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  • The_PoP
    • Scenariste: Daniel Freedman Dessinateur: Robert Sammelin Coloriste: Robert Sammelin Editeur: Hi-Graphics Note :
      Résumé:

      Le nouveau nom de la furie Poignardée dans le dos, empoisonnée et laissée pour morte par son propre gang, Kali se lance dans une vengeance sans retour à travers un désert ravagé par la guerre. La mort imminente coulant dans ses veines et une armée fasciste à ses trousses, Kali ne reculera devant rien pour se faire justice, même si cela doit être la dernière chose qu'elle fera jamais. Daniel Freedman (Raiders) et Robert Sammelin, artiste pour Mondo et le studio de jeux vidéo DICE, nous offrent un roman graphique original et un spectacle d'action existentielle non-stop, parfait pour les fans de Mad Max : Fury Road.

      Autres informations: Lettrage : Thu Van NGUYEN
      Type: Comic L'acheter sur bdfugue Genre: Action Prix: 24.95 Nb de pages: 176
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    Bon timing pour HiGraphics, anciennement Hicomics, de sortit ce Kali alors que Furiosa vient de débouler sur nos écrans. Si tout le monde fait ce raccourci en parlant de Kali c'est que le cocktail explosif concocté par les deux auteurs Daniel Freedman au scénario et Roger Sammelin au dessin a les mêmes ingrédients : de l'action quasi non stop, une intrigue simple mais parlante, un monde post apocalyptique ou la loi du plus fort règne, une héroïne badass. 

    Ils ont d'ailleurs le bon goût d'amener un peu de nuances et de doutes sur notre "héroïne" en fin d'album ce qui n'a pas manqué de me plaire. Côté dessin, on est presque au cinéma avec un découpage des planches, des plans et des scène d'action assez jouissif et fluides. Le jeu des couleurs aide à la mise en scène, et on se rapproche parfois sur certaines planches d'un Kill Bill cinématographique de ce point de vue là. Une réussite. Par contre pour les amateurs de grands décors, ce n'est pas la bonne pioche, il y en a peu, au profit des personnages et de l'action. On ne peut pas tout avoir.

     

    Attention l'édition est belle, mais en fin d'album il y a le making of, ce qui fait un peu moins de pages pour l'histoire principale que ce que l'on pourrait penser. Et ça passe très vite.

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    Retour utilisateur

    Commentaires recommandés

    Ca se discute, mais en effet le comics indépendant subit une belle hausse de prix du a son faible volume de vente je pense.

     

    c’est dommage car c’est bon.

     

    Je suis de plus en plus persuadé que le comics inde devrait etre vendu au rayon bd ou roman graphique et pas dans le rayon comics avec tous les super heros. 
    les lecteurs et acheteurs potentiels sont la et pas dans le rayon batman superman marvel and co…

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    et c'est pas le même public à mon avis. 

     

    Donc soit tu les sors au format bd, soit tu les fous avec le roman graphique, mais faut faire quelque chose messieurs les libraires !

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    Le 06/06/2024 à 10:29, The_PoP a dit :

    Je suis de plus en plus persuadé que le comics inde devrait etre vendu au rayon bd ou roman graphique et pas dans le rayon comics avec tous les super heros. 
    les lecteurs et acheteurs potentiels sont la et pas dans le rayon batman superman marvel and co…

    Urban est partis la dessus avec ses derniers en plus grand format. Et je pense que c'est le bon mouvement

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    Sympathique , scénar simpliste (vengeance) , mais beaux dessins et un découpage plus que dynamique oui ! On a l'impression d'effleurer cet univers en revanche , aucun spin off de prévu ?

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    aucune idée. Le scénario a une petite finesse à la toute fin qui le rend plus intelligent qu'on ne l'espérait mais ça reste une grosse ligne droite quand même...

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  • Dernières Critiques

    • Sa Majesté des mouches
      Note :
      Paru en 1954 et fruit de nombreuses adaptations, le roman de William Golding semble plus que jamais ancré dans le réel et évocateur du côté sombre de l'homme ! Pour dépeindre ce cadre idyllique d'une île, cette "prison dorée" sans surveillants, la très talentueuse Aimée de Jongh, qui commence à se faire un nom dans le monde du 9ème art. Son excellent roman graphique Jours de sable, paru chez Dargaud, avait remporté de nombreux prix. Sa faculté à véhiculer les émotions à travers les visages des personnages, ses différents plans de découpage, son style graphique élégant est une véritable aubaine pour les lecteurs. On pénètre littéralement dans l'esprit des enfants, leurs peurs, leurs réactions, le cheminement qu'ils décident de prendre, tout semble logique et implacable, l'artiste hollandaise infuse un parfum de malaise grandissant pages après pages. Ainsi sous vos yeux, le reflet d'une société sans règles, où la loi du talion l'emporte, va mener ces enfants à commettre l'irréparable. Dans cette île paradisiaque, à une époque incertaine, les différentes facettes de l'homme se découvrent sous le trait somptueux d'Aimée de Jongh. Des couleurs vertes illustrant la jungle, aux notes de bleus pour l'océan et ses lagons, sans oublier la couleur chair vierge et innocente des jeunes gens naufragés, vous serez subjugués par son travail ! Un grand roman pour une histoire empreinte de véracité, et une grande artiste complète ! Chapeau bas Aimée 🙂 
      • 0 réponse
    • Le dernier festin de Rubin
      Note :
      Le duo de "Toutes les morts de Laila Star" reviennent avec un nouvel album et un album encore une fois sur une divinité de la mythologie indienne. Enfin cette fois c'est un Ogre donc plutôt le méchant des histoires. Un personnages qui, encore une fois, se prend l'envie de sortir de sa retraite pour se meler à l'espèce humaine.

      Cette fois c'est pour partager son amour de la nourriture avec les humains, même si cela l'oblige à lutter contre sa propre nature.

      On ne peut nier la filiation avec "Toutes les morts de Laila Star". Graphiquement déjà on retrouve avec plaisir le pastel de Filipe Andrade avec ses couleurs pâles et ses flous. On retrouve aussi la pâte de Ram V  avec un récit initiatique rondement mené le long de métaphore culinaire pas forcément facile à comprendre.

      C'est le seul "problème" de cette nouvelle collaboration : elle est plus exigeante que la précédente ou la narration nous guidait un peu plus. Ici il faut réussir à embrasser l'ambiance du récit, lire les recettes qui le parsèment et réussir à faire le parallèle avec l'aventure de notre Ogre et de son biographe.

      Intéressant, joli mais plus compliqué que le précédent.

      Santé !


       


       

       
      • 0 réponse
    • Raven tome 3 - Furies (Fin)
      Note :
      On était tous d'accord, chez 1001bd, pour dire que le plus dur serait quasiment de rater la fin de cette trilogie, tellement les deux précédents étaient bons.

      Et bien si Lauffray a fait dans la facilité( i e il nous livre une bonne fin), il l'a fait d'une très belle façon ! En effet, ce tome est plus que bon, il est excellent. Graphiquement, on n'avait aucun doute tellement le style "pirate" lui va à merveille depuis Long John Silver. Mais encore fallait-il terminer ce scenario"dans les règles" comme dit monsieur mouche.

      Et ce tome trois deviendrait presque la définition de la règle tellement c'est une fin... digne des codes de la piraterie ! Des combats, des trahisons, du bluff, des navires, des trésors, mais aussi un héros aux grandes illusions et une Némésis qui n'a pas dit son dernier mot. 

      On en prend plein les yeux et on se téléporte immédiatement sur les mats du Capricorne en criant : Libérer la grand voile !!

      Le début était haletant, la fin est, elle, succulente de décontraction.

      Allez ce soir, c'est l'ile aux trésors, puis relecture de Long Joh Silver !

       
      • 3 réponses
    • Simon & Lucie : les ciels changeants
      Note :
      Le thème des grandes histoires d'amour est un support assez rare dans le monde du 9ème art. On peut d'ailleurs s'interroger sur une telle absence, certes on en trouve, mais si peu... Peut-être est-ce le média qui ne s'y prête guère ? L'expressivité des visages passionnés, le poids de la musique, le bruit de la pluie tombant sur les grandes déclarations d'amour etc.... D'après trois textes de Diastème, Alain Kokor réalise l'exploit de la BD romancée parfaite ! LA grande histoire d'amour qui donne ses lettres de noblesse à la passion. Tout commence avec Lucie, seule ou presque, dans sa chambre mansardée sous une chaleur étouffante, elle raconte sa vie à l'âge de 14 ans, ses parents et surtout : Simon. Un dialogue à l'accent onirique intervient entre les deux tourtereaux, le lecteur confond le rêve et la réalité, le passé du présent, tout se mêle dans une danse passionnée, comme un écho des grandes tragédies romantiques littéraires. Puis, on retrouve Simon interné en psychiatrie, pour quel motif et combien de temps ? Il écrit et se livre pleinement à son tour, ses rencontres à l'institut et son amour fou pour Lucie. Le scénario commence à s'épaissir, le lecteur pensant s'être égaré dans un songe, entrevoit les tenants et les aboutissants. On est tenu en haleine jusqu'à la dernière page, avec le coeur battant la chamade, comment cette histoire peut-elle se terminer ? De son trait pauvre en couleurs, mais si riche en symboles, son découpage pertinent lors des échanges entre Simon et le psychiatre, Kokor nous régale littéralement ! Il distribue la couleur lorsqu'elle sert le récit et repasse à une bichromie  adaptée aux situations. Du génie au service d'une oeuvre marquante ! Simon et Lucie, Lucie et Simon, et si...

       






      Page 69 Lucie et Simon.pdf
      Pages 49 Lucie et Simon.pdf
      Planche page de droite.pdf
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    • Manchuria opium squad tome 14
      Note :
      Les ennuis se poursuivent pour Isamu et Lihua, leurs réseaux s'étendent pour écouler l'opium X, mais ils restent sous la menace grandissante de la Hong Bang et sa dirigeante sanguinaire ! Suite directe du tome 13 nous laissant sur une explosion, cette nouvelle aventure de notre groupe hétéroclite manque il est vrai un peu d'envergure. Certes le plaisir de retrouver ces protagonistes avec chacun leurs traumas est agréable, mais on a l'impression que l'histoire peine à avancer. Comme une sorte de tome transitoire, en attendant mieux par la suite. On en apprend un peu plus sur ce fameux chef de la police qui semble si intègre et déterminé, mais certains personnages principaux s'effacent au profit d'autres au statut moins important. La tension reste présente, mais à force de toujours s'en sortir avec des subterfuges comme sortis d'un chapeau de magicien, les auteurs pourraient bien lasser les lecteurs ! Cette saga est excellente, il ne faudrait pas que le soufflet retombe. Le dessin est lui dans la lignée des précédents, précis et réaliste, il conserve ses standards élevés. C'est au chemin pris par le scénariste de retrouver ses lettres de noblesse qui nous avaient tant emballés au tout début de cette aventure. A suivre donc, car la fin laisse une nouvelle fois un suspens prenant, mais comme disait feu Michel Blanc "je vais conclure" 😉 .
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