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  • Coda Omnibus


    The_PoP
    • Scenariste: Simon Spurrier Dessinateur: Matias Bergara Editeur: Glenat - Comics Note :
      Résumé:

      Un barde rusé, une turbulente licorne et un destin exceptionnel. Oyez, oyez, le seigneur Noir a gagné ! La magie a été quasiment éradiquée de ce monde fantastique autrefois magnifique et majestueux. Dans cette contrée désolée, un mystérieux barde du nom de Hum, un homme de peu de parole qui marmonne plus facilement son prénom qu'il ne répond aux questions d'autrui, est en quête d'un remède pour sauver l'âme de sa bien-aimée, accompagné dans son périple par une licorne mutante au tempérament aussi fougueux qu'imprévisible. Si le barde doit sa survie à son bon esprit, il est bien en peine de prévoir les réactions de sa monture et encore moins de l'issue du combat qui l'attend. Emporté malgré lui dans la tourmente, Hum devra choisir au mieux ses alliés pour faire triompher le bien et remettre de l'ordre dans cet étrange monde en déliquescence.

      Type: Comic L'acheter sur bdfugue Genre: Fantasy Prix: -- Nb de pages: --
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    Allez un petit rattrapage de l'une des grosses sorties Comics de l'année, plutôt saluée par la critique.

    Un ami avec lequel je partage pas mal de goûts en comics et bd me l'a prêté en me la conseillant fortement, me vantant les vertus hyper rafraîchissantes de ce one shot de Fantasy. 

    Et moi j'ai mis beaucoup de temps à la finir. Et oui au premier essai, le graphisme a finit de me rebuter au bout de 4 chapitres. Dur. J'essayais et le monde et l'histoire m'attirait, mais le graphisme m'embrouillait beaucoup trop. Trop de confusion, trop de nouveautés, trop de mal à discerner ce qui se passe. 

    Du coup je l'ai reposé. 

    Et puis j'ai persévéré car quand même quand tout le monde dresse les louanges d'une BD il faut parfois insister. Donc j'ai pris le temps de finir pendant ces vacances. Et c'est passé beaucoup mieux. J'avais plus de temps à y consacrer, et puis je me suis habitué. Alors non, clairement même à la fin, je ne suis pas un grand fan du graphisme. Mais c'est original, c'est bien fait, et il y a une vraie cohérence et des choix plutôt sympa. Cela vous plaira ou non, mais cela mérite le coup d'oeil. Dans le même genre de graphismes qui peuvent cliver, Invisible Kingdom m'a fait le même effet.

    L'histoire par contre se révèle vraiment sympa, sans aucune sensation de déjà vu. C'est original quand même du Steam Punk Post apo en Fantasy. , Même pour un gros lecteur de Fantasy on est proche du jamais lu. Ajoutons à cela que les personnages sont vraiment bien même si l'on met du temps à s'attacher et à comprendre leurs motivations et que le rythme suit une progression logique et super intéressante. . Et puis le propos de fond est puissant et pertinent. 

     

    Alors pour toutes ces raisons je vous invite à essayer ce Coda Omnibus. Ce n'est clairement pas l'un de mes tops de l'année, mais ça pourrait bien être l'un des vôtres au vu de ses nombreuses qualités et pour peu que vous soyez plus sensible que moi aux graphismes.

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    Retour utilisateur

    Commentaires recommandés

    il y a 27 minutes, The_PoP a dit :

    prends le temps. Mais c'est vrai que lui il te fait passer adventureman pour un modèle de clarté 🙂

    Ah ouais , et je suis pas fan des bds "bordeliques" , bon j'irai au bout quand même 🙂

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    Oui je m'y attendais , faut sortir un peu du franco belge 😅 , ça va aller va !

    J'aurai pas du passer de la geste des princes , à Coda , c'est tout ^^

    Modifié par Kevin Nivek
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  • Dernières Critiques

    • Dred Scott - Tome 1 - New York 1893
      Note :
      Dred Scott a tout de la bonne idée. D'abord un thème peu exploité, à part gangs of new york, je n'ai pas en tête beaucoup d'oeuvres connues de ce côté de l'atlantique pour avoir exploré le New York du XIXème siècle. Ici on se situe après la fin de la guerre de secession, et c'est la seconde bonne idée. Nous proposer un récit tout en nuances de gris, absolument pas manichéens, ou le lecteur doit rester constamment éveillé pour ne pas se faire avoir par les scénaristes. 

      Bravo donc au duo d'auteurs Tom Graffin et Jérôme Ropert qui nous offrent un second chouette récit ce mois-ci à New York après la sortie du tome 2 de Ange Lecca. 

      Seul bémol sur ce Dred Scott, je trouve le dessin un cran en dessous des dernières sorties chez Grand Angle. Attention c'est propre et loin d'être mauvais, mais que ce soit le dessin ou la colorisation je trouve qu'il y manque le petit supplément de charme et d'âme qui donne envie, probablement par manque de temps car le talent est bien là. Dommage car je trouvais la couv' très réussie et pleine de promesses... C'est tout de même avant tout une question une nouvelle fois de goûts et de couleurs. 

      Ceci dit ce Dred Scoot est vraiment agréable à lire et cache de jolis rebondissements qui nous feront en attendre la suite avec impatience.
      • 1 réponse
    • 1, 2, 3 Piccard - Pionniers du ciel et des abysses
      Note :
      Belle découverte que l'histoire de ces Piccard. Pour être très transparent, je n'avais jamais entendu parler d'eux. La ou, en tant que bon français, j'ai entendu parler de Jacques Yves Cousteau mais pas des inventeurs du bathyscaphe. Et si seulement c'était uniquement le bathyscaphe....

      C'est ce qui est dingue dans cette histoire de famille. Nos trois générations de Piccard ont inventé énormément de trucs connus et ayant aidé à repousser les limites de la science et de la connaissance humaine.

      Du premier vol stratosphérique, en ballon, au premier tour du monde dans un avion entièrement solaire, cette famille d'ingénieur "self made" est passé du plus haut dans le ciel au plus profond des océans, en ayant toujours pour objectif la promotion de la science.

      Des aventuriers de la science qui montre de l'on pouvait (et l'on peut surement encore) se lancer des défis alliant prouesse scientifique et courage, et cela, même à l'air d'Elon Musk et consort.
      • 0 réponse

    • The new gate tome 5 & 6
      Note :
      Shin continue d'essayer de recoller les morceaux sur les événements qui se sont produits lors de la fin du jeu et cherche toujours une porte de sortie pour retrouver son véritable univers.

      Pour ce faire il reprend contact avec d'anciens partenaires toujours vivants... mais vieux de 500 ans. Après l'euphorie de retrouver sa force mais aussi Shnee, il se heurte à la mortalité et la vieillesse des personnes qui sont, eux, restés là durant ces 500 ans.

      Bref un tome 5 qui conclue l'arc du retour du héros et nous lance vers un tome 6 qui lance un nouvel arc ou un ennemi semble pointer le bout de son nez. Ce qui nous fait remarquer que les premiers tomes ont été super agréables à lire, alors même qu'il n'y avait que des gentils.

      Un manga toujours porté par une nostalgie super présente et une bienveillance de tous les instants de notre héros qui n'abuse pas de ces pouvoirs, se contentant de continuer son exploration du monde.
      • 0 réponse
    • Le pauvre bêta ne connaît pas l'amour tomes 1 & 2
      Note :
      Seno est le majordome attitré de Ryôsuke, un alpha dominant et aussi son ami d’enfance. Il fait passer son travail avant et reste stoïque en toute occasion également quand Ryôsuke le provoque volontairement en ayant des relations sexuelles avec des omegas devant lui.

      Cependant Seno a de plus en plus de mal à contenir sa propre libido et se rend secrètement en ville pour avoir des relations d’une nuit en se faisant passer pour un omega. Mais il se peut que ses changements physiques aient une origine qu’il ignore…

      Les Bêtas ne sont pas forcément les personnages le plus mis à l’honneur dans l’omegaverse et souvent, sous l’influence des phéromones alpha, ils finissent par changer de genre. C’est une facilité dans le scénario qui permet des scènes érotiques osées ! Ce manga propose une approche différente et assez surprenante que je ne vous dévoilerai pas !

      La série n’est pas désagréable mais manque un peu de peps. La révélation de fin du tome un est cassez dérangeante… Et j’ai un peu peur que la fin tombe dans l’écueil de la facilité, ce sera à voir dans le 3e et dernier tome de la série.
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    • Amants sous contrat
      Note :
      Yamada est bien embêté, c’est un employé sérieux, séduisant et surtout très gentil toujours prêt à aider ses collègues ou à les écouter. Hélas, l’une d’elle en a profité pour prendre ses rêves pour la réalité et n’arrête pas de le coller et va même jusqu’à fouiller dans ses affaires. Ne sachant comment la faire arrêter il prétend qu’il est en couple avec Moriyama, un collègue qu’il ne côtoie pas souvent mais qui est un ancien camarade étudiant.

      L’aspect vraiment original vient du fait que Yamada se fasse harcelé. Pour une fois, c’est l’homme la cible et la jeune office lady le stalker. Le personnage principal est un peu fade, il manque clairement de caractère et il est assez incohérent : pour se débarrasser d’une gêneuse, il n’hésite pas à accepter de vendre son corps ! Il a de la chance quand même, il demande un service à son collègue gay qui en plus est amoureux de lui !! Moriyama, lui, passe trop vite du nerd au beau gosse. Je sais bien que c’est un one shot mais tout va un peu trop vite et tout se passe un peu trop bien entre les deux hommes.

      La romance est globalement gentillette, il y a des passages attendrissants mais certains aspects auraient pu être plus développés afin de donner un peu de dynamisme au récit.
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