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  • Défigurée tome 1


    Nickad
    • Scenariste: KANTETSU Dessinateur: Yu Satomi Editeur: Omaké Note :
      Résumé:

      Bien qu'elle porte un cache-oeil, Shina est une lycéenne joyeuse et aimée de tous ses camarades. Mais elle cache une part très sombre en elle. Un jour, un garçon de sa classe nommé Kaname découvre le journal intime de Shina, dans lequel elle écrit se préparer « au plus beau suicide du monde ! ». Pris d'empathie, Kaname décide de l'aider, mais lorsqu'il est guidé vers une école abandonnée qui empeste la mort, il découvre un autre de ses lugubres secrets. Une romance sombre et gore, avec une héroïne qui côtoie déjà la folie...

      Type: Manga L'acheter sur bdfugue Genre: Thriller Prix: 7.90 Nb de pages: 208
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    Si vous regardez bien la couverture de ce titre vous verrez toute sa particularité : un décalage étonnant entre l’apparence toute souriante de Shiina, notre héroïne et ses envies morbides. A première vue, Shiina est une élève toute joyeuse très sociable qui n’hésite pas à se rapprocher du nouvel élève que tout le monde trouve glauque. Pourtant ce n’est pas dans une ambiance romantique bucolique qu’elle va entrainer Kaname mais un voyage vers les ténèbres de son âme, une attirance vers l’expérience de la mort.

     Quant à Kaname, rien ne semble le retenir sur Terre alors, il n’a pas de difficulté à suivre Shiina dans ses délires et semble être même prêt à aller plus loin.

    Ce fut une expérience étrange de lecture, à un moment on se trouve dans un récit scolaire plutôt classique et à un autre au beau milieu d’Aime ton prochain, où la folie s’insinue dans les moindres détails. On a des personnages très ronds, très shojo avec de grands yeux et à côté de scènes très sombres qui nous remettent les pieds sur terre voir nous entraine un peu plus profond.

    Défigurée est une série finie en 4 tomes dont le premier volume est assez déroutant, assez pour aller voir plus loin.

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  • Dernières Critiques

    • La main du diable
      Note :
      L'éditeur belge s'impose vraiment en fer de lance du style "franco-belge" avec une nouvelle fois le duo Griffo/Rodolphe en figures emblématiques de ce format BD. L'un français, Rodolphe au scénario et Griffo le belge avec sa patte graphique délicate et précise. Leur association avait déjà sorti chez le même éditeur Marie et les esprits ( un nouveau projet dans la même veine est en cours 😉 ), en attendant ils adaptent une nouvelle de l'écrivain Stevenson sur fond de malédiction ! Exit donc les pirates et Long John Silver, pour cette curieuse main du diable qui exauce tous vos voeux, à la seule condition d'être en mesure de la revendre à un prix inférieur à celui d'achat ! Symbolique étonnante quand on sait qu'un des premiers voeux souhaités est le plus souvent l'accession à la richesse ! Charles Dawson endosse le rôle de l'infortuné héros de cette histoire et va apprendre à ses dépends comment vivre avec cette malédiction "opportune". Car vous vous doutez bien qu'avec un nom pareil, cette "main du diable" ne va pas se contenter de réaliser tous vos souhaits sans contreparties ! Comment tout ceci peut bien finir ?? Vous le découvrirez au fil d'une lecture plaisante, imagée par un trait doux à l'aquarelle subtile. Rodolphe fait des merveilles une nouvelle fois et nous gratifie de son talent avec une grande diversité de lieux et d'ambiances exotiques ou marquées par l'élégance des boudoirs anglais. Alors, prendrez-vous cette main pour parvenir à la réussite totale ? Quelle réussite d'ailleurs ? 😉 
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      • 5 réponses
    • La Mécanique - Tome 1 - En moi le chaos
      Note :
      AH il nous fait parler ce duo Jef/ ! J'ai eu du mal avec son Mezcal que j'avais trouvé bordélique, son Convoi m'avait pas mal plu bizarrement, et voici cette fois-ci un premier tome de série. Il faut dire que Jef a le talent incontestable de diviser ses lecteurs, on adore ou on déteste. Il faut cependant lui reconnaitre que depuis son Une histoire de France il fait tout de même bien évoluer son trait, l'adoucissant et le nuancant désormais un peu plus pour mon plus grand plaisir, vous pouvez d'ailleurs le constater par vous même avec cette couverture très réussie. 

      Mais au milieu de tout ça on pense quoi de La mécanique ? Et bien ... c'est encore une fois difficile, car Kevan Stevens nous met encore une fois beaucoup beaucoup de choses dans ce premier tome. Cela part littéralement dans tous les sens et une seconde lecture est presque obligatoire pour ne pas se sentir trop paumé à la fin. Mais il y a tout de même un joli parfum de Jeremiah ou du Convoi dans cette nouvelle série, qui donne inévitablement envie d'en lire la suite. ATtention tout de même, c'est noir, très violent, sexuel et adulte. Je rajouterai qu'il faut avoir l'esprit bien ouvert suivant vos sensibilités car même si je trouve ce début moins ouvertement corrosif que le convoi, on reste quand même sur une lecture incisive. J'espère simplement que la narration restera lisible et aboutie car le risque de s'éparpiller, un peu comme sur Mezcal est grand ici. 
      • 5 réponses
    • La forêt du temps - tome 5 - La larme de solitude
      Note :
      Oh que j'aime cette série. Et Ah que je vais devoir tout relire.

      Chapeau au Lombard pour avoir tenté ce paris : dissimuler l'un des scénarios les plus fous depuis UW1 derrière une bd jeunesse de pseudo fantasy. Il fallait oser.

      Pour moi c'est un pari clairement réussi tant Tristan Roulot tient l'ambition de son scénario tout du long, quand à Mattéo Guerrero il est depuis longtemps un dessinateur dont j'affectionne particulièrement le travail car c'est assez fin, c'est beau et détaillé même pour du dessin enfant.

      Bref, vous l'avez compris je ne peux que vous recommander cette série, ne vous fiez pas au dessin très gentil, le scénario va vous triturer les méninges salement et ça fait du bien ! Chapeau bas !
      • 4 réponses
    • Apogée tome 1 - Les boucles du Celadön
      Note :
      Les auteurs de Renaissance n'en ont pas fini avec la SF et reviennent avec une nouvelle série qui s'annonce galactique !
      Ce premier tome oscille à merveille entre les space opera, avec le début d'une guerre interstellaire, et la SF pure avec un univers ou les humains ne sont pas présents et où les espèces très évoluées sont légion.

      C'est un des changements par rapport à Renaissance : ici, on est plus proche d'un mix entre Aquablue et Orbital que d'Interstellar.

      Tous les ingrédients d'une bonne série de SF sont la ! Nos auteurs se payent même le luxe de mixer présentation de l'univers et démarrage d'une guerre galactique.

      Cette série en 3 tomes, vues par Fred Duval comme un préquel à Renaissance, ravira les amateurs de la série principale, mais aussi les amateurs de SF tous cours qui, comme moi, n'ont pas suivi la série mère.
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      • 2 réponses

    • Silence tome 4
      Note :
      Mais que j'adore ces mangakas francais. Je me répète souvent, mais ce genre de manga sont, en France, salutaire.
      L'intelligence du scenario et l'inventivité de l'histoire, rompant complément avec les modes et habitudes des mangas japonais, donnent un véritable coup de fouet aux lecteurs.
      Ce tome est, en termes de scenario, magique. Il traite aussi bien de Lame et ses retrouvailles avec Ové que de la question de la responsabilité des puissants et des dérives,
      qui semblent impossibles à éviter, du sentiment que cette puissance amenée.
      Le tome précédent nous avait deja laissé entrevoir certaine limite du fonctionnement de Hautfort. Ce tome 4 nous montre à quel point la peur permet au plus grand nombre d'accepter 
      des traitements que l'on jugerait inacceptable par ailleurs. Peur que le pouvoir en place se garde bien de dissiper bien sur.

      Ce tome est encore hyper dynamique en termes de scenario et de plus l'on sent bien que Yoann Vernière à gagner en fluidité graphique !
      Surement le meilleur tome d'une série qui, après avoir surpris, confirme qu'elle est l'un des shonen du moment.
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