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  • Joker, l'homme qui cessa de rire


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    • Scenariste: Matthew Rosenberg Dessinateur: Carmine Di Giandomenico Coloriste: Carmine Di Giandomenico Editeur: Urban Comics Note :
      Résumé:

      Quand le chat n'est pas là, les souris dansent... L'absence du Joker à Gotham a laissé le terrain libre à ses plus fidèles rivaux, qui n'ont pas tardé à se partager le pouvoir sur les bas-fonds de la ville. Double-face, le Pingouin, le Sphinx ou encore Black Mask, aucun n'était préparé au retour du Prince Clown du Crime, et encore moins à sa vendetta. S'il ne peut pas reprendre Gotham, il prendra le contrôle des États-Unis !

      Type: Comic L'acheter sur bdfugue Genre: Super héros Prix: 40 Nb de pages: 488
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    La première impression en regardant ce one shot, c'est Ouahhhhh il y a de la lecture ! 488 pages d'un run complet axé sur le Joker.... en fin LE Joker, vous avez dit ? On parle plutôt ici DES Jokers ! 

    Car  c'est bien la le grand intérêt de cet album : c'est une ode au personnage du Joker et aux multiples facettes qu'il a pu avoir. Une ode, mais aussi un rappel. Le rappel que le personnage du Joker, "normalisé" par le run Joker Infinite et rendu drôle, est en fait surement le plus sadique et le plus terrible de tous les monstres de Gotham.

    Ce tome est dense et il est violent. Suffisamment pour que nos auteurs entrecoupent les chapitres par des chapitres "humoristiques" sur la recherche de l'amour par le Joker lui même....   

    Et malgré cela, on est pris à la gorge par la trame principale de cette histoire qui n'a même pas besoin de l'apparition de Batman pour être passionnante. On regrettera juste une fin un peu trop étrange... mais encore cet est pallié par un épisode de la série Knight Terrors qui est surement le meilleur de cet épisode oubliable.

    Bref un bien beau one shot pour tous les amateurs d'un Joker Violent et sans scrupules.

     JOKER-THE-MAN-WHO-STOPPED-LAUGHING-2-CVR

    quand-le-joker-cessa-de-rire-tout-gotham

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  • Dernières Critiques

    • La brigade des cauchemars tome 8 - Jane
      Note :
      Chic , la brigade des cauchemars revient ! Après un septième tome riche en découvertes , avec pas mal de masques tombés , le prolifique Franck Thilliez continue de nous régaler avec une nouvelle aventure trépidante . Mordicus découvert au tome précédent s'avère être une némésis de premier ordre et le brouillard l'entourant demeure épais , Elisa semble cacher de lourds secrets , c'est dans cette ambiance lourde que la brigade se remet au travail en accueillant une nouvelle patiente : Jane . En pénétrant son esprit , l'équipe se retrouve projetée en plein western saupoudré d'une dose de vampires . De nouvelles menaces en perspective pour nos héros ! Une nouvelle fois , le récit va à 100 à l'heure , l'enquête se complexifie au fil des pages , aussi bien les parties "fantasmagoriques" que réelles . Il s'agira probablement d'un diptyque , car la fin nous laisse songeur et dans l'attente d'une suite , trèèèès rapidement 😉 Cette saga mérite amplement le succès qui lui est attribué , elle parvient à chaque tome à nous tenir en haleine , tout en se renouvelant constamment . Un véritable coup de force du romancier et du dessinateur en chef : Yomgui Dumont ! Son trait semi-réaliste est plaisant , son découpage fluide et quelle bonne idée de mettre en noir et blanc les cases de dialogues au micro des "adultes" du laboratoire communiquant avec les ados voyageant dans les rêves . L'immersion est totale ! Une nouvelle réussite pour ce duo talentueux .
      • 0 réponse
    • La montagne du Tao
      Note :
      En voilà une lecture intéressante ! Pour moi qui ne connait que peu de choses sur le Tao, sur la médecine chinoise ou sur le feng shui, partir à leur découverte au même rythme que Fanny s'est avéré un voyage dépaysant et enrichissant. 

      Ce n'est cependant guère plus qu'une porte ouverte sur un autre monde tant le sujet semble vaste et sans fin, mais ceux qui s'y intéresseront pourront alors continuer ce voyage. La montagne du Tao étant une bd, son côté très documentaire fait passer rapidement les aventures et ressentis de fanny au second plan, ce qui explique ma note. 

      Les dessins ne manquent pas de style et collent bien au thème abordé, simples et fluides, ils ne vous décevront pas. Simplement le tout forme un ouvrage qui tient plus du documentaire que de la bd. A réserver donc à ceux qui veulent en savoir un peu plus sur les concepts du tao, de la médecine chinoise ou du feng shui. 
      • 0 réponse

    • Neeting life tome 1
      Note :
      La crise du Covid a laissé son empreinte un peu partout et la production littéraire n’a pas été épargnée. Cette histoire se passe donc en pleine crise au Japon, pendant les mesures de distanciation sociale et l’apogée des visio-conférence. C’est l’une des causes qui pousse Kentaro Komori, le personnage principal à changer radicalement de vie. En réalité, la crise a été une bonne occasion pour s’échapper d’un système qui l’écœurait et pour se lançait dans un projet qu’il préparait depuis 10 ans : le neeting !

      Mais qu’est-ce que le neeting me direz-vous, cela provient de l’abréviation de « Not in Education, Employment or Training » : un mode de vie sans travail à rester chez soi et à faire le minimum d’efforts.

      On aurait pu penser que le récit allait se tourner vers une tranche de vie qui mettrait en avant ce mode de vie tout en pointant les travers de la société qui ont poussé Kentaro à s’isoler. Mais c’était sans connaître l’auteur Tetsuya TSUTSUI, un habitué des histoires sombres parfois thrillers parfois fantastiques que l’on a pu découvrir au travers des titres Prophecy, Poison city ou encore Noise.

      Si l’histoire semble banale au début entre la description de la nouvelle vie de Kentaro et sa relation avec sa bruyante voisine, des petits éléments perturbants et inquiétants commencent à arriver qui semblent nous diriger vers du suspense et de l’action. Le lecteur se retrouve vite plongé dans l’ambiance à se demander, on se demande ce qui va arriver et surtout pourquoi Kentaro est ciblé, lui qui ne semble rien avoir ! Réponse dans le deuxième et dernier tome.
      • 0 réponse
    • Les trésors de Takara
      Note :
      Taishin est un garçon simple et honnête qui a décidé d’aller étudier à Tokyo pour retrouver un garçon qu’il n’a croisé que brièvement mais qui lui a laissé une forte impression. Il ne sait pas vraiment pourquoi il a fait tout ce chemin ni ce qu’il attend de ses retrouvailles à part le remercier pour sa sollicitude et sa bienveillance.

      Quant à Takara (le fameux garçon recherché), c’est un jeune homme qui plait beaucoup, qui est un peu la star du club de rando et qui semble plutôt froid. Un garçon qui a grandi auprès de parents qui ne s’entendaient pas.

      L’histoire relève plus d’une thématique tranche de vie qui nous montre la vie étudiante, la difficulté pour des personnes de province à s’intégrer à la capitale et surtout le décalage qui peut exister dans les connaissances et le mode de vie (Taishin ignorait totalement ce qu’était l’homosexualité par exemple). Mais c’est aussi une approche de la relation amoureuse profondément honnête et sans fioriture car aucun des deux protagonistes n’a jamais été amoureux auparavant et Taishin ignore même que ce qu’il commence à ressentir est de l’amour.

      Que ce soit la vie étudiante ou la romance, le récit est raconté avec une certaine simplicité et une grande justesse. Tout est en finesse, le graphisme et le scénario. Une belle histoire à découvrir.
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    • 2.5 dimensional seduction tomes 1 et 2
      Note :
      J’ai découvert cette histoire avec la projection des premiers épisodes de l’anime à la Japan expo, un titre coquin sans pour autant avoir besoin d’être censuré mais à réserver tout de même aux plus grands, le fan service étant bien présent.

      Okumura est fan d’anime et craque pour le personnage de Liliel, il est comme ça depuis des années et s’assume très bien. Les vraies filles ne l’intéressent pas et il n’est pas franchement à l’aise en leur compagnie. Mais tout va changer quand Lilysa va rejoindre le club de manga où il était le seul membre jusqu’à présent. Car Lilysa adore faire du cosplay et elle interprète à la perfection Liliel, de quoi faire chavirer les convictions d’Okumura.

      Bien sûr, cette comédie romantique ne s’arrête pas là car l’amie d’enfance, amoureuse de lui depuis longtemps, va arriver et devant la menace que représente Lilysa, va aussi se mettre au cosplay !

      Je parlais de fan service un peu plut tôt et c’est véritablement l’aspect qui ressort le plus, que ce soit dans les livres ou anime que regardent Okumura, dans le choix des tenues de cosplay des filles ou dans les poses qu’elles prennent, tout est fait pour mettre en avant les formes callipyges des jeunes femmes ! Les tenues sont minimalistes et les physiques harmonieux ! L’autre aspect tout aussi important et le triangle amoureux et la comédie romantique : Okumura commence à avoir les hormones qui s’agitent et la rivalité entre les filles les poussent à devenir plus entreprenantes.

      2.5 dimensional seduction arrive à nous distraire sans être vulgaire, il y a bien quelques clichés par-ci par-là mais rien de rédhibitoire. En tout cas on s’en prend plein les mirettes ! Nul doute que ce titre trouvera son lectorat !
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