J'attendais avec impatience la fin de ce diptyque. En effet le premier était super imaginatif. Le mix entre pollution, catastrophe et magouille de pouvoir, était déjà très bon.
Il fallait maintenant finir l'histoire de belle façon et c'est chose faite dans ce tome deux. Avec en passant une superbe description de la manipulation des masses par la peur et de la dérive autoritaire qui en découle. Je ne pense pas me tromper en pensant que le dictateur de Rodya est inspiré de la prise de pouvoir et de la gestion d'un certain Vladimir P.
Le mélange politique/vengeance/rébellion prend très bien et Philippe Pelaez nous livre une histoire qui tient toutes ces promesses. On regrettera juste la fin un peu trop abrupte pour rester dans les 64 pages du format. 2 de plus pour amortir la chute et la note aurait été parfaite.
Commentaires recommandés
Rejoindre la conversation
Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.