé capable de guérir toutes les maladies en un claquement de doigts, il tombe dans une embuscade et son second, Shiei, est blessé. Il rencontre alors une jeune fille du nom de Koyô, qui déclare qu'elle va recoudre son compagnon de route avec du fil et une aiguille. À une époque où la pratique de la chirurgie n'est pas courante, Keiun est sous le choc, mais décide de lui faire confiance... Critique : Bon, je poursuis la journée à la cour impériale avec ce titre sorti en 2024… et oui, que voulez-vous, on fait comme on peut mais mieux vaut tard que jamais !! Remède impérial c’est l’histoire d’un prince héritier, Keiun, qui cherche à trouver des alliés pour asseoir son influence mais surtout avoir assez d’appuis pour rester en vie ! Au cours d’un voyage destiné à connaître mieux le peuple qu’il sera chargé de gouverner, il rencontre Koyô, une jeune fille qui pratique une médecine non conventionnelle pour l’époque : la chirurgie !! D’un côté, il y a l’aspect traditionnel de la Chine antique avec ses traditions et surtout les nombreux complots de la cour impériale et de l’autre, la modernité, la différence avec la présence de Koyô et de son compagnon Shingdam. La première représente l’occident avec une médecine différente, jugée « barbare » et surtout un apport de fraicheur et d’humour. Le second, issu d’un peuple qui a été anéanti, permet d’introduire tous les sujets de conquêtes, politique et racisme. Mais au bout du compte, tout le monde réagit de la même façon devant la maladie ! Au final, on a une série pleine d’entrain, à la fois sérieuse et divertissante avec des personnages principaux qui font fi des préjugés et des différences et qui apportent une vraie bouffée de gaieté à l’œuvre. A découvrir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/remede-imperial-l-etrange-medecin-de-la-cour-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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