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  • Le goût des retrouvailles tome 1


    Nickad
    • Scenariste: ITOI Nozo Dessinateur: ITOI Nozo Editeur: Akata Note :
      Résumé:

      Rutsubo, à neuf ans seulement, porte déjà un regard cynique sur les adultes. Elevée par ses grands-parents, elle n'a jamais pardonné à son père de l'avoir abandonnée dès la naissance. Sa mère, quant à elle, est décédé lors de l'accouchement. Elle ne comprend pas ce qu'elle fait dans ce monde... Et le temps d'un été, pourtant, c'est auprès de son père qu'elle va vivre. Ce dernier, plutôt tombeur de femmes, devra adapter son quotidien pour accueillir chez lui cette fillette qu'il n'a jamais connue. La communication s'annonce compliquée car Rutsubo, elle, n'a jamais parlé. Entre non-dits, souffrances et secrets de famille, la cohabitation ne sera pas aisée...

      Type: Manga L'acheter sur bdfugue Genre: Tranche de vie Prix: -- Nb de pages: --
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    Rutsubo est une petite fille de 9 ans qui n’a pas subi le phénomène d’amnésie infantile, elle se rappelle de tout ce qui s’est passé à partir du moment où elle a été conçue (y compris ce qu’elle a entendue quand elle était dans le ventre de sa mère). Sa mère décède en couche et elle se rappelle que son père, qui a abandonné sa mère, a demandé aux médecins de tout faire pour sauver l’enfant. Elle naît avec un fort ressentiment à l’encontre de son père et du monde dans lequel elle ne voulait pas naitre. Par signe de rébellion, elle a grandi sans parler à son entourage ; entourage peu sympathique au demeurant. Après 9 ans élevée par sa grand-mère, son oncle et sa tante, elle va devoir habiter avec son père pour les deux mois de grandes vacances, chacun étant un inconnu pour l’autre.

    Les éditions Akata nous propose une nouvelle fois une histoire de famille, inédite et touchante. On évoque dans cette série l’abandon, les secrets de famille, le pardon. Tout y est décrit à travers le regard de Rutsubo : les paroles blessantes des adultes qui font comme si elle n’existait pas ou était trop bête pour comprendre, le comportement parfois frivole de son père, sa maladresse.

    Le dessin est à la hauteur du texte, il est fin et délicat. Il y a beaucoup de sensibilité, une description de la situation familiale intelligente sans être larmoyante. Pris dans l’histoire, la fin du tome arrive beaucoup trop vite, on a envie de voir l’évolution de la relation père/fille tout en s’amusant du regard d’enfant porté sur le monde adulte.

    série finie en 3 tomes

    extrait : Le goût des retrouvailles T.1 - AKATA (akazoom.fr)

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  • Dernières Critiques

    • Didi - Tome 1 - Naissance
      Note :
      Didi est une nouvelle série jeunesse lancée par les éditions du Lombard. Elle se tient dans la lignée de leurs productions habituelles à savoir : une intrigue qui conviendra à son public jeunesse mais qui est suffisamment bien amenée pour ne pas ennuyer un lecteur plus adulte. Ce qui est plutôt bon signe je trouve quand à la qualité du scénario, des dialogues et des situations. Ici toute la narration se déroule de manière fluide bien que l'histoire prenne vite un tour fantastique. Pourtant on adhère et l'on suit avec intérêt l'évolution de notre histoire. C'est un tome 1 qui peut se suffire à lui même, mais dont l'ouverture dans les dernières pages appelle à une suite. 

      Les dessins y sont agréables et bien dynamiques, on prend du plaisir à la lecture, bien aidé par une colorisation très pêchue. 
      • 3 réponses

    • Hokkaido Gals are super adorable ! tome 1
      Note :
      L’anime vient à peine d’arriver en France que le manga est lui aussi disponible. Hokkaido gals are super adorable ! est une comédie romantique se situant dans la ville de Kitami se trouvant au nord de l’ile d’Hokkaidô, elle-même au nord de l’archipel constituant le Japon. Cette précision est importante car c’est une région où les hivers sont rigoureux (selon l’auteur, la température maximale de Kitami en hiver est de -4°C).

      Tsubasa est un lycéen tokyoite qui pour des raisons familiales inconnues vient s’installer à Kitami chez sa grand-mère. En voulant découvrir la ville, il rencontre Minami, une gal habillée assez légèrement avec qui il va sympathiser rapidement.

      Le manga va donc suivre la vie de Tsubasa, un garçon assez coincé et considéré comme un looser là d’où il vient, un garçon qui ne semble pas savoir grand-chose de la vie de lycéen jusqu’à présent (pour dire, il n’a jamais mangé de nouilles instantanées ni jamais joué à des jeux vidéo, chose assez rare pour un Japonais !). Et bien sûr, un garçon qui n’a aucune expérience avec les filles !

      Mais qu’est-ce qu’une gal ?? Gal ou gyaru est une mode vestimentaire japonaise utilisée par les jeunes filles qui consiste (dans les grandes lignes) à avoir le teint bronzé, les cheveux décolorés en blond, des minijupes, un maquillage et des accessoires tape-à-l’œil ? Cette culture née dans les années 70 avait pour objectif de rejeter les standards de beauté imposée aux femmes.

      En plus de la comédie romantique qui est agréable à lire et fort sympathique, le manga permet de vous faire découvrir la région d’Hokkaido avec des notes explicatives de l’auteur entre deux chapitres et permet aussi de montrer qu’il ne faut pas se fier aux apparences car aujourd’hui les gals sont plutôt considérées comme des filles vulgaires, superficielles et peu intelligentes.
      • 0 réponse
    • Jimbôchô sisters tome 1
      Note :
      Jimbôchô sisters marque le retour de l'autrice Kei Toume en France après presque 10 ans d'absence, elle nous avait marqués avec des titres plutôt adultes et parfois assez sombres tels que Déviances, Les mystères de Taisho, les lamentations de l'agneau ou encore Sing yesterday for me qui a été adapté en anime en 2020. La série est en cours et compte 4 tomes à ce jour.

      Pour accomplir les dernières volontés de leur grand-père, Tsugumi accepte de reprendre la librairie d’occasion. Elle s’installe donc avec ses deux sœurs dans le bâtiment où il y a aussi un logement. Il y a l’ainée, Ichika dont le salaire permet, pour le moment, de faire vivre la fratrie et Minoru, la cadette encore au lycée. Seulement la librairie n’attire pas que des clients et certains aimeraient bien pouvoir mettre la main sur les trésors cachés du grand-père.

      Nous qui lisons beaucoup de livres, avoir un manga autour d’un bouquiniste est un plaisir et à vrai-dire j’avais une certaine attente qui n’a pas été complétement comblée. Comme Tsugumi reprends la librairie et qu’elle commence à apprendre le métier, on ne ressent pas la passion du chineur, l’amour du livre est présent mais pour le moment on n’est pas encore rentré dans la vie de la boutique.

      Après, la narration souffre de quelques longueurs, la fin du tome promet quelques rebondissements et actions qui seront les bienvenues. Le graphisme est minutieux et le cadrage est très carré, cela manque un peu de peps. Il faudra donc attendre le second tome pour voir si le récit va prendre son envolée.
      • 0 réponse
    • The eminence in shadow tome 11
      Note :
      Voilà le tome que l'on attendait ! un tome qui remet au centre de notre histoire la conspiration de diabolo et les premiers personnages rencontrés. Cid est toujours aussi décalé et toujours à l'ouest malgré ses superpouvoirs et ne s'en rend pas compte, ce qui rend ce tome particulièrement savoureux.

      Je suis étonné à quel point la réutilisation des mêmes ficelles marche bien sûr cette série. C'est le genre de truc qui m'exaspère d'habitude... mais pas là.

      Alors, je ne bouderai pas mon plaisir 🙂
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    • Critique par une ado : Make up with mud tome 6
      Note :
      Une critique de @TheOtaku: Nous voilà avec un bon tome, bien qu'assez muni de flashbacks, qui bien sur nous offrent des explications, en premier du côté de Haru et de sa mère. A l'approche de son anniversaire, Haru reçoit depuis toujours une invitation de la part de sa mère mais cette fois c'est Kitake, son demi-frère qui lui en envoie une, tout ça dans le but de discuter avec lui de leur mère mais aussi de Miku. De son côté Miku officialise avec Yves bien que dans le secret étant donné que celle-ci redoute la réaction de sa mère qui considérait Haru comme un membre à part entière dans sa famille. Aussi Yves fait part de sa situation familiale à sa nouvelle petite amie.

       



      Comme dit plu haut, ce tome plein d'explications est globalement bien même si je vous avouerais qu'il me laisse sur ma faim. En savoir plus sur Yves et sa famille est une bonne chose tout comme le fait d'avoir l'avis de Haru sur sa relation avec sa mère et son ex petite amie, mais personnellement j'attends avec impatience que Miku fasse face à sa mère et son comportement assez dérangeant je cite "les études  que font les enfants sont aussi importantes pour les parents", "je n'accepte pas cette rupture" ou même son coup de "tu n'es pas une fille, et ton maquillage ?". Enfin ce tome se lit toujours aussi bien, les dessins sont toujours aussi beaux et on sent la fin arriver (8 tomes en tout).
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