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  • IR$ - Tome 23 - Fraude à la terre


    The_PoP
    • Scenariste: Stephen Desberg Dessinateur: Bernard Vrancken Coloriste: Bérengère Marquebreucq Editeur: Le Lombard Note :
      Résumé:

      Tandis que les flammes du réchauffement climatique manquent de dévorer sa famille en Californie, Larry B. Max tente de combattre ce fléau depuis Washington. Cette fois-ci, la traînée nauséabonde de l'argent sale a mis le sénateur sur la piste du Homeplanet Institute, une société de consultants d'un genre un peu particulier. Leur business, c'est la pollution. Et ils n'ont aucun souci à regarder le monde brûler, pas plus qu'à attiser le bûcher avec le corps de leurs adversaires…

      Type: BD Europeene L'acheter sur bdfugue Genre: Thriller Prix: -- Nb de pages: --
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    Une fois n'est pas coutume je vais commencer par ce qui m'a frappé en ouvrant cette bd : j'ai eu beaucoup beaucoup de mal avec la colorisation de cet album que j'ai trouvée sans nuances et massive des pages. Après vérifications, il s'agit pourtant du même couple dessinateur/coloriste depuis plus de 5 tomes mais cela m'avait moins marqué sur les épisodes précédents. Dommage ceci dit. J'en viens en effet à la seconde partie de notre propos : ce IR$ nous propose un scénario consistant, terriblement actuel, mettant en scène une conspiration face aux aspirations écologistes du monde. En nous présentant l'amérique face à ses démons, et l'écologie face à ses adversaire, cet IR$ m'a bien plus intéressé que les précédents. Larry y est certes un peu trop spectateur à mon goût mais la clôture de ce diptyque dans le prochain tome devrait le ramener à un rôle plus catif. Ce tome-ci se finit par un suspens bien pensé qui nous donne envie de lire la suite.

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    Commentaires recommandés

    Il y a 20 heures, Kevin Nivek a dit :

    "plus catif" , il te manque des lettres là j'imagine 🙂 Que veux-tu dire ?

    Même pas elles sont juste dans le mauvais ordre. C’etait pour voir si vous suiviez :

     

    Actif donc 🙂

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    • Les nageuses de Minuit
      Note :
      Voilà un joli roman graphique comme je les aime. Des sujets lourds mais pas improbables, des destins mêlés sans être trop pleins de dramaturgies, avec surtout beaucoup des petits rien qui constituent la vie. Des incompréhensions, des injustices, tout ce avec quoi on se construit et sur lequel on doit vivre. 

      Et surtout cette belle amitié naissante entre femmes, entre battantes qui présentent le féminisme comme une lutte presque contre soi, contre son regard avant même d'être une lutte contre une société ou les hommes. Il se dégage de cette bd une belle force et une belle atmosphère. J'ai bien aimé le fait que les personnages semblent réels, sans fausses pudeurs, sans être tous beaux, regardant leurs propres défauts, y compris corporels en face. Bref, une BD sur de vrais gens, avant même d'être une bd sur l'émancipation ou les combats raciaux. 

      C'est fin et intelligent. 
      • 0 réponse
    • La fabrique des insurgées - 1869 : la première grève d'ouvrières
      Note :
      Bruno Loth nous propose de revenir sur un évènement historique peu connu, avec le début de la révolte des femmes ouvrières de la soie, les ovalistes. L'album commence en 1867 quand deux jeunes femmes quittent leur campagne avec l'espoir de travailler dans l'industrie de la soie à Lyon. Très vite, les deux femmes vont déchanter en découvrant les conditions de travail, le nombre d'heure de travail et sept jours sur sept avec un salaire en dessous de ce qu'on leur avait promis. Bruno Loth ajoute quelques coupures de journaux de l'époque relatant des évènements se mettant en place. L'histoire est romancée avec les deux femmes tout en retraçant la mise en place de grève par des femmes. C'est une première fois pour l'époque et c'est un exemple qui marqua fortement les mouvements sociaux du 19ème siècle. La partie graphique est en noir et blanc avec des dégradés de gris en guise de couleur. Les planches sont bien travaillés pour nous plonger dans cette époque passée.
      Les amateurs de récits historique devraient trouver leur compte avec roman graphique complet en un tome. Ce mouvement de grève est un élément majeur pour la lutte des classes. 
      • 0 réponse
    • Le diable et coral
      Note :
      Bon maintenant que c'est fini, il faut que je le relise... Ou alors que je le lise vraiment.

      Car c'est graphiquement tellement somptueux que j'ai du passer (ce qui est rare pour moi) plus de temps à regarder les planches et les détails qu'autre chose.

      Blague à part, cet album est magnifique. Vraiment. Concernant l'histoire, rassurez-vous, on est dans une histoire à la hauteur du dessin (ou presque). Par contre, ne vous attendez pas à quelque chose que vous aillez déjà lu. Ce qui me donne envie de le relire. En effet Homs nous présente une relation étrange entre le Diable et Coral.

      Une relation loin de ce que l'on imaginerait., avec un diable bien plus subtil et "joueur" que ce qu'on a l'habitude de voir, et une Coral maligne au possible et sachant comment ne pas se faire piéger par les beaux mots du Diable.

      On est vraiment dans un mano à mano. Un peu comme un duo au théâtre, échangeant des bons mots jusqu'à ce que l'un de ces protagonistes perde.

      Une BD à part. À lire, à regarder et à relire !

       
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      • 1 réponse

    • Dans le premier train du matin tome 1 & 2 (fin)
      Note :
      Dans le premier train du matin est un recueil de cinq histoires courtes en deux volumes, chaque histoire étant composée de plusieurs chapitres et n’ayant rien à voir les unes avec les autres. 

      Ce sont des bribes de vies d’adolescents comme si on lisait un chapitre au milieu d’un roman sans avoir ni le début ni la fin. Ce sont des passages importants dans l’existence de ces jeunes, des passages qui les mettent face à une réalité, à une relation. 

      Dans le premier train du matin, on retrouve deux jeunes qui en théorie n’auraient rien à faire là à cette heure mais qui ont tous les deux une bonne raison d’y être. Le soda au melon parle d’une jeune fille qui ne peut pas distinguer certaines couleurs, cela finit par créer une distance avec ses amies mais elle ne sait pas comment leur en parler. Il y a aussi l’histoire d’un frère et d’une sœur séparé à la suite du divorce de leurs parents, une histoire d’amour à sens unique. On finira par le 4 mars, 14h30, la cellule de prison qui compare la vie scolaire d’une lycéenne à une cellule de prison pour parler de son mal-être.  

      Dans chaque histoire, l’un des personnages se met à analyser la situation, faisant des déductions et mettant son binôme en face d’une vérité. C’est comme un raisonnement lors d’une enquête policière. 

      Si le concept est intéressant et les comportements bien analysés, il y a un côté assez froid dans le récit, probablement dû à cet aspect analyse psychologique. Et puis, on reste sur notre faim, comme dans la première histoire où on aurait bien aimé savoir la suite. Il y a un goût d’inachevé qui n’est pas satisfaisant. Dommage car les idées sont bonnes et le graphisme est plaisant. 
      • 0 réponse
    • Samurai deeper kyo - star edition tome 1
      Note :
      En parallèle du lancement du manga Kagurabachi, kana profite de la publicité engendrée par ce retour des samourais au premier plan pour nous sortir une "star édition" de Samourai Deeper Kyo. L'un des hits des années 2000.

      Peut-être le premier manga de samourai post pour ado paru en France (2001 - 2008) avec Kenshin...

      Comme toujours, l'intérêt de ces stars éditions, c'est que pour moins de 11 euros, on a un double album. On devrait donc avoir 19 tomes de cette star édition pour conclure l'histoire de Samourai Deeper Kyo. Un véritable bon plan pour qui n'a jamais lu cette série de samourai pour ado. Une série de samourai qui, si elle tire en longueur sur le milieu, reste bien plus adapté à un lectorat de 10 à 15 ans que Kagurabachi. En effet le dessin est bien moins fouillis, les personnages plus faciles à cerner et le tout moins gore et plus facile à lire.

      Une aventure au long cours qui ravira vos enfants fan de samourai sans avoir à réellement avoir peur du niveau de violence présent.

      Les adultes préféreront l'habitant de l'infini, mais on n'est pas dans le même degré de violence et de réalisme.

       

       
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