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  • Burn the house down tome 1


    Nickad
    • Scenariste: FUJISAWA Moyashi Dessinateur: FUJISAWA Moyashi Editeur: Akata Note :
      Résumé:

      La vie de Anzu Murata a basculé quand, enfant, sa maison familiale a été anéantie dans un mystérieux incendie. Plusieurs années après, et tandis qu'un doute subsiste quant à l'origine de la catastrophe qui a détruite sa famille, la jeune femme se fait embaucher en tant qu'aide ménagère au sein de la demeure Mitarai. Makiko, matriarche irréprochable à la poigne de fer, lui impose des règles particulièrement contraignantes. Mais Anzu compte bien faire sa place au sein de ce foyer... Quel est son véritable objectif en infiltrant ce lieu ?

      Type: Manga L'acheter sur bdfugue Genre: Drame Prix: 6.99 Nb de pages: 192
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    Anzu Murata a vu sa maison brulée quand elle était petite, un bête accident ménager dû à une négligence de sa mère. Elle vit à présent dans un petit appartement et fait des ménages pour gagner sa vie. C’est dans la maison de Makiko Mitarai qu’elle se rend et qu’elle espère obtenir un contrat. Une soi-disant femme au foyer parfaite qui travaille aussi comme mannequin. Parfaite en apparence seulement car si devant les photographes et le public, elle gère son intérieur, sa famille et son travail de main de maître ; en privé, elle sous traite le ménage à une société. Mais Makiko n’est pas la seule à avoir des secrets et Anzu n’a pas choisi cette famille au hasard…

    J’ai vraiment cru au départ que l’on allait avoir une histoire triste de deux sœurs qui ont tout perdu suite à l’incendie de leur maison et qui essayent de s’en sortir tant bien que mal. Bon, cette partie n’est pas vraiment fausse mais il y a un drame, une jalousie excessive, un accident qui n’en était peut-être pas un et une femme diabolique prête à tout ! Des mystères, il y en a beaucoup, et ils semblent tous liés ! Donc c’est avec un intérêt de plus en plus grand que l’on avance dans la lecture, on découvre pour le moment plein d’éléments, on attend de voir comment ils vont s’imbriquer les uns dans les autres…

    L’’autrice n’en dévoile pas trop en même temps, et tout comme Anzu découvre ce qui se cache dans la demeure de Makiko, on découvre nous aussi le passé de ces deux familles et on commence à voir des fils s’installer. Une intrique qui devient donc de plus en plus intéressante que l’on aura plaisir à suivre. La série est finie en 8 tomes.

    Extrait

    burn the house down 1 p1.jpg

    burn the house down 1 p2.jpg

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  • Dernières Critiques

    • Les Navigateurs
      Note :
      Serge Lehman et Stéphane De Caneva avaient déjà collaboré ensemble sur l'excellente série Metroplis et nous les retrouvons aujourd'hui sur un récit fantastique avec Les navigateurs. Serge Lehman nous propose de suivre un trio d'amis se connaissant depuis l'enfance, heureux du retour en France de leur amie Neige avant qu'elle ne disparaisse de façon étrange suite à un hurlement effroyable qui réveille tout le quartier. Les trois amis se lancent dans une enquête surréaliste suite à la découverte d'une fresque murale représentant leur amie nue en compagnie d'une araignée géante. A partir de la signature du peintre de la fresque, les amis remontent la piste et croiseront la route de monstres de boue et un passage vers un autre univers. Serge Lehman garde une ambiance oppressante avec ce thriller très bien construit avec des informations réelles et d'autres fantastiques pour mieux crédibiliser l'histoire. Les personnages sont bien construit avec un passé et des anecdotes que l'on découverte tout au long. La partie graphique Stéphane De Caneva est de grande qualité dans un style réaliste pour mettre en image cet univers parallèle. Le passage avec la vieille femme surnommée la Tête est excellent et inquiétant à la fois, comme toute la partie se déroulant la vieille mer.
      Les navigateurs est une excellente histoire où l’on bascule dans un univers étrange. A lire absolument si l’on aime les histoires de Lehman. 
       
      • 1 réponse
    • Mekka Nikki tome 3
      Note :
      Les Humanoïdes associés nous gâtent en sortant simultanément les tomes 3 et 4 de l'oeuvre hybride BD/manga des deux auteurs Exaheva et Félix Laurent. On va donc en apprendre un peu plus sur cet univers créé avec le conflit entre la planète et sa lune, voire peut-être les raisons de cette maladie pétrifiante 😉 ! Mais avant, souvenez-vous de cette fin chaotique du tome 2 avec notre intrépide Nikki en bien mauvaise posture suite au crash de son aéronef. Vous allez la retrouver "différente" et sur le point de baisser les bras dans sa quête de remède et de libération. Mais elle pourra compter sur l'aide de nouveaux amis ainsi que des belles surprises jalonnant le récit. C'est un tome transitoire, préparant le grand feu d'artifice vraisemblablement prévu pour l'ultime ouvrage clôturant cette histoire. Les personnages se reconstruisent, mentalement et physiquement, la réorganisation de la lutte finale contre "Visage" commence ses prémices. Exaheva met en avant l'humain dans cette histoire et délaisse un peu l'action, ce qui n'est pas pour déplaire, car elle le fait bien et sans excès de pathos. Elle répond à de nombreuses questions au fil du récit et cela se fait en toute intelligence et fluidité. Félix Laurent poursuit lui son style graphique "manga" en noir et blanc, efficace et sans fioritures, détaillant juste le nécessaire au bon déroulé de l'histoire.

      La suite très vite pour le dénouement de cette aventure SF pas comme les autres !
      • 0 réponse
    • Wyoming 1863 - Tome 1 - Cinq jours pour mourir
      Note :
      Décidément Soleil relance fortement ses parutions Western ! Wyoming 1863 est une nouvelle série, prévue en trois tomes sur un cycle court donc. Et effectivement le rythme est infernal du début à la fin de ce premier tome qui va nous laisser avec beaucoup de questions et bien peu de réponses. Par contre les colts ont parlé, les brutes ont sévit, les vengeances vont se mettre en place. 

      Dur et cruel évidemment, certaines scènes pourront choquer même si elles sont malheureusement monnaie courante dans les Western. Le trait de Fabrizio Des Dorides est assez réussi, sans pour autant prétendre aller titiller les ténors du genre, il se démarque en tous cas de la production de western plus lambda. Seul regret, la colorisation donne parfois un peu l'impression d'avoir été faite à la hache, et manque de nuances, écrasant je pense une partie du travail du dessinateur, notamment sur certains visages. Je grossis un peu le trait, mais en gros la colorisation numérique ici manque un peu de nuances car l'on voit bien que le trait de Fabrizio Des Dorides peut être assez fin finalement sur certaines cases. Bon rien de grave en soi. 

      Le scénario reste assez frais avec ces destins croisés, même si bon, Western, Vengeance, ça rime pas avec surprise... Dans tous les cas, c'est sauvage et ça défouraille sec, les amateurs ne seront pas déçus.

      Personnellement j'ai très envie de lire la suite. 

       
      • 0 réponse
    • Maman solo
      Note :
      Depuis "ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n'en as qu'une", j'aime beaucoup ce que fait Sophie Ruffieux. Mais pour ceux qui ne l'ont jamais lue, à première vue, son trait un peu girly pourrait vous faire tourner la tête en mode déjà vu/lu cent fois. A seconde vue, le thème pourrait vous faire fuir, vous les gros ronchons de la bd au fond en mode, encore une bd "ouin ouin" et victime...

      Oui ça c'est ce qu'on pourrait penser avant de l'ouvrir.

      D'abord le trait de Sophie Ruffieux est plus doux, plus détaillé, et ses compositions de planches révèlent une belle maitrise de son sujet. On sent qu'elle aime ses personnages, même ceux qu'elle adorerait détester. Ensuite le scénario d'Emmanuelle Friedmann est bon, évitant souvent les clichés, ses personnages restent fins, crédibles et humains. Les gros lourds, les pas aimables, les détestables, nous surprennent par de petits détails révélant quand même leur humanité, tel son premier boss ou certains autres personnages. Evidemment le personnage ici du père reste difficile mais le point de vue de la maman solo sur lui reste touchant et pas si souvent que ça dans le jugement ou le mépris. Il y a de la colère certes, mais surtout et avant tout un combat, pour ses enfants et pour elle. 

      Malheureusement cette bd fait écho à ce que l'on peut observer autour de nous, mais elle le fait avec un brin d'humour et beaucoup de tendresse pour ses personnages et leurs combats. Je vous encourage à la découvrir, c'est un beau moment de lecture qui ne tombe pas dans la facilité de chercher à trop nous émouvoir. Bravo Mesdames et merci pour ce moment de lecture.
      • 0 réponse
    • Sa Majesté des mouches
      Note :
      Paru en 1954 et fruit de nombreuses adaptations, le roman de William Golding semble plus que jamais ancré dans le réel et évocateur du côté sombre de l'homme ! Pour dépeindre ce cadre idyllique d'une île, cette "prison dorée" sans surveillants, la très talentueuse Aimée de Jongh, qui commence à se faire un nom dans le monde du 9ème art. Son excellent roman graphique Jours de sable, paru chez Dargaud, avait remporté de nombreux prix. Sa faculté à véhiculer les émotions à travers les visages des personnages, ses différents plans de découpage, son style graphique élégant est une véritable aubaine pour les lecteurs. On pénètre littéralement dans l'esprit des enfants, leurs peurs, leurs réactions, le cheminement qu'ils décident de prendre, tout semble logique et implacable, l'artiste hollandaise infuse un parfum de malaise grandissant pages après pages. Ainsi sous vos yeux, le reflet d'une société sans règles, où la loi du talion l'emporte, va mener ces enfants à commettre l'irréparable. Dans cette île paradisiaque, à une époque incertaine, les différentes facettes de l'homme se découvrent sous le trait somptueux d'Aimée de Jongh. Des couleurs vertes illustrant la jungle, aux notes de bleus pour l'océan et ses lagons, sans oublier la couleur chair vierge et innocente des jeunes gens naufragés, vous serez subjugués par son travail ! Un grand roman pour une histoire empreinte de véracité, et une grande artiste complète ! Chapeau bas Aimée 🙂 
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